Public Sénat en flagrant délit de censure (c’est confirmé)

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L’information dont nous vous faisions part ici est confirmée : l’Union des Industries Chimiques (UIC), dont la participation était prévue le 17 janvier sur Public Sénat dans l’émission « le docu » a bel et bien été censurée par la chaîne. L’UIC devait participer au débat suivant la diffusion du documentaire de Stéphan Horel « La grande invasion » sur les perturbateurs endocriniens… et s’est vu refuser l’accès à la télévision. Sur le plateau : Stéphane Horel, la réalisatrice, Gilbert Barbier sénateur du Jura, membre de Office parlementaire des choix scientifiques et technologiques à l’Assemblée nationale, Dominique Gombert, directeur  de l’évaluation des  risques à l’ANSES et Rémy Slama, chercheur à l’Inserm et épidémiologiste.

C’est Stéphane Horel elle-même qui au dernier moment a refusé la présence de l’UIC, qui a été remplacé par… André Cicollela, porte-parole  du  réseau Environnement, administrateur de la Fondation Sciences Citoyennes, membre de la Commission Santé d’EELV, membre du conseil scientifique du WWF-France.
Bref, une drôle de conception du débat de la part du chaine publique financée par les contribuables français !

6 commentaires sur “Public Sénat en flagrant délit de censure (c’est confirmé)

  1. Une suggestion :
    Pour un meilleur suivi des commentaires successifs postés au bas des articles mis en ligne, il serait opportun que chaque billet soit pourvu d’un titre.
    Ce qui permettrait à nouveau de différencier le fil de discussion dans lequel est soumise chaque intervention.
    Titre qui fait suite au nom ou pseudo, dans la colonne « Derniers commentaires ».

  2. @ Webmaster d’alerte environnement:

    Un flux RSS des commentaires serait vraiment utile !

    Les derniers commentaires de la colonne de droite ne donnent plus aucune indication dès qu’il y a un débat nourri sur un billet.

  3. Public Sénat se france-interise… une conséquence de la prise de pouvoir par la gauche ?

    1. ça doit être ça. Merci de cette idée, à laquelle je n’avais pas pensé, mais sinon quelle autre explication ? Les journalistes du service public ne se gaussent-ils pas souvent des journalistes du Figaro qui seraient à la solde du grand capital ? Ils devraient un jour essayer d’apercevoir la poutre qu’ils ont dans l’œil !

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