Phyto Victimes recrute

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L’association Phyto Victimes annonce le recrutement de représentants dans chaque région et département. Un point qui sera à l’ordre du jour de sa prochaine assemblée générale qui se tiendra à Nancy le 1er juin prochain.
Phyto Victimes est une émanation de l’association Générations Futures de François Veillerette  et se présente comme la caution morale des allégations de celui-ci. Ce recrutement de victimes de pesticides confirme la volonté de médiatisation de ce sujet. Procès et actions médiatiques contre le monde agricole sont donc malheureusement à prévoir.

16 commentaires sur “Phyto Victimes recrute

  1. « Procès et actions médiatiques contre le monde agricole sont donc malheureusement à prévoir. »

    Meuh non ! Procès et actions médiatiques d’agriculteurs pas très pros et de jardiniers du dimanche contre l’agrochimie !

    1. « …pas très pros… » ? Non, pas forcément.

      La « fatalité » n’existe plus. Toute maladie doit maintenant avoir une cause (externe bien sûr). Donc, de plus en plus, tout agriculteur – aussi « pro » ou peu « pro » soit-il – qui contracte une maladie aura tendance à la mettre sur le compte de sa profession. Surtout quand il va consulter des charlatans, style… Euh ! Pas de noms !

      Les accusations contre les produits chimiques et, surtout, les campagnes anti-pesticides agressives lancées en France depuis le fonds de commerce de M. Veillerette, avec l’appui de milieux intéressés (les manitous de l’agriculture biologique et de la distribution pour ne pas les nommer) ne feront qu’aggraver ce phénomène.

      J’ai lu que les agriculteurs avaient par rapport à la population générale un risque double de contracter la maladie de Parkinson. Dorénavant, tous les Parkinson d’agriculteurs seront « professionnels » ; et comme les pesticides ont été inscrits sur le tableau, tous les Parkinson seront dus au maniement de pesticides. Et comme l’industrie agro-chimique a les poches profondes…

      Quand ce fond de commerce sera épuisé – si la société ne réagit pas entre-temps, ce qui paraît fort probable – ou peut-être même avant, le tenancier du fond de commerce fera campagne pour faire dire que tous les Parkinson de non-agriculteurs sont dus au maniement de pesticides à usage domestique (moi, je garde précieusement un emballage, pour le cas où…).

      Ceci, pour autant que la campagne ne lèse pas les intérêts de ses alliés. Difficile, en effet, de mettre les marchand(e)s de roténone en accusation, surtout quand ils/elles siègent dans son conseil d’administration.

      Je pense qu’il faut lancer une campagne pour faire dire que les cancers du poumon des bureaucrates (enfin de certains) d’un certain âge sont dus au maniement de toner pour photocopieuse, du temps où on devait le verser dans le bac et qu’une maladresse vous transformait en ramoneur. Ça intéresse quelqu’un ?

      Et le Tippex, ça ne puait pas le benzène ?

  2. @ Wackes Seppi

    « l’industrie agro-chimique a les poches profondes »

    Profondes mais surtout bien remplies, les apiculteurs l’ont aussi bien compris.

    Plutôt que de demander des moyens pour protéger les abeilles vis à vis du varroa ou de la nosemose, conclure un pacte avec les agriculteurs pour développer des sites de butinage avec une flore diversifiée, soutenir la luzerne en toutes régions, se préoccuper de la capacité nectarifère des variétés cultivées et l’absence de facteur négatif pour les abeilles, naturels, il est tellement plus facile de chercher à toucher le jackpot auprès de l’industrie des phytos.

    Ce qui est surprenant, c’est que pour 2 des 3 agriculteurs dont les ennuis de santé sont sous les spots des médias actuellement, cancer de la vessie et myélome, les causes autres que les pesticides sont bien plus vraisemblables, benzène de l’essence ou du tabac pour le myélome et tabac pour le cancer de la vessie.

    Il est encore plus surprenant que contrairement à l’amérique du nord, il n’est jamais fait mention de procés contre l’industrie du tabac dans la presse française pour les atteintes à la santé sans contre partie, contre partie et choix délibéré collectif dans le cas de l’essence et du diesel, contrairement au tabac et au cas des fumeurs passifs, dont au sein de la famille et des enfants avant leur naissance ( 20% des mères continuent à fumer entre la conception et la naissance).

    Pour le dernier cas qui s’est penché sur sa cuve, cela reste non démontré.

    Quoiqu’il en soit les pesticides sont des produits dangereux, plus ou moins suivant les produits, avec lesquels il faut prendre des précautions, comme pour les peintures dans l’habitation, les solvants, les biocides contre les fourmies (initialement arsenic, désormais fipronil, imidaclopride…), les traitements du bois et des charpentes, l’essence pour l’automobile et la tondeuse….

    De fait les même règle devraient être appliquées à l’essence que celles appliquées aux pesticides vu la teneur en benzène dans l’essence considérable alors qu’elle est quasi nulle dans les pesticides depuis 30 ans.

    Pas vu de panneau sur les stations service de super 95 ou de super 98 signalant 1% de Benzène, on parle d’information du public?

    1. …… 20% des mères continuent à fumer entre la conception……

      +++++ Je m’abstiendrai de faire un commentaire égrillard là-dessus…….

  3. Le recrutement de victimes de pesticides………

    ===> Les queues vont s’allonger puisque’il n’y a plus d’obligation d’établir une relation de causalité!! C’est le triomphe de la victimisation. Surtout quand il y a quelques sous à récupérer!

    1. Il suffira de mettre sa tête dans la cuve de son pulvérisateur par une chaude journée d’été et ensuite se plaindre de tout un tas de symptomes subjectifs invérifiables pour être indemnisé!!
      L’agriculture çà eut payé et çà va re-payer………

  4. Bonjour je viens de prendre connaissance de l’existence de votre association nous sommes dans le Vaucluse je suis parkinsonien depuis 2008 j’ai été agriculteur je fais parti de l’association France parkinson a qui je vais faire part de et transmettre votre adresse internet .Sur le département il y a une personne qui a fait et déposé un dossier de reconnaissance pour le parkinson comme maladies professionnelles auprès de la MSA ce dossier a été reconnu comme maladies professionnelles maintenant reste à savoir comment en être indemnisé car c’est un lourd handicap et une action commune auprès des fabricants entre parkinsoniens serait mieux adapté que des actions individuelles afin de faire comprendre que ces produits polluants et dévastateurs à tout niveau sont un grand danger pour notre société et ce n’est pas facile pour un parkinsonien ni pour la personne accompagnent d’assumer seule ce combat contre toutes ses firmes qui mettent sur le marché des produits très dangereux à l’ère de l’écologie on ne comprend pas que le ministère en question ne s’attaque pas au problème c’est tout de même un sujet mondial concernant la santé cela ne fait pas réagir les responsables nationaux on va chercher d’autres potentiels pollueurs alors que là on n’a avec tout les produits qui sont à eux seuls une bombe à retardement mais le obi financier passe avant tout il serait grand temps que la ministère de la santé si il ne veut pas avoir plus de malades professionnels d’ici peu il a obligation d’intervenir et de faire interdire l’utilisation des ces produits
    Il est vrai aussi que les agriculteurs viticulteurs maraîchers arboriculteurs surtout fassent preuve d’une grande volonté et de ne plus utiliser ces produits il y a aujourd’hui moyen de lutter contre tout les phénomènes phytosanitaires par une prise de conscience que si on se donne les moyens de garder des terrains en friche pour favoriser l’installation des insectes prédateurs remettre certains insectes comme coccinelle et autres car cela est possible au lieu d’asperger à outrance car là aussi nous qui sommes dans l’environnement absorbons le produits eux ils ont un masque nous NON j’ai vécu une expérience toute bête à ce sujet car depuis que nous avons arrêter d’exploiter nos terres qui étaient en vigne et arbres fruitiers bien on se rende compte que l’on a moins de maladies et plus besoin de traiter ce que l’on a gardé les prédateurs s’y sont installés et tout le monde s’en porte pas plus mal alors il est grand temps de réfléchir mais sachez vous qui êtes en activité que cette maladie est vraiment injuste et très invalidante c’est une agonie lente avec déchéance de l’ensemble du corps avec beaucoup de souffrances au quotidien
    Si pour notre générations c’est perdu car pas suffisamment informés des risques d’utilisations de ses produits à ce moment là car ignorance totale pas ou peu d’informations sur le produits ses risques et son utilisation car il a peu de temps que l’on se penche sur ce problème et ce par l’action d’autres pays que la France je pense aux huiles jaunes aux désherbants en tout genre etc…il y a encore des pays qui n’ont pas de cahiers des charges en matière de traitement et qui utilisent encore ces produits il faut bien finir les stocks pas de perte pour le fabricant principalement le géant qui vend des poisons dans tout le monde et qui lui ne regarde pas si il détruit la race humaine et animale il s’en fou son seul intérêt faire du FRIC……. aujourd’hui on vous interpelle tous pour que vous ne soyez pas comme nous rapidement il y a un réel DANGER car les atomiseurs aujourd’hui ne sont pas les sulfateuses d’antan ils propagent beaucoup plus finement le produit qui part dans l’atmosphère donc tout le monde respire et absorbe les produits encore plus facilement il ne suffit pas d’être agriculteurs pour contracter la maladie de parkinson NON on respire l’air petits et grands alors REFLECHISSONS TOUS ENSEMBLE

    1. Giloubet merci pour votre témoignage, mais je crains qu’ici on ne vous rétorque qu’il n’y a pas de lien entre ces maladies et les activités

  5. Bonjour CTX je voudrai bien comprendre votre réponse il semblerait que je ne sois pas au bon endroit que je n’ai pas tapé la bonne adresse mail pour me battre contre ceux qui m’ont empoisonné car en tant qu’utilisateur surtout il y a plusieurs années en arrière ou il n’y avait pas de contrôle ni de réglementation et ou il y avait le plus de produits toxiques aussi bien désherbants que de traitement comme le DDT et autres ils ont été très largement employé par des hommes et femmes qui aujourd’hui se trouvent à la retraite alors c’est là que je veux en venir ne pas simplement se résoudre à démontrer que tout ces produits qui ont été pendant plusieurs années après guerre en agriculture qui ont leur effet depuis 20 ans et plus et encore plus aujourd’hui car ceux sont les enfants de ceux qui ont le plus été en contact avec ces produits il y a ici plusieurs générations de toucher par l’emploi de ses produits toxiques qui a l’époque faisaient parti du marché et étaient très prospecté alors dire que les agriculteurs sont fautifs je dis NON ils ont faits l’objet de fabricants peu scrupuleux qui ne méconnaissaient pas la dangerosité des produits qu’ils mettaient sur le marché de plus l’état est responsable car il est le principal pollueur en autorisant la vente de ces produits et leurs utilisations pourtant à l’époque il existait déjà une agence de contrôle c’est bon les paysans ont bon dos une fois de plus c’est tout de même un paradoxe cette profession qui pourtant nourrie l’être humain est continuellement la cible de remarques et d’accusations désobligeantes alors que l’on constate que personne ne se tourne trop vers les fabricants et les accusent de tout les mots que nous subissons au quotidien car aujourd’hui il est grand temps que l’HUMAIN se responsabilise un peu car il est entrain de se détruire de s’empoisonner et cela à tout les niveaux de la chaîne alimentaire et tout cela uniquement pour faire du PROFIT il n’ y a plus que cela malheureusement dans notre société le PROFIT voilà l’arme destructrice de tout ce qui nous fait partie de notre environnement et notre vie

    Quand à l’état qui parle du Grenelle de l’environnement sa mission première serait de combattre tout les lobbys polluants et ce dans tout les domaines alimentaires ,médicaments,industries etc…mais faut il encore qu’ils en est le courage et l’audace car là aussi il y a des intérêts qu’il ne faut surtout pas attaquer tant pis au risque de foutre en l’air plusieurs générations

    Interrogez vous à savoir si l’humain sera encore capable de se reproduire sainement ……il y a déjà des problèmes de stérilité de maladies orphelines et rares d’ou cela vient tout cela il n’y a pas de fumée sans feu alors ne dites pas que c’est les pollution par les carburants non il y a bien plus grave combien de traitements puissants et nocifs l’arboriculteur fait sur la pommes c’est un des fruits les plus traités du marché alors dites moi si vous avez des solutions plus raisonnables et surtout je souhaiterai avant tout savoir si je suis réellement sur le bon site pour défendre ma cause et celle de bon nombres de PARKINSONIENS présents et futurs .Merci je souhaiterai i une réponse franche et honnête MERCI

    1. @ Giloubet

      « …..pour me battre contre ceux qui m’ont empoisonné car en tant qu’utilisateur surtout il y a plusieurs années en arrière ou il n’y avait pas de contrôle ni de réglementation et ou il y avait le plus de produits toxiques aussi bien désherbants que de traitement comme le DDT et autres ….. »

      ====>>> plusieurs années en arrière ou il n’y avait pas de contrôle ni de réglementation:

      Cà remonte quand même à un bon bout de temps cette époque!! Disons environ 80 ans!! Puisque la Commission d’Etude de la Toxicité des Produits Antiparasitaires a été créée en 1934!

      Par ailleurs, j’ai un très bon ami historien et écrivain, âgé de plus de 80 ans, qui n’a jamais touché un produit phytosanitaire de sa vie, qui n’a jamais vécu à la campagne et qui est atteint d’une forme sévère de maladie de Parkinson. Tous les parkinsoniens ne sont pas agriculteurs et tous les agriculteurs ne sont pas parkinsoniens.

      La législation

      I. Le contrôle de la vente des produits phytopharmaceutiques en France

      Ne livrer aux cultivateurs que des produits efficaces et non dangereux est une préoccupation ancienne.

      Dès 1925, la Société de Pathologie Végétale et d’Entomologie Agricole adresse au Ministère de l’Agriculture le texte d’un vœu demandant l’établissement d’une réglementation de la vente des anticryptogamiques et des insecticides assortis, en cas de produits mal présentés, d’une intervention du Service de la Répression des Fraudes.

      Avec l’assentiment de Paul Marchal, Fernand Willaume va plus loin : il rédige un projet de plan de sélection des produits insecticides et fongicides commerciaux et le publie dans la Revue de Pathologie Végétale et d’Entomologie Agricole (1925, XII, 207 à 224).

      L’an suivant, le même auteur, à l’occasion d’un congrès tenu en mai 1926 à Lyon, pose «Le problème actuel des insecticides» en vue de la réglementation de leur vente. Progressivement, on arrive à la conception de l’homologation. En 1931, Trouvelot, Raucourt et Thénard écrivent les bases de l’homologation pour les produits commercialisés. Ils citent :

      — les Fongicides, qui sont alors la bouillie bordelaise, la bouillie bourguignonne, les bouillies sulfocalciques, le cuproarséniate de Schloesing, les soufres;

      — les Insecticides, soit la nicotine, le pyrèthre, la roténone, les arséniates de plomb, d’alumine, de calcium.

      Après dix ans de projets, de suggestions, en 1934, Henri Queuille, Ministre de l’Agriculture et médecin de son état, décide de créer la Commission d’Etude d’Emploi des Toxiques en Agriculture. Une liaison est établie entre le Ministère de l’Agriculture et les laboratoires de toxicologie des Facultés de Médecine et de Pharmacie de Paris.

      Puis c’est la guerre et l’occupation allemande.

      La paix revenue, la «Commission» de Queuille redouble d’activité. Les produits phytosanitaires sont classés en trois catégories selon une législation datant du Premier Empire. Les produits très toxiques sont groupés dans le «tableau A», dit des substances vénéneuses et leurs emballages doivent porter le mot «poison» en noir sur fond rouge accompagné d’une tête de mort et de deux tibias entrecroisés.

      Les produits présentant moins de risques pour le manipulateur doivent porter sur les emballages le mot «dangereux» en noir sur fond vert et sont inscrits au «tableau C».

      Les produits considérés sans danger ne sont pas classés et échappent donc aux restrictions d’emploi réservées aux produits des tableaux A et C. Disons tout de suite que le «tableau B» étant réservé aux stupéfiants, n’intervient pas dans la classification des Produits phytosanitaires.

      Un arrêté du 24 septembre 1965 confirme le classement des pesticides dans les tableaux A et C.

      Pour inscrire les produits dans tel ou tel tableau, on se base surtout sur la toxicité aiguë. Mais, très rapidement, on s’intéresse aux dangers que peuvent faire courir les «résidus» de traitements à l’homme et aux animaux. Dès 1934, A. Chappellier et M. Raucourt commencent à publier le résultat de leurs études sur les résidus d’arsenic que laissent les traitements dirigés contre le doryphore et le carpocapse des pommes.

      Puis, en 1954, pour bien poser le problème de la toxicité des produits et de leurs résidus, R. Fabre et R. Truhaut de la Faculté de Pharmacie de Paris et G. Viel, maître de recherche au Laboratoire de…

  6. je remercie se site sur ces précisions si ne livrer que des produits efficaces et NON DANGEREUX semble être une préoccupation ancienne comment expliquez vous le RETRAIT de produits phytosanitaires chaque années sur le marché pour toxicité la réponse est à contre courant de la réalité influence influence quelle société se cache la derrière !!!!!! bien sur le comble ce sont les agriculteurs le monde agricole que l’on va poursuivre pour utilisation de produits toxiques le monde à l’envers je rêve j’hallucine !!!!!

    CTX je comprends mieux le sens de votre réponse en effet il prouve qu’il n’y a pas de liens entre la maladie et les activités et l’utilisation des produits c’est se moquer du monde paysans !!!!

  7. ZYGOMAR vos propos sont scandaleux car vous vous trompez de cible si aujourd’hui on se révolte contre l’emploi de produits toxiques ce n’est pas pour percevoir des sous mais pour une action de protection de prises de conscience de l’humain qui est entrain de se détruire lui même mon cri d’alarme ne va pas dans le sens du profit mais PROTEGER NOS GENERATIONS PRESENTES ET FUTURES décidément vous n’avez rien compris vous savez cette maladie peut vous touché un jour et là vous comprendrez mieux ma démarche

    1. Que prouve que vous êtes réellement touché par la maladie de Parkinson et que prouve que vous êtes réellement ancien arboriculteur ?
      Rien

      A l’époque des premiers traitements phytosanitaires,la plupart des utilisateurs ne prennaient aucunes précautions.
      Pourtant il y avait de belles têtes de mort sur les bidons !!!,nul besoin de savoir lire pour comprendre que ces produits étaient dangereux.
      Pourtant,beaucoup d’agriculteurs avaient durant le printemps les mains et parfois même les avant bras, jaune de produit comme les colorants nitrés,certains avaient même les lèvres jaunes car ils fumaient en même temps.
      Malgré les nombreuses imprudences la plupart des ces agriculteurs ont franchi la barre des 80 ans sans gros problèmes de santé.
      Je ne dis pas que la maladie de Parkinson est absente ches les agris mais il fait mesurer relativiser .
      Je connais personnellement un employé agricole qui a déclaré cette maladie à l’âge de 50 ans.Il a aujourd’hui 60 ans et vie c’est vrai au ralenti.
      Durant sa vie professionnelle,il a manipulé beaucoup de produit sans prendre de précaution comme  » tout le monde » .Par contre ,la ferme où il travaillait plantait chaque année une grande surface de pomme de terre, et ce monsieur mélangait les plans de PdT à des fongicides en poudre sans gants et surtout sans masque,et là il a respiré une énorme quantité de ce produit chaque année pendant plus de 10 ans.Ces patrons sont bien sûr les premeirs fautifs,mais trop tard le mal est fait.
      Moi même durant facilement 10 ans,j’ai respiré des insecticides en poudre lors du stockage des céréales ,que je mélangais au grain en peletant durant des heures pour bien emplir les cellules.
      J’aurais peut être parkinson ou une autre maladie du à mon manque de précaution à cette époque mais ce n’est pas pour cela qu’il faut bannir les produits phytosanitaires.
      Mon oncle qui a 83 ans,est l’exemple même de l’agri qui ne faisait pas attention,lui aussi à avalé de la poudre d’insecticides ainsi que les poudres pour traiter les semences de céréale mélangé,à la pelle à grain, et le mouchoir sur le nez rouge de produit!!.
      Mon oncle est en parfaite santé,il parait 10 ans de moins, mon père également 79 ans et bien d’autres agris.

      Il faut arréter de faire peur aux consommateurs, qui ne risquent vraiment rien et dans tous les cas moins que respirer l’odeur de l’essence,de fumée de cheminée et de l’odeur de la cigarette du voisin.

  8. ME je suis triste de lire ce que vous écrivez car si je suis là sur ce site c’est que je pensais y trouver un soutien dans ma maladie c’est vraiment minable de votre part de mettre en doute ma parole …..

    En ce qui concerne les parkinsoniens le constat à l’échelon national démontre tout de même que ceux sont les agriculteurs qui sont les plus touché ce n’est pas moi qui le dis mais des professeurs et France parkinson alors là vous n’allez pas encore me dire que ce sont des mensonges il faut tout de même ne pas mettre en doute la parole de tout le monde

    Quand à faire peur aux consommateurs je dirai pas ce mot je dirai plutôt l’humain qui vie sur cette planète ce n’est pas pour faire PEUR mais simplement faire prendre conscience que cela existe et qu’il faut bien l’accepter et surtout essayez de s’en protéger maintenant si l’humain est assez bête et ignorant pour ne rien vouloir changer cela n’est plus mon problème DOMMAGE

    Je suis atteint du parkinson et je n’ai rien à prouvé pas plus à vous qu’à quiconque hormis ce qui me soigne mais si j’ai répondu à ce blog c’est que je pensai y trouver des interlocuteurs censés à l’écoute si j’ai participé c’est uniquement dans une démarche de PROTECTION ET INFORMATION mais il fallait bien mettre les mots ou bon endroit même si cela ne plait pas à tout le monde je sais qu’aujourd’hui la priorité et au capitalisme à outrance et que l’on fait l’impasse sur des situations bien plus préoccupantes mais que voulez vous c’est le reflet de notre société maintenant si il vous semble que l’expérience des anciens des gens malades ne vous intéressent pas bien écouter mettez vous un casque sur les oreilles des lunettes noires isolez vous du monde ce sera mieux pour vous quand à dire que certains n’ont pas contracter la maladie bien tant mieux pour ces personnes mais il ne faut en faire une REGLE D’OR mais je peux vous affirmer que le pourcentage le plus élevé dans cette maladie ceux sont bien les agriculteurs il doit bien y avoir une relation de cause à effet non ou je me trompe encore regarder vers FRANCE PARKINSON au niveau national les statistiques ont été rapporté au ministère de la santé comme quoi le pourcentage énorme de parkinsoniens étaient principalement des agriculteurs ou des personnes ayant manipuler des produits phytosanitaires alors arrêtez SVP par respect déjà pour ceux qui ont la maladie et qui le vive très mal au quotidien ce n’est tout de même pas de leur faute si ils en sont là il y a bien eu l’amiante là aussi ceux qui ont été touché ils l’ont fait exprès ceux qui sont mort ont fait le choix de mourir par l’amiante mon seul regret c’est que je me suis trompé de BLOG et d’association au juste je n’ai pas compris le rôle et l’existence de votre association « Alerte Environnement « 

  9. Si vous vous êtes trompé de blog, cherchez en un autre!!!

    Je participe à ce forum uniquement pour témoigner des pratiques agricoles de ma région.Je n’est rien a caché ( à part mon vrai nom).
    Je suis désolé pour tous les agriculteurs tombés malades mais je ne vais pas plaindre ,ceux qui, malgré les nombreuses recommandations,la formation Certiphyto,etc, continuent à ne pas se protéger lors des manipulations des phytos.( sur 6 agriculteurs au village, nous ne sommes que deux à nous protéger).
    On ne va quand même pas interdire les produits à cause d’inconscients?

    Je suis agriculteur,j’utilise des produits phytosanitaires,plus ou moins dangereux en toute conscience,je me protège lors du remplissage de l’appareil et lors des applications et je respecte la réglementation en général,où voyez vous le problème ?

    Alors si je vous écoutais,expliquez moi pourquoi l’exploitation de Paul Francois( en photo ) n’est pas passé en bio et utilise toujours des produits phytosanitaires ?

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