Campagne contre le gaspillage alimentaire : le ministère joue avec le feu

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La campagne gouvernementale anti-gaspillage alimentaire se veut être « choc » : elle présente des fruits d’apparence « dégradée »(une pomme tavelée et une tomate fissurée) et invite les consommateurs à ne pas s’arrêter à cette fausse image de produits « non consommables ». Jusque-là, pas de problème !
Grand paradoxe, si un producteur commençait à fournir de telles fruits et légumes, il aurait immédiatement les autorités sanitaires sur le dos !
En bref, les bonnes intentions oui mais faut pas pousser le bouchon trop loin, comme se mettre à manger des fruits et légumes n’ayant pas « une belle tête » et dont la sécurité sanitaire n’est pas assurée ?

43 commentaires sur “Campagne contre le gaspillage alimentaire : le ministère joue avec le feu

  1. Et pendant ce temps-là, l’hélicologiste Nicolas Hulot, « l’envoyé spécial du président », critique le projet de Notre-Dame-des Landes

    « Grand paradoxe, si un producteur commençait à fournir de telles fruits et légumes, il aurait immédiatement les autorités sanitaires sur le dos ! »

    Ça, ça n’est pas (entièrement) vrai… Et les produits dits « bio » ? Enfin, pas ceux qui sont vendus dans les supermarchés qui, eux, sont encore plus beaux que la pomme qui a été offerte à Blanche-Neige.

    Si Monsieur le Ministre était vraiment sérieux, il commencerait par réviser les normes, au lieu de faire de la comm’.

    1. Ben,c’est normal. Lé zélicos, y z’ont pas bezoin d’aréoport pour se poser. Bon, y a que les pôvres qui ne peuvent pas ses payer l’élico et sont obligés de prendre l’avion ! Donc les bobozécolos on réson d’ètre cont l’aréoport de notre dam des lampes.

  2. Serait-ce le signe que le temps des vaches maigres est enfin venu? comme en Espagne, au Portugal, en Irlande, en Italie et bien pire en Grèce?

    Peut-être!

    Dans tous les cas attention aux mycotoxines et contaminations bactériennes bien plus dangereuses que les conservateurs, eau de javel et pesticides.

    http://www.fsis.usda.gov/FactSheets/Molds_On_Food/

    1. De toutes manières se sera toujours la faute des industriels.

      Une salmonelle dans votre yaourt, c’est les industriels (même si vous avez laissé le dit yaourt en dehors du frigo pendant plusieurs jours).
      Une E.coli dans votre steak haché, c’est les industriels (même si vous avez manipulé la viande sans vous être lavé les mains au préalable)
      Une intoxication alimentaire, c’est les industriels (même si vous n’avez pas lavé votre frigo depuis des lustres…).

      Des fruits pourris, une intoxication… ce sera la faute des industriels….

      La déresponsabilisation est totale dans ce pays !!!

    2. L’aspect visuel d’un fruits ou légumes n’a rien à voir avec le risque bactérien ou autre si il n’est qu’esthétique.
      Le débat n’a donc pas lieu d’être.
      La communication du gvt ne dit pas autre chose.
      Je sais que le but de ce blog est de chercher la petite bête à tout bout de champ…….
      Beaucoup de d’exemples donne raison à ce blog mais là ,c’est enc.. les mouches avec des gants de boxe.

      1. Il est vrai que manger une pomme ridée n’est pas « mauvais » pour la santé. Mais ce n’est pas qu’une question d’aspect : une pomme ridée est à la fois moins bonne au goût/texture et moins bénéfique (moins riche en vitamines, etc.)
        Idem pour une tomate fissurée que la comm du ministère présente. Ce n’est pas pour rien qu’elle est interdite à la commercialisation : une telle tomate serait vite « vendue au litre », c’est-à-dire pourrie jusqu’à la liquéfaction au moindre transport ou délai à la consommation…

        Il ne s’agit pas de se transformer en marchand-de-peur bis. Il y en a suffisamment par les temps qui courent.

        L’article de D Sauvaitre cité par ForumPhyto dit simplement que, pour faire de la comm anti-gaspillage, il vaudrait mieux de temps en temps demander l’avis des professionnels, pour aller à l’essentiel : les aspects logistiques, chaîne du froid, maîtrise technique de l’agriculteur, du conditionneur, du transporteur, information du consommateur sur les meilleures conditions de conservation, etc.
        Vanter visuellement des fruits et légumes hors-norme n’est pas vraiment dangereux, c’est surtout risible et ridicule !

      2. M. Ernst a développé un point de vue tout à fait respectable.

        Je ne le partage pas entièrement.

        En particulier, une tomate fendillée n’a pas qu’un problème visuel. Les craquelures, ce sont des portes ouvertes.

        Du reste, je me demande de quelle variété est la tomate prise en photo. Une variété ancienne, peut-être ? Une variété inscrite au catalogue et autorisée à la vente ?

        Quant à la signification de la campagne de comm’, voir ci-dessous.

        M. Ernst, continuez à fréquenter ce site et à nous faire part de vos sentiments.

    3. @ alzine

      « Dans tous les cas attention aux mycotoxines et contaminations bactériennes bien plus dangereuses que les conservateurs, eau de javel et pesticides. »

      == Et que le tabac?

      1. Oh que non !

        Car, je suppose, le tabac peut aussi être contaminé aux mycotoxines…

        Sans compter le tabac contrefait, plein de choses horribles.

    1. À vue de nez, ce sont des recherches par la voie classique.

      Mais il faut lire les commentaires. Il y en a trois à l’heure ou j’écris. Ce n’est qu’un début, continuons le combat… contre les OGM et même l’humanité.

      Pitoyable.

  3. Avec cette prescription de moraline, les pauvres, qui ne peuvent pas se permettre le gâchis, vont constater qu’avec le produit de leurs impôts le gouvernement finance une campagne qui recommande aux riches de ne pas gâcher ! Encore des voix supplémentaires en perspective pour la Marine nationale.

  4. La communication du Ministère de l’agriculture et de l’alimentation est obscène et indécente.

    Il n’y a aucun problème avec une communication axée sur la réduction du gaspillage par les consommateurs, dans leur foyer, ce qui est le but officiel de la campagne à en croire le texte.

    Le problème vient plus particulièrement du visuel. Car ni la pomme grêlée de piqûres, ni la tomate fendillée ne se trouvent dans le commerce (sauf chez certains producteurs « bio » et certaines enseignes, pour qui ce genre de défaut peut apparaître comme un signe de qualité…).

    Il y a par conséquent deux messages différents. Ceux qui succombent à la complotite pourront arguer que c’est une communication sous forme de message liminaire en faveur d’un certain mode de production. Les autres se contenteront d’opiner que ces supports de communication sont nuls de chez nul.

    .

    Puisqu’on aime faire de vilaines choses aux diptères sur ce site selon M. Ernst – et que je suis un obsédé textuel avec une longue expérience en matière de « pinaillage » – le message écrit est aussi indigent.

    Selon les informations généralement diffusées ce n’est pas « chaque foyer » qui jette 20 à 30 kg de nourriture par an, mais chaque Français. C’est du reste ce qu’on peut lire sur le site gouvernemental :

    http://alimentation.gouv.fr/consom-acteurs-agissez

    On peut ensuite discuter sur le montant de 400 € pour une famille de quatre personnes, c’est-à-dire un foyer. Ça met le kilo gaspillé – y compris les 50 % de fruits et légumes – à entre 13 et 20 € le kilo.

    Et les Français ne jettent pas les fruits et légumes en raison de leur apparence, alors qu’ils seraient parfaitement consommables, mais précisément parce qu’ils ne le sont plus (ou plus guère).

    .

    Enfin, s’agissant au moins de la pomme, le ministère s’est largement trompé de cible. M. Sauvaitre – un expert – a écrit sur son blog :

    « Eux [les pomiculteurs], qui sont menacés des pires sévices verbalisateurs dès lors qu’ils dérogent des critères qualitatifs réglementaires pour leurs fruits dûment étiquetés, voient l’Etat inviter les consommateurs à manger des pommes qu’il interdit dans le même temps sur le marché du frais. Ces pommes abimées ne sont bien évidemment pas perdues pour l’alimentation puisqu’elles fournissent le marché grandissant de la compote en tube et en pot. »

    1. « Puisqu’on aime faire de vilaines choses aux diptères sur ce site selon M. Ernst – et que je suis un obsédé textuel avec une longue expérience en matière de « pinaillage » »

      Wackes Seppi, merci à vous pour votre humour. J’apprécie 🙂

    2. Tout à fait ok avec Wackes Seppi
      et je réitère en résumé ce que j’ai écrit plus haut :

      ne faisons pas dans la parano, ou dans la peur injsutifiée : la pub du minsitère est avant tout risible et ridicule !

      L’article de D Sauvaitre cité par ForumPhyto dit simplement que, pour faire de la comm anti-gaspillage, il vaudrait mieux de temps en temps demander l’avis des professionnels, pour aller à l’essentiel : les aspects logistiques, chaîne du froid, maîtrise technique de l’agriculteur, du conditionneur, du transporteur, information du consommateur sur les meilleures conditions de conservation, etc.

        1. « …cette campagne va accroitre les tendances populistes dans les catégories sociales pauvres et exclues… » ?

          Cette campagne, j’aimerais que l’on me montre son facteur d’impact, et aussi son coût.

          Mon avis est que l’impact est négligeable, sinon nul. C’est certes fondé sur la technique du doigt mouillé, mais je suis sûr d’une chose : jamais cette campagne ne m’atteindra dans ma campagne fortement boboïsée autrement que par Internet et alerte-environnement !

          Et puisque j’ai évoqué le coût, c’est l’occasion de demander à ce gouvernement ce qu’il fait pour contenir ses coûts et s’occuper enfin de l’essentiel. Et, s’il estime utile de faire campagne contre le gaspillage, de lui demander de le faire efficacement.

        2. C’est la raison pour laquelle le gouvernement actuel fait tout son possible pour que nous soyons tous égaux… dans la pauvreté…
          Comme cela il pourra encore mieux nous entuber !!!

  5. @ Zygomar

    Bien vu, maintenant c’est la cour des comptes qui se déchaine. Se déchaine avec de très bonnes raisons.
    Le tabac n’a pas besoin de mycotoxines pour être dangereux.
    Les toxicologues ont même estimé qu’il était inutile d’avoir des analyses de résidus de pesticides dans le tabac, pesticides largement utilisés, le tabac lorsqu’il est fumé même étant bien plus dangereux que les pesticides les plus dangereux qui se surajoutent à un risque déjà très significatif.

    Les écolos vont beugler si une goutte de pulvérisation d’insecticide sort du champ de maïs mais nous intoxiquer sur les quais du RER: particulièrement terrible le WE dernier gare du Nord.

    Dès qu’il y a des retards de trains, difficile de trouver un coin à l’écart des effluves de fumée cancérigène.
    Que font les sénatrices Sophie Primas et Nicole Bonnefoy sur ce dossier oh combien préoccupant.
    L’une ou l’autre serait –elle fumeuse par hasard ?

    La nicotine est un pesticide, plutôt était un pesticide, désormais interdit. Le seul que les fumeurs peuvent répandre sans sanction significative dans leur environnement si le lieu n’est pas totalement fermé.

    1. ===> Décidément, le deuxième degré a toujours du mal à dépasser certains délires obsessionnels!!

      Alzine dit :
      14 décembre 2012 à 23:23
      @ Zygomar

      Bien vu, maintenant c’est la cour des comptes qui se déchaine. Se déchaine avec de très bonnes raisons.
      Le tabac n’a pas besoin de mycotoxines pour être dangereux.

      Zygomar dit :
      13 décembre 2012 à 11:12
      @ alzine

      « Dans tous les cas attention aux mycotoxines et contaminations bactériennes bien plus dangereuses que les conservateurs, eau de javel et pesticides. »

      == Et que le tabac?

      « Le tabac n’a pas besoin de mycotoxines pour être dangereux »

      ===> On sait y quand on sait pas? Et si tabac + mycotoxines résultait en un effet cocktail, hein? Eh! Ben on n’a pas tout vu…. .

      1. @ Zygomar,

        A chacun son délire, il est aussi des dénis qui sont apparentés à des délires.

        Le déni sur le statut du tabac comme première abomination des pays développés est une forme de délire pour bobo 68ards comme le refus de voir les pilules contraceptives comme une distribution institutionnalisée et massive de perturbateurs endocriniens à plus de 50 % de la population de post adolescentes.

        Par ailleurs délirer sur un thème commun à Martine Perez, Maurice Tubiana et désormais Didier Migaud, n’est pas pour me déplaire.

        Première cause de cancer, première cause de mortalité et dénis de l’Etat et de sa responsabilité, le tabac mérite bien que l’on trouve délirant le déni partagé sur sa place comme premier thème de sensibilisation du public.

        A la place de cela, on nous sert les pesticides agricoles, le bisphénol A, les OGM, le réchauffement climatique, la perte de biodiversité….

        Il existe deux type d’ânes, ceux qui s’assument comme tels et refusent le second degré lorsque les dénis perment d’en remettre une couche sur des sujets essentiels et ceux qui se voient bien plus malins, comme Zygomar.

        Je revendique un statut d’âne du premier degré: le tabac est une infâme saloperie, un buraliste tue chaque année 3 fumeurs en moyenne et cela chaque année.

        1. Réciter sans fin ses mantras anti-tabac ne fait rien avancer, ne résout rien.

          Le tabac est un phénomène qui s’est ancré dans la vie sociale à une époque où l’on n’en connaissait pas les dangers. Tous ceux qui restent fumeurs sur la longue durée sont atteints de l’addiction au tabac. Se sortir d’une addiction est toujours très difficile. J’en sais quelque chose, j’ai mis dix ans pour arriver à me passer d’un substitut du tabac, après avoir cessé de fumer.

          Il est donc impossible de revenir en arrière par une interdiction légale. (Une des raisons d’ailleurs pour laquelle je pense qu’il ne convient pas de légaliser les drogues encore interdites).

          Diminuer la consommation de tabac n’est pas facile et les politiques anti-tabac ont du mal à avoir des résultats.

          Si c’est si facile, vous avez sûrement la recette !

          1. @ JG2433

            En tant que moyen contraceptif pour hommes, d’aucuns ont préconisé

            === Une autre méthode:

            Il fut un temps, il y a bien longtemps on recommandait un comprimé d’aspirine pour les dames!! Pas de verre d’eau, à avaler. Mettre le comprimé entre les genoux et serrer bien fort le temps nécessaire.

          2. 15 mai 1984. Le jour où je suis devenu président de notre syndicat.

            Quand j’ai voulu passer la main, j’ai proposé la fonction à des fumeurs en leur faisant miroiter la possibilité d’arrêter de fumer… Ça n’a pas marché…

            Les fumeurs peuvent aussi cliquer sur la publicité « L’industrie du tabac le déteste » (en ce moment on la trouve sur le Huffington Post » et regarder la vidéo jusqu’au bout. Ils peuvent aussi lire, sans fumer évidemment :

            http://www.arreter-de-fumer.com/cn/?utm_nooverride=1

            Quand ils auront fini de lire et de regarder les vidéos, ils auront arrêté de fumer pendant un bon bout de temps !

          3. @ Zygomar (30 décembre 2012 à 17:25),

            Cette boutade – qui, alors, n’eut plus rien de « rigolo » – fut utilisée par un parlementaire (qui ? je ne sais plus…), lors des débats en vue de la légalisation de l’usage de la pilule contraceptive en France, défendue par Mme Veil, qui avait déclaré :

            « La pilule ? Je suis pour… bien coincée entre les deux genoux, et on fait en sorte qu’elle
            ne tombe pas. »

            Pas très élégant – c’est le moins que l’on puisse en dire. 🙁

        2. @ Alzine

          @ Zygomar,

          « A chacun son délire, il est aussi des dénis qui sont apparentés à des délires »

          === Va.

          Le déni sur le statut du tabac comme première abomination des pays développés est une forme de délire pour bobo 68ards comme le refus de voir les pilules contraceptives comme une distribution institutionnalisée et massive de perturbateurs endocriniens à plus de 50 % de la population de post adolescentes.

          Par ailleurs délirer sur un thème commun à Martine Perez, Maurice Tubiana et désormais Didier Migaud, n’est pas pour me déplaire.

          Première cause de cancer, première cause de mortalité et dénis de l’Etat et de sa responsabilité, le tabac mérite bien que l’on trouve délirant le déni partagé sur sa place comme premier thème de sensibilisation du public.

          A la place de cela, on nous sert les pesticides agricoles, le bisphénol A, les OGM, le réchauffement climatique, la perte de biodiversité….

          Il existe deux type d’ânes, ceux qui s’assument comme tels et refusent le second degré lorsque les dénis perment d’en remettre une couche sur des sujets essentiels et ceux qui se voient bien plus malins, comme Zygomar.

  6. Ca ne fait aucun doute que cette campagne est une promo aux produits bio! Etant donné que les producteurs ont bien souvent que ce genre de camelote à proposer aux consommateurs! 😆
    Le gaspillage des ménages c’est les promos format familial et la mauvaise gestion de leurs stocks mais enfin ça fait aussi le bonheur des pauvres qui font les poubelles des quartiers les + aisés, comme les fins de marchés.
    Cette campagne n’est pas si risible et ridicule qu’on pourrait le penser, elle est juste orchestrée par les mêmes escrolos que le ministre écoute avec attention pour orienter sa politique agricole à venir.
    La tavelure comme l’éclatement des fruits n’apparaissent pas après récolte c’est surtout les caractéristiques de fruits non ou mal traités, en conventionnel ils sont écartés du circuit commercial, seules les « pignes » font qu’un fruit se dégrade + vite, chez les bios pas d’autres choix que de les écouler! Il est où le gaspillage?! 😉

  7. Tout cela est pitoyable et il faut le bobo Garot, ancien conseiller du bobo Delanoe pour nous sortir d’aussi scandaleuses conneries.
    Outre que tout cela semble (comme l’a remarqué un intervenant)nous préparer au régime sec (l’Etat abstinence est en marge)c’est proprement scandaleux
    Autrefois, une salade en sachet ou des fruits achetés au supermarché se conservaient sans probleme une semaine. Aujourd’hui, après quatre jours, ils sont nazes: en cause: la non utilisation des conservateurs dénoncés comme cancérigenes par les Belpomme , Serralini et autres escrologistes ( pas Alzine puisqu’il n’y a pas de tabac dans le sachet)
    Cela veut dire que ces salauds -il n’y a pas d’autres mots- organisent eux même le gaspillage qu’ils dénoncent
    Oui! Depardieu a raison: ce pays sent la merde

    Pour vous consolez mon dernier coup de gueule contre Le Foll
    http://kelenborn.e-monsite.com/pages/canailles-escrocs-et-bouffons/adoptez-une-poule-partie-1.html

    1. Ça me perturbe toujours de voir des gens qui se disent agriculteurs (« bio » en l’occurrence) alors qu’ils sont avant tout artisans meuniers et boulangers, et bientôt pâtissiers.

      65 hectares de terres « à vocation céréalière »… 30 hectares de céréales, sarrasin et tournesol, 35 hectares de luzerne (combien, au fait ?) et d’engrais verts… 40 quintaux à l’hectare cultivé en blé, moins de 20 en moyenne si on compte les jachères… Un gâchis pour la France.

  8. @ Alzine

    @ Zygomar,

    « A chacun son délire, il est aussi des dénis qui sont apparentés à des délires »

    === Va falloir commencer à sérieusement vous surveiller! Vous commencez à sérieusement « radoterr » et à avoir des visions. Donner moi un seul exemple pris dans n’importe lequel de mes messages postés ici depuis belle lurette qui vous permettrait de démontrer que j’ai été ou que je suis « dans le déni ».Cessez un peu de prendre vos désirs pour des réalités et d’attribuer aux autres vos propres . Le rabachage n’a jamais rien apporté d’utile à une cause! Cà ne fait que lasser l’auditoire… .Vous utilisez les mêmes méthodes que les écolos fanatiques.

    L’interdiction rapide pure et simple du tabac n’aura aucun effet autre que d’installer et de promouvoir le trafic illégal et le racket. L’exemple de la prohibition de l’alcool aux USA dans les années ’30 est suffisamment démonstartif; En outre, tous ceux qui le veulent trouveraont sanpeine des ubstituts plus ou moins aussi pu même plus toxiques que le tabac….

    « Il existe deux type d’ânes, ceux qui s’assument comme tels et refusent le second degré lorsque les dénis perment d’en remettre une couche sur des sujets essentiels et ceux qui se voient bien plus malins, comme Zygomar. »

    === Quand on en arrive à sortir ce genre d’argument, on n’est pas loin du délire de persécution.
    Désolé mais vos messages et votre croisade commencent à sérieusement me fatiguer, à m’irriter la couenne et ont complètement leur intérêt. Par conséquent, je m’abstiendrai désormais de perdre mon temps et mon énergie.
    Par ailleurs, question « second degré » vous m’en paraissez bien loin . Je ne me prends pas « pour plus malin » (surtout que vous!): je suis un ancien fumeur, moi au moins je sais de quoi je parle, je connais la difficulté qu’il y a à s’arrêter et surtout à persister dans l’abstinence (vous connaissez surement quoique j’en doute la plaisanterie du fumeur qui dit » c’est facile de s’arr^ter de fumer, je l’ai déjà fait une bonne douzaine de fois »… mais çà ne vous fera pas rire parce que vous ne savez pas ce que cela veut dire. Vous n’êtes qu’une donneuse de leçons qui ne sait même pas de quoi elle parle, c’est trop facile de se donner des airs de dame patronnesse…).

    1. J’exprime ici ma solidarité, ma sympathie, mon amitié, à tous les anciens fumeurs, qui ont dû, comme moi, ruser, s’obstiner, en chier tous les jours pendant longtemps, pour échapper à une addiction qu’ils n’avaient pas choisie. Et ma compassion bienveillante à tous ceux qui sont en train d’y arriver…

  9. @ Zygomar,

    Bon , on se calme, le sujet « tabac » comme le sujet « essence au benzène » sont des moyens, simplement des moyens.
    L’attitude « délire obsessionnel » : une figure de style, visiblement peu appréciée.

    J’arrête donc sur le tabac jusqu’à la prochaine photo de MMR ou NKM prises le cancérigène au bec.

    Dernière info mise sur le site par un blogueur attentif, à diffuser largement et qui permettra cette fois le consensus:
    http://www.horsebook.fr/Une-quarantaine-de-poneys-empoisonnes-par-un-champignon-en-Ardeche_a3538.html
    « Les prélèvements sanguins ont révélé une insuffisance hépatique et des troubles nerveux. Le cerveau, les reins et le foie sont atteints.  »

    « Une maladie due à l’ingestion de toxines : des champignons dont la présence en faible quantité a été révélée après analyse dans l’orge. Les premiers chevaux sont tombés malades juste après avoir reçu leur ration quotidienne.  »

    Fin de citation.

    Les symptômes sont pour partie ceux que provoque notamment l’ochratoxine A , assez souvent liée à un mauvais contrôle des insectes des grains dans un silo.

    Mais d’autres mycotoxines provoquent ataxie et troubles nerveux.

    Tout cela bien naturel et potentiellement lié à un défaut d’utilisation de « pesticide » pour conserver correctement l’orge au silo. Cause évidemment à confirmer.

    Cette histoire, elle, fera elle un « tabac » sur le site, moins dans la presse généraliste si ,effectivement , il s’agit d’un défaut d’utilisation d’insecticide pour conserver le grain.

    Il est différentes formes de déni.

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