Fruits et légumes : le coût de la main d’oeuvre

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« Onze polonais, trois Espagnols et seize étudiants », c’est le nombre d’embauches nécessaires, chaque année, pour la récolte de fruits rouges dans une exploitation de 4,2 hectares à Saint Romain Lachalm dans les monts du Velay. Cette information anti langue de bois recueillie dans la France agricole du 26 février dernier résume un des problèmes majeurs du secteur. Coût de la main d’œuvre + pénibilité du travail = absence de français embauchés !

4 commentaires sur “Fruits et légumes : le coût de la main d’oeuvre

  1. « Coût de la main d’œuvre + pénibilité du travail = absence de français embauchés ! »

    C’est que le Français c’est fragile vous savez ma pauvre dame…

  2. Rien ne dit que les étudiants ne soient pas français et dans l’exemple ils sont majoritaires, c’est encore plutôt un bon signe.
    Mes filles ont écumés les petits boulots saisonniers (cerises, pommes, vendanges, castration maïs, maraichage, stockage de paille-foin pour le négoce, mais aussi hôtellerie/restauration) pour se faire un peu de blé pour les études, c’est vrai que ce sont des boulots payés à l’arrache parce que non-qualifiés et donc facilement accessibles pour ceux qui veulent bien se donner un peu de peine, quant à y faire carrière comme salarié c’est autre chose, il est normal d’ambitionner un meilleur avenir…

  3. Je corrige au cas où cela prêtrait au flanc, peu importe qu’ils soient français ou non, ils sont étudiants en France.

  4. « Mes filles ont écumés les petits boulots…. castration maïs…pour se faire un peu de blé…. »

    Pour la castration, c’est sûr, les filles y a pas mieux….Et castrer le maïs pour faire du blé, les OGM n’y sont pas encore arrivés……

    Bon d’accord, je sors!!

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