Jean-Marie Pelt au pays des bisounours…

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Sous couvert d’une certaine bonhommie, Jean-Marie Pelt est l’un des militants écologistes les plus radicaux. En pleine promotion de son nouveau livre « Cessons de tuer la terre pour nourrir l’homme, pour en finir avec les pesticides », le Secrétaire général du CRIIGEN ressasse sa propagande.
A lire en particulier cet entretien donné au Républicain Lorrain qui bien évidemment ne fait preuve d’aucun esprit critique. Extraits :

« Il faut arrêter cette chimie agricole. L’usage des pesticides entraîne une hausse des cancers du sang et de la maladie de Parkinson, reconnue comme maladie professionnelle chez les agriculteurs. Il y a chez eux quatre fois plus de tumeurs au cerveau que dans la population normale. Sans oublier les effets
endocriniens ou sur le système immunitaire ».
Il serait intéressant de connaître la source de ce chiffre.

« Deux colloques de la FAO (organisation mondiale de l’alimentation) ont prouvé qu’on pourrait nourrir toute la planète en bio, à condition d’avoir de bonnes pratiques économiques. Et sans OGM non plus, puisqu’ils contiennent des pesticides. »
Nous avions déjà dénoncé l’histoire de ce colloque (lire ici) qui a été une propagande pro bio. Jacques DIOUF, directeur général de la FAO avait même dû contredire officiellement ce pseudo colloque en affirmant : “Le potentiel de l’agriculture biologique n’est pas suffisant, loin s’en faut pour nourrir le monde (…).”

« Dans son livre, il développe, chapitre par chapitre, différentes stratégies possibles : le compagnonnage des plantes, la stimulation des défenses naturelles, le rôle des champignons ou celui de la musique, développé avec efficacité par un botaniste-physicien quantique alsacien, Joël Sternheimer. »
Messieurs les agriculteurs, passez donc du Beethoven dans vos champs, vos plantes produiront plus !

« Les pesticides sont remplaçables par d’autres produits, de la chimie douce peu préoccupante ».
Tiens puisque l’on vient de parler des effets du cuivre sur la santé (à lire ici ), Jean-Marie Pelt devrait se pencher sur ce pesticide bio gentil comme tout, utilisé au pays des bisounours, juste utilisé comme poison !

Source : http://www.republicain-lorrain.fr/moselle/2012/06/04/j-m-pelt-parie-sur-la-fin-des-pesticides

31 commentaires sur “Jean-Marie Pelt au pays des bisounours…

  1. Cet individu n’est pas ridicule, il est dangereux. Nous devons êtres vigilant et être présent pour contrer ce genre de fous furieux dont le vrai objectif est la grande purge démographique.

    1. Laurent Berthod ingénieur agrenoble ne manque jamais l’occasion de citer son gourou facho préféré !!!

      1. « La propagande est une chose sommaire, Seigneur Evêque, apprenez-le. L’essentiel est de dire quelque chose de très gros et de le répéter souvent, c’est comme cela qu’on fait une vérité. »

        Jean Anouilh, .l’Alouette

        1. Non la propagande n’est pas sommaire, elle n’est efficace que si on respecte les pulsions biologiques et les codes culturelles. C’est une grande erreur, souvent provoqué par la réussite empirique de certaines campagnes de propagande, de croire qu’il suffit de matraquer n’importe quoi. Si la propagande d’Hitler a fonctionné, c’est parce qu’il a intensément employé la peur et le rapport de force, menaçant ceux qui osaient s’opposer. Il a joué à fond sur l’inhibition et le reflex d’obéissance.

  2. « …..le rôle des champignons ou celui de la musique, développé avec efficacité par un botaniste-physicien quantique alsacien, Joël Sternheimer »

    http://plantemusique.webnode.fr/les-experiences/de-joel-sternheimer/

    Joël Sternheimer, en 1996, a fait aux sénégal des expériences sur des plants de tomates. En effet il a conçut la protéodie correspondant a la suite d’acide aminés de la protéine TAS 14. Cette protéine aide les plants à résister à la sécheresse. Pour cela Sternheimer a passé trois minutes par jours la protéodie aux plants de tomates pour stimuler la TAS 14 grâce à un simple radiocassette. Il a de plus, placé des plants « témoins » élevés dans des conditions normales.
    Ils a obtenu des résultats remarquables puisque les plants soumis a l’écoute de la proteodie eurent une croissance nettement supérieure, en effet, les pieds de tomates font en moyenne 1.70 mètres, les tomates sont plus grosses et parfois même éclatée à cause du surplu d’eau. avec moin d’eau par rapport aux autres plants, cultivés avec un arrosage selon l’habitude de la région. Les tomates

    Système anti-pollution
    Cette expérience que Joël Sterheimer et Pedro Ferrandiz ont réalisée, consiste à augmenter la photosynthèse des plantes. La photosynthèse est le phénomène par lequel une plante utilise le CO2 de l’air en gardant le carbone pour elle et en rejetant l’oxygène. Ils ont fait ce test sur des algues en leur passant 10 minutes de plusieurs protéodies stimulant leur photosynthèse durant 10 jours.
    En quelques jours, les deux scientifiques ont pu voir des bulles d’oxygène correspondant à un dégagement 16 fois supérieur aux algues témoins.
    Cette expérience ouvre des perspectives pour purifier l’air des villes en stimulant la photosynthèse des plantes poussant en ville. Cela augmenterait le pourcentage d’oxygène, mais évidement il faut que ce soit réaliser à grande échelle pour en ressentir les effets bénéfiques. ce n’est pas une plante à un balcon qui purifiera l’air… L’homme doit s’unir dans cette démarche respectueuse de l’environement pour vaincre les conséquences d’un développement basé sur le progrès à tout prix au dépend de l’écologie et de la santé.

    Read more: http://plantemusique.webnode.fr/les-experiences/de-joel-sternheimer/

    1. « La photosynthèse est le phénomène par lequel une plante utilise le CO2 de l’air en gardant le carbone pour elle et en rejetant l’oxygène »

      La preuve que ces gens sont des charlatans, ils ne connaissent même pas les bases de la photosynthèse :

      L’oxygène relâché par les plantes ne vient pas du tout du CO2, mais de l’eau !!!
      L’équation est simple : 6 CO2 + 6 H2O + µ (énergie solaire) —-> C6H12O6
      Donc les ignares disent : l’oxygène vient du CO2.
      Mais les réactions CHIMIQUES (oui, oui M. José B, vous avez bien lu = Réactions chimiques…) montrent que pour polymériser les CO2 en Sucre il faut des H+ et des e-. Hors ceux-ci ne peuvent provenir du CO2, c’est clair. Donc ils doivent provenir forcément de l’eau.
      Une fois qu’on enlève les H à l’eau, il reste un déchet… L’oxygène…

      Au passage, les premières bactéries à faire de la photosynthèse (Cyanobactéries) à il y a 3 milliards d’années ont radicalement polluer leur environnement en relarguant une quantité phénoménal de déchets oxygène. Lequel oxygène s’est avéré toxique pour la quasi totalité des autres formes de vies de l’époque :Les archéo-bactéries et les bactéries anaérobies… Ce fut la première grande extension de masse (mais elle n’a laissé aucune trace fossile).

      1. j’ai oublié un truc :

        6 CO2 + 6 H2O + µ (énergie solaire) —-> C6H12O6 + 6 O2

      2. Les cyanobactérie, c’est aussi celles qui fixent l’azote atmosphérique et le relarguent sous différentes formes combinées dans les milieux aquatiques, ce qui fait que si le phosphore est en quantité suffisante, les algues vertes et autres « eutrophisants » prolifèrent !

        Les cyanobactéries responsables de la première extinction de masse et des marées vertes ! Des vraies salopes, celle-là ! 😉 Que font les écolos contre les cyanobactéries ? Que fait Cécile Duflot ? Et la Brique ? Rien ! Rien que des incompétents et des menteurs notoires !

      3. L’oxygène relâché par les plantes ne vient pas du tout du CO2, mais de l’eau !!!
        L’équation est simple : 6 CO2 + 6 H2O + µ (énergie solaire) —-> C6H12O6 + 6 O2

        Sur les 6 O2, il y en aurait pas la moitié qui viendrait des 6 CO2 (12 O), après tout il n’y a que 6 O dans C6H12O6.

        1. « Sur les 6 O2, il y en aurait pas la moitié qui viendrait des 6 CO2 (12 O), après tout il n’y a que 6 O dans C6H12O6. »

          Vous oubliez les 6 O2 relargués.

          Donc 18 O d’un côté de l’équation et 18 O de l’autre côté. L’équation est bien équilibré.

          Comme écrit dans mon post : La photosynthèse est un mécanisme chimique qui transfère des H sur le CO2 pour un faire des sucres. L’H ne peut provenir que de l’eau.
          En fait j’ai simplifié la réaction :
          En réalité la photosynthèse se fait en deux phases:
          La première phase permet la transformation de l’énergie lumineuse en énergie chimique. Ceci est réalisé grâce à des molécules photosensibles (chlorophylles) = système PS1 qui émettent des électrons quand elles sont stimulées par des photons de longueur d’onde adéquate (Bleu et rouge). Ces électrons sont ensuite transférés à des molécules de stockage de l’énergie (ATP et NADP).
          Pour que les molécules de chloro ne soient pas dégradées, elles doivent récupérer des électrons.
          C’est un second système de chlorophylles qui permet la photolyse de l’eau = Système PS2.
          Cette photolyse de l’eau permet donc la libération d’électron qui vont stabiliser le PS1 et la libération de H qui vont être ensuite « greffer » sur le CO2.

          La seconde phase permet la fixation des H sur le CO2. Le CO2 est fixé sur le ribulose-biphosphate (RuBP) qui est une molécule en 5 carbones. Cela donne un composé instable à 6 carbones, qui immédiatement clivé en deux 2 (3-phosphoroglycérate).
          Pour le reste voir le cycle de Calvin-Benson.

          L’équation finale se résume ainsi :
          CO2 + 2 H2O + µ –> CO2 + 4 H(+) + 4 e(-) + O2 –> CH2O + H2O + O2.

          Cette réaction produit un précurseur des sucres, de l’eau, et de l’oxygène. La molécule d’eau est formée à partir d’un des O du CO2. Le O2 provient uniquement de l’eau de départ de la réaction.

          Soit : 6 CO2 + 6 H2O + µ –> C6H12O6 + 6O2.

  3. Avec son immense culture résumée dans ces deux mots zigomar ne pourra jamais égaler la compétence de Jean-Marie Pelt !!!

        1. Ben, à la radio il donne une version de la salinisation de sols de la Mésopotamie. Dans son bouquin il en donne une autre. Si l’une des deux versions n’est pas un mensonge c’est pour le moins une erreur qui trompe le lecteur ou l’auditeur.

  4. « L’alimentation est trafiquée, mêlée d’ingrédients supposés la faire durer plus longtemps ou l’enrichir. Nous sommes dans les mains des entreprises alimentaires qui, par la puissance de la publicité, nous prescrivent ce que nous devons manger ». Par H. Himmler.

    Pour info, le seul pesticide qui trouvait grâce à ses yeux, était le zyklon B

    Il y a certains individus qui suivent la parole de leurs évangiles à la lettre. N’est ce pas José.B.

  5. En parlant de propagande sur le nombre de morts de chikungunya à la Réunion du fait du retard inexcusable des autorités sanitaires françaises sous la pression des écolos.

    Qui a des éléments sur cela:

    « Le chikungunya aurait tué 743 Mauriciens

    Une étude menée par des experts mauriciens et américains vient de révéler que le chikungunya aurait causé la mort de 743 personnes sur l’île sœur. À la Réunion, où les autorités ont recensé 253 certificats de décès liés au chik, les épidémiologistes avouent que cette nouvelle “pose question”.

    C’est le très sérieux journal scientifique Emerging Infectious Diseases qui a révélé l’information dans son édition du mois de février. Une étude indépendante (1), menée en 2006 par plusieurs scientifiques des universités de Maurice et des États-Unis, nous apprend que le chikungunya aurait causé la mort de 743 personnes à l’île Maurice. Les spécialistes en microbiologie et épidémiologie n’établissent pas leur résultat à partir de certificats de décès stipulant la mention chikungunya mais extrapolent des données. Dans un premier temps, les experts ont observé la mortalité à Maurice sur dix années pour établir les résultats escomptés pour 2006. Chiffres qu’ils ont ensuite comparés avec le nombre de décès constatés entre janvier et décembre 2006, période où l’épidémie a été le plus virulente. Étant donné qu’aucune autre épidémie n’est survenue durant ce laps de temps, les scientifiques en concluent que la surmortalité correspond aux nombres de personnes ayant succombé au chik, soit 743. Un résultat qui donne le vertige au regard du seul cas mortel officiel que les autorités mauriciennes ont bien voulu concéder. Mais également si on les confronte aux décès observés à la Réunion.

    5 % DES CHIKUNGUNYÉS SONT MORTS

    Selon la cellule interrégionale d’épidémiologie (Cire) Réunion-Mayotte, le chikungunya a tué 253 personnes dans notre île. Il y aurait donc trois fois plus de morts à Maurice alors que la population est moins d’1,5 fois plus nombreuse. “Cela nous pose question, avoue Vincent Pierre, coordonnateur à la Cire. J’apporte du crédit à cette étude de mortalité mais pas sur tous les points.” Il faut savoir que les scientifiques étrangers fondent leur recherche sur une extrapolation du nombre de cas de chikungunya déclarés durant l’année 2006 à Maurice. Un chiffre que Vincent Pierre juge “sous-estimé”. 15 760 personnes auraient été contaminées à Maurice contre 266 000 à la Réunion. Ainsi, pour les auteurs de cette étude, 4,7 % des Mauriciens ayant contracté le chikungunya seraient morts contre 0,1 % des chikungunyés réunionnais. Qui dit vrai en définitif ? Difficile de se faire une opinion. En tous les cas, pour le Dr Pierre, “cela ne remet pas en cause nos données sur la mortalité liée au chik car nos études de séroprévalence et statistiques corroborent ces résultats”. »

    Cela voudrait dire potentiellement 5% de 300 000 réunionais atteints, soit ….pas possible, trop énorme! Nous serions à plus de 10 000 morts contre 236 officiels.

    Qui dispose des chiffres de la mortalité à la réunion de 2000 à 2010 pour vérifier, car pour l’épidémie à E coli, les choses ne sont toujours pas claires: 50 morts ou 126 morts?

    1. Le chik a fait des mort mais à aussi couté cher en arrêts de travail (et à rempli les poches des «guérisseurs» en tout genre).

      Par ailleurs le système de soins à la Réunion est le plus performant de l’Océan Indien. Je suppose qu’il a permis de limiter les dégâts par rapport au reste des Mascareignes.

  6. J’ai lu le bouquin de JMP. Il ne m’a pas fait hurler. Il est certes orienté, mais il est plus descriptif que prescriptif, avec des bémols placés à bon escient. Mais on peut penser que ce genre de littérature est plus pernicieux que la propagande au clairon et à la grosse caisse ; je ne suis pas de cet avis.

    Á propos de la musique, il écrit par exemple, quasiment en conclusion du chapitre : « Pour que ces pratiques se développent dans le monde de l’agronomie et de la chimie, et pour autant que leurs résultats se confirment, une véritable révolution culturelle et culturale sera nécessaire. »

    Il semble y avoir un JMP du livre et un JMP de l’interview. Verba volent, scripta manent.

    1. => comme il y a un GES des publications et un GES des médias…

      1. Non. Il n’y a qu’un seul GES. Aussi imbuvable dans un cas comme dans l’autre. Et question manipulation et mensonges, il est en première ligue.

    2. Il semble y avoir un JMP du livre et un JMP de l’interview.

      C’est tout à fait exact.

      Il y a fort longtemps j’ai entendu JMP dans l’émission de France Inter, CO2 mon amour, expliquer que la stérilisation des sols de la Mésopotamie avait été due, suite à des troubles politiques récurrents, à l’abandon de l’entretien du réseau de drainage des sols irrigués, ce qui avait provoqué une salinisation des sols par évaporation.

      Plusieurs années plus tard, recherchant cette référence sur Internet, je ne l’ai pas trouvée. Aussi ai-je commandé sur Amazon son livre « Tour du monde d’un écologiste ». J’y ai trouvé la thèse selon laquelle l’irrigation avait provoqué la stérilisation des sols en Mésopotamie, mais pas que cela était dû à l’abandon de la pratique du drainage. De ce jour, j’ai considéré que JMP n’était qu’un menteur escrologiste parmi tous les autres.

      Depuis ces temps anciens,JMP a sans doute compris que mieux valait mentir oralement que par écrit, car Verba volent, scripta manent

      1. La salinisation d’un sol n’est pas due à l’abandon du drainage, mais elle est due à l’irrigation excessive de sol ayants des horizons salins ou sodiques.

        Si l’irrigation est supérieure à la capacité d’absorption des plantes + drainage du sol, il s’ensuit une solubilisation des sels des horizons inférieurs qui vont remontés par capillarité (puisque le sol est saturé d’eau).
        L’arrêt de l’irrigation (en cours de culture) permet donc l’évaporation de l’excédent d’eau. Les sels se cristallisent dans les horizons de surface et brûlent les systèmes racinaires des plantes.

        La salinisation se fait sur le long terme par des phases successives d’irrigation excessive et de dessèchement intense par évaporation. La teneur en sel des horizons de surface ne cesse donc de croitre jusqu’à atteindre des seuils toxiques pour les plantes et la vie du sol.

        Le drainage ne joue qu’un petit rôle dans la salinisation. La rôle majeur est l’excès d’eau dans des sols pauvres sodiques et l’évaporation de l’excès d’eau.
        Le drainage forcé est un outil de désalinisation : mise en place d’un réseau de drainage fort et irrigation massive de dissolution. Les sels sont dissous et évacués par le drainage.

        Cordialement.

        1. Ce que vous dites n’est pas contradictoire avec ce que j’ai entendu dire par Jean-Marie Pelt à la radio. Cela est plus détaillé mais laisse la porte ouverte à ce que l’abandon du drainage de l’eau d’irrigation en excès ait pu être à l’origine d’une salinisation progressive des sols.

          1. Avec un gros bémol :
            Le drainage sert à réduire (abattre) le niveau de la nappe dans une zone précise (zone humide).
            Les techniques des premières civilisations agricoles ne permettaient rien d’autre. C’est à dire uniquement des canaux à ciel ouvert pour canaliser les précipitations et ressuyer l’excédent des sols.
            Il est illusoire de croire que les mésopotamiens (par exemple) avaient la technologie pour irriguer correctement des zones arides et en même temps drainer ces terres de manière efficaces.
            Ces techniques sont récentes (début des Polders).

            La salinisation des sols à cette époque est due uniquement aux excès de l’irrigation (qui n’étaient pas encore bien maitriser).

          2. @ Daniel,

            OK, mais c’est pourtant ce que vous estimez impossible dans l’Antiquité que Pelt a raconté sur France Inter.

            Il y a au moins une de ses deux versions qui est erronée, soit celle de son livre, soit celle de « CO2 mon amour ».

        2. Bon résumé ! De mémoire cette salinisation des horizons de surface a eu un impact sur le choix des cultures et aurait poussé ces civilisation a cultiver des espèces plus résistances mais moins nutritives.

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