Intox médias

Partager sur : TwitterFacebook

Belle illustration dans La Nouvelle République ce matin d’intoxication médiatique. Un article du quotidien revient sur une réunion qui s’est tenu hier sur l’origine des mortalités d’abeilles. Intitulé « Les solutions pour enrayer le déclin des abeilles », l’article cite abondamment Axel Decourtye de l’ACTA (institut technique) et spécialiste des abeilles et de la pollinisation. Selon lui, « Il est un peu facile de faire porter toute la responsabilité du déclin des abeilles aux agriculteurs et de se limiter à les traiter de pollueurs. On bénéficie tous de l’évolution des pesticides : les agriculteurs ont répondu, à un moment donné, à notre demande de consommer des produits avec une sécurité sanitaire. Aujourd’hui, on a conscience qu’on doit changer nos modes de production et prendre en compte les abeilles. (…)On peine à mettre un facteur sur un diagnostic. Outre les pesticides, les fertilisants et les herbicides, on pourrait aussi évoquer l’apparition de pathologies, de prédateurs, des problèmes alimentaires, les changements climatiques, la modification des paysages. »

On comprend donc que face à une crise d’origine multifactorielle, il est indispensable de rester prudent. Cela n’empêche pas La Nouvelle République de céder à Béatrice Robrolle, la médiatique président de Terre d’Abeilles. Acte 1 : la caution scientifique. Béatrice Robrolle commence par expliquer qu’elle ne peut assister à la conférence d’Axel Decourtye étant retenue à Paris pour un colloque au CNRS. On jurerait que c’est une scientifique de haut vol. Et elle enchaîne justement sur le volet scientifique. Selon elle, « La démonstration scientifique de la responsabilité des pesticides sur la disparition des pollinisateurs à travers le monde est établie et confirmée depuis les congrès internationaux qui se sont tenus à Montpellier, en septembre 2009, et en Pennsylvanie (États-Unis), en juillet 2010. » Pourtant, à l’époque, Le Monde avait sous la plume de Gaëlle Dupont publié un article fracassant sur l’origine multifactorielle des mortalités d’abeilles.  Acte 2 : le business de la peur et la généralisation. « La médiatisation du dossier du Mediator rend accessible à tout le monde le processus d’autorisation de mise sur le marché de ces produits » Et voilà, elle nous ressort le coup du Mediator ! Ca coûte rien, ça fait peur et ça s’intègre parfaitement dans son argumentaire. Encore un peu et on apprendra que Servier fabrique des phytos. Acte 3 : l’effet d’annonce. Il faut bien être crédible. Alors,  selon La Nouvelle République, Terre d’Abeilles « exige des protocoles d’évaluation plus rigoureux, une contre-expertise indépendante avec des experts compétents, l’indépendance des prescripteurs et une législation très sévère en matière d’utilisation des pesticides. » Acte 4 : la dimension politique. Béatrice Robrolle a bien compris que pour peser médiatiquement, il faut peser politiquement… et vice versa. L’article nous apprend donc que Béatrice Robrolle a rencontré un parlementaire il y a 3 semaines. Pour gonfler l’affaire, Jean-Pierre Sueur n’est pas simplement présenté comme parlementaire mais comme « vice-président national de la commission des lois ». Et qu’est-il sorti de ce rendez-vous ? La promesse, habituelle chez les parlementaires, de poser une question écrite au ministre. Ce qui se traduit dans le quotidien par « Ce dernier doit remette deux questions écrites au ministre de l’Agriculture, Bruno Le Maire. « La première évoque l’encadrement de l’utilisation des pesticides ; la seconde, l’homologation des pesticides. L’objectif est de parvenir à un projet de loi pour réglementer tout ça. » »

 

Et ce n’est pas tout. Le « billet du jour » de La Nouvelle République donne le ton de la rédaction. Dommage que certains journalistes se permettent d’affirmer des faits sans preuves. Bel exemple d’intoxication des abeilles. Médiatique.

Chimie du sacrifice

Combien faudra-t-il de drames pour que notre société prenne enfin la mesure du scandale lié à l’utilisation des pesticides ? Ils polluent la terre, l’eau et même l’air que nous respirons. Les pollinisateurs sont les premières victimes, les abeilles meurent quasiment en direct. Chez l’homme, l’effet est plus insidieux : malformations, cancers, problèmes de stérilité… On promet de mettre en place une réglementation et puis fondent les bonnes intentions face aux réalités économiques. Le consommateur, lui, ne regarde pas au prix lorsqu’il s’agit d’acheter du miel, c’est son produit préféré.

88 commentaires sur “Intox médias

  1. Pauvre Laurent Berthod, l’Association Française de Protection des Plantes a trouvé le coupable ou plutot les coupables, les nombreux mauvais agriculteurs!!!

    http://www.terre-net.fr/ulf/TNM_Biblio/fiche_67931/abeilles_afpp_2010.pdf

    Utiliser des produits phytosanitaires sans un maximum de précautions
    peut s’avérer néfaste pour l’abeille et les autres pollinisateurs.

    Chaque année, de nombreuses intoxications d’abeilles se produisent suite à une mauvaise utilisation de produits phytosanitaires.

    Comment l’abeille peut-elle s’intoxiquer ?
    • Par contact
    Quand le traitement intervient en période de butinage ou quand l’abeille se pose sur une fleur ou sur la végétation traitée avec un produit persistant.
    • Par ingestion
    Quand elle prélève du nectar ou du pollen sur des fleurs contaminées soit :
    – par pulvérisation,
    – par l’utilisation d’un produit persistant ou systémique avant floraison,
    – par des poussières d’enrobage insecticide émises lors de semis.

    D’autres cas d’intoxications moins évidents peuvent se produire.
    Par exemple, quand les abeilles viennent récolter de l’eau contaminée dans
    les flaques constituées dans les traces laissées par les roues du pulvérisateur, ou
    à l’aisselle des feuilles de plantes irriguées après un traitement…

    1. En fait rien de nouveau sous le soleil, ce qui démontre bien encore et toujours que les pesticides employés en agriculture depuis les années 1960 n’ont tout de même pas empèchés les apiculteurs de produire du miel .
      Avec une pointe cette année a plus de 120 kg de miel produit dans un rûcher d’un apiculteur de l’Epine ( près de Chalons en Champagne 51) et de nombreuses rûches passant les 80 kg de miel, dans ma région .L’Unaf ,Trouduc et Compagnie vont dire que les agris ont utilisés moins de pesticides,faux!!, que les agris n’utilisent pas de néonicoté…..ines, faux, les semences de blé et betteraves sont traités au Gaucho et depuis peu le Protéus est utilisé sur Colza, sans parler des semences de maïs semées en fond de vallée et traitées au Cruiser.

      Pour ceux qui doutent de mes dires, prenez le botin téléphonique et renseignez vous!!!

      1. A part les trolls, personne ici ne doute vos dire. Nous avons appris à travers vos interventions que vous êtes tout a fait crédible.

        Vous avez remarqué ? Le copier-coller du troll ne dit pas que les pesticides intoxiquent les abeilles mais « peuvent » les intoxiquer. De nombreuses intoxications ont lieu. Où, quand, comment ? Statistiques ? Rien, pas de réponse. Mais le mot « nombreuses » n’est là que pour suggérer que la forte mortalité des abeilles constatée ces dernières années est imputable aux pesticides. De la rhétorique de sophiste et de militant, mais côté démonstration : rien, nothing, nada, nichts, nitchevo, niente…

        NB Je ne parle pas de l’article de terre-net, que je n’ai pas encore lu, mais de l’utilisation qu’en fait le troll.

        1. Lorsque je disais  » pour ceux qui doute….. », cela s’adressait bien sûr uniquement aux trolls et non à vous cher Laurent et ceci également pour nos camarades d’AE.
          Bien à vous

        2. Ce n’est pas un article de terre-net mais une plaquette fruit du travail de réflexion du groupe Abeilles de la Commission Ravageurs et auxiliaires de l’AFPP.
          Ont participé à ce groupe de travail des représentants des différentes institutions présentes au sein de l’AFPP : ACTA, ARVALIS-Institut du végétal, CETIOM, ITSAP-Institut de l’abeille,
          DGAl, Groupama, INRA, UIPP.
          L’Association Française de Protection des Plantes comprend parmi ses membres l’UIPP que vous connaissez bien!!!!
          Si cette association dit «Chaque année, de nombreuses intoxications d’abeilles se produisent suite à une mauvaise utilisation de produits phytosanitaires. » c’est qu’elle posséde des données sur le sujet!!!
          Allez donc dire à l’UIPP que cette déclaration est «de la rhétorique de sophiste et de militant »!!!
          Si l’UIPP déclare que les agriculteurs sont responsables de mauvaise utilisation de produits phytosanitaires c’est qu’elle est mieux placée que vous et ME51 pour le savoir!!!

          Et puis ME51 crédible c’est une grosse plaisanterie.

          1. J’ai dit que je ne mettais pas en cause l’article lui-même (qu’il soit de Terre net ou de l’UIPP, ou de n’importe qui d’autre ne change rien à l’affaire) mais l’utilisation que le troll en faisait.

            CQFD : José. B est un troll vraiment gratiné 🙁

          2. @José.B

            Tu peux toujours chanter beau merle, même si cela à un peu progressé,le bio est derrière toi et le Grenelle ne pèse pas lourd à côté des révoltes qui se trament à deux pas de l’Europe.
            Si toi tu manges tout les jours et 3 fois , ce n’est pas le cas pour tout le monde.
            Cultiver de bonnes terres pour en récolter une misère devrait être interdit et passible d’amende, il faut interdire les aides à l’agriculture biologique.

          3. ME 51,

            Il ne faut pas seulement interdire les aides à l’agriculture biologique, il faut mettre à l’amende ceux qui s’y livrent ! 😉

  2. Ah les pesticides accusés de tous les maux! Utilisés à bon escient et dans de bonnes conditions, ils ne présentent aucun risque sinon nous risquerions de mourir empoisonnés chaque fois que nous mangerions une laitue ou une pomme. Il y a une chose que les écologistes devront nous expliquer: pourquoi vivons-nous de plus en plus vieux dans un environnement de plus en plus pollué?

    1. L’espérence de vie augmente avec les progrès de la médecine et le déficit de la Sécurité Sociale, surement pas grace à la malbouffe!!!

      1. Bien sûr que l’espérance de vie progresse aussi grâce à l’amélioration de l’alimentation, sur les plans hygiénique et nutritionnel.

        L’augmentation de l’espérance de vie avait commencé d’augmenter bien avant les progrès rapides de la médcine enregistrés depuis la fin de la dernière guerre. A quoi croyez-vous que cela étéait dû ? A l’hygiène générale et à l’alimentation. Il n’y a que des crétins pour affirmer le contraire.

        Et l’effet de ces deux facteurs continue de se manifester combinés avec les effets de la médecine moderne. C’est marrant, les écolos sont contre tous les progrès sauf ceux de la médecine. Auprès de l’opinion ça passerait très mal. Les écolos, où c’est malhonnête ou c’est con, il n’y a pas de troisième voie.

        1. Salut Laurent,

          Si la troisième voie est « malhonnête et con ». A lire certain il est évident que ce sont des cumulards !

          René

    1. Pour une fois, permettez-moi d’être en total désaccord ! « Bio » ce n’est pas une troisième voie, car c’est à la fois con et malhonnête ! 😉

  3. Le pôvre José
    Il continue d’enfoncer les portes ouvertes.
    La malbouffe, ce ne sont pas les produits, c’est la maniere dont on les manges.
    Tant que mac do seras le premier restaurant de France, ou une grande majorité de parents, aprés avoir réclamé du bio a la cantine, se ruent le week end, on pouras parler de malbouffe.
    N’en déplaise au Jose, on n’a jamais aussi bien (certainement trop, mais c’est un autre problème) mangé que maintenant.
    Les produits n’ont jamais été aussi sains. Et sur ce point la, a part un loby d’obscurantistes bio-bio les produits bio n’ont jamais été meilleurs pour la santé…. jamais!

  4. Tout votre bla bla pour dénigrer le bio ne fait pas oublier que «Chaque année, de nombreuses intoxications d’abeilles se produisent suite à une mauvaise utilisation de produits phytosanitaires.» (ACTA, ARVALIS-Institut du végétal, CETIOM, ITSAP-Institut de l’abeille,
    DGAl, Groupama, INRA, UIPP.)
    Et ce n’est pas «le botin téléphonique» de ME51 qui peut masquer la responsabilité des agriculteurs dans les intoxications d’abeilles.
    Les fabricants de phyto ne contestent pas la toxicité de leurs produits pour les insectes non cibles et pour l’environnement, ils reportent la responsabilité des intoxications sur les agriculteurs forcément incompétents!!!
    Les agriculteurs sont les dindons de la farce!!!

    1. Vous êtes vraiment d’une nullité infinie !!! Tout le monde vous a dit sur ce forum que les insecticides ça tue les abeilles ! Personne ne le nie.
      Les voitures aussi, ça tue les abeilles !
      Mais ni les insecticides (bien utilisés) ni les voitures ne sont responsables des syndromes de dépopulation ! Seuls les cons et les malhonnêtes (autrement dit les escrolo) affirment cette connerie mensongère.

      1. Vous délirez, comment pouvez vous dire que les voitures tuent les abeilles, vous avez trouvé cette connerie dans le « botin téléphonique» de ME51 »?
        Vous affirmez que « les insecticides (bien utilisés) ne sont pas responsables des syndromes de dépopulation », mais meme bien utilisé il a été démontré qu’ils agissent en synergie avec le nosema par exemple pour dépeupler les colonies d’abeilles ( INRA)!!!
        Et puis je vous rappelle aussi que l’ACTA, ARVALIS-Institut du végétal, CETIOM, ITSAP-Institut de l’abeille,DGAl, Groupama, INRA, UIPP déclarent d’une meme voix:«Chaque année, de nombreuses intoxications d’abeilles se produisent suite à une mauvaise utilisation de produits phytosanitaires»!!!
        Ces nombreuses intoxications d’abeilles sont une source de dépopulation des colonies et cela vous ne pouvez pas le nier!!!

        1. Vous continuez de prendre vos interlocuteurs pour des cons. Mais le seul vrai con, ici, c’est vous. Le seul con définitivement con. Le seul con absolument con. Vous n’êtes qu’un pauvre con. Ou alors un vrai gros troll.

  5. Selon un compte rendu de l’ A G O de l’ITSAP – (Institut de l’abeille ) du 28 février 2010

    Première présentation des résultats sur les enquêtes de mortalité 2009 – 2010, tant attendu (2 ans pour présenter les premiers chiffres et au compte goutte !)

    quelques chiffres :

    Pour la France entière, les pertes hivernales (pertes = mortalité pour ½ et pour le reste : bourdonneuse, orpheline, et très faible)

    2008 – 29 % 2009 – 23 % 2010 – 26 %

    Oscillation d’une année sur l’autre (fonction des conditions hivernales) mais pas déclin.

    Pour les causes :

    1- Les ruches fortes à l’entrée de l’hiver ont moins de mortalité que celles qui y entrent faibles

    2- Il y a nettement moins de pertes pour le traitement antivarroa Apivar (20%) que pour les autres systèmes de traitement (30%)

    3- Pas de différence entre apiculture en mode conventionnel ou en bio.
    (Les ruches bio ne sont pas en contact avec des cultures traitées conventionel )

    Pas de chiffre, notamment sur les pertes en rapport avec la transhumance et avec l’environnement dominant : forêt, garrigue, grande culture, etc.

  6. @ José.B

    « Vous affirmez que « les insecticides (bien utilisés) ne sont pas responsables des syndromes de dépopulation », mais meme bien utilisé il a été démontré qu’ils agissent en synergie avec le nosema par exemple pour dépeupler les colonies d’abeilles ( INRA)!!! »

    Oui,j’affirme que la totalité des pesticides , ayant une Amm pour la cible et culture visée,utilisée aux doses homologuées, en suivant les recommandations en usage ,n’est en aucun cas responsable du « Syndrome de dépopulation ».
    J’affirme également que les résultats » d’une seule équipe de chercheur de l’Inra » ne prouve nullement la synergie négative entre pesticides et nosema.
    Ces » chercheurs sont inféodés à la cause écologique » ,ainsi tous les autres chercheurs de la planète n’ont jamais mis en évidence ce phènomène.
    Si c’était le cas l’Anses, ne prendrait aucun risque et retirerait illico presto les ,pesticides incriminés du marché.Les autorités sanitaires ont depuis un certain temps la facheuse habitude de sortir  » le parapluie » au moindre doute.
    Concernant l’indépendance scientifique de certains chercheurs de l’Inra, j’ai la preuve dans le domaine de l’agronomie de résultats biaisés dont les conséquences risquent à terme d’avoir un impact très négatif sur la fertilité des sols.
    J’ai prévenu un ancien responsable de l’Inra à qui je fais totalement confiance, celui ci s’est vite rendu compte de la supercherie et cela va faire du bruit.

    Vous nous les cassez depuis des mois pour ne rien dire, quittez ce site et aller prècher votre mauvaise parole ailleurs.

    1. «Oui,j’affirme que la totalité des pesticides , ayant une Amm pour la cible et culture visée,utilisée aux doses homologuées, en suivant les recommandations en usage ,n’est en aucun cas responsable du « Syndrome de dépopulation ».

      C’est bien de parler de recommandations d’usage, mais lorsque l’AFPP dit :«Chaque année, de nombreuses intoxications d’abeilles se produisent suite à une mauvaise utilisation de produits phytosanitaires», cela veut dire que les recommandations d’usage ne peuvent pas etre respectées!!!

      «J’affirme également que les résultats » d’une seule équipe de chercheur de l’Inra » ne prouve nullement la synergie négative entre pesticides et nosema.»

      Vous etes vraiment TRES TRES NUL ME51, voici ce que disent sur le sujet les chercheurs qui selon vous sont « inféodés à la cause écologique »

      Propos de Yves Le Conte (INRA d’Avignon)
      « Le plus surprenant pour nous dans cette première étude, ajoute-t-il, c’est qu’en faisant une recherche dans la littérature, Cédric Alaux, le principal instigateur de ces essais, s’est rendu compte que l’effet de synergie que nous décrivons était en fait déjà connu de l’industrie phytosanitaire. Et il a été utilisé dans des vergers contre des insectes ravageurs en les exposant à la fois à des pesticides et à des micro-champignons pathogènes. »

      L’industrie phyto vous contredit encore une fois ME51!!! Vous etes vraiment ridicule!!!

  7. Chantes beau merle, les pesticides sont utilisés depuis plus de 50 ans et le seront encore dans 50 ans et avec des abeilles produisant parfois plus de 120 kg par rûches.

    Il fait quand même que j’avoue ici l’inavouable, l’an dernier un ami agri a fait un essai sur 0.5 ha, en pleine chaleur,sur des légumineuses, a appliqué un fongicide auquel il a ajouté un insecticide interdit dans ces conditions(homologué pour un usage hors de la présence des butineuses).
    Les fleurs étaient bourrés d’abeilles et de bourdons, les seules rûches du secteur et les plus prochent étaient à moins de 200 m alors que les autres étaient à plus de 2500m.
    J’ai surveillé sa parcelle et les rûches durant tout les reste de la floraison,c’est à dire pendant plus de 3 semaines, les abeilles et bourdons étaient aussi nombreux les jours suivant , aucune mortalité dans le champs et dans les rûches et ceci confirmé par l’apiculteur propriètaire des rûches qui a passé les 80 kg de miel.

    Pendant que vous êtes dans « la littérature » d’autres sont tous les jours sur le terrain!!!!

  8. @ Jose B

    [ Chaque année, de nombreuses intoxications d’abeilles se produisent suite à une mauvaise utilisation de produits phytosanitaires», cela veut dire que les recommandations d’usage ne peuvent pas etre respectées!!! ]

    une petite nuance, il faut dire les reco PEUVENT NE PAS etre respectées. C’est comme pour les voitures, sur autoroute on doit rouler a 130 … certains y arrivent tres bien, d’autres peuvent rouler a 150. Faut il interdire les voitures ??

    1. Non non les recommandations d’usage ne peuvent pas etre respectées.
      Si l’on prend celle-ci bien visible sur la plaquette de l’AFPP: «Traitez avec un vent inférieur à 3 Beaufort (19 km/h)» qui peut affirmer que chaque agriculteur est capable de controler la vitesse du vent alors qu’il n’a aucun moyen de controle sur son tracteur!!!
      Comment peut-il savoir si le vent souffle à 19 km/h à un certain moment, ou meme plus, auquel cas il devrait arreter son tracteur en plein champ et attendre le retour à moins de 19 km/h?
      De plus, à 18 km/h ( vitesse maximum du vent autorisée) les pesticides sont transportés à 18 km au bout d’une heure, à 36 km après 2 heures, etc…
      Par conséquent, les recommandations d’usage ne peuvent pas etre respectées, l’environnement est pollué!!!!

      1. La plus belle perle signée José B, qui les collectionne pourtant…

        En cas de vent à 18 km/h, les pesticides sont transportés à 18 km au bout d’une heure, 36 km après 2 heures…Il n’a pas osé écrire 432 km au bout de 24 heures, et 12 960 km au bout d’un mois.

        Eh, José, tu as des notions de physique, un peu ?

        On va oublier la supposition absurde que le vent reste constant à 18 km/h pendant 2 heures… Est-ce que tu sais qu’il y a deux composantes de force qui s’appliquent sur une gouttelette en suspension dans l’air, la force du vent et l’attraction terrestre liée au poids de la gouttelette, et que celle ci finit par retomber ?

        Couvre toi la tête de cendres, et retourne dans le bac à compost que tu n’aurais jamais dû quitter

        1. @astre noir

          rrr, trop rapide, j’aurais voulu la relever moi meme celle-la tellement c’etait enorme (comme la connerie de Jose B).

          Jose B, tu connais pas les anemometres, ou encore les signes visuels du vent ? A 3 beaufort, les feuilles des arbres sont sans cesse en mouvement. Crois moi, la majorité des agris ne traitent plus avec un vent de 3 Beaufort. Imagine un herbicide appliqué par 3 beaufort, les parcelles des voisins seraient grillés (ceux qui sont dans les premiers metres, pas ceux a 18 km !!). Le produit efficace est celui qui touche sa cible. (ceux qui traitent au dela sont passibles de sanctions)

          une nouvelle fois la pratique et Jose B ça fait 2 …. (je garde son raisonnement pour raconter aux collegues, ca fera bien rire)

      2. Amaot… Et si vous ne comprenez pas ce mot allez voir Lucky Luke….

        http://www.orne.chambagri.fr/phyto-traitement-vent.asp
        http://www.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/DGALN_fiche_tam_IV_1.pdf
        Il existe des indices faciles pour voir le vent. Et sinon il y a les TCM et les relevés Météo…
        Comme quoi seuls les aveugles ne veulent pas voir…
        en outre il est écrit (sur le texte du gouvernement):
        « Si un traitement devait cependant être effectué malgré le vent, les risques peuvent être atténués en jouant sur la taille des gouttes : on peut adapter le type de buse, l’angle de jet, la dimension de l’orifice de la buse, la pression. Pour les appareils utilisés sur les cultures basses, on peut aussi jouer sur la hauteur de la rampe. Néanmoins, il faudra prendre garde aux autres risques qui pourront alors apparaître. Par exemple, la formation de gouttes trop grosses peut entraîner un phénomène de ruissellement du produit ; une rampe ne doit pas être réglée trop bas si elle n’est pas stable (risque de distribution d’une mauvaise dose)… »
        Il est donc possible (sous certaines conditions) de traiter même si le vent est > 19km/h

        En ce qui concerne le post de Laurent 2, je suis entièrement d’accord avec lui.
        Je prendrais l’exemple du Di-antalvic :
        « Suite à l’avis de l’EMEA (European Medicines Agency), qui recommande de retirer de la vente un médicament anti-douleur, le dextropropoxyphène, la France va procéder au retrait progressif du Di-Antalvic. L’EMEA estime que les risques de ce médicament, et particulièrement ceux d’une overdose mortelle, sont plus élevés que ses bénéfices. »
        Une overdose mortelle est bien une Recommandation d’usage qui n’a pas été respectée. En fait une personne qui se suicide avec un médicament à fait un usage hors norme de ce médicament. On ne peut incriminer le médicament ni le fabricant pour cet usage. Hors dans cette affaire c’est exactement ce qui est fait. On retire du marché un produit qui s’est avéré très efficace depuis plus de 30 ans uniquement parce que des gens l’on utilisé pour ce suicider.

        Pour les pesticides c’est exactement le même problème. Les écolo veulent faire interdire toutes une série de produits efficaces uniquement parce que quelques personnes n’ont pas respecté le mode d’emploi.
        Cela est du vrai délire…

        Dans ce cas là il faut tout interdire car tout est potentiellement une source de mort… Même l’eau…

  9. José.B :

    « Non non les recommandations d’usage ne peuvent pas etre respectées.
    Si l’on prend celle-ci bien visible sur la plaquette de l’AFPP »

    = Gros con.

  10. @José.Bové

    T’es vraiment un pauvre con,comme si les paysans sortaient le tonneau uniquement par grand vent!!!!
    Le vent est l’ennemi des traitement phytosanitaires, si cela souffle fort par temps gris,il peut pleuvoir à tout moment donc le pulvé reste à la ferme( entre un traitement et une pluie il faut en moyenne 4 heures pour que le produit fonctionne.)
    Si le vent souffle fort par temps sec, les traitements sont le plus souvent inéfficaces, car le temps d’évaporation d’une goutte d’eau pulvérisé est plus rapide que la durée pour atteindre sa cible, donc les agris attendent de meilleures conditions, ou bien le matin très très tôt ou bien le soir très très tard,où le vent est plus calme l’air plus humide et moment où  » vos cheres abeilles sont rentrées dans les rûches ».
    Babi bobu tu l’as dans le cul…..

    Quittes ce site, il est interdit aux cons.

  11. José.B :
    « De plus, à 18 km/h ( vitesse maximum du vent autorisée) les pesticides sont transportés à 18 km au bout d’une heure, à 36 km après 2 heures, etc… »

    = Pauvre type.

  12. Vous etes nuls les gars!!!
    La pollution par les pesticides est un fait incontestable!!!
    Sur le info-pesticides.org on en trouve la confirmation:

    « L’impact sur l’environnement est pris en compte avant la mise sur le marché du pesticide.»

    Cela veut dire que l’impact est bien pris en compte, donc l’impact existe!!!

    « Le respect des bonnes pratiques agricoles permet ensuite de limiter au maximum le risque de présence à l’extérieur des parcelles cultivées.»

    « limiter au maximum le risque de présence à l’extérieur des parcelles cultivées.» veut dire qu’il y a obligatoirement présence de pesticides à l’extérieur des parcelles traitées!!!

    Et puis vous oubliez un peu vite que l’AFPP déclare :«Chaque année, de nombreuses intoxications d’abeilles se produisent suite à une mauvaise utilisation de produits phytosanitaires»!!!
    Par conséquent, pour beaucoup le vent n’est pas l’ennemi des traitements phytosanitaires!!!
    Pourquoi retrouve t-on des pesticides au Pole Nord par exemple?

    1. On retrouve aussi du sable du sahara au pôle nord. et en amazonie. Sable qui induit des allergies des voies respiratoires chez les autochtones.
      Il faut donc interdire le Sirocco et l’Harmattan car ils propagent ses particules fines….

      « L’impact sur l’environnement est pris en compte avant la mise sur le marché du pesticide.»

      Cela veut dire que l’impact est bien pris en compte, donc l’impact existe!!! »

      Trop fort. vous venez de découvrir la première base de l’écotoxicologie:
      Tout produit a un impact, il faut évaluer la dose à partir de laquelle l’impact n’est plus qualifiable ni significatif !!!

      « « limiter au maximum le risque de présence à l’extérieur des parcelles cultivées.» veut dire qu’il y a obligatoirement présence de pesticides à l’extérieur des parcelles traitées!!! »
      And so What?
      Qu’il y est quelques nanogrammes par kilomètres cube d’air n’est en rien un problème si la dose d’impact est de plusieurs mg / m3.

      http://www.atmo-france.org/fr/index.php/Demarrer-telechargement/219-L-agriculture/521-Evaluation-de-la-repartition-des-pesticides-dans-lair-ambiant-de-la-ville-de-Reims.html

      http://www.webchercheurs.com/13/1706-fr-cocaine-dans-l_air-des-grandes-villes-paris-barcelone-madrid.html

      les pesticides dans l’air de Paris varie entre 0,5 nanogrammes (500 picogrammes) et 6 nanogrammes en moyenne (sauf pour un produit qui atteint plus de 305 nanogrammes qui apparait fortement utilisé à usage NON-agricole (le jardinier du coin).

      Bref, il y a plus de cocaïne et de hachich dans l’air des grandes villes que de pesticides. Pourtant les chercheurs estiment :
      « que même en vivant un millier d’année on ne peut pas consommer l’équivalent d’une dose de cocaïne en respirant cet air. « 

  13. @ autres

    il est con ou il le fait expres ???

    tous les ans, il y a des blesses a causes des huitres …

    source axa : http://www.axasante.fr/fr/accueil/accidents-de-la-vie-courante/soyons-prevoyants/prevenir-les-accidents-du-quotidien-videos/detail/article/blessure-et-coupure-a-la-main-a-louverture-des-huitres/

    et ce malgre les precautions !! on va aussi interdire les huitres ???

    c’est sur que si c’est Jose B qui traite, vu comment il est doué, on va retrouver des pesticides en dehors de la parcelle.

    quant au pole nord, c’est de l’importation parallele des ours polaires … va falloir enqueter

  14. Si aujoiurd’hui en ce qui concerne les molécules ;l’agriculteur comme le médecin n’a aucune connaissance en matière de PHARMACO-PHYTOvigilence ,c’est qu’il fait « confiance » à des organismes AFSSA/AFSSAPS qui sont « un peu trop favorable » à des laboratoires ou firmes chimiques ,dont le lobbying ou les conflits d’interets sont trés actifs aussi à Bruxelles .Pr Debré & Pr Ph Even  » Il y a des milliers d’experts à l’AFSSAPS et c’est le regne de l’irresponsabilité diluées avec des conflits d’interets que les EXPERTS ont avec les firmes . Des firmes comme Syngenta qui lance des insecticides non classés (AFFIRM)disent que l’agriculteur doit avoir la maitrise de ses pulvérisations ,et que surtout à proximité de maisons ,il doit utiliser en toute connaissance les produits les moins nocifs qu’il dispose sur le marché .Dans Réussir Vigne il a été dit que la pulvérisation d’insecticides classés devenait obsolète ,en se qui concerne le bénéfice risque ,et que l’avenir était aux pièges ,ce qui est fait actuellement aux Antilles pour la banane ,aujourd’hui trés durable -80% DE PESTICIDES .Une petite chose mon ingénieure agro trés « chimique » mais durable qui mange bio ,et j’en connais beaucoup en premier le directeur de la chambre d’agriculture qui se fait livrer des paniers bio.

  15. Le viticulteur,Yannick Chenet décédé à l’age de 43 ans avait été exposé à des pesticides pendant de nombreuses années. Il avait contracté la leucémie qui l’avait empêchée de poursuivre l’exploitation de ses terres. En 2006, il avait obtenu de la Mutualité sociale agricole (MSA) la reconnaissance de maladie professionnelle pour son cancer du sang.
    > > Si aucun produit n’a été pointé du doigt par la MSA, les soupçons se sont portés sur le benzène, « fréquemment utilisé comme solvant ou diluant », selon Sud-Ouest qui précise qu' »une première jurisprudence, en 2003, concernant un autre agriculteur de la Meuse Dominique Marchal qui avait permis d’obtenir satisfaction. certains des pesticides utilisés durant vingt-cinq ans par Dominique – près de 250 en tout – contenaient-ils du benzène?
    Les fabricants connaissent la réponse, bien sûr, ainsi que le ministère de l’Agriculture, chargé d’homologuer leurs produits. Pourtant, les époux Marchal n’ont réussi à obtenir l’information qu’au terme d’une longue procédure judiciaire. Le président du tribunal des affaires de sécurité sociale des Vosges s’est finalement résolu à ordonner l’analyse des bidons stockés dans une bâtisse de l’exploitation. Résultat de l’expertise? La substance cancérogène est retrouvée dans plusieurs échantillons. Dans leur décision du 18 septembre 2006, qui n’est plus susceptible d’appel, les juges d’Epinal ont donc classé le cas de Dominique Marchal en maladie professionnelle. Une victoire inespérée qui souligne, du même coup, la grande solitude des agriculteurs obligés d’enquêter eux-mêmes sur les causes de leur cancer. Le jour de la mort du viticulteur , notre Président présentait ses voeux au monde Agricole
    > > N’opposons pas en France l’écologie et l’agriculture », a lancé M. Sarkozy, qui s’exprimait devant près de 2.000 personnes, à Truchtersheim (Bas-Rhin). « Les agriculteurs vivent de la nature et au milieu d’elle. Les présenter comme des ennemis de leur propre milieu de vie est inepte. Je veux réaffirmer clairement mon attachement à une agriculture durable, respectueuse de son environnement et qui ne met pas en danger la santé des paysans », a-t-il ajouté. Selon lui, « c’est toute la question du Grenelle de l’environnement : nous essayons de réconcilier ces sujets fondamentaux que certains voudraient opposer sans cesse », a-t-il dit.
    > > Alors que l’OMS montre que de nombreux cas de cancers pourraient etre évités ,dans le Plan Régional Santé Environnement 2 ,une des action est de réduire les expositions de la population aux substances toxiques ET l’évaluation des connaissances sur l’exposition aérienne aux pesticides (les produits ne doivent pas contenir plus e 0,1% de BENZENE) et les PERCHLOROETHYLENE (nettoyage à sec) vont etre interdit en 2012 . la DREAL ,MSA , INRS, ANSES,l’INSERM communique que l’exposition meme faible de ses 2 molécules dans l’air est un des facteurs des cancers ,leucémies et doivent etre interdits.

  16. « L’impact sur l’environnement est pris en compte avant la mise sur le marché du pesticide.» NON ,nos organismes AFSSA AFSSAPS à 80 % ont des conflits d’interets avec les firmes Pr Debré – Even – Dr Frachon INSERM – CNRS – Xavier. Bertrand ,il y a de graves dysfonctionnements ,comme l’OMS impartiale ,quand ses comités d’experts sont composés de représentants des lobbies pharmaceutiques .En France ,en ce qui concerne les MOLECULES c’est le FarWest (Jean François Narbonne)

      1. Si le copié-collé n’existait pas le blog de Laurent Berthod n’existerait pas!!!!
        Laurent Berthod il faut dire merci au copié-collé!!!

  17. c’est du bon copier coller jean imbert aubarency …. peu importe le pseudo !!

  18. @Aubarecy

    Que sonnaissez vous des agriculteurs à part les rares ayant des maladies professionnelles surmédiatisés?
    Je suis agriculteur dans la Marne et contrairement à ce qu’il ce dit partout ces maladies sont extrèmement rares dans la population agricole et dans tous les cas inférieur au reste de la population.
    Avant d’être ou d’avoir été dans la composition de certains produits phytos,le benzène,de plus en plus incriminé dans ces maladies ainsi que les mésotéliomes,est avant tout dans l’essence,cet essence que tout le monde respire à un moment ou à un autre,à commencer par les gamins en mobilette, les tondeuses à gazon,tranconneuses ,voitures etc.
    Etes vous capable d’expliquez que ces maladies soient assez frèquentes dans la personnel d’abbatoir,vérérinaires et parfois purs éleveurs?

    Même nos bonnes vieilles boules de naphtaline contiennent du benzène!!!

  19. « le benzène,de plus en plus incriminé dans ces maladies ainsi que les mésotéliomes »

    Les mésothéliomes , c’est l’a

  20. « le benzène,de plus en plus incriminé dans ces maladies ainsi que les mésotéliomes »

    Les mésothéliomes , c’est l’amiante. Le benzène ce sont les leucémies.

      1. Si l’on ajoute que vous avez dit précédemment une belle connerie : «Si c’était le cas l’Anses, ne prendrait aucun risque et retirerait illico presto les pesticides incriminés du marché», l’Anses n’a pas ce pouvoir, il faut bien admettre que vous n’avez finalement aucune crédibilité!!!

  21. @Daniel
    «Bref, il y a plus de cocaïne et de hachich dans l’air des grandes villes que de pesticides.»

    Prendre pour référence la pollution de l’air des villes pour dédouaner les pesticides déversés dans les champs à la campagne c’est une fort belle escroquerie!!!
    Les champs de ME51 ne sont pas dans la ville de Reims!!!

    Pour se rendre compte des dangers et de la pollution par les pesticides dans un champ et en dehors du champ il suffit de lire ceci sur le site info-pesticides.org

    Bonnes pratiques phytopharmaceutiques
    AVANT L’APPLICATION
    Se protéger efficacement (gants, lunettes, masque,
    combinaison, bottes).
    APRÈS L’APPLICATION
    Nettoyer les équipements de protection. Se laver les mains.
    Prendre une douche.

    Avec de telles recommandations on comprend qu’une bonne proportion des pesticides n’atteint jamais sa cible, elle atteint surtout l’agriculteur et son matériel!!!
    On conseille à l’opérateur de se protéger et de se doucher, mais bizarrement il n’y a rien concernant le nettoyage du tracteur et du pulvérisateur après application des pesticides!!!
    Finalement, traitements après traitements ces matériels sont porteurs d’une bonne couche de phytos qui s’accumulent créant des mélanges qui seront déposés ensuite un peu partout dans l’environnement!!!

    1. « Prendre pour référence la pollution de l’air des villes pour dédouaner les pesticides déversés dans les champs à la campagne c’est une fort belle escroquerie!!! »

      C’est pas vous qui disiez qu’avec un vent de 18 km/h les pesticides auraient parcourus 18 km en 1 heure, 36 km en 2 heures….

      Je me foutais de votre gueule, largement en plus, en vous montrant que les pesticides ne « voyagent » pas tant que cela, et que contrairement à vos dires leurs teneurs dans l’air loin des champs est nulle….
      Mais vous êtes trop bête pour ne pas l’avoir compris.

      Et en ce qui concerne les tracteurs, pour avoir été lycéen dans un lycée agricole, je sais que les engins agricoles sont largement nettoyés après utilisation et souvent même sur des sites prévus pour (fosses de récupération des eaux)…
      Trop nul vous êtes petit scarabée!!!!

      1. concernant les regles de nettoyage, celles ci sont clairement definies par des textes. On peut d’ailleurs les trouver sur le site info pesticide (faut chercher un minimum).

        1. Bien sur Laurent 2, mais «clairement definies par des textes» ne veut dire qu’elles sont appliquées en toutes circonstances et par des agri qui seraient tous responsables!!!!
          Il y a des nuances qui vous échappent!!!

      2. Daniel vous ne sortez pas de l’escroquerie, si «les pesticides ne « voyagent » pas tant que cela»
        comment expliquez vous leur présence au pole Nord?
        Ensuite vous étalez un peu plus votre ignorance!!!!
        Vous avez été«lycéen dans un lycée agricole» et vous ignorez qu’entre l’application aux champs et le site de nettoyage, il y a un parcours pendant lequel les engins perdent les pesticides accumulés sur leurs structures!!!
        Si l’on ajoute que l’agri revient remplir plusieurs fois son pulvérisateur dans une journée sans passer par le nettoyage, rendement oblige, il a le temps de déposer des pesticides là ou ils ne devrait pas y en avoir!!!

        Et puis «largement nettoyés après utilisation et souvent même sur des sites prévus pour», ne veut pas dire totalement nettoyés après chaque utilisation et ne veut pas dire non plus systématiquement nettoyés sur des sites prévus pour!!!

        Tout cela explique pourquoi l’AFPP peut dire ::«Chaque année, de nombreuses intoxications d’abeilles se produisent suite à une mauvaise utilisation de produits phytosanitaires»!!!

  22. « Avec de telles recommandations on comprend qu’une bonne proportion des pesticides n’atteint jamais sa cible, elle atteint surtout l’agriculteur et son matériel!!!

    Exactement ce qui me permet de remettre le produit dans le bidon pour un prochain traitement,économique n’es ce pas !!!!

    1. Et « remettre le produit dans le bidon» avec un « botin téléphonique» sous chaque bras c’est pas trop difficile pour vous?

  23. « il n’y a rien concernant le nettoyage du tracteur et du pulvérisateur après application des pesticides!!! » ? la cuve est rincé, tant qu’a l’extérieur du pulvérisateur il ne doit pas être touché, sinon ça veut dire qu’il y a un sérieux problème de buse ou de dérive. De toute façon tu n’y connais rien, tu viens là juste pour troller. Mais rassure toi, quand on fera que du bio et qu’on arrêtera d’exporter, les petits chinois, noirs et arabes affamés viendront d’abord chez toi pour prendre tes légumes bio qui pourrissent dans ton frigo.

  24. ME51 a écrit (8 février 2011 à 8:05) @Aubarecy :

    « Que connaissez vous des agriculteurs à part les rares ayant des maladies professionnelles surmédiatisées? »

    Il est important de démonter le mécanisme de la surmédiatisation, d’autant que cette chère Marie-Monique Robin ne va pas tarder à faire son cirque avec son poison quotidien.

    Tout d’abord, il serait utile que l’on obtienne des chiffres de la MSA. Si j’ai bien compris – mais ce serait bien que ce soit confirmé – les déclarations de maladies professionnelles présentant un lien quelconque avec les pesticides ne sont pas nombreuses.

    Que la maladie d’un patient ait été déclarée professionnelle, ne signifie pas nécessairement que la maladie est d’origine professionnelle. Pour faire dans le technocratique : la déclaration n’est pas preuve de causalité. Dans le cas des agriculteurs, une maladie traitée par la MSA comme professionnelle – de son plein gré, après lourde insistance de l’assuré ou après décision de justice – n’est pas nécessairement liée aux pesticides, et ce, quoi que puisse prétendre l’agriculteur concerné (ou ces Messieurs-Dames agitateurs).

    Et maintenant, experts en logique foireuse, défoulez-vous !

  25. Les victimes professionnelles et privées de pesticides ont un site
    Paul François est malade depuis qu’il a inhalé les vapeurs d’un désherbant fabriqué par Monsanto (LASSO)interdit aux Etats Unis et INTERDIT en Europe depuis son intoxication aigue puis chronique .
    France 3

    Ruffec (16) : mieux informer sur les pesticides
    > > > > > > France 3 Après le décès récemment de Yannick Chenet, beaucoup d’agriculteurs sont en émoi . Yannick Chenet, viticulteur en Charente-Maritime, est décédé d’une leucémie imputée aux pesticides . Ses collègues, à l’image de Paul François en Charente souhaitent se regrouper pour mieux se défendre et informer .
    IMPORTANT A VOIR > http://bit.ly/hZaZ6h
    * 1’46 »

    1. Tiens, encore un copié-collé. A part ça, c’est quoi votre message ? Qu’est-ce que vous voulez nous dire ? Vous ne savez pas parler ? Vous êtes autiste ?

  26. Le benzène menace-t-il la santé des pompistes ou même celle des citadins? La question, non tranchée, revient régulièrement sur le tapis. Car cette substance, classée cancérogène par l’Union européenne, est présente dans l’essence et, par conséquent, dans les gaz d’échappement des voitures et des deux-roues. A Paris, par exemple, le taux de benzène dans l’air dépasse les normes de dangerosité sur plusieurs grands axes, selon le rapport d’activité d’Airparif. La réglementation limite la teneur à 1% dans les carburants et à 0,1% dans les solvants. Mais les scientifiques ne peuvent pas garantir que cette norme protège suffisamment les citoyens. «Il n’est pas possible de déterminer expérimentalement les doses de benzène ne produisant pas d’effet cancérogène», indique l’Institut national de recherche et de sécurité (INRS).
    > > > > > > > > > >
    > > > > > > > > > > Il s’en est fallu de peu que Dominique Marchal ne figure parmi les laissés-pour-compte du dispositif. Ce scénario fait encore frémir Catherine, convaincue que son mari donne trop à l’exploitation. Dans le salon où ils se tiennent côte à côte, elle clôt la discussion. «Tu es trop consciencieux, dit cette petite femme à lunettes dorées, qui ne hausse jamais le ton. Les week-ends, tu vas encore dans les champs.» Employée de bureau dans la zone d’activité locale, elle s’est attaquée à l’omerta imposée par l’industrie des pesticides exactement comme elle épluche la comptabilité pour son patron. Méthodique. Opiniâtre. Revenant, encore et toujours, sur la question clef du benzène.
    > > > > > > > > > >
    > > > > > > > > > > Le premier expert chargé du dossier Marchal, en 2003, avait pourtant rendu un avis sans appel sur ce point. Le Dr François Testud écrivait que «les hydrocarbures pétroliers utilisés pour mettre en solution certaines matières actives [NDLR: dans les pesticides] sont exempts de benzène depuis le milieu des années 1970». Aujourd’hui, le toxicologue refuse de reconnaître son erreur. «Il s’agit d’une imprécision, argumente-t-il. J’aurais dû indiquer que le benzène n’était pas présent dans des proportions comportant un risque pour la santé.» Pour lui, le débat sur l’effet des faibles doses n’a pas lieu d’être.
    > > > > > > > > > >
    > > > > > > > > > > Les produits suspects dans des pots à confiture
    > > > > > > > > > >
    > > > > > > > > > > A l’époque, la parole de l’expert n’avait été contestée par personne. Sauf par Catherine, qui avait sollicité le sénateur des Vosges et président du Sénat, Christian Poncelet. Lequel s’était adressé à l’Institut national de la recherche agronomique. Dans son courrier du 28 janvier 2005, la présidente, Marion Guillou, répond à l’élu que «LA COMPOSITION INTEGRALE DES PRODUITS PHYTOSANITAIRES EST SOUMISE AU SECRET INDUSTRIEL phytosanitaires ».L’avocate du couple, Me Marie-José Chaumont, émet alors l’idée de se tourner vers un laboratoire indépendant. Et c’est Catherine Marchal, équipée de gants à vaisselle, qui transvase les produits suspects dans des pots à confiture avant de les porter à la société Chem Tox, dans la banlieue de Strasbourg. Les résultats, rendus en septembre 2005, se révèlent décisifs. Aujourd’hui, les fabricants eux-mêmes les corroborent. L’Express s’est procuré le rapport d’expertise et l’a soumis à l’Union des industriels de la protection des plantes. «Les sept marques nommées contiennent le même solvant, le Solvesso, où l’on retrouve du benzène dans une infime proportion, inférieure au seuil réglementaire», affirme le directeur de ce syndicat professionnel, Jean-Charles Bocquet.
    > > > > > > > > > >
    > > > > > > > > > > D’autres malades ont maintenant l’intention de suivre l’exemple des époux Marchal pour contourner le secret industriel. Mais Jean-Charles Bocquet a mieux à leur proposer: «SI UN AGRICULTEUR RECHERCHE UN COMPOSANT PRECIS ET NOUS ENVOIE LA LISTE DES PRODUITS QU’IL UTILISE , NOUS LUI REPONDRONS.» Parole d’honneur?

    1. Tiens, encore un copié-collé ? A part ça, c’est quoi votre message ? Qu’est-ce que vous voulez nous dire ? Vous ne savez pas parler ? Vous êtes autiste ?

    2. Ce copier-coller a le mérite de soulever quelques belles questions, ce qui n’était certainement pas l’intention de notre copieur-colleur, engoncé qu’il est dans ses certitudes (et rassasié grâce à cette méchante agriculture productiviste et polluante*).

      Il est très significatif que la question de la dangerosité du benzène soit abordée de deux manières :
      1. Sous la forme d’une question pour l’essence, un produit dont le bobo-écolo ne saurait se passer et qu’il sniffe régulièrement quand il passe à la pompe (même si c’est pour prendre du gazole) ou quand il se promène en ville ou à la campagne derrière une voiture mal réglée ;
      2. Sous la forme d’une certitude dès lors qu’il s’agit de pesticides.

      Il est très significatif que la question des taux limites soit abordée de deux manières :
      1. Sur un ton désinvolte pour l’essence, pour laquelle on fait état sans barguigner d’une teneur maximale admissible de 1 % ;
      2. Avec grand sérieux pour les pesticides dont l’analyse a révélé, chez certains, la présence de benzène dans un solvant « dans une infime proportion, inférieure au seuil réglementaire», ce seuil étant, selon la déclaration désinvolte, de 0,1 %, soit dix fois moins que pour l’essence.

      Que l’agriculteur ait vu sa maladie déclarée professionnelle par décision de justice et après intervention d’un sénateur et président du Sénat, tant mieux pour lui. On peut toutefois s’interroger sur les conditions de l’expertise : des bidons de produits phytos « entreposés » depuis x années, un transvasement dans des pots de confiture, avec des gants de ménage et certainement pas de masque… Étonnant.

      ____________

      * Si ce sire mange « bio », c’est aussi parce que l’immense majorité des Français mange « conventionnel » et permettent à une infime minorité le super-luxe de gaspiller la terre cultivable.

  27. Phyt’attitude – MSA

    Numéro vert Phyt attitude : 0 800 887 887. Phyt’attitude : signalez-nous vos symptômes. Préserver la santé des professionnels agricoles en sécurisant …
    http://www.msa.fr › … › Santé Sécurité au Travail –

  28. Chaque agriculteur a eu 1 ou 3 intoxications aigues ,sans qu’il n’y ait de problèmes,de séquelles maux de tete ,sudations nocturnes, vertiges etc…….Grace à une PHYTOVIGILENCE de la MSA par PHYT’ATTITUDE et aujourd’hui des médecins ruraux (grenelle de l’environnement).Grace aussi aux efforts des firmes ex: produits solubles pour éviter le contact avec le liquide ou la poussière ,CAR C’EST A LA PREPARATION OU A L’OUVERTURE D’UNE CUVE QUE LES INTOXICATIONS SE FONT à 70%, à 20% accidents des YEUX et 10% pour les MAINS.Le rapport Grécan/Agrican sur 20 ans élaboré par la MSA devrait voir le jour en 2011 ,sans oublier le PLAN ECOPHYTO 2018 qui permettra d’améliorer l’utilisation des produits phytosanitaires , sans parler de la maitrise des pulvérisations et de nouvelles techniques .CHAQUE AGRICULTEUR AGIT AUJOURD’HUI EN « BON PERE DE FAMILLE RESPONSABLE ». Dans le PLAN CANCER 2010-2013 Nicolas Sarkozy a voulu la prise en compte du RISQUE CHIMIQUE-BIOLOGIQUE et PHYSIQUE .

    1. Tiens, encore un copié-collé ! A part ça, c’est quoi votre message ? Qu’est-ce que vous voulez nous dire ? Vous ne savez pas parler ? Vous êtes autiste ?

  29. NOUS ,agriculteurs PAYONS aussi une MUTUELLE ,et pouvons avoir un accident de travail ,ou des intoxications Aigues ou Chroniques et si elles se déclarent TRES INVALIDANTES au bout de 30 ans d’activité (BPCO- bronchite pulmonaire qui arrive à des céréaliers ….ou problèmes neurotoxiques ,allant jusqu’à la maladie de Parkinson ,reconnue aujourd’hui par la MSA ,ainsi que les leucémies (INSERM) ou tumeurs cérébrales (Universitée de Bordeaux2 / Isabelle Baldi)

    1. Tiens, encore un copié-collé ! A part ça, c’est quoi votre message ? Qu’est-ce que vous voulez nous dire ? Vous ne savez pas parler ? Vous êtes autiste ? Parkinsonien ?

  30. Puisque l’on a affaire à encore une bande d’abrutis qui ne comprennent rien à rien et qui radotent leurs débilités copiés sur des sites de racolage populiste merdeux, on peut faire un raisonnement à leur niveau d’imbécilité crasse :
    l’agriculteur dont le décès a été honteusement exploité par la presse de caniveau a eu une leucémie probablement due au benzène. Le benzène n’est pas un pesticide. Donc dans ce cas les pesticides sont innocents !
    En revanche les lanceurs de rumeurs et autres exploiteurs de peurs sont des criminels !

    René

  31. « Le Canard Enchainé » est un torchon qui ramasse ses infos dans les caniveaux et les poubelles, quand il ne fabule pas carrément.

  32. Stanislas,

    En plus vousêtes allé pêcher cette info qui date de presque quatre ans sur le site de Veillerette, celui qui palpe des droits sur chaque exemplaire vendu de son bouquin torche-cul et qui augmente ses ventes en faisant monter la mayonnaise.

  33. Le cyberlobbying ou les nouvelles logiques d’influence
    Etude de cas : le débat sur les OGM
    Le cabinet C4iFR vient de publier une étude particulièrement intéressante sur la manière dont, au travers d’un site Internet, les grandes firmes de biotechnologie utilisent les techniques du Perception Management pour manipuler l’opinion publique sur la question des OGM, sous couvert d’information “neutre”.
    Le cas du “débat” sur les OGM est pris par ce cabinet d’étude comme emblématique de la manière dont les firmes utilisent les nouvelles perspectives de ces moyens électroniques pour intégrer dans leur politique de communication des stratégies d’influence particulièrement agressives dans le domaine de l’information.

    Pour parvenir à ses fins de manipulation de l’opinion publique, la présentation des faits sur le site doit remplir deux objectifs prioritaires:
    – attirer la population cible à écouter son message grâce à un discours attractif, crédible et neutre ;
    – puis une fois la population attirée, le second objectif est de désamorcer les éventuelles
    critiques en les anticipant, en occupant le terrain de la connaissance et en éliminant les points sensibles du débat.

    L’objectif est de dédramatiser les termes qui ont tendance “à faire peur”. Par exemple, la transgénèse est assimilée aux techniques traditionnelles de l’agriculture (sélection naturelle, croisements…), les biotechnologies étant présentées comme des technologies datant de l’aube de l’humanité…
    L’étude C4iFR conclut sur ce point que “les concepteurs du site souhaitent brouiller les frontières entre les systèmes pour que l’internaute ne distingue plus les techniques transgéniques des techniques traditionnelles”

  34. Vous avez le profil de ca cabinet C4IFR ? Sans doute, encore encore des « indépendants » autrement dit des escrocs… Expliquez-nous donc ce qui distingue les techniques transgéniques des techniques traditionnelles ! On va voir vos compétences au pied du mur.

    1. Les techniques transgéniques permettent des transferts de gènes entre espèces impossibles à obtenir avec les techniques traditionnelles

      1. « Les techniques transgéniques permettent des transferts de gènes entre espèces impossibles à obtenir avec les techniques traditionnelles »

        Non, les transferts de gènes obtenus par transgénèse ne sont pas du tout impossibles par les voies traditionnelles, ni même naturelles. On les obtient seulement de façon dirigée et donc plus rapide et moins incertaine. C’est tout.

        1. Le mensonge vous colle à la peau Laurent Berthod!!!
          La définition de Stanislas est tout à fait correcte!!!
          Les voies traditionnellesou naturelles ne permettent pas le transfert de gènes modifiés Bt dans le maïs!!! Sinon Monsanto et Cie n’investiraient pas autant d’argent pour le faire en laboratoire!!!

      2. faudrait vous renseigner, mon petit Stanislas…
        La transgénèse n’est pas forcément entre espèces différentes.
        Exemple de la pomme de terre Amflora, où il s’agit dun gène existant mais qui a été introduit sous une forme de séquence inversée

  35. « Le cabinet C4iFR vient de publier une étude particulièrement intéressante »… C’était apparemment en 2003. Pour 358,80 euros TTC on a droit à un ramassis de sornettes sur un site qui n’existe plus !.

    Au fait, on paraphrase l’étude en prenant les sites anti-OGM pour sujet ? Le site des marchands de peur, financés par Greenpeace, Carrefour, des marchands de pilules de perlimpinpin et dont toutes les « études » ont été invalidées par la communauté scientifique ?

    1. Vos propos illustre assez bien les méthodes agressives de manipulation et de désinformation mises en lumière par le cabinet C4iFR

      1. « Vos propos illustre… » ? Non, c’est au mieux « …illustrent ».

        En fait, je ne vois pas :

        1. Où sont « les méthodes agressives de manipulation et de désinformation… », hormis sur les sites de Greenpeace, InfOGM, CRIIGEN, Marie-Monique Robin, etc.

        2. En quoi mes propos illustrent…

    1. c’est un reportage qui date d’un an et qui est toujours d’actualité. Pour rappel, une grande etude est en cours : Agrican qui permettra d’obtenir des stats plus fiables sur les relations possibles de causes a effets entre pesticides et maladies.

      Ce que dit Jean Charles Bocquet reste vrai : les phytos sont dangereux, c’est pour cette raison que des precautions doivent etre prises lors de leur utilisation.

  36. Bonjour à tous
    quel que soit vos propos la nature(dame) et l’être vivant ne font qu’un.
    A médité

    1. Et où tu place les trous noirs là-dedans???
      Ils font aussi partie de la Nature.

      Et puis Dame Nature, c’est vraiment digne d’un écolier de maternelle.
      A Méditer aussi.

Les commentaires sont fermés.