Jean-Pierre Coffe déconnecté de la réalité

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Lu sur le blog de Jean-Marc Jancovici, expert auto-proclamé en baisse des émissions carbone, cette analyse du discours de Jean-Pierre Coffe dans son livre « A table en famille avec 15 euros par jour ».  Et surtout cette conclusion croustillante : « Les préconisations de Coffe sont en plus l’illustration que l’écologie, ce peut être joyeux et gouteux : d’expérience, c’est quand même nettement plus sympathique d’aller faire le marché (où dès que l’on a ses habitudes les commerçants sont généralement très agréables, voire farceurs) que d’aller promener un caddie dans un hypermarché anonyme et aseptisé, et surtout c’est drôlement meilleur une fois dans l’assiette ! »

Surtout quand on travaille et qu’on rentre tard le soir, on a qu’une envie : aller se balader sur les marché et dire bonjour à tous les commerçants du coin. C’est d’ailleurs pour cette raison que les hypermarchés fonctionnent si mal et que plus personne n’y va !

73 commentaires sur “Jean-Pierre Coffe déconnecté de la réalité

  1. Sans compter qu’il n’y a qu’en région parisienne que les caissières de super-marchés sont souvent à peine aimables. En province et à la campagne la plupart sont avenantes et elles apprécient qu’on leur dise un mot gentil.

  2. j’abonde dans votre sens , dans ma petite ville il y a un « petit » super marché et c’est sympa , c’est dans le centre ville et c’est facile d’accès.

  3. En province les supermarchés ont souvent des produits locaux d’excellente qualité. Encore un abrutis de parisien qui prend sont cas pour une généralité et croit que les commerçants du 16ième font pousser leur tomate sur leurs toit.

    1. Le rayon « fruits et légumes » du Leclerc de Valréas n’est vraiment pas loin d’atteindre la qualité du « Cerises et potirons » spécialiste haut de gamme de la région lyonnaise. Et même, à certaines occasions, il le dépasse. Les framboises de Huelva de mon Carrefour Market de Bourg-la-Reine, sont savoureuses au plus haut point (Je m’abstiens systématiquement d’y acheter leur saloperie idéologique de « viande nourrie sans OGM » ne voulant participer en rien au financement de cette tromperie du consommateur). La qualité des produits trouvés sur les marchés est souvent surfaite, ça dépend des marchés. Et, non seulement les marchés ne sont pas ouvert l’après-midi, mais la plupart ne sont même pas quotidiens.

  4. A tien j’oubliai, Coffe vent du toujours son image à un certain discounter qui ose vendre du lait allemand en France, ainsi que toute une panoplie de produit ultra bas de gamme importé, à quelques km d’exploitation agricole française dont la survie tien à quelques centimes du litre de lait ou du kg de viande. Donc ses produits du marché payé avec l’argent de son sponsor germanophile, il peut se les foutre où je pense.

  5. Du lait allemand vendu par JP Coffe? Aflatoxiné le lait allemand ?

    « Thousands of tonnes of poisonous animal feed was delivered to 4,467 farms in Lower Saxony alone, including 968 dairy farms, the state’s agricultural ministry confirmed on Sunday.

    Aflatoxin B1, one of the strongest known naturally-occuring carcinogens, is produced by the Aspergillus mould, which can develop on grains when left in warm and damp conditions. German authorities banned milk deliveries from hundreds of dairy farms on Friday, fearing that milk from cows fed up to 30 times the accepted levels of aflatoxin could also contain the cancer-causing substance.

    « Aflatoxins are especially dangerous in milk, » said Udo Paschedag, state secretary of the ministry, adding that they did not pose a problem in meat or eggs. »

    http://www.guardian.co.uk/world/2013/mar/03/germany-tests-milk-carcinogen-scare

  6. Une analyse assez lucide des nazi de la bouffe: http://www.forbes.com/sites/henrymiller/2013/05/15/how-much-of-food-activism-is-new-age-airy-fairy-nonsense/

    Quand aux produits locaux c’est de la poudre aux yeux. J’imagine bien la tronche des canadiens et des scandinaves si le monde entier devait succomber aux sirènes du locavorisme. Fini les fruits et légumes car en plus de ne pas pousser sous la neige, la culture en serre n’est pas le point fort de l’agriculture américaine. Et dans ce contexte que reste t-il à bouffer quand il fait -20? Eh bien des animaux gentiment nourris avec les récoltes de l’été. Bref, l’axiome de JP «mais c’est de la merde» Coffe ne tient pas la route.

  7. Vous êtes dure avec monsieur Coffe, vous oubliez qu’il a formé une journaliste d’investigation de haut vol et reconnue par la pertinence de ses publications, Isabelle Saporta…

      1. Merci Wackes Seppi pour ces examens qui révèlent l’imposture de cet ouvrage fallacieux. Ce type de livre, ‘Saporta tord’…

  8. On se souvient de « Agriculture biologique : préservons notre futur ! » écrit par quelque « nègre » et co signé par JP Coffe et P Desbrosses.

    JP Coffe déconnecté de la réalité technique de l’alimentation et de l’agriculture est une évidence, seul le fric qu’il peut en tirer l’intéresse. Comme la plupart des scribouillards qui vantent les vertus du bio ou des insectes pour s’alimenter.

    Cela dit, ce qui lui est repproché ici est excessif, s’approvisionner sur les marchés locaux lorsque l’on habite hors d’une très grande ville a complètement du sens: fraicheur, qualité, circuits courts, relationnel, mais cela suppose de revoir le plan de concentration de la population sur le plus faible espace possible. Un non sens bien français!

    1. Non, vous succombez aussi au prêchi-prêcha.

      Tout dépend des circonstances.

      Je prends mon cas à titre d’illustration :

      J’habite encore dans la campagne (boboïsée…), enfin le dortoir d’une grande ville. J’ai un supermarché à deux kilomètres. J’y vais tous les jours de la semaine pour acheter un journal auquel je ne peux pas m’abonner. J’y vais du reste parce que les titulaires d’un monopole sur la vente de tabac (également à deux km) ont le profil physique et psychique pour jouer les Thénardier dans un remake des Misérables). Et j’y fais les courses du jour.

      Les actifs du coin ont la chance d’avoir un marché le dimanche (pour les retraités, les inactifs forcés et les actifs intermittents ou jouissant d’une grande flexibilité dans la gestion de leur temps, le jour est moins important). Quintuple problème.

      Les « circuits courts » ne sont pas nombreux.

      Il y a un maraîcher du coin, mais il s’est converti au « bio ». Désolé, mais ses légumes ont fort triste mine. Il y a aussi un soixante-huitard attardé. Là, il faut vraiment être un intégriste du « bio » pour s’extasier devant des produits innommables (mais il a ses clients…).

      Les autres s’approvisionnent forcément aux mêmes sources que les supermarchés. Avantage : aucun.

      Ces autres doivent s’approvisionner en début de semaine. Avantage de fraîcheur : a priori aucun (cela dépend aussi du turnover du super).

      Et moi, client, je devrais m’approvisionner pour la semaine…

      Et quand même acheter mon journal !

  9. Pour le pain bio,, les haricots bio ou les lentilles bio, vanter les vertus du bio et des insectes va de soi.

    Il est difficile de conserver des grains secs sans insecticide moderne, d’où la présence d’insecte associés.

    La militante de la FAO spécialiste des forêts qui s’intéresse à la nourriture, amusant, et préconise de consommer des insectes défend en fait l’agriculture bio conventionnelle qui offre les larve de charançon en prime du grain, pour 0 euros en plus! le charançon bien craquant et bien juteux, c’est en prime!

  10. Superbe lien !

    « les nuisances de l’agriculture sont pour une large part la conséquence de notre souhait de manger beaucoup de viande. Plus de la moitié des surfaces agricoles servent à nourrir des animaux (que nous mangerons ensuite), et il faut rappeler que pour les émissions de gaz à effet de serre l’agriculture représente le premier poste en France » dit-il ?

    Déjà, « les nuisances de l’agriculture » font bondir… Jusqu’à preuve du contraire, elle nous nourrit.

    « Plus de la moitié des surfaces agricoles… »

    Sur les quelque 29 millions d’hectares de SAU (54 % du territoire national), les surfaces toujours en herbe représentent 34 %. On peut les réduire et, par exemple, semer du blé sur les pentes qui font les pistes de ski de nos chers bobos citadins.

    Sur les 62 % de terres arables, on peut aussi éliminer les cultures à vocation fourragère… bienvenue à la simplification des rotations. Enfin, on peut toujours rendre la consommation de bière obligatoire et remplacer le maïs par le chanvre (pour la fumette ça va de soi).

    «  …représente le premier poste en France »

    C’est marrant. Selon son fromage qui suit, le premier poste est le transport routier…

    Fromage pour lequel il précise qu’il s’agit d’émissions brutes et qu’il ne sait pas imputer les puits par activité. Les puits, pour l’agriculture, c’est certainement compliqué ; mais ça doit être facile pour le transport routier.

    1. ça fait très longtemps que ce torchon en ligne intoxique l’opinion.

      La préfecture de région est associée à ce machin. ça me fait penser à cette interview de Maurice Tubiana : http://www.lafranceagricole.fr/actualite-agricole/interview-paralyser-les-avancees-scientifiques-menace-notre-avenir-pr-m-tubiana-64770.html

      Les préfets sortent plus souvent de l’ENA que de Normale Sup !

      L’INRA est partenaire de cette officine de propagande escrologiste.

      Je suis très pessimiste pour l’avenir de notre pauvre pays.

    2. On peut reconvertir les espaces occupés par les vignes car le vin a une valeur nutritive égale à zéro.
      De plus le vin contient un produit chimique très toxique.
      Je suis sérieux malgré mon goût pour ces breuvages magiques !

      1. Mon pauvre monsieur, penser vouloir supprimer la culture de la vigne, parfais témoignage de la civilisation, c’est une volonté nihiliste de votre part. Apprenez à déguster et partager cette boisson intellectuelle et sociale, ceci vous rendra un peu moins obtus et plus tolérant envers votre prochain…

        Mentions légales :
        http://0z.fr/uX0UX

          1. Le marxisme n’aurait-il pas démontré qu’il est largement plus toxique que le vin ?… 🙄

          2. Ernst le marxiste !? pourriez vous m’expliquer ceci ! Quand on ne connait pas certain concept on s’abstient. C’est vrai sur ce site c’est le point godwin des incultes.

            Je savais pas que remettre en cause le « lobby » viticole était du marxisme !
            NB : le mot lobby n’est pas péjoratif pour moi .

            J’ai une petite cave (modeste ) , j’apprécie le vin .
            Ce que je veux dire c’est que si on pousse le raisonnement jusqu’au bout pour réserver de l’espace agricole , il faut faire des choix entre ce qui est utile à notre alimentation et ce qui ne l’est pas.
            L’alcool tue 50 000 personnes par an en France , plus de 3000 enfants naissent avec des séquelles en raison de l’alcoolisme de leur parents ! Même chose pour le tabac !
            Si les écolos avaient pour soucis la santé de leurs semblables ils s’attaqueraient à ces problèmes en premier lieu.
            1*Le vin est un élément de notre « civilisation » ? : Faux ! de notre culture ? OUI .

          3. « Si le vin disparaissait de la production humaine, je crois qu’il se ferait dans la santé et dans l’intelligence de notre planète un vide, une absence encore plus affreuse que tous les excès dont on le rend coupable.  » Charles Baudelaire

            « Les civilisations du vin sont fines et délicates.
            C’est qu’elles respectent les plus précieuses valeurs humaines : le temps, la patience, le goût, le jugement.  » André Maurois

            Ça, c’est pour l’homme cultivé que vous êtes cher monsieur.

            Ma(r)x Ernst = un peintre surréaliste.
            En vous nommant ainsi Ernst le marxiste, surréaliste agricole, je faisais simplement de l’humour cher monsieur (ok, c’est tiré par les cheveux!). Je vous prie de m’excuser, je ne recommencerais plus ce genre de chose avec vous, c’est inutile vous n’êtes pas très rigolo et comme pour moi le rire est le propre de l’homme, c’est plutôt gênant… Il faut dire que les marxistes ne sont pas toujours très rigolos !

          4. Pardonnez-moi de n’avoir pas saisi le trait d’humour !
            Enfin les marxistes que je préfère c’est la trilogie : Groucho , Harpo ,Chico ! (et les 4ème et 5ème moins connu Gummo et Zeppo)

      2. Même réponse qu’aux anti élevages: essaye de produire autre chose que du pinard dans les zones viticoles traditionnelles.

      3. Pour votre information, les grands terroirs viticoles ont cette particularité : on ne peut pas y faire pousser grand-chose d’autre.

          1. Tu peux faire toute les manipulations génétique du monde, des sols rocheux, caillouteux et surperficiel, souvent en pente, tu ne pourra jamais y planter du blé et du colza.

          2. Vu la productivité des oliviers, ça changera pas grande chose en terme de disponibilité alimentaire.

          3. Même sans avoir recours à la transgenèse, un certain type d’olivier en Charente qui s’aventure à pousser sur des terrains pentu, arrive à produire du vin à Cognac. C’est fou la nature parfois…

  11. > Lu sur le blog de Jean-Marc Jancovici, expert auto-proclamé en baisse des émissions carbone

    En l’occurence, X-Telecom et spécialisé depuis une quinzaine d’années dans les questions énergétiques : http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Marc_Jancovici

    Il n’a rien à voir avec un ayatollah du bio, même si cet article extrait de son contexte peut le faire penser.

    Ce que Jancovici explique, c’est que l’agriculture intensive (c.a.d. celle de quelques grands pays depuis la Deuxième guerre mondiale) repose entièrement sur les hydrocarbures (pétrole, gaz).

    La raréfaction de ces deux sources d’énergie signifie donc la fin de cette agriculture. Pour le moment, personne ne sait comment on va faire avancer des tracteurs ou produire des engrais/pesticides synthétiques sans ces sources d’énergie.

    Une vidéo parmi d’autres:
    http://www.dailymotion.com/video/xxfh3o

    Enfin, son site avec plein d’articles sur l’énergie:
    http://www.manicore.com

    1. Depuis que le monde est monde, toutes les prédictions d’épuisement des ressources de carburants fossiles se sont avérées fausses. Mais il y a des « experts » qui surfent sur la peur pour vendre leur camelote et en vivre fort bien.

      1. Vous oubliez un détail : à la Révolution industrielle, la population du globe ne comptait que quelques centaines de millions d’habitants et n’utilisait comme énergie que le vent et les fleuves. Rien à voir, donc, avec la situation actuelle dans les pays avancés où il suffit que l’essence s’approche de 2€/litre pour que ça commence à coincer.

        Et comme le pétrole/gaz de schiste rejettent du CO2, ça n’est pas une bonne alternative.

        Les quelques décennie qui viennent vont donc être intéressantes à observer.

        1. « l’essence s’approche de 2€/litre »

          … dont ~ 70% de taxes !
          Ce qui, dans votre exemple aboutirait à ~ 1,40 € de taxes et ~ 0,60 € de carburant. 🙁
          Pas cher, en réalité, le carburant en lui-même.

          1. 70% non, même pas 60% quand le baril atteint 100 dollars. C’est encore moins pour le diesel.

          2. Surtout que le plus le prix du baril augmente , plus l’exploitation de certain site devient rentable.

            Concernant le coût du litre d’essence : il est moins cher qu’il y a 20 ou 30 ans ou plus …..

            En 1970, il fallait travailler 22 minutes pour payer un litre d’essence, contre 8 minutes en 2010
            De plus les voitures consomment 2 fois en 2010 qu’en 1970.

            Pour la consommation d’énergie globale : chaque € de PIB est aujourd’hui produit avec moins de Joules qu’il y a 40 ans . La décroissance existe et c’est les industriels qu’ils l’ont inventés . On utilise moins de tôle pour faire des machines à laver qui en plus consomment moins d’électricité et moins d’eau.
            Pour les RCA phobes , le lien qui suit peut se lire sans accepter le concept effet de serre :
            http://www.drgoulu.com/2013/05/11/400-parties-par-million-et-moi-et-moi-emoi/

          3. On roulaient moins en 1970. Rien que pour le trajet domicile travail on est passé de 9 à 15km entre 80 et 2010. La part de l’énergie dans les budgets des ménages est constante, autour du 8%. Elle ne peut pas progresser: si l’énergie devient plus cher il faudra réduire tout le reste.

        2. « Et comme le pétrole/gaz de schiste rejettent du CO2, ça n’est pas une bonne alternative. »

          1 – Le CO2 n’est pas un polluant.

          2 – Quant au CO2 anthropique, reste à prouver qu’il y serait pour grand’chose dans le réchauffement…

          1. Bien sûr que le CO2 n’est pas un polluant, aux teneurs actuelles et en perspective. On enrichit certaine serres en CO2 pour favoriser l’assimilation chlorophyllienne.

            Le RCA , lui, est une véritable pollution des esprits.

          2. Le CO2 n’est pas un polluant !!??
            Oui et non .
            Rien n’est polluant tout est polluant , c’est une question de dose !

          3. Pourquoi on veut pas du gaz de schistes ?
            C’est un produit du terroir , non ?
            Grosse connerie que d’interdire l’exploitation !

    2. Il n’a certes rien à voir avec un ayatollah du bio, mais il s’est quand même aventuré sur un terrain qu’il ne connaît pas bien – ce que je ne lui reprocherai pas, il a droit à la liberté d’expression et d’opinion – et il a aligné une belle brochette de stupidités – ce qui est impardonnable.

      « …l’agriculture intensive [..] repose entièrement sur les hydrocarbures (pétrole, gaz) » ?

      Passons sur le « entièrement ». Il se trouve que c’est aussi le cas de l’agriculture moins intensive, y compris l’agriculture dite biologique et ce truc fumeux (pour ses promoteurs) appelé « agroécologie ».

      J’aimerais bien savoir quel système est le plus gourmand en énergie, rapporté à la fois à la surface et à la production.

      Un blé « conventionnel » à 71 quintaux (moyenne quinquennale en France si je ne m’abuse) consomme peut-être bien moins de pétrole au quintal que les 32 « biologiques », surtout si l’on incorpore dans ces derniers l’énergie qu’a nécessité la production des amendements organiques.

      « La raréfaction de ces deux sources d’énergie signifie donc la fin de cette agriculture… » ?

      La raréfaction signifier qu’il faudra faire des choix déchirants entre les nécessités de l’agriculture et de l’alimentation, d’une part, et le confort des bobos, d’autre part.

      Et quand les temps deviendront vraiment durs, il restera l’énergie nucléaire. Mais, peut-être que, d’ici là, notre ministre de l’agriculture aura fait de la France le leader de l’agroécologie, et que les instituteurs – des régions rurales bien sûr – retourneront aux champs avec leurs élèves pour ramasser les doryphores.

      1. « ramasser les doryphores. »

        Jusqu’à l’interdiction décidée au nom de la protection d’une « espèce en voie de disparition » et de la défense de la biodiversité ? 😀

  12. @ Wackes Seppi
    Pas d’accord si l’agro-écologie est celle définie par le CIRAD, donc avec des interventions mécaniques minimales, elle économise au contraire du carburant, soit environ 25 à 30 % de la consommation énergétique d’une production. Certes dans ce cas il faut des herbicides, car les méthodes alternatives reposant sur les façons mécaniques sont hors des clous dès que l’on fait un bilan énergétique sérieux.

    Les pesticides , fabrication – transport – application c’est à peine 3% et souvent moins du coût énergétique d’une production, donc sans incidence sur cet aspect. On lit des erreurs voire des imbécilités à longueur de pages web sur le prétendu coût énergétique des pesticides.
    Pour améliorer encore les choses, il suffit d’allonger les rampes de pulvérisation des pulvérisateurs voire de recourir aux traitements aériens moyens d’intervention parmi les moins énergivores dès que les parcelles sont de dimensions suffisantes.

    Le seul poste qui plombe le coût énergétique de l’agriculture reste la fabrication de l’azote mais là aussi des progrès possible avec le niveau de sophistication des usines, la distance entre le lieu de fabrication et le lieu de consommation car le transport pèse lourd pour ce fertilisant qui reste pondéreux ( mais négligeable par rapport à la matière organique brute). On est à 50 % du coût énergétique pour le blé ou le maïs , 70% pour un colza mais seulement à peine 30% pour la betterave. Dès que l’on passe au bilan énergétique, l’azote minéral avec le bond de rendement permis s’avère plus que rentable pour l’impact des techniques de production sur la consommation d’énergie.

    Pour Jean-Marc Jancovici, ses positions tranchées et très peu réalistes sur l’agriculture traduisent un maillon des lobbies de l’énergie en France ( pétroliers, CEA et EDF), rien à attendre de sérieux de ses approximations fallacieuses sur la toile, c’est de l’enfumage pur et simple pour vendre de l’électricité nucléaire et construire encore plus de réacteurs jusqu’à un Fukushima français et son coût avoisinnant les 500 milliards d’euros, bref la fin de la démocratie ou le début de la barbarie, il n’y aura pas d’autres alternative.

    1. Vous pouviez vous en douter : je ne visais pas l’agroécologie des gens sérieux.

      Je partage entièrement votre avis, sauf pour la fin.

        1. AZF : attentat terroriste ??
          Vous avez des preuves ?

          AZF , c’est le stockage du nitrate qui a peut- être posé problème !
          En effet quand vous stockez du nitrate vous devez absolument assurer un turnover de l’amoncellement sinon une croute se forme en raison de l’humidité et des gaz inflammables se forme sous la croûte .
          Mais quand la source de l’accident est détruite , difficile de trouver des preuves du processus chimique qui a conduit à ce drame.
          Cela restera toujours un mystère !

          1. Moi, non!

            Mais lisez http://www.amazon.fr/AZF-silence-dEtat-Marc-Mennessier/dp/2020976293
            La démonstration est édifiante, elle a été faite alors que les renseignements généraux étaient persuadés que quelques années après la vérité serait exposée clairement, avec l’assentiment des politiques. Sinon la publication d’un tel ouvrage aurait été fortement compromise.
            Le dernier procès a démontré qu’il est des réalités qui doivent rester cachées, mais le livre était déjà largement diffusé.

            La presse ne s’y trompe pas en renvoyant sur la décision de justice l’explication, souvent au conditionnel, qui ne trompe que les imbéciles et les naïfs.
            11 septembre 2001 à NY – 21 septembre 2001 à Toulouse alors que toutes les préfectures de France et de Navarre sont sur le pied de guerre et alertent sur l’imminence d’attentats sur des sites industriels, exigeant la plus grande prudence. Certes ce n’était pas à Toulouse que l’on attendait une action mais plutôt dans le couloir de la chimie au sud de Lyon.
            Avant rien, après rien ….si, une explosion cette année presque simultanée avec un attentat identifié comme tel lors du Marathon de Boston. Bien analysé par le juge Bruguyère http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/04/18/01016-20130418ARTFIG00434-boston-bruguiere-juge-la-piste-islamiste-serieuse.php
            Qui avait bien posé l’origine terrorise à AZF.
            Il est des coïncidences qui ne trompent que ceux qui le souhaitent. Ils sont certes nombreux dans ce cas.

            Indépendamment de cela, la réaction d’écarter la piste terroriste en 2001 était justifiée, cela n’a plus de sens désormais, de quoi ont bien peur les politiques à dire enfin ou laisser planer un simple questionnement sur la vérité:

            1- les usines fabriquant des engrais azotés sont des sites exposés à des actions malveillantes

            2- elles doivent être éloignées des lieux d’habitation

            3- elles doivent faite l’objet d’une surveillance particulière.

            Cela dit la concentration des populations dans les grandes villes et la systématisation des transports en commun, pas mal lorsque les terroristes joueront avec des agents infectieux, bactéries ou virus, des contaminants dans les chateaux d’eau . Anne Hidalgo devrait réfléchir à cette éventualité, cette évidence à terme, en réclamant plus de population en région parisienne. Elle n’est pas directement en cause dans cet aveuglement qui est le fait de la quasi totalité des urbanistes actuels. Juste réfléchir à ce risque et le prendre en compte.

          2. Une usine d’engrais a explosé au Texas au lendemain des attentats de Boston.

          3. A quoi ça sert un attentat si ce n’est pas revendiqué ???

            Les explications les plus simples sont toujours les meilleures .
            C’est un accident et c’est tout .
            J’en ai parlé avec un chimiste , il y a eu réaction chimique mais comment exactement ? ça c’est plus difficile à modeliser.

            Marc Messenier est comme les autres , la conspirationite fait vendre des journaux et des bouquins !

        2. Un attenta? Une enceinte de confinement c’est 1m de béton, la tuyauterie nucléaire ça fait 30cm d’épaisseur. Tu crois que tu peux casser ça avec une cocotte minute? Les zones vraiment sensible d’un réacteur nucléaire ne sont pas accessible quand il est en fonctionnement: la mort est quasi instantané et aucun équipement électronique ne tient le flux de neutron.

    2. J-M J soutient le nucléaire civil parce que nous ne sommes pas en situation de faire la fine bouche.

      De toute façon, vous êtes visiblement fermé à la réflexion, et il est donc inutile d’apporter des arguments. Je poste donc ce lien et vous souhaite une bonne journée.

      « Quelques réflexions sur une sortie du nucléaire »
      http://www.manicore.com/documentation/petrole/Charbon_nucleaire.html

    3. Jancovici soutient le nucléaire car il n’y a aucun alternative crédible. Tant qu’au cout de l’accident, je me marre, TMI ça a couté 500Md de dollars? Notre parc est capable de tenir une fusion de réacteur aussi grave que Fukushima sans rejet, nos installations n’ont rien a voir avec les poubelles de TEPCO.

      1. Fukushima Daîshi c’est des centrales des Années 70 , plus au sud il y a Fukushima Daini est des années 80 .
        Ceux de Daishi n’ont pas supportés le tsunami au contraire de Daini
        Tous des Réacteurs à eau bouillante . En France , c’est des Réacteurs à eau pressurisés.

        Comparaison entre REB et REP :
        http://japon.asn.fr/index.php/Japon/Accident-de-la-centrale-de-Fukushima
        avec ce lien vous comprendrez que le REB est moins sécurisé que le REP.

      2. Je ne fais que citer http://lci.tf1.fr/science/2001-09/attentats-suicides-vulnerabilite-centrales-nucleaires-4894811.html

        « Les attentats suicides commis aux Etats-Unis posent la question inédite de la résistance des bâtiments « sensibles », notamment des centrales nucléaires, face à de telles attaques. La réponse des experts est peu rassurante : cette résistance serait probablement nulle car le risque d’une chute, accidentelle ou d’origine terroriste, d’un grand avion commercial était statistiquement trop faible pour être pris en compte dans la conception des sites.

        Résistance sous conditions
        Et pourtant, le secrétaire d’Etat à l’Industrie Christian Pierret avait assuré mercredi que les centrales nucléaires françaises étaient « conçues, déjà dans leur structure, pour pallier la chute d’aéronefs et faire face à ce type d’événement ». Le parc nucléaire français est composé de deux types de réacteurs. Les parties vitales d’une vingtaine de réacteurs de 900 mégawatts (MW) sont protégées par une enceinte, tandis que 30 réacteurs de 1.300 MW ont deux enceintes de confinement. Dans la règle fondamentale de sûreté (RFS) appliquée à la construction des centrales nucléaires, les probabilités qu’un avion s’écrase sur un site ont été calculées ; elles sont particulièrement faibles pour les appareils tels que les Boeing ou les Airbus (voir tableau). Les centrales nucléaires ne sont donc pas vraiment préparées à résister à un tel impact. En revanche, elles doivent pouvoir résister à la chute d’avions de moins de 5,7 tonnes tels que le Cessna 210 ou le Lear Jet 23
        « Mais les conséquences d’un accident ou d’un acte de malveillance dépendraient de leurs circonstances exactes et de la vitesse de l’avion. En gros, les centrales résisteraient à un avion militaire volant entre 100 et 200 mètres par seconde », souligne Philippe Jamet, conseiller de l’Institut de protection et de sûreté nucléaire (IPSN). Tout dépend aussi du type d’impact. Selon l’expert, un  » projectile mou, créé par la désagrégation de la structure de l’avion, se comporterait comme une poignée de petites pierres jetées contre une toile de tente sans la percer  » tandis qu’un « projectile dur, constitué par exemple par le moteur d’un avion à hélice, aurait une surface d’impact limitée mais la force d’une balle qui traverse une vitre. » Mais face à une attaque terroriste avec un avion commercial, « on ne peut pas être certain que les enceintes résisteraient », conclut le spécialiste de l’IPSN. »

        Vous savez lire comme je le fais, je suppose, certes c’était en 2001, mais la plupart des centrales étaient alors construites…. On notera la date le 13 septembre 2001, les interviewés « serraient alors les fesses » et craignaient l’iminence du pépin terroriste en France, ce qui conduit à être plus honnête au cas où.

        Bon depuis c’est au Japon et très naturel…. quoique Tsunami….. réchauffement climatique, il n’y a qu’un pas… certes Tsunami <- tremblement de terre?????. Mais certains et non des moindres, des commissaires européens font le lien :

        http://www.contrepoints.org/2011/03/13/16732-le-rechauffement-en-cause-dans-le-tremblement-de-terre

        Donc Fukushima lié au réchauffement climatique?????? On pourra préférer la thèse de Marc Mennessier sur AZF même si elle n'est pas labélisée par le GIEC.

        1. Oui, enfin dans l’article de LCI en ligne que vous citez on lit aussi :

          « S’agissant de la chute d’un avion de grande taille, l’impact sur la sûreté d’une installation nucléaire dépendrait de multiples paramètres et pas seulement de la masse de l’avion », selon l’ASN. Même si elles ne sont pas construites pour résister sans dommages à un tel choc, « les centrales nucléaires offriraient une bonne capacité de résistance grâce notamment à leurs enceintes de confinement en béton armé », affirme l’organisme ».

          Cela relativise un peu vos affirmations, non ?

          1. Dans les années qui ont suivi l’accident de Tchernobyl, le discours du CEA et d’EDF réunis était de souligner qu’un tel accident était limité à un pays en voie de désorganisation comme l’URSS, impossible aux USA, en France…ou au Japon.

            On nous dit désormais que le Japon c’est la panique mais qu’en France tout va bien. Une crise profonde, une vraie, et la France aura t-elle toujours les mêmes moyens pour l’accompagnement de son énergie nucléaire ?

            Ce que nous apprend Fukushima est qu’une fois le système nucléaire en perte de contrôle, il devient impossible d’intervenir dessus, possible en URSS en sacrifiant des milliers de militaires et travailleurs inconscients du risque, encore possible au Japon avec un état d’esprit, un sens du devoir et du sacrifice propre aux anciens. Imaginons la même situation en France, connaissant les agents d’EDF, ce seront les premiers à prendre la fuite, comme l’armée française en juin 1940.

            Les déclarations tonitruantes sur le sacrifice accepté en cas d’accident ne trompent personne en France. Les statuts spéciaux ne fonctionnent que pour accumuler les avantages.

            Tant que tout va bien, tout va bien.

            Si l’électricité nucléaire avec la source uranium était aussi géniale et sans risque, les américains et les allemands bien plus pragmatiques investiraient à fond dedans. Retrait à grande vitesse en Allemagne et projets gelés aux USA, seule la France y croit avec le principe de précaution inscrit dans la constitution.

            Cela n’empêchera pas de maintenir les actuelles centrales en fonctionnement pendant 60 ans voire certaines plus, évidemment sauf accident grave, d’origine anthropique ou naturelle peu importe, le risque est aussi proportionnel au nombre de sites nucléaires.

            Nos centrales nucléaires, fussent -elles vraiment les plus sûres au monde, c’est comme l’armée française en 1970, 1914, 1939: il ne manquait pas un bouton de guêtre.

            A partir de 100 000 personnes déplacées, il est possible que le débat devienne intenable.

            On retiendra que l’élecricité nucléaire est décarbonnée donc dépend de la réalité du réchauffement climatique anthropique issu de la combustion des énergies fossiles, sujet sur lequel je n’ai aucune idée arrétée, j’attends de voir la suite du débat et qu’il s’agit d’une énergie très centralisée donc impose un nombre d’opérateurs limités pour la production et voit un soutien syndical très fort à hauteur de l’argent investit dans le CE d’EDF. Le reste c’est de la com.

          2. Alzine visiblement tu n’y connais strictement rien sur le sujet. Il y a eu plusieurs fusions de réacteur en France, au moins une en UK et une au USA. A chaque on a bien réagit et repris le controle de la situation et les structures ont tenu. Les japonais ont humainement merdé à un point inimaginable pour une raison simple: quand on n’invente pas une technologie, on ne le maitrise jamais vraiment. Il faut y ajouter une incapacité culturel à prendre des décisions d’urgence qui sortent des protocoles et cours circuites la hiérarchie. A TMI continuer à suivre les protocoles aurait aggravé la situation, les opérateurs ont pris des décisions à la volées qui se sont avérées être les bonnes. A Fukushima il a fallu attendre l’accord du ministre, ce genre de fonctionnement est incompatible avec le nucléaire.

            Attali ne raconte que de la merde dans son article, voir les commentaires sur slate.

            Au Japon il y a quasiment un tsunami de plus de 10m par décennie. Leur centrale on des digues de 6m. On ne peut pas être comparé à ça.

          3. @ Karg,

            Juste un bémol, la technologie PWR n’a pas été inventée par une société ou une institution française mais par Westinghouse, non ?

          4. Le charbon (extraction et exploitation) a fait et fera beaucoup plus de morts (plusieurs ordres de grandeurs) que l’industrie nucléaire.

          5. Oui, on a acheté la licence d’un petit proto et on progressé petit a petit pour passer de quelques MWh à 1600MWh pour l’EPR. En parallèle on a fait un programme de réacteur eau lourd et gaz, qui se sont avérés être aussi couteux que fumeux (Brenilis, fusion à St Laurent). Les Japonais ont acheté des réacteurs sur catalogue: à Fukushima le mettre d’oeuvre était US. En France les constructeurs étrangers n’ont jamais travaillé sur nos installations.

          6. On revient à l’origine de l’expertise :
            http://lci.tf1.fr/science/2001-09/attentats-suicides-vulnerabilite-centrales-nucleaires-4894811.html

            Je parle bien d’un gros avion de ligne, d’un engin explosif de grande taille au sein du périmètre de la centrale ou d’un missile sol – sol ou air – sol prévu pour percer le béton, plusieurs enceintes si nécessaire. Tous objets que les terroristes peuvent se procurer ou éventuellement que nous leur fournirons nous même pour les groupes en activité en Syrie. Ce serait assez rigolo de voir les syriens utiliser contre nos centrales des armes que nous leur aurions fournies.

            Je suis d’accord le risque Tsunami est négligeable en France et le risque erreur humaine très faible, et dans un premier temps récupérable.

            Le scénario « centrale » est un des scénarios possibles pour l’OTAN :
            « Une autre option plausible serait une attaque contre une centrale nucléaire. Depuis 1972, lorsque des pirates de l’air ayant détourné un avion de ligne américain ont menacé de projeter l’appareil sur un réacteur nucléaire dans le Tennessee, ce scénario a acquis une considérable crédibilité. Et les attentats du 11 septembre ont davantage encore mis l’accent sur ce risque.  »
            http://www.nato.int/docu/review/2007/issue4/french/analysis1.html

            Le risque terroriste et sa prévention relève surtout des services du renseignement intérieur mais quelle que soit les qualités de ces derniers, difficile de l’envisager proche de 0, en terme d’occurrence et en terme de conséquences sur un site nucléaire comme les blogueurs de ce site semblent vouloir le faire croire.

            Un attentat, c’est un scénario d’accident majeur sans les étapes préalables où l’on peut rattraper le coup avant, contrairement au Japon où rien n’a été rattrapé faute de réactivité comme l’a parfaitement souligné par Karg.

          7. A part les bombes bunker buster US et l’équivalent russe, il n’y a rien qui dégomme vraiment une centrale nucléaire. Et absolument rien qu’on peut porter à dos d’homme. De toute façon les wahabites savent que la riposte serait nucléaire.

  13. amusant en 2006 il a dit ceci

    http://www.leparisien.fr/economie/quand-jean-pierre-coffe-defend-le-porc-industriel-22-10-2006-2007438359.php

    Quand Jean-Pierre Coffe défend le porc industriel


    Quant aux éleveurs bio, c’est la volée de bois vert : « Ils se montrent sectaires, voire intégristes,
    alors qu’ils n’arrivent pas à s’imposer. Il y a place pour chaque mode de production pourvu
    qu’il soit bien fait, en transparence pour le consommateur… et, à ce que je sache, tout n’est
    pas clair sur la réelle qualité du bio importé… » Pas sûr que les agriculteurs bio digèrent…

    et aussi ceci
    http://www.amazon.fr/Agriculture-biologique-pr%C3%A9servons-notre-futur/dp/2753801924

    Ce livre est préfacé par Jean-Pierre Coffe qui affirme que l’agriculture biologique est une nécessité politique, une obligation civique, un impératif citoyen

    il sait ce qu’il dit?

  14. ===> un certain type d’olivier en Charente

    qui s’aventure à pousser sur des terrains pentu

    , ===> arrive à produire du vin à Cognac

    ** On n’arrête décidément pas le progrès! Tout dépend du goût….

  15. Coffe est un sac à merde qui, aux « Grosses têtes » avoue pèter comme un cochon!
    la mère Joly devrait donc s’exciter contre cette ennemi de la planète! Il est vrai que ce porc n’en est pas à son premier pèt et que Hulot doit lui avoir déjà ouvert un crédit avec le salaire que Hollande lui a offert àl’ONU !!
    Quant au débile Ernst , cela, en allemand veut dire sérieux!!!!!!!!!!!!!! Donc il est prié de ne pas utiliser la grosse Bertha comme un gode imbécile et aveugle… ou alors qu’i l se le mette dans le fion plutôt que de vomir des conneries
    MK
    kelenborn.e-monsite.com

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