HCB : Fillon tente de recoller les morceaux

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Après le départ de plusieurs organisations membres du comité éthique économique, éthique et social du Haut conseil des biotechnologies (CFDT, GNIS, ANIA, FNSEA) à la suite de la publication de l’ avis sur la coexistence des cultures OGM et non OGM, François Fillon a demandé à Jean-François Dhainaut, président du HCB, de mener une mission afin « d’identifier les succès du HCB, mais aussi les difficultés auxquelles il se heurte. »
Notre contribution : chercher le consensus sur des sujets aussi chauds que les OGM alors que certains protagonistes membres du HCB sont strictement opposés à ces technologies et même au dialogue est une gageure.

Source : http://www.actu-environnement.com/ae/news/hcb-evaluations-tensions-cfdt-ania-gnis-fnsea-14897.php4

7 commentaires sur “HCB : Fillon tente de recoller les morceaux

  1. Tant qu’ils n’admettront pas que les écologistes millénaristes sont opposés à toute innovation ils s’entêteront à perdre leur temps et notre argent en concertations stériles.

  2. Il est impossible de discuter avec des gens qui sont par essence et par convictions idéologiques totalement réfractaires à toutes idées de progrès.
    Les gens qui prônent la décroissance et accuse la science et la progrès d’être la cause d »un prétendu déclin de la santé humaine et de l’environnement ne peuvent pas être associés à des organismes ayant pour but d’évaluer sereinement les progrès et avantages des nouvelles technologies et leurs risques associés.
    Quand je parle de risques, il faut comprendre un vrai risque = un phénomène connu dont on peut calculer la probabilité d’occurrence et les dégâts qu’il occasionnera.

    Les écolo-fondamentalistes sont des « fous de dieux ». Et si dans un débat (ce qui est rare puisqu’en général ils refusent le débat en accusant les détracteurs d’être à la solde des multinationales) vous les acculez dans leurs derniers retranchements, là où leurs idéologies est totalement prise en défaut (ce qui est en général très facile) alors ils vous lâchent une belle bordées d’injures (que le Capitaine Haddock ne renierait pas) et finissent par vous dire « tu ne peux pas comprendre, moi je crois en l’écologie »…

    Toutes ressemblance avec un fondamentaliste religieux et son fameux « moi j’ai la foi » n’est pas du tout fortuite !!!

    Mettre de telles personnes dans des « commissions » étatiques, c’est faire rentrer le loup dans la bergerie… Et espérer qu’il deviennent un mouton !!!

    1. Le but du CEES (caché derrière de belles déclarations) était précisément de donner un forum à ces fondamentalistes, ce qui a permis de polluer les avis scientifiques, d’en diluer la pertinence et, au final, d’ouvrir la possibilité pour le gouvernement de décider en fonction de son humeur.

      Nul doute que, pour la mouvance « verte » du gouvernement ainsi que pour les pétochards obnubilés par la crise de la vache folle, par exemple, le CEES était composé de FNE, Greenpeace, la Conf’, l’UNAF, etc., le reste siégeant pour la galerie.

      1. « donner un forum à ces fondamentalistes, »

        Leurs opinions, même formulées par un scientifique sous forme scientifique, quand elles sont utilisées pour essayer de – et réussir à – convaincre un public, ne sont rien d’autre que des propos politiques.

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