Perturbateurs endocriniens : hiérarchisons les priorités !

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Si on écoute les ONG qui mènent un lobbying effréné auprès des Ministères français, des molécules risquent de passer à la trappe. Elles sont pourtant indispensables pour de nombreuses filières (cosmétiques, agriculture…). Et il n’y a aucune preuve scientifique sérieuse de les supprimer.  Bizarrement, des perturbateurs endocriniens, eux, avérés ne sont pas pointés du doigt :

– les pilules contraceptives avec leurs résidus dans l’eau,

– le paracétamol,

Mais aussi :

– les épinards

– le soja

– le café

Politiquement incorrect et pas assez porteur sur le plan de com’ sans doute !

28 commentaires sur “Perturbateurs endocriniens : hiérarchisons les priorités !

  1. Je vais prendre de vitesse M./Mme Alzine : et la clope ?

    Celle qui donne une voix rauque et une peau terne à ces dames… n’est pas un perturbateur endocrinien ? Que dis-je, un cocktail ?

    1. L’alcool ,aussi, donne une peau de bébé et une haleine fraiche !

  2. Plus de clarté sur le site officiel suisse que français

    Les perturbateurs endocriniens en bref
    Les perturbateurs endocriniens sont des substances d’origine naturelle ou artificielle qui peuvent inter-férer avec le système hormonal (cf. encadré « Le système hormonal »). Ils se répartissent en plu-sieurs classes :
    • Hormones naturelles produites dans le corps (p. ex. oestrogènes, testostérone).
    • Hormones naturelles fabriquées par des plantes (phytoestrogènes) et pouvant provoquer des effets de type oestrogénique ou anti-oestrogénique (p. ex. isoflavones dans le soja ou resvéra-trol dans le raisin et le vin). Des interactions de substances produites par les plantes avec d’autres types d’hormones (glucocorticoïdes) ont également été démontrées.
    • Substances chimiques produites pour leur effet hormonal (p. ex. pilules contraceptives) et étant, de par leur structure, similaires voire identiques aux hormones naturelles.
    • Substances chimiques employées dans l’industrie, l’agriculture et les biens de consommation, ou utilisées comme sous-produits, mais dont l’effet sur les hormones n’est pas intentionnel. Elles peuvent avoir une similarité structurelle avec les hormones naturelles. C’est ce groupe qui est sujet à controverses.
    http://www.bag.admin.ch/themen/chemikalien/00228/05072/index.html?lang=fr

    Le site français reste rationnel mais oublie trop facilement Substances chimiques produites pour leur effet hormonal
    http://www.cancer-environnement.fr/274-Perturbateurs-endocriniens.ce.aspx

    Certainement sous la pression des centres de planning familial intoxiqués par la prescription de PE aux ados. Ne savent que prescrire des pilules en France, championne du monde de la consommation de pilule par tête d’ados.

    Pour le tabac effectivement lorsqu’il est fum. Combustion = dioxines, source principale de dioxines comme pour le barbecue mais quotidien voire horaire et inhalé.

      1. Table rase?

        Comme l’argumentation par les fabricants de cigarettes et les buralistes sur la liberté de fumer ou de ne pas fumer, la cigarette symbole de la liberté par excellence, sur l’effet anxiolytique de la cigarette qui éviter la consommation de médocs, cité comme effet positif de la cigarette. Jusqu’à prétendre qui s’agit de l’acquittement d’un impôt volontaire bénéfique pour le corps social via les taxes sur le paquet de clope , bref comme les labos pharmaceutiques et les pharmaciens sur la pilule contraceptive : que du bonheur !
        La France n’en reste pas moins championne du monde toutes catégories pour ce qui est de « gaver » ses adolescentes d’un des plus puissant perturbateur endocrinien chimique, principalement ethinyl -oestradiol, prescrit longtemps presque sans réserve par les centres de planning familial, les médecins, remboursé par la sécu…
        80 % de la tranche d’âge 15-25 ans et 55% de la population féminine générale.

        Les autorités suisses, entre autres, sont beaucoup plus réservées sur le bilan des effets sur les consommatrices.

        Sur l’environnement, et surtout pour un pays gros consommateur comme la France, le bilan est clairement catastrophique au niveau des eaux superficielles comme profondes, car ces PE passent dans les eaux profondes.

        Mais nos nouvelles générations de députées et sénatrices, l’ignorent encore, pourtant il suffit de savoir lire:

        http://www.senat.fr/rap/r10-765/r10-765_mono.html

        « Dans un rapport du Conseil général de l’environnement et du développement durable (CGEDD) de novembre 2010, intitulé Médicament et environnement, la régulation du médicament vis-à-vis du risque environnemental, les inspecteurs généraux de la santé publique vétérinaire Michel Bouvier et François Durand et l’ingénieur général des mines Rémi Guillet, dressent un état des lieux pointant les déficiences du système et son inadaptation à la fois aux nouvelles données de la science et aux préoccupations sociétales.

        En matière de présence des médicaments dans l’environnement, les auteurs remarquaient qu’il s’agissait plus de l’émergence de la perception d’un risque que d’un risque émergent lui-même, puisque le risque existe depuis de longues années, mais ce n’est que récemment qu’on a disposé des capacités techniques de détection et des connaissances permettant d’envisager toutes les conséquences du phénomène. Cette prise de conscience a d’ailleurs conduit, après les plans santé environnement successifs, à lancer fin novembre 2009 la préparation d’un plan de réduction des résidus médicamenteux.

        Ce plan paraît d’autant plus nécessaire que la France est le premier pays consommateur de médicaments dans l’Union européenne avec l’Allemagne qui compte pourtant 30 % de population supplémentaire. Les Français en consomment deux fois plus que les Britanniques pourtant aussi nombreux (source LEEM, 2009). La France est le 3e marché au monde après les États-Unis et le Japon.

        En matière vétérinaire, la France est également le premier marché de l’Union européenne, ce qui pourrait s’expliquer, mais le deuxième dans le monde, derrière les États-Unis, et devant le Brésil ou la Chine.

        Tout porte donc à considérer cette question avec sérieux, les résidus médicamenteux prenant une place non négligeable dans l’ensemble des xénobiotiques présents dans l’environnement.

        Malheureusement, le système de régulation des médicaments ne permet pas la connaissance de leur impact environnemental. Leur mise en circulation dépend d’une autorisation de mise sur le marché (AMM) au niveau de l’Union européenne. Le dossier d’autorisation est élaboré par le demandeur et vise à démontrer l’efficacité et la sûreté du produit, notamment son absence d’effets néfastes pour le patient. L’AMM, elle-même se fonde sur l’appréciation bénéfice-risque pour le patient et la santé publique. Il exclut aujourd’hui la prise en compte du risque pour l’environnement pour les médicaments humains alors qu’il le prend en compte pour le produit vétérinaire.

        Toutefois, récemment, le droit communautaire a étendu la notion de sûreté du médicament à l’environnement récepteur des résidus.

        C’est le cas pour les médicaments humains depuis décembre 2006 et la publication des lignes directrices de l’agence européenne du médicament sur la base de la directive 2004/27. Les produits vétérinaires sont régis, eux, par la directive 92/182 et font l’objet de ce nouveau critère depuis 1999.

        L’obligation d’évaluation environnementale ne touche que les médicaments nouveaux, sauf modification majeure de l’AMM d’un ancien. Selon le rapport du CGEDD, « les lignes directrices de l’EMA dénaturent en fait le principe édicté par le droit communautaire d’obligation de connaissance de l’impact environnemental ». En effet, tout semble fait pour en restreindre le champ le plus possible. Pour l’homme, de nombreux produits en sont exclus : vitamines, vaccins, médicaments à base de plantes… Pour les animaux, seuls ceux qui sont destinés à être administrés collectivement à un cheptel de rente sont concernés, ce qui exclut tous les médicaments destinés aux animaux de compagnie et ceux donnés aux animaux d’élevage de manière non systématique à l’exception de l’aquaculture.

        La démarche d’évaluation elle-même est organisée inversement à la démarche scientifique habituelle. La première étape n’est pas une évaluation de la dangerosité de la molécule mais consiste à calculer la concentration prévisionnelle dans l’environnement. Il s’agit d’un simple calcul théorique sans aucun essai. Si elle est inférieure à un certain seuil (10 ng/l dans les eaux de surface pour les médicaments à usage humain par exemple), l’évaluation conclut automatiquement à l’absence de risque et s’affranchit de toute autre étude. En revanche, si elle est positive, l’industriel doit procéder à l’évaluation de la concentration prévisionnelle sans effet pour l’environnement prenant en compte le devenir de la molécule et des essais d’écotoxicité. Ce mécanisme conduit à ce que cette deuxième étape, la seule où est évaluée l’écotoxicité, soit exceptionnelle. De plus, la molécule est toujours considérée isolément, indépendamment de tout mélange dans l’environnement.

        Le CGEDD constate en outre que ce dispositif ne concerne pas les anciens médicaments. Or, il a relevé que l’on ne dispose pas de connaissances sur les effets environnementaux des dix médicaments les plus prescrits, des dix les plus vendus et des vingt médicaments cancérogènes avérés d’après le classement du CIRC… »

        Il existe une véritable zone d’ombre pour la consommation de médicaments et leurs conséquences,principalement environnementales.

        1. A l’ aimable attention d’Alzine:

          Décidément, on n’arrête pas le progrès!!

          http://summaries.cochrane.org/fr/CD004509/testosterone-pour-les-femmes-en-perimenopause-et-postmenopausees

          Testostérone pour les femmes en périménopause et postménopausées
          Somboonporn W, Bell RJ, Davis SR

          Publié en ligne:
          16 juin 2010

          Il existe des données prouvant que l’addition de testostérone à l’hormonothérapie (HT) a un effet bénéfique sur la fonction sexuelle chez les femmes postménopausées. Cependant, la thérapie combinée est associée à une incidence plus élevée de la pilosité excessive et de l’acné et à une réduction du cholestérol à lipoprotéine de haute densité (HDL). Les événements indésirables peuvent varier en fonction des différentes doses et voies d’administration de la testostérone. L’addition de testostérone à l’HT n’a pas provoqué d’augmentation du nombre de femmes arrêtant l’hormonothérapie.

  3. Et là dedans, est-il tenu compte des niveaux réels d’exposition, ou bien un perturbateur est un perturbateur est un perturbateur, donc on interdit point à la ligne?

    ===> Bonne synthèse ici peut être un peu « ancienne »?? (2009…)mais bonne source d’information.

    http://www.afsca.be/comitescientifique/avis/_documents/AVIS29-2009_FR_DOSSIER2007-7bis.pdf

    COMITE SCIENTIFIQUE
    DE L’AGENCE FEDERALE POUR LA SECURITE
    DE LA CHAINE ALIMENTAIRE

    AVIS 29-2009

    Concerne : Risques chimiques émergents – Etude de cas: les perturbateurs
    endocriniens (dossier Sci Com 2007/07bis : auto-saisine).

    1. Zygomar a dit: Et là dedans, est-il tenu compte des niveaux réels d’exposition,

      === N’ayant pas reçu de réponse à ma question, je la pose à nouveau… Parce c’est quand même la dose qui fait le poison et le niveau de l’exposition qui fait la dose…..

  4. Bizarrement, des perturbateurs endocriniens, eux, avérés ne sont pas pointés du doigt :

    – les pilules contraceptives avec leurs résidus dans l’eau,

    – le paracétamol,

    Mais aussi :

    – les épinards

    – le soja

    – le café

    —- Houblon/bière……

  5. Il y a plus rigolo.

    Certains députées et Sénatrices veulent interdire certains fongicides notamment de la famille des triazoles, parce que PE.
    Ces mêmes députées et sénatrices ne savent pas visiblement que lorsqu’elles attrapent une micose à la piscine, elle ont recours au pevaryl…. qui contiennent des molécules de la même famille également PE, m

  6. Rigolo !
    Certains députées et Sénatrices veulent interdire certains fongicides notamment de la famille des triazoles, parce que PE.

    Ces mêmes députées et sénatrices ne savent pas visiblement que lorsqu’elles attrapent une mycose à la piscine, elle ont recours au pevaryl…. qui contiennent des molécules de la même famille également PE, mais qu’elles se tartinent volontairement sur la peau, voire ingèrent dans le cas de mycoses internes. Bref ces députées et sénatrices ne savent pas lire les étiquettes de médocs qu’elles utilisent, seulement les élucubrations du bouffon veillerette.
    En matière d’exposition, le « tartinage » de pévaryl vaut bien une exposition annuelle au fongicide pour un agriculteur sans protection.

    Bien plus rigolo !!
    Ces députées et sénatrices écolo-bobos ou sympathisantes veulent interdire les fongicides PE possible, il faut insister sur le « possible », notamment des fongicides qui permettent de limiter le développement de fusariose dans le blé.

    Ces fusarioses qui produisent, entre autre, pas mal de zearalenone, mycotoxine et métabolites dont on apprend :
    http://www.anses.fr/Documents/RCCP-Ra-Mycotoxines2009.pdf
    L’effet toxique le plus préoccupant de la zéaralènone est son caractère de perturbateur endocrinien à activité oestrogénique.
    L’effet sur l’homme n’est pas avéré ( on rajoutera aux doses normalement ingérées et pour la France, car aux US des effets sur la purberté de ados ont été observés et publiés). En revanche, les porcins sont sensibles à la zéaralènone, et plus particulièrement les jeunes femelles. Chez cette espèce, la zéaralènone est métabolisée en α-zéaralènol, dont l’activité oestrogénique est supérieure à celle du composé parental.
    Cette bioconversion pourrait intervenir dans le tube digestif des ruminants. Le risque d’une contamination du lait des ruminants n’est pas avéré sur la base du taux de transfert non significatif.
    Néanmoins cette observation a été effectuée lors de quelques expérimentations chez des vaches
    laitières.
    La présence de zéaralènone et de ses métabolites, notamment l’α-zéaralènol, dans les
    produits animaux, devrait ainsi faire l’objet d’études complémentaires afin d’évaluer la réalité du
    transfert dans les denrées d’origine animale.
    La Dose Journalière Tolérable Provisoire fixée par le SCF en 2000 a été retenue pour la
    caractérisation du risque pour le consommateur.
    L’exposition alimentaire humaine est inférieure à la dose journalière tolérable sauf pour 2,5% des enfants de 3 à 14 ans, et pour 31% de la population
    végétalienne.

    Population générale % d’individus pouvant dépasser la DJTP =0,2
    Végétaliens % d’individus pouvant dépasser la DJTP =31%

    Il est assez jouissif que l’interdiction des fongicides triazoles qui limitent la contamination du blé par la zearalenone aura des conséquences graves pour les Végétaliens déjà très exposés ( on est sur une DJT et non sur une DJA pour la Zea). En revanche, on peut être inquiet pour les enfants des végétaliens, qui ne sont pas responsable des choix alimentaires de leurs fadas de parents et vont être bien plus exposés que les adultes, le chiffre d’exposition n’est pas donné dans l’étude, trop lourd à publier certainement.
    http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22494775 RESULTS: The three EDCs showed strong estrogenic activity as agonists for ERα in a dose-dependent manner. At lower concentrations, BPA acted as an antagonist for ERα in Ishikawa cells and BPAF acted as an antagonist for ERβ in HeLa cells, whereas Zea was only a partial antagonist for ERα. ERE-mediated activation by BPA and BPAF was via the AF-2 function of ERα, but Zea activated via both the AF-1 and AF-2 functions. Endogenous ERα target genes and rapid signaling via the p44/42 MAPK pathway were activated by BPA, BPAF, and Zea
    http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/21803136: The mycotoxin zearalenone (ZEN) is a secondary metabolite of fungi which is produced by certain species of the genus Fusarium and can occur in cereals and other plant products. Reporter gene assays incorporating natural steroid receptors and the H295R steroidogenesis assay have been implemented to assess the endocrine disrupting activity of ZEN and its metabolites α-zearalenol (α-ZOL) and β-zearalenol (β-ZOL). α-ZOL exhibited the strongest estrogenic potency (EC(50) 0.022±0.001 nM), slightly less potent than 17-β estradiol (EC(50) 0.015±0.002 nM). ZEN was ~70 times less potent than α-ZOL and twice as potent as β-ZOL. Binding of progesterone to the progestagen receptor was shown to be synergistically increased in the presence of ZEN, α-ZOL or β-ZOL. ZEN, α-ZOL or β-ZOL increased production of progesterone, estradiol, testosterone and cortisol hormones in the H295R steroidogenesis assay, with peak productions at 10 μM. At 100 μM, cell viability decreased and levels of hormones were significantly reduced except for progesterone. β-ZOL increased estradiol concentrations more than α-ZOL or ZEN, with a maximum effect at 10 μM, with β-ZOL (562±59 pg/ml)>α-ZOL (494±60 pg/ml)>ZEN (375±43 pg/ml). The results indicate that ZEN and its metabolites can act as potential endocrine disruptors at the level of nuclear receptor signalling and by altering hormone production.
    Bref ces députés et sénatrices peuvent être qualifiées de ZINZINS.

    1. Bref ces députés et sénatrices peuvent être qualifiées de ZINZINS.

      === Mais elles ne le seront sûrement plus après avoir attentivement lu (et re-lu et re-re-lu) la seconde moitié de votre message…….

  7. Félicitations pour votre démonstration scientifique magistrale ! Ça fait du bien de parcourir ce forum et de se sentir moins seuls à penser de la sorte .
    Hélas il y a belle lurette que nos décideurs n’écoutent plus les scientifiques … pire ils s’en méfient.

    1. @ doryphore

      === Merci pour vos félicitations mais je ne suis pas l’auteur de cette démonstration que, cependant, j’aurais aimé avoir écrite moi-même….

      J’ai fourni l’adresse du site sur lequel on peut lire en entier cette excellente analyse critique des données sur lesquelles certains se sont précipités pour classer (abusivement à mon avis) le paracétamol dans la catégorie des PE. Mais comme c’est un produit très largement utilisé par toutes les classes de la société dans le monde entier, çà va faire facilement un très grand nombre de « paniqués » et « opposants », partisans de l’interdiction…. Quitte à ensuite gueuler sur le manque de molécules et produits efficaces (voir par exemple le Diantalvic, banni sans raisons valables…

  8. Commentaire sur les poux à l’école: http://www.maif.fr/associationsetcollectivites/etablissements-enseignement/guides-prevention/lutte-poux.html

    « Attraper des poux de tête (Pediculus humanus var capitis) est la maladie considérée comme la deuxième plus fréquente dans les écoles : c’est la pédiculose du cuir chevelu. »

    L’organisme n’est pas considéré comme transmettant des maladies, ce n’est pas complètement prouvé, la probabilité apparait seulement faible à très faible mais comme la preuve de l’absence de risque est impossible à démontrer et que d’autres poux, ceux du corpos transmettent des maladies mortelles…mais cela va bien aux médias bobos.

    Le « ‘il n’y aucun risque de complication pour leur santé » pourrait couter fort cher à la MAIF dans quelques années si un risque de transmission d’une maladie aussi faible soit -il est prouvé, ce qui est loin d’être exclu. On l’a connu avec un article scandaleux dans le torchon libération à propos de la transmission sanguine et du SIDA en 1983. Trop vite oublié!

    « L’information portera sur les traitements à appliquer. Enfin l’école peut tout à fait dispenser un traitement antipoux aux enfants dont les parents ne seraient pas en mesure de le faire. Mais ce risque n’est pas susceptible d’être pris en charge par le contrat d’assurance de l’établissement scolaire.  »

    Bref si l’on laisse pulluler les poux et contaminer d’autres enfants, l’école n’est pas responsable mais si les enfants contaminés sont traités à l’école, personne ne couvre.

    La société française et ses assurances sont totalement déresponsables mais cela on le savait.

    C’est par les poux , les tiques, les acariens de la gale, les punaises des lits, les maladies transmissibles par moustiques, comme aux Antilles actuellement et en toute discrétion dans la presse national, entre autre, que le bon sens reviendra, quand les français en auront marre de se gratter le corps.

    Les résidus de pesticides dans les cheveux des enfants sont essentiellement le résultat des champoing contre les poux: permethrine, malathion, ivermectine, lindane et même, mais pas autorisé en France, fipronil, largement utilisé en Afrique du nord.

  9. Que les écolos s’occupent d’écologie , c’est tout ce qu’on leur demande !
    Hélas ils préfèrent de loin la politique et les postes qui vont avec, le lobbying pour instrumentaliser et infiltrer les médias, le mensonge sur fond de peur collective instillé jour après jour dans les cerveaux de l’immense troupeau de consommateurs goguenards et incultes dénués de jugeote et d’analyse critique.
    Ils ne trouvent jamais rien à redire sur les milliers de tonnes de pubs sur papier glacé qui inondent nos boites aux lettres et qui finissent dans un incinérateur péri urbain, rien encore sur la culture de l’emballage qui sévit dans nos GMS pour satisfaire le Dieu « consommation » : pour la majorité des produits suspendus dans les présentoirs verticaux des gondoles de supermarchés on compte entre 1,5 et 2 fois plus de volume de plastique (blister) que de produit net …. le tout finissant en dioxine retombant soit directement dans nos poumons soit directement sur l’herbe que broutent nos vaches et dont on boit le lait…l’exemple marche aussi pour les poules et les œufs…les radis, la salade …etc.
    Dans le style je vois la paille dans l’œil de mon voisin … vous connaissez la suite, on préfère stigmatiser ces pauvres vaches qui entretiennent nos bocages, nos versants de montagnes, nos prairies et nos sous bois, coupables de relâcher du méthane à haut pouvoir GES… sans jamais évoquer les tonnes de kérosène brulées pour transporter en avion les touristes autour de la terre.
    Rappelez vous lors du dernier épisode de pollution aux particules Parisien, on a accusé les agriculteurs de l’Essonne ou des Yvelines d’être coupables d’émissions de particules fines en apportant de l’engrais sur leurs blés alors qu’1,3 millions de véhicules tournent en rond autour de Paris chaque jour…!!! Là ce serait plutôt la fable du Loup et de l’Agneau non ? et je ne vous parle même pas des nitrates dont l’intelligentsia verte a soigneusement fait un poison nocif (chacun recherche maintenant sur l’étiquette des eaux minérales celles affichées garanties sans nitrates) alors que le corps médical unanime les considère comme TRÈS bénéfiques pour notre santé … cherchez l’erreur ? Mais on continue a nous obliger à lutter contre sans qu’on sache vraiment pourquoi les taux sont hauts ou bas , montent ou baissent ???!!!
    Non leur cible c’est l’agriculture intensive et l’industrie. Pour cette dernière les nouvelles vont « bien » si on peut dire puisque on désindustrialise à une vitesse grand V depuis bien longtemps. Les mots « intensif » et « industriel » étant régulièrement affublés à l’agriculture moderne pour la caricaturer, en faire un rejet massif.
    Pour l’agriculture, domaine stratégique s’il en est, c’est pas brillant non plus. Surtransposition en droit Français des directives Européennes (cad durcissement et complexification tatillonne au nom de l’environnement et du principe de précaution); interdictions spécifiques à la France et qu’ignorent nos concurrents directs transalpins ou transpyrénéens. On pourrait épiloguer de la sorte à l’envi… c’est bien trop consternant d’en dresser le tableau ! …ça fout les jetons !

  10. Près de 30 000 cas de chikungunya aux antilles françaises,maladie dont on ne sort pas indemne et qui suppose un usage assez généralisé d’insecticides, près de 10 morts officiels qui vont être bien plus nombreux à la fin de l’épidémie.

    Des communiqués du ministère de la santé rationnels mais bridés par le fond d’idéologie écolo-bobo des médias que boit la socité civile: la faute est à l’évolution technlogique! laissons la Nature agir ! soyons chik avec la nature, elle nous le rendra bien!

    On pourrait réactiver une idée de 2006 http://www.senat.fr/dossier-legislatif/ppr05-239.html

    Visiblement la leçon dure de la réunion, 200 000 malades, des dizaines de milliers de réunionais avec des symptômes, plus de 200 morts…n’a pas suffit. On remet le couvert aux Antilles avec une idéologie sur l’emploi des moyens de lutte qui s’est dégradée. Ce qui explique la très faible couverture du phénomène dans la presse française, pour éviter d’effrayer les touristes dira -t-on mais touristes qui reviendront avec le virus et assureront une bonne épidémie en métropole. Evolution absolument garantie en 2014 si l’été est humide.

  11. Et parlons de la part de l’alimentation dans le budget des ménages, sujet que la presse veut noyer dans un brouillart de « combat idéologique »

    La réalité : l’alimentation des français est passée de 50% du budget des ménages en 1950 (boissons comprises et hors restauration qui représente 80% de service) à moins de 15% en 2005.
    PRODUITS ALIMENTAIRES ET LES bOISSONS AVEC OU SANS ALCOOL CONSOMMéS à DOMICILE REPRéSENTENT 14,9% DU bUDGET DES MéNAGES. Hors domicile, les services de restauration dépassent les 5 %. Un contexte économique moins favorable a pu impacter certains postes alimentaires mais sans modifier les tendances observées sur une plus longue période. Les achats de plats préparés ralentissent. La consommation d’eaux commercialisées, 132 litres en moyenne annuelle par habitant, a diminué de 22 litres en 5 ans et se stabilise en dépense. Le pain, poste principal de dépense en féculents, prend plus d’importance. La consommation de viande diminue, celle du fromage est stable, les desserts lactéssont de plus en plus présents et le vin s’apprécie davantage en qualité. http://agriculture.gouv.fr/IMG/pdf/HS_26_32-33_cle47ea41.pdf

    la réduction du poste alimentaire dans le budget des ménages s’est réalisée au profit, entre autres, du logement, des transports, de la santé, des dépenses de communication et de loisirs
    En savoir plus sur http://www.lafranceagricole.fr/actualite-agricole/budget-des-menages-la-part-de-l-alimentation-a-baisse-de-10-points-entre-1960-et-2005-17470.html#BJdKtJDUwQTCmIfh.99
    http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/pop_0032-4663_1959_num_14_4_6397 nous apprend qu’en 1950, l’alimentation représentait 50% du budget des ménages, 40% sans la boisson ( essentiellement vin, cidre et bière). Elle passe à 35 % en 1958, 43% avec la boisson (pas d’eau en bouteilles généralisées à cette époque).
    http://www.insee.fr/fr/ffc/docs_ffc/ref/CONSO09c.PDF?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=la-consommation-des-menages-depuis-50-ans-pdf-insee
    Les fantasmes de la presse ( qui globalisent alimentation à domicile et restauration qui constituent une consommation de loisir ou de service et non d’aliments)
    27% du budget des ménages en 2012 http://www.touslesbudgets.com/budget-des-m%C3%A9nages-lalimentation-reste-un-poids-lourd
    L’an dernier, le panier moyen des ménages français a atteint son record historique, selon l’observatoire Familles rurales, à 138,63 euros (+1.37% sur un an). Pour le président de la Banque alimentaire, pourtant, le problème est ailleurs. « Quelqu’un qui gagne 800 euros par mois, qui a 500 euros de loyer, un abonnement téléphonique ou autres commence le mois avec moins de 200 euros, déplore Alain Seugé. Le problème n’est pas que les produits alimentaires soient trop chers, c’est le reste à vivre qui est insuffisant ». Plafonner le prix des pâtes, du riz ou du café ? « C’est utopique, dans une économie libérale, de croire au retour à un contrôle des prix tel que je l’ai connu adolescent », coupe t-il. Quoiqu’il en soit, la baisse du pouvoir d’achat en 2012 (-0.9%) n’a pas aidé les ménages. L’an dernier, selon l’association Unaf/Familles de France, les Français ont consacré 732 euros par mois à l’alimentation*. Soit 27% du budget total du foyer, juste derrière le logement (738 euros mensuels). Toujours d’après l’Unaf, au deuxième trimestre 2013, la part de dépenses consacrée par les ménages à l’alimentation a augmenté de 3% par rapport à 2012. Le prix des légumes et fruits a notamment bondi de 5.8% et de 12.6%.
    Benjamin Hay

    Acheter de la nourriture devient difficile pour les plus modestes http://www.lemonde.fr/economie/article/2013/07/17/acheter-de-la-nourriture-devient-difficile-pour-les-plus-modestes_3448490_3234.html
    Pour les ménages les plus modestes, la priorité est désormais le budget alimentation. | AFP/MYCHELE DANIAU
    « Si vos ressources actuelles augmentaient de 10 %, que feriez-vous en priorité avec cet argent ? » C’est la question qui a été posée aux Français en 2005 et en 2011 dans l’enquête « Budget de famille » de l’Insee. Les réponses, publiées mercredi 17 juillet, montrent que les priorités ont quelque peu changé : la crise de 2008 est passée par là.
    Chez les familles les plus modestes, en 2011, on cite en premier l’épargne (pour 19 % d’entre elles), puis l’alimentation (16 %) et les loisirs (15 %). Loin devant le logement, le remboursement des dettes, ou l’aide des proches. En 2005, ces mêmes ménages rêvaient de loisirs (17 %), d’épargne (16 %), et d’équipement du logement (12 %), avant de citer l’alimentation (11 %).
    Les Français les plus riches, eux, auraient donné, en 2011, la priorité aux loisirs (26 %) et à l’épargne (23 %), comme en 2005 (25 % et 19 % respectivement).
    Le choix d’une dépense supplémentaire en direction de l’alimentation n’est pas anodin. La part de l’alimentaire dans le budget total des ménages les plus modestes s’est beaucoup contractée ces dernières années.
    L’Insee souligne qu’entre 1979 et 2005, le poids de l’alimentation a baissé de 9 points chez les 20 % de ménages les plus modestes, alors qu’il n’a pas changé chez les 20 % de ménages les plus riches. Ce poids a cessé de se contracter à partir de 2007, ayant probablement atteint son point bas.

  12. Le café perturbateurs endocrinien… le soja perturbateur endocrinien… Le soja est il devenu une molécule ? Le café aussi ? Passons sur cette grossière faute montrant l’incompétence des auteurs pour aller sur le paracétamol en tant que perturbateur endocrinien, c’est faux, juste FAUX. Ce qui est affirmé sans preuve peut être réfuter sans preuve, non ?

    1. Oh ! Nous avons affaire à un visiteur de passage particulièrement vindicatif et peu respectueux des honorables tauliers de ce site et des commentateurs non moins honorables et fidèles à ce site d’information fort salutaire !

      « … cette grossière faute montrant l’incompétence des auteurs pour aller sur le paracétamol en tant que perturbateur endocrinien, c’est faux, juste FAUX… »

      « Ce qui est affirmé sans preuve peut être réfuter sans preuve, non ? »

      C’est un peu plus subtil, mon bon !

      Mais passons :

      « Prenons le cas du paracétamol comme exemple pour illustrer ce point. Il est prouvé que le paracétamol peut induire des effets symptomatiques de l’insuffisance d’androgènes chez la descendance mâle de rats exposés (modification de la distance ano-génitale, non régression des mamelons), mais le mode d’action qui induit ces effets est moins clair (voir annexe 1, 3.5). Si le mode d’action était le premier critère de décision, alors le paracétamol ne serait pas considéré comme un perturbateur endocrinien à des fins réglementaires, bien qu’un mécanisme endocrinien soit effectivement à l’œuvre mais celui-ci n’est pas reconnu. »

      http://reseau-environnement-sante.fr/wp-content/uploads/2013/04/Dossier_Conf_Kortenkamp.pdf

      Regardez bien ce document : il est du RES et de Générations Futures, de grands chasseurs de perturbateurs endocriniens qui pratiquent couramment sinon presque exclusivement le tir sélectif.

      Vous en voulez une autre ?

      « Les antalgiques sur le banc des perturbateurs endocriniens

      03 juin 2013
      Paracétamol, aspirine et indométacine inhibent la production de testostérone chez l’adulte. Ce constat effectué par des chercheurs de l’Inserm incite à la vigilance chez les gros consommateurs d’antalgiques, notamment chez les sportifs de haut niveau. »

      http://www.inserm.fr/actualites/rubriques/actualites-recherche/les-antalgiques-sur-le-banc-des-perturbateurs-endocriniens

      Regardez bien ce document : c’est de l’Inserm.

      1. Petite précision : les PE des écolo-bobos et des fouteurs de m…, je m’en tape sur le plan général.

        Nous sommes confrontés à une flopée de PE, la majorité sans nul doute naturelle. Ben oui, le café donne des palpitations et des insomnies… ce n’est pas par un effet mécanique. Il faut hiérarchiser les risques, les mesurer correctement, prendre en compte la balance bénéfice-risque.

        Et, comme exprimé sur un autre fil, « modificateur » serait un terme plus approprié.

        D’ailleurs, il y a des commentaires qui suintent l’hystérie qui me foutent les glandes… beaux exemples de perturbateurs endocriniens…

        1. @ Wackes Seppi

          « Il faut hiérarchiser les risques, les mesurer correctement, prendre en compte la balance bénéfice-risque. »

          === C’est bien là tout le problème!! Il est devenu complètement impossible de faire entrer dans les crânes de piafs de nos écolobobos que le risque tout seul n’existe pas, que le risque est fonction de la dose et par conséquent de l’exposition d’une part et de la toxicité du produit concerné d’autre part! Vous pouvez avoir 1 litre de mycotoxines x y z chez vous sans problèmes si ce produit est conservé de telle façon qu’il soit pratiquement impossible d’entrer en contact avec lui!

          On autre problème est la perception du risque comparé au risque réel…. Alzine nous a déjà fait des développements très développés et documentés sur la question……

          Mon cher Wakes Seppi,

          Je me suis rendu compte au vocabulaire employé que votre niveau d’exaspération montait rapidement et je vous comprends bien que moi je n’ais pas eu la patience et la hauteur de vue dont vous avez, jusqu’à présent, fait preuve !! Il faut dire aussi que le niveau de connerie et d’arrogance des khmers verts – rouges ignares, incultes, ignorants et arrogants commence à atteindre des sommets de plus en plus insupportables!

          1. Oui, il y a des situations qui m’exaspèrent. La France est en train de se saborder sous l’influence d’une « pensée » écolo-bobo ou bobo-écolo et d’un activisme destructeur du tissu économique et, bientôt, social.

            Vu mon âge, j’ai l’espoir de ne voir que le lent déclin, pas la chute. Mais avec tous ces imbéciles – encartés dans l’une ou l’autre des mouvances vertes ou pastèque, sévissant dans les autres partis telles NKM et SE, ou encore disposant d’un pouvoir d’influence – mes petits enfants finiront par dépendre de l’aide alimentaire que nous procurera la Chine (s’il y a encore une aide alimentaire).

            Regardez les dernières initiatives des sinistres ministres… On veut bloquer l’agriculture française sur le plan génétique à 1980 (en attendant de flatter les vandales volontaires sur la question des « OGM cachés », auquel cas on reculera à 1950… en attendant d’interdire aussi les variétés issues de croisements interspécifiques, de manipulations du cytoplasme, etc.). On caresse le populo dans le sens du poil en imposant les traitements de nuit. On interdit le bisphénol A au mépris des initiatives communautaires en cours, juste pour montrer à quelques escrocs (intellectuels) patentés et à la foule que « moi, ministre, j’agis »…

            Oh ! On interdira même l’emploi des termes « mauvaise herbe » et « nuisible »…

            Quant à M./Mme Laurents, il faut lui laisser le bénéfice du doute. C’est peut-être un piaf qui a été consciencieusement endoctriné, qui s’est posé témérairement sur ce site et qui a pris une bonne volée. S’il a compris la leçon – qu’il faut réfléchir par soi-même et pratiquer le doute positif– ce sera tant mieux.

            Je serai du reste ravi de dialoguer avec lui. Vous aussi sans nul doute.

            Tiens, et pendant que je suis en train de râler, j’habite une région frontalière et je regarde les infos suisses. Il s’agit de vraies informations, pas une rubrique des chiens écrasés dans laquelle on donne la parole aux râleurs impénitents. Il y a aussi une grande différence : en Suisse, on informe sur les prouesses industrielles et technologiques… En France on parle des gens (à cette heure-ci surtout des retraités) en vacance.

          2. Oh ! Je n’ai pas fini de râler !

            Pascal Canfin – ce Vert qui fut ministre délégué chargé du développement avant de cracher dans la soupe et d’empoisonner le puits pour ses petits copains et copines qui rêvaient de se Placé – se vante, dans son bilan, d’avoir réorienté l’action de l’Agence Française de Développement « vers des solutions durables ».

            « Cela se traduit également par l’arrêt de tout financement de centrales électriques au charbon en l’absence de système de capture et de stockage du CO2. »

            Lisez bien ! Que font les Allemands qui construisent à tour de bras pour compenser l’arrêt du nucléaire et l’intermittence du « renouvelable » ? Nous ne financerons plus… Les Chinois doivent se frotter les mains…

            « L’AFD a également adopté en avril 2013 une nouvelle doctrine en matière agricole, et ne pourra plus financer de projets OGM. »

            C’est très bien ! Le marché des variétés et des semences est ainsi offert aux États-uniens (en attendant l’arrivée en force du Brésil).

            « Fin septembre, l’AFD s’est dotée de sa première stratégie en matière de biodiversité. Dorénavant, aucun de ses projets ne doit contribuer à la destruction de forêts primaires. »

            Tout est dans les mots « destruction » et « forêts primaires », mais voilà encore des marchés coupés.

            « De la même manière, l’Agence a adopté une nouvelle stratégie en matière de développement urbain qui place les solutions durables telles que les transports collectifs en tête de ses priorités. »

            Peugeot et Renault vendront des bus ? Ah ! Ils n’en fabriquent pas. Alstom des trains ? On a perdu la main…

            « Enfin, nous avons décidé d’imposer un « stress test » climat à tous nos projets d’infrastructures en Afrique. Toutes les infrastructures financées par l’Agence française de développement devront ainsi être résilientes au changement climatique. »

            Quel changement climatique ? Je ne nie pas le changement (le climat change tout le temps), mais dans quel sens le changement ?

      2. Paracétamol, aspirine et indométacine inhibent la production de testostérone chez l’adulte. Ce constat effectué par des chercheurs de l’Inserm incite à la vigilance chez les gros consommateurs d’antalgiques, notamment chez les sportifs de haut niveau. »

        http://www.inserm.fr/actualites/rubriques/actualites-recherche/les-antalgiques-sur-le-banc-des-perturbateurs-endocriniens

        Regardez bien ce document : c’est de l’Inserm.

        Le problème, c’est que Laurents fait partie de ce genre d’imbécile prétentieux qui se mêle de pérorer sur des sujets qui lui sont tout à fait étrangers, sans même d’avoir le minimum de « gingin » pour « prendre ses précautions au préalable » et aller faire un petit peu de recherches sur le Net… C’est le genre d’attitude puérile et pitoyable à la fois!

    2. @ Laurents

      Avant de braire bêtement il convient de se renseigner un tantinet!! J’ai écrit un petit quelque chose qui vaut ce qui vaut sur le paracétamol un peu plus haut mais la hargne vous a aveuglé. Il n’est, pour l’instant compte tenu des données disponibles, pas possible de classer ou non le paracétamol dans les PE. Il y a cependant quelques données qui demandent à être confirmées ou non. Alors ne vous excitez pas en prenant des positions tranchées comme vous le faites. Quand au soja, qui n’est pas une molécule comme vous le faites savamment et finement remarquer montrant ainsi votre haut niveau de connaissances scientifiques et sémantiques, vous semblez ignorer ou avoir oublié l’existence de ce qui est connu su sous le vocable de « phyto hormones », çà devrait vous rappeler quelque chose, sinon tapez dans Google et vous saurez de quoi il s’agit!!

      Quant au café, ce n’est pas non plus une molécule mais laissons tomber et ne perdons pas plus notre temps…..

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