OGM : NKM dit oui…

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…aux revendications des ONG vertes. « On risque de voir réapparaître les OGM dans nos champs dès le printemps prochain » estime Sylvain Tardy de Greenpeace. Pourquoi ? Parce qu’à la demande de la justice européenne, la France doit revoir sa copie concernant la clause sauvegarde qui conduit à interdire la culture du Mon810 dans l’hexagone. Cette suspension de l’autorisation de la plus célèbre variété de maïs au monde a été prise en 2008 en se basant sur une directive européenne de 2001. Mais pour la Cour Européenne de Justice, la France aurait dû se baser sur la directive de 2003. Et ce n’est pas tout. La décision européenne pointe du doigt l’absence de preuve « manifeste » du risque lié à la culture du Mon810. Les études mises en avant par le gouvernement français à l’époque (c’était déjà NKM aux commandes des opérations) seraient aussi incomplètes. Bref, c’est la panique chez les écologistes qui s’imaginent déjà submergés de maïs OGM. Réaction surprenante puisque selon eux, tout le monde est contre les OGM. Alors de quoi ont-ils peur ?

La France doit donc revoir sa copie dans les plus brefs délais. Mais du côté de NKM, c’est tout vu. Si l’Europe annule la décision de 2008, « une nouvelle clause de sauvegarde » sera déposée. De son côté, EuopaBio estime que « les gouvernements ne pourront plus se baser sur des mythes et des ouï-dire. »

35 commentaires sur “OGM : NKM dit oui…

  1. « Et ce n’est pas tout. La décision européenne pointe du doigt l’absence de preuve « manifeste » du risque lié à la culture du Mon810. Les études mises en avant par le gouvernement français à l’époque (c’était déjà NKM aux commandes des opérations) seraient aussi incomplètes. »

    ce que tout un chacun non illuminé par la propagande anti-OGM savait depuis la décision de suspension…

  2. Séralini va devoir chier une nouvelle étude bidon, on va bien rire. En tous cas plus besoin d’acheter des semences en douce en Espagne ^^

  3. @ karg,
    « Séralini va devoir chier une nouvelle étude bidon, on va bien rire.  »
    => C’est déjà fait, elle s’intitule « Cytotoxicity on human cells of Cry1Ab and Cry1Ac Bt insecticidal toxins alone or with a glyphosate-based herbicide »

    Authors: Mesnage R., Clair E., Gress S., Then C., Székács A. and Séralini G.-E.

    Submitted in « Toxicology Letters »

    Ça fait quelques mois qu’elle a été soumise mais apparemment elle n’est pas encore passée… Un grand moment de science en perspective !
    Le 4ème auteur n’est autre que Christoph Then, un ancien porte-parole de greenpeace germany et maintenant à la tête de « testbiotech » une organisation anti-OGM allemande qui fait du lobby auprès des instances européennes…. ha pardon, j’oubliais, on dit « scientifique indépendant » et « lanceur d’alerte ».

  4. « La CEJ, Cour Européenne de Justice, vient d’annuler l’interdiction française de cultiver le maïs Mon 810 pour des motifs de forme »
    Mais elle semble malgré tout très conciliante
    « La Commission propose pour l’avenir d’élargir le champ des possibilités d’interdictions d’OGM »
    Problèmes éthiques et troubles à l’ordre public pointe le bout du nez.

    http://www.socopag.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=1246:cej–linterdiction-francaise-du-mais-mon-810-repose-sur-des-bases-juridiques-inexactes–&catid=13:france-europe-allemagne&Itemid=34

    1. Non, la Cour européenne n’a pas été conciliante. Elle a été priée de répondre à des questions préjudicielles posées par le Conseil d’État. Elle n’a fait que répondre, mais en ajoutant un avertissement clair pour l’avenir (voir mon commentaire ci-dessous).

      1. J’ai juste le sentiment que si la CEJ ne peut retenir dans sa décision que des arguments sanitaires et environnementaux, le souhait pour l’ avenir est bien d’ ouvrir ce champ à des options beaucoup moins rationnelles

  5. Quand on est ministre, membre du Gouvernement, on se préoccupe, en principe, de l’avenir de la Nation.

    Quand on est ministre de l’environnement, on se préoccupe prioritairement de flatter une mouvance, et ce, plutôt deux fois qu’une au mépris de l’avenir de la Nation. Toutefois, comme on peut avoir des opinions diverses sur l’avenir de la Nation, ledit ministre peut toujours rationaliser ce mépris.

    Mais Mme Nathalie Kosciusko-Morizet vient de nous démontrer qu’il y a pire : quand on est ministre de l’environnement, on affiche le plus grand mépris pour l’autorité des instances judiciaires et, partant, pour les fondements mêmes de la démocratie et de nos sociétés.

    Que dit-elle en effet ? Quoi qu’ait pu dire la Cour de justice de l’Union européenne, et quoi que dise le moment venu le Conseil d’État, la France prendra une nouvelle clause de sauvegarde.

    Enfin… le communiqué de presse est une merveille de xylolalie*. Selon le résumé, destiné à la clientèle du ministère, « une nouvelle clause de sauvegarde sera prise le cas échéant » (« le cas échéant » devant signifier : si le Conseil d’État annule les arrêtés sur lesquels repose le « moratoire actuel ». Mais, selon la fin, le Gouvernement « tirera (…) les conséquences de cette décision et prendra si nécessaire d’éventuelles mesures, comme une clause de sauvegarde selon la procédure jugée adéquate par la CJUE. »

    Mais notez bien le mépris affiché pour la décision de justice** qui, quoi que dise le moment venu le Conseil d’État, s’impose déjà au Gouvernement français (et aux autres) :

    Selon le communiqué : « Il s’agit d’éviter la mise en culture d’un OGM qui n’a pas été évalué suivant les nouvelles exigences demandées au niveau européen ou pour lequel des incertitudes quant à ses impacts potentiels sur l’environnement persistent. »

    Selon la Cour européenne*** : « La Cour juge, par ailleurs, s’agissant des conditions de fond des mesures d’urgence adoptées en application du règlement n° 1829/2003, que ce dernier impose aux États membres d’établir, outre l’urgence, l’existence d’une situation susceptible de présenter un risque important mettant en péril de façon manifeste la santé humaine, la santé animale ou l’environnement. (…). »

    Donc mesquinerie procédurale et « incertitudes » d’un côté, « risque important mettant en péril de façon manifeste la santé humaine, la santé animale ou l’environnement. » de l’autre.

    Est-il besoin de rappeler que l’événement MON810 est cultivé sur des millions d’hectares et ingéré par des millions de têtes de bétail ?

    ______________

    *  http://www.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/2011-09-08_CP_Arret_de_la_Cour_de_Justice_de_l_UE_sur_la_clause_de_sauv-_de_Monsanto_810.pdf

    **  Et le droit communautaire que la France a contribué à établir, la Cour n’ayant fait que rappeler ledit droit.

    ***  Selon le communiqué de presse : http://curia.europa.eu/jcms/upload/docs/application/pdf/2011-09/cp110086fr.pdf

    1. Ah, oui ! Parce que la misère et le sous-développement au fin fonds de la forêt amazonienne c’est la faute à la bulle immobilière. Parce que la pauvreté des immigrés irréguliers des pays voisins encore plus pauvres pour bénéficier des allocations sociales de la République, c’est la faute aux français blancs ? Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages !

      1. 900 euro par mois pour une maison avec deux chambres à Kourou. Si tu travailles personne ne te loue quoique ce soit, si tu es RMIste les portes sont grandes ouvertes: la CAF paye les 3/4 du loyer qui tombent directement dans la poche du proprio.

        Avant de parler de la Guyane il faut y avoir vécus. Le système français est une machine inciter l’oisiveté et aux mauvais comportements. Beaucoup de métro se comportent comme des salauds (pédophilie, arnaque, corruption) donnant aux locaux une image effroyable de ce qu’il faut faire pour avoir un pays développé.

        Avoir un terrain à cultiver est très compliqué, il faut s’inscrire sur des listes d’attente et ça prend parfois plus de dix ans pour récupérer 2ha de forêt et de brousse à valoriser à la main. Les écogistes veulent maintenir la Guyane à l’état naturel, quitte à entasser la population locale dans des ghettos merdiques à coup d’allocation familiale et de RMI.

        Les contraintes et les avantages de la réglementation française ne sont absolument pas adapté à ce front pionnier. Des bataillons de blancs abrutis viennent foutre la merde. La Guyane devrait être plus autonome et pouvoir se développer librement.

      2. AMHA, si la vie est presque aussi chère en Guyane qu’à Paris, c’est bien parce qu’il y a des métros et affiliés qui peuvent payer grâce à leurs primes etc…

        Si même les produits de bases passent par Rungis plutôt que par la frontière la plus proche, s’il est impossible d’obtenir des terres à cultiver, s’il est impossible de disposer de traitements phytos efficaces, s’il est impossible d’exploiter l’or, même proprement, c’est aussi grâce aux règlementations votées par un parlement qui n’y a jamais fichu les pieds et qui au fond s’en tamponne.

        Il suffit de voir le nombre de personnes qui cultivent illégalement pour comprendre que c’est pas la volonté ni le travail qui manque.
        La Guyane pourrait se développer si elle avait pas seulement le droit au CSG.

  6. La Cour de justice de l’Union européenne vient de prendre une décision déterminante dans le dossier OGM et apiculture. Le miel contenant du pollen issu de maïs génétiquement modifié MON810 ne peut plus être commercialisé, car ce pollen n’est pas autorisé en tant que tel par l’Union européenne.

    http://curia.europa.eu/jcms/upload/docs/application/pdf/2011-09/cp110079en.pdf

    Rappel
    Le mais n’est pas une plante mellifère
    Très peu de pollen de mais est récolté par les butineuses et on le retrouve a l’état de traces dans certains miels de zone de grande culture comme dans le miel de tournesol
    Bref on a affaire a une guérrilla juridique visant a interdire la culture du Mo 810
    D’après le communiqué de l’UNAF
     » En 2005, M. Bablock, apiculteur allemand, a constaté la présence de pollen issu d’OGM
    dans les productions de ses ruches, situées à proximité d’un champ de maïs MON810.
    Estimant que cette présence rendait ses productions impropres à la consommation, il a
    décidé de saisir la justice pour obtenir réparation de son préjudice. La décision de la Cour
    de l’UE intervient à la suite d’une saisine d’une juridiction allemande sur plusieurs questions
    préjudicielles pour pouvoir statuer dans cette affaire »

    « cette décision confirme que la coexistence est impossible entre
    les OGM et l’apiculture et la France va devoir faire un choix entre ces deux
    productions. Le miel est un produit naturel, il doit le rester ! Le consommateur
    l’exige ».

    1. @ Dany,
      En fait ce qu’il est important de retenir dans cette histoire c’est qu’il s’agit un problème bien spécifique au MON810. En effet, celui-ci n’a été homologué que pour les produits dérivés que sont la farine de maïs, le gluten de maïs, la semoule de maïs, l’amidon de maïs, le glucose de maïs et l’huile de maïs. Monsanto a fait l’erreur de ne pas homologuer ce maïs pour « tous les produits dérivés possibles du MON810 » (ce qui aurait été beaucoup plus simple). Syngenta a eu l’intelligence de le faire avec le Bt11 par exemple. Donc si vous avez des traces de pollen de Bt11 dans du miel celui-ci sera homologué et pourra être commercialisé sans problème ( et sans étiquetage). Par contre si vous avez des traces de MON810 (je crois que le problème est le même pour le NK603, pas sûr, à vérifier) le miel ne pourra pas être commercialisé. C’est assez comique en fait mais les consommateurs européens amateurs de miel devront en payer les frais dans les semaines à venir, 40% de notre miel est importé de pays comme la Chine, l’Argentine et le Brésil, les deux derniers cultivant du MON810.
      Il est clair qu’à l’avenir les semenciers prendront leurs mesures et feront en sorte de demander une homologation qui couvre l’ensemble des produits pouvant contenir des dérivés ou des traces de leurs PGM.

      1. « Monsanto a fait l’erreur de ne pas homologuer ce maïs pour « tous les produits dérivés possibles du MON810″  »

        >> Belle révélation de l’escroquerie qui se cache derrière les OGM!!!

        1. José.B dit :
          11 septembre 2011 à 9:18
          « Monsanto a fait l’erreur de ne pas homologuer ce maïs pour « tous les produits dérivés possibles du MON810″ »

          >> Belle révélation de l’escroquerie qui se cache derrière les OGM!!!

          *** Pauvre type.

          1. M. Zygomar, il m’est venu à l’idée de répondre exactement la même chose avant de vous lire.

        2. Votre cerveau fonctionne vraiment bizarrement M. José B.

          Je suis sur que plus d’un psychiatre aimerait vous ausculter!!!

          1. daniel dit : 12 septembre 2011 à 16:02
            Votre cerveau fonctionne vraiment bizarrement M. José B.

            Je suis sur que plus d’un psychiatre aimerait vous ausculter!!!

    2. Merci de ces informations précieuses. Jusqu’à présent je savais que les producteurs bio s’opposaient aux cultures OGM pour préserver leur pureté génétique – raciale, pourrait-on dire ! Mais alors, si en plus l’UNAF s’en mêle, il est certain que Saint-Georges terrassera le dragon Monsanto !

    1. « Les abeilles aiment le purin… »

      tout comme les fruits en décomposition, les poubelles humaines, la viande plutôt rance …

      Mais c’est que du « naturel » tout ça voyons ! Pas de quoi effrayer un bobo … Quoi que, si on faisait le test ?

      1. « tout comme les fruits en décomposition, les poubelles humaines, la viande plutôt rance  »

        >>La Coupe Est Pleine croit que ses propres pratiques s’appliquent aux abeilles!!! C’est tout à fait faux!!!

        1. José.B dit :
          11 septembre 2011 à 9:14
          « tout comme les fruits en décomposition, les poubelles humaines, la viande plutôt rance »

          >>La Coupe Est Pleine croit que ses propres pratiques s’appliquent aux abeilles!!! C’est tout à fait faux!!!

          ***** Vraiment un pauvre type!

  7. M. GFP (10 septembre 2011 à 22:56) a écrit :

    « En fait ce qu’il est important de retenir dans cette histoire c’est qu’il s’agit un problème bien spécifique au MON810. En effet, celui-ci n’a été homologué que pour les produits dérivés que sont la farine de maïs…

    Je n’en suis pas sûr, s’agissant de la portée du problème. Cet arrêt – parfaitement logique et rationnel dans l’état actuel du droit – est susceptible de compliquer voire d’empêcher les essais sur des événements non encore homologués.

    L’Union européenne a dû, compte tenu du délire réglementaire actuel, adopter un texte sur la présence fortuite, dans les produits importés, d’OGM non encore autorisés en Europe. Il y allait de la poursuite des échanges commerciaux, essentiellement avec le continent américain. Il faudra peut-être bien un texte similaire pour la présence fortuite d’OGM en cours d’essai.

    1. @ M. Wackes Seppi,

      « Je n’en suis pas sûr, s’agissant de la portée du problème. Cet arrêt – parfaitement logique et rationnel dans l’état actuel du droit – est susceptible de compliquer voire d’empêcher les essais sur des événements non encore homologués. »
      => Effectivement, je n’avais pas pensé à cet aspect (et il est important ! ). Je n’avais considéré que les cultures commerciales. Cet arrêt rend bel et bien impossible tout essai de plante non homologué en Europe (si la plante produit du pollen). Il faudrait mettre en place des distances d’isolement de plusieurs km avec l’installation de ruches ce qui rend l’essai impossible dans les faits. La situation est ubuesque.

      « L’Union européenne a dû, compte tenu du délire réglementaire actuel, adopter un texte sur la présence fortuite, dans les produits importés, d’OGM non encore autorisés en Europe. Il y allait de la poursuite des échanges commerciaux, essentiellement avec le continent américain. Il faudra peut-être bien un texte similaire pour la présence fortuite d’OGM en cours d’essai. »
      => Et encore, le seuil des 0,1% de présence fortuite qui s’applique aux produits non encore homologués en Europe ne concerne que l’alimentation animale ! Peut-être que le jour où ce seuil sera aussi appliqué à l’alimentation humaine ce problème sera résolu ? (si on peut l’appliquer aux produits non-importés ? ).

  8. « Cytotoxicity on human cells of Cry1Ab and Cry1Ac Bt insecticidal toxins alone or with a glyphosate-based herbicide »

    Quelque chose me dit qu’on va bien se marrer !
    Bon, la recette est toujours la même : flinguer des cultures de cellules en les immergeant dans un peu n’importe quoi (avec si possible un bon surfactant histoire de leur bousiller les membranes).

    1. @ Ryuujin,
      « Quelque chose me dit qu’on va bien se marrer ! »
      Il sera rigolo de voir quelle est la source de la protéine Bt. Séralini milite pour que les semenciers utilisent la protéine extraite de la plante pour les essais toxicologiques. Je suis prêt à parier qu’il a utilisé de la protéine purifiée à partir d’E.coli ou de B.thuringiensis.

  9. C’est un journal plutôt bon (IF de 3.5), et je n’ai pas l’impression qu’on puisse suggérer des reviewer. Ça va être coton pour qu’il passe : je crois qu’on peut déjà prendre des paris.

  10. Bon, tous les bloggeurs sérieux du site sont d’accord les travaux de Séralini sont inconsistants, lorsqu’ils ne sont pas mensongers.
    Les différentes commissions s’étant exprimé dessus ont rendu des avis circonstanciés et plein d’humour au sujet de ses travaux.
    Indépendamment de cela, il ne parait pas opportun de faire du dossier un sujet politique à l’approche d’échéances électorales en France et en Allemagne.
    Va pour  » La Commission propose pour l’avenir d’élargir le champ des possibilités d’interdictions d’OGM  »
    Expliquons que la France ne veut pas, parce que les français n’en veulent pas, et ils n’en veulent pas, parce qu’ils ‘en veulent pas. Point. On est parfaitement prêt pour voir la part de notre budget alimentaire revenir au niveau des années 60.
    Rendons la responsabilité à chaque pays d’autoriser ou non la culture, mais pas en France : vu les volumes qui alimentent les élevages européens et la chienlit économique qui s’annonce, je ne pense pas que l’écologie soit une valeur montante, enfin pas avant dix ou quinze ans à venir.
    Inutile d’offrir à ses Héraults un dernier baroud d’horreur, qu’ils quittent la scène comme leur ami E coli a su si bien le faire pour , là on sait pas trop, selon les sources entre 4000 et 8000 personnes identifiée en Europe, dont officiellement ( à préciser), 50 y laisseront leur vie, bref dans un bruit étouffé et odorant.
    Les grandes maisons de parfum pourraient nous la ressortir : « E coli » , le parfum des expériences que l’on oublie pas .
    Demander à N Mamère, grand spécialiste d’E coli puisque qu’on lui doit d’avoir permis d’identifier avec plus de certitude que c’était bien des graines de fénugrec Bio, grâce à ses choix éclairés et l’utilisation de ses administrés comme cobayes par ses services , son opinion sur la question comme pour les OGM sera certainement éclairante.

  11. « Expliquons que la France ne veut pas, parce que les français n’en veulent pas, et ils n’en veulent pas, parce qu’ils ‘en veulent pas. Point. On est parfaitement prêt pour voir la part de notre budget alimentaire revenir au niveau des années 60. »

    Je crois savoir de source sûre que les Français ne veulent pas d’impôts ni de taxes.
    Bon, alors, c’est pour quand leur interdiction !?!

    1. Pas d’impôts, un flic derrière chaque allogène qui oserait violer la loi, la dissuasion nucléaire et une armée qui vient sauver les africains (pas comme au Rwanda en 1994) mais qui fait pas de guerre coloniale (comme la Libye en 2011), une allocation de 10 000 euro par mois pour tous et bien sûr l’électricité 100% renouvelable gratuite. Faire des référendums, c’est ça la solution !!

      1. Vous avez oublié une vieille promesse jamais tenue, que si on l’inscrivait dans la Constitution après referendum elle le serait certainement : « Demain on rase gratis » !

        1. Aujourd’hui ça serait plutôt épilation définitive laser pour tous et greffe de poils de synthèse en cas de changement de mode garantie…

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