Combat Monsanto en danger !

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Marie-Monique Robin, la célèbre journaliste « indépendante » à la déontologie sans reproche lance un appel aux dons sur le site de son association combat-monsanto.org. La crise serait à l’origine de ses difficultés financières. Ne devrait-elle pas plutôt s’interroger sur son combat…

13 commentaires sur “Combat Monsanto en danger !

  1. C’est d’autant plus ridicule quand on voit leur besoin de budget annuel: 3660€ !!!

    2000€ pour « Refonte de notre site internet » et 1500€ pour « Publication d’une étude sur les conflits d’intérêts », où voit où sont les priorités…

  2. Les pauvres ils arrivent pas à trouver 3600 euro… allez un peu de porte à porte: Carrefour, Biovillage, Biocoop, il y a du fric brassé.

    1. Peut-être que l’image de folle-dingue-parano-hystérique de l’autre leur fait peur et ne les incite pas trop à la sponsoriser ! Ils ont beau être bio, ils sont pas fous, en tout cas ils ont montré qu’ils avaient le sens du commerce !

  3. Cet appel est d’autant plus ridicule que, selon les informations du bas de la page,

    « Nous sommes un collectif d’associations constitués sous la forme d’un Groupement d’intérêt Citoyen (GIC)*.
    Les associations suivantes sont membres du groupement :
    Greenpeace
    Fondation sciences citoyennes
    a.t.t.a.c
    Sherpa
    Les amis de la terre

    Ce site est soutenu par :

    (logos) La Découverte, Arte TV, Fondation Charles Léopold Mayer pour le Progrès de l’Homme

    Avec des membres et des sponsors aux poches aussi profondes, ils ont besoin de la charité publique ?

    ______________

    *  C’est quoi, cet animal ?

    1. « sciences citoyennes »

      Et, tant qu’on y est… Pourquoi pas « science prolétarienne » — sous-entendu : par opposition à la « science bourgeoise réactionnaire occidentale » — comme en Urss, au temps du tristement célèbre stalinien Lyssenko ? 🙁 🙁

  4. Quand on sait que la diplomatie américaine a oeuvré pour Monsanto (info Rue89) et que le professeur Séralini a dû crypter ses données pour limiter les pressions, on peut voir à quel point ces firmes ont le bras long, sans tomber dans la paranoïa.

    1. Sans oublier l’emplacement secret du laboratoire, pour éviter que les reptiliens viennent tout saccager

    2. N’importe qui peut chiffrer ses données, c’est un jeu d’enfant. Toute personne qui travaille sur un sujet important devrait le faire. De toute façon, chiffrement ou pas, ça ne change rien: son étude ne tient pas la route et se fait démonter même au parlement.

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