Ouverture

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kokoDevant la multiplication des textes (très longs) publiés par Dominique Guillet, nous avons été obligé de supprimer certains commentaires trop volumineux. Nous invitons Dominique Guillet et nos contributeurs réguliers à privilégier les liens hypertexte au lieu de recourrir au copier-coller.

Mais, comme nous sommes ouverts aux différentes opinions, nous publions une lettre ouverte envoyés par Dominique Guillet. Intitulée « Lettre ouverte aux agriculteurs progressistes qui s’apprêtent à semer du maïs transgénique », cette lettre ouverte signée par Jean-Pierre Berlan (INRA) est en ligne sur le site de l’association Kokopelli (lire la lettre).

Le débat est ouvert.

3 commentaires sur “Ouverture

  1. Tiens, encore une mystification !
    Il me semble bien que Mr BERLAN est un ANCIEN directeur de recherche de l’INRA, qui plus est en sciences économiques … (http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Pierre_Berlan ) ( faites une recherche sur le site de l’INRA, on ne trouve quasiment plus rien, a croire qu’il a été effacé …)
    Mais cela fait tout de même bien de signer INRA au bas de ce torchon !

    Dernière petite remarque, pour une lettre ouverte, c’est un peu dommage que l’on ne puisse pas réagir sur le site de notre « ami »

  2. « a croire qu’il a été effacé … »
    ils lui ont juste montré où était le placard… Faut dire que pour un agronome nommer les produits phytosanitaires d’agrotoxiques ou s’exclamer que l’espace cultivé, le champ, n’est plus un lieu de biodiversité et de s’en plaindre: « Finie, la diversité de la Nature ! » doit faire un peu tache.
    De même que cette interrogation dirigée: « Et Terminator ne révèle-t-il pas avec éclat que cette stérilité est l’objectif de tout sélectionneur/semencier ? » Alors qu’il n’a jamais existé et n’a jamais été commercialisé. C’est un procédé qui en est resté au niveau du brevet.
    Le petit cours-maison du parfait producteur de semence et cette phrase « Qu’au nom de ce même Progrès, les fabricants d’agrotoxiques, les « coopératives », l’État, la FNSEA, l’Inra (mon employeur!) vous poussent dans cette même voie ruineuse avec le maïs et les autres plantes transgéniques ne devrait pas vous étonner. » on du avoir raison de sa disparition prématurée de cette institution…

  3. Et en plus, il ne connaît ni le français, ni la génétique…

    En effet, il résume la définition du mot variété à une seule de ses acceptions, négligeant (volontairement ?) un sens courant que l’on retrouve dans n’importe quel dictionnaire (pour moi, c’est le Petit Robert) :
    « Subdivision de l’espèce, délimitée par la variation de certains caractères individuels »
    Et ce n’est pas une acception récente, puisqu’elle est attestée dans ce sens depuis 1690.

    Et il ne connaît pas non plus la définition du mot clone :
    « descendance d’un individu par multiplication végétative »

    Or les variétés hybrides de maïs commercialisées sont bien issues de multiplication sexuée, et ne peuvent donc prétendre au qualificatif de clone.

    Normal que l’INRA ne tienne pas à conserver dans ses rangs de tels boulets

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