Les Verts prêts à contaminer les bébés avec du cannabis ?

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Très vraisemblablement, la plupart des électeurs d’Europe Ecologie ignorent que leurs candidats sont favorables à la dépénalisation de la drogue. Et pour cause, ce fait n’est mentionné ni sur le site d’Europe Ecologie ni dans leur programme. Pourtant, les Verts, composante importante d’Europe Ecologie, ont toujours été favorables à cette dépénalisation. Ainsi, en 2007, « les Verts demandent que le cannabis soit légalisé et que les autres drogues soient dépénalisées afin de mettre en place une politique de réduction des risques qui ne juge pas les usagers, mais les accompagne, selon leurs besoins ». Position confirmée par Eva Joly en juin 2009 : « Il y a un accueil favorable par principe à la dépénalisation de l’usage du cannabis par le groupe des Verts. » Tout en concédant qu’il ne s’agissait pas de « la première priorité », elle considère cette mesure avec bienveillance car « cela réduirait les flux financiers illicites ». Daniel Cohn-Bendit se positionne sur la même ligne : « Si l’interdit sur le hasch était levé pour faire jouer la concurrence et le marché, tout en imposant une forme de régulation, les prix s’effondreraient comme l’appât du gain ». On imagine aisément l’explosion de consommation au cas où le hasch deviendrait accessible à toutes les bourses…

Alors, me direz-vous, contrairement aux produits chimiques disséminés dans la nature, la consommation de drogue relève d’une question de choix individuel, sans impact pour les autres. Eh bien non ! Comme l’a révélé une étude du Conseil National de la Recherche Italien en juin 2007, des traces de cocaïne et du principal constituant de la marijuana et du hashish ont été retrouvées dans l’air de Rome. Pour la cocaïne, on en a détecté 100 picogrammes par mètre cube d’air. Plus inquiétant encore : en mai 2009, une nouvelle étude, réalisée à Madrid et à Barcelone par le Conseil Supérieur de la Recherche Scientifique (CSIC) espagnol, a permis de détecter dans ces deux villes des traces d’amphétamine, d’opium, de cannabis, de LSD et, en plus grandes quantités, de cocaïne. Les doses de cocaïne sont entre 29 et 850 picogrammes par mètre cube d’air. Des milliers de fois supérieures aux doses tolérables. Une scientifique espagnole, ayant participé à cette étude, Miren López de Alda, assure pour sa part que « même en vivant mille ans dans ces rues, nous ne consommerions pas l’équivalent d’une dose de cocaïne en respirant cet air ». Face à ces propos rassurants, Alerte Environnement appelle à la rescousse les professeurs Séralini, Belpomme et Cie. Ceux-ci pourront, bien mieux que nous, expliquer que ces traces de drogues douces et dures sont ingérées par la population, à faible dose certes mais de manière constante, ainsi que surtout par les personnes les plus vulnérables comme les bébés. Ces éminents scientifiques pourraient expliquer la possibilité d’un effet cocktail « LSD, cocaïne, hasch » catastrophique pour la santé de nos enfants. Enfin, nous n’osons pas imaginer la catastrophe sanitaire si les écologistes arrivaient à leurs fins en dépénalisant la drogue, accroissant ainsi de façon exponentielle les traces de drogue libérées dans l’atmosphère… Alors, les Verts sont-ils vraiment prêts à contaminer les bébés avec du cannabis ?

25 commentaires sur “Les Verts prêts à contaminer les bébés avec du cannabis ?

  1. Ce doit être un des seuls points sur lequel je suis d’accord avec les écolos. J’irai encore plus loin que la dépénalisation (qui ne réduit pas le problème du trafic) mais je le légaliserais, exactement comme aux Pays-Bas (même si aux Pays-Bas il y aurait encore quelques hypocrisies à supprimer par rapport à la production et l’approvisionnement des coffee shops). On aurait ainsi un contrôle de la production, de la qualité du produit et de la consommation…. et une belle manne financière pour les caisses de l’Etat et les agriculteurs. Et ce n’est pas une légalisation qui augmenterait la consommation: Les ados aux Pays-Bas ne sont pas les jeunes européens qui fument le plus.

    1. Sur l’article d’abord.

      Merci à l’auteur c’est à mourir de rire. Un titre racoleur ,une belle petite photo de bébé pour choquer, et des conneries à n’en plus finir… vmt c’est très drole.

      @Daniel

      J’crois qu’on vit pas sur la même Terre Daniel. Pour ce qui est des études renseigne toi sur qui les écrits (ou les finances 🙂 )et dans quel revue médical ils sont publiés. Navré de rappeler de telles évidences mais chaque joint est différent des autres et nous avons tous des métabolismes différents. Le fait de dépénaliser n’entraîne nullement une augmentation de la consommation, le cannabis à énormément de vertus thérapeutiques, un joint ne conduis pas à la consommation d’héroïne… je continue?

      Si on légalisait, ça passerait ptetre d’une mafia à une autre (ETAT) mais en principe y’a des contrôles sur ce que fait l’Etat dc je préfère… la qualité sera au rdv et on sponsorisera plus le traffic d’être humains en achetant son herbe; la diminution des prix par contre j’y crois pas! Par contre c’est un beau débouché pour les agriculteurs.

      PEACE

      1. L’agri te répond,va te faire foutre pas question de produire ta merde.

  2. Tout pareil comme GFP… 😉
    Le problème avec la drogue est beaucoup plus la criminalité induite par son interdiction que sa consommation elle-même.
    … Et l’histoire a pourtant éclairé concrètement la réalité des problèmes de la drogue avec la prohibition….

    La principale drogue légale en France (l’alcool), a vu sa consommation baisser de façon importante avec les campagnes d’information et la hausse du niveau de vie…. cela se passerait exactement de la même façon avec les autres drogues.

    Quand à l’étude sur l’air de Rome… elle vaut en rigueur scientifique les torchons brandis par les « lanceurs d’alertes » que dénonce régulièrement ce site.
    Titre accrocheur, information à la hache, utilisation de pseudo-études en justification de points de vue outrancièrement moralisateurs… C’est du deuxième degré??? Un pastiche de l’éco-catastrophisme??? un éco-warrior malin qui a réussi à hacker ce site???…. ou tout simplement un dérapage???

  3. Et pour arrêter la réflexion, il y a des drogues plus puissantes que d’autres… la télé par exemple… ou la morale psycho-rigide…

  4. @ Zygomar
    Le shit se fume mais ne s’injecte pas, mais bon…

    Merci de la précision!! Cà fait effectivement avancer le schmilblick!

  5. Bonjour à tous.

    je crois que le vrai sujet de cet article n’est pas la drogue en elle même mais plutôt les incohérences « scientifiques » des écologistes alarmistes.
    En effet, ils font une fixation sur les pesticides trouvés dans l’air des villes et passent sous silence bien d’autres molécules connues pour leurs dangerosités.

    http://www.airparif.asso.fr/airparif/pdf/pesticides_rapport.pdf

    Dans ce rapport d’air parif, vous verrez les mesures pour le coeur de paris (genneviliers)pour la plupart en nanogramme (1 nanogramme = 1000 picogrammes) réalisées sur les pesticides. ces mesures montrent des teneurs variant entre la trace (limite de détection) et jusqu’à 60 nanogrammes. Mais la moyenne étant de l’ordre de 0,5 nanogrammes (soit 500 picogrammes). Les teneurs en pesticides ne sont pas perpétuelles mais chroniques en fonction de l’évolution de la plante.
    Il apparait donc que les franciliens sont moins soumis aux pesticides qu’aux traces de drogue au cours de l’année.
    Pourquoi donc Air-Parif ne fait-elle aussi pas une campagne de mesure sur les résidus de drogues?

    Les écolo veulent faire peur au gens avec les pesticides (le rapport d’air parif est très éloquent sur les liens POTENTIELS entre pesticides et cancers) mais ne parlent pas des autres molécules, car naturelles???

  6. @ Valdes:
    Xcusez moi, mais Rue 89 n’est absolument pas une source fiable d’information.

  7. @daniel
    Désolé, mais je n’achète pas… il y a bien dans l’article l’utilisation d’un effet alarmiste, utilisant la drogue comme le méchant ogre croqueur de p’tits enfants.
    Il manque l’auto-dérision pour que je croie au second degré…

  8. Bonjour,
    La question que pose l’article polémique est celle de la cohérence de la ligne politique des verts. Sur ce point, c’est à eux de répondre.
    Des résidus de l’ordre du ng par metre cube me semblent innoffensifs. N’ai-je pas bouffé, bébé (de 1980 à 1985), des doses bien plus fortes d’autres merdes en tout genre !! A ce propos, il existe une notion scientifique dont on entend guerre parler qui est le processus hormétique (ou l’hormèse) : c’est le fait qu’à très faibles doses (exemple le nanogramme par litre), la plupart des substances toxiques commencent par être lègerement stimulantes de certains processus biologiques (sans bénéfices pour l’organisme souvent, parfois induisant une résistance au contaminant). Le sujet des basses expositions -en toxicologie environnementale- est donc très complexe ! Si bien qu’une position autre que socio-éducative ne peut pas être solide, en ce moment, concernant la question de l’usage du cannabis.
    De manière socio-éducative, la dépénalisation n’apporte rien et ôterait un gentil bâton (NB : il existe des méchants bâtons -de gendarmes). Le fait que la fumette soit une infraction légère n’est nocif à personne, sinon au dealers que je ne porte pas dans mon coeur. Ce n’est pas par grande hypocrisie que le shit est sanctionné en France, c’est culturel. Assumons que l’influence de Mai 68 reste un peu de l’ordre de la contre-culture, cela la renforce ! J’avoue qu’une société où l’Etat vient couvrir une activité du marché noir pour se substituer à une mafia n’est pas mon rêve, bien que je comprends quelle forme de solution entrevoient ceux qui défendent le mécanisme institué par les Pays-Bas. Proteger les ados, c’est aussi préserver certains gardes-fous de la tentation stupéfiante (clopes, puis murge à l’alcool, puis shit -carrément illégal !!). Il parait qu’on se drogue pour s’éloigner de soi-même temporairement. C’est important à certains moments de la vie, que cela soit légal ou non ne changera rien à cela. Alors je suis pour le statu-quo législatif et le developpement des statégies de prévention contre l’alcool, l’alcool au volant, et les drogues dures (simple question de bon sens).
    Bastien

  9. alors faut se dire que l’être humain n’a pas attendu le XIXe pour se droguer à la marie jeanne. Il paraitrait même que la première interdiction daterait des campagnes napoléoniennes en Egypte; certains, sous l’effet du cannabis, se sont mis à réfléchir… Ô crime de l’aise majesté, ils ne voulaient plus aller se battre!!
    Alors, pour répondre également au commentaire de Kévin D : « C’est bien, des citoyens drogués, ça ne réfléchit plus. », qu’en est il alors de TF1 et de ses programmes pour neuneus lobotomisés.
    Personnes de mon expérience, ne s’est arrêté de réfléchir en consommant du cannabis… bien au contraire.
    La question devrait aussi se poser lorsqu’on s’intéresse aux vertus médicinales de ce produit… aux yeux des puissants lobbing pharmaceutiques, ils y voient un concurrent « déloyal » (un peu comme le purin d’ortie d’ailleurs).

  10. crime de l’aise majesté

    Comme dit l’autre: » A l’aise Blaise…….. »

  11. Personnes de mon expérience, ne s’est arrêté de réfléchir en consommant du cannabis…

    Pour la simple et bonne raison, c’est que certains n’avaient même pas commencé à réfléchir avant de consommer!!

    bien au contraire.

    Tout dépend évidemment ce qu’on entend par « réfléchir »…..

  12. Je suis pour la dépénalisation de tout forme de crime: en effet, la répression des crimes ne réduit pas la criminalité, bien au contraire. Si quelqu’un a envie de tuer quelqu’un d’autre, il obéit à une pulsion irrépressible, donc la criminalisation du crime ne résout rien.
    Au contraire, le crime peut être accompagné en proposant des moyens propres de tuer son prochain (que l’on me pardonne pour cet horrible terme qui vient tout droit de notre héritage judéo-chrétien) sans le faire souffrir, puis il sera soigné, notamment par la consommation de cannabis qui permet d’exprimer ses pulsions dans un monde purement virtuel. Rappelons que l’histoire du patient de Pau (Romain Dupuit) qui a décapité deux infirmières en étant sous l’emprise du cannabis n’est qu’une pure invention de la presse de droite.

  13. @Zygomar2

    je passe sur l’ironie pseudo-brillante du début de votre réponse, par contre:

    « Rappelons que l’histoire du patient de Pau (Romain Dupuit) qui a décapité deux infirmières en étant sous l’emprise du cannabis »
    Et bien entendu, la cause du comportement était le Cannabis, et sa schizophrénie n’avait rien à y voir….
    Magnifique parangon de mauvaise foi et d’argumentation tordue… exactement ce à quoi les moralisateurs psycho-rigides nous ont habitué.

    Finalement, cela fait du bien cette discussion…. elle montre que les éco-théologiens de la vertitude n’ont pas le monopole de la connerie, du discours moralisateur bas de gamme et haineux, et de la stigmatisation des hérétiques…
    Y’a aussi des cognés rétrogrades qui peuvent entrer dans la compétition…
    Ben je vais me retirer pour compter les points alors… cela me fera des vacances… 😉

  14. @Zygomar2:

    Une société c’est un groupement d’homme vivants ensemble. Il va de soit que des règles doivent être instaurées afin que chacun puisse vivre correctement sans porter préjudice aux autre. Ces règles se sont les lois.
    Et aussi loin que vous pouvez remonter dans l’histoire des hommes, et quelques soit la société, vous trouverez des lois.
    Les lois sont là pour m’empêcher de vous insulter pour vos propos appelant au meurtre, mais elles sont aussi là pour empêcher d’autre de vous tuer pour votre idéologie différente de la leur.

    En ce qui concerne le cannabis, vous faites partie sans nul doute de ces gens qui veulent sa dépénalisation car consommateur vous même. Vous arguez du fait que cela fait réfléchir. Mais d’où tenez vous cette idée ? Et que faites vous des études médicales et sociologies qui montrent toutes les effets délétères du cannabis sur le cerveau, la capacité à se concentrer, la baisse de réactivité synaptique, la désocialisation des consommateurs réguliers… Tout ceci est peut-être rien que du flan pour vous ?

    Bien cordialement.

  15. Tant qu’il y aura des voitures à moteur à explosion dans nos rues (Rapport aux écolos), il y aura des produits de combustion en doses non picométriques dans l’air (benzène cancérigènes, particules qui augmentent les risques d’asthme et attaquent les bronches en profondeur, NOx et SOx, pics d’ozone etc.). Ce que l’on reproche à la cigarette c’est l’inhalation de produits de combustion. On emmerde les fumeurs en raison du tabagisme passif et on s’installe en terrasse pour mieux profiter des pots d’échappement.
    Je préfère un controle sur la qualité des weeds que l’on pourrait acheter en sécurité dans des coffee shops bonne-ambiance, puisque l’on tolère déjà 3 millions de fumeurs réguliers, que d’avoir encore à lire des articles dont le ridicule devrait étouffer les auteurs peu didactiques.

  16. Il faudrait peut être revenir sur le sujet car je vois que l’on dévie un peu…
    La dépénalisation ou la légalisation peut amener en toute logique à un phénomène quelque peu paradoxal.
    Premièrement, les consommateurs pourront accéder à des produits de qualités sans forcément amener à une explosion de la consommation, bien au contraire. L’exemple bien connu de la prohibition à démontrer le contraire. Quand on voit la possibilité d’acheter de manière complètement libre nombres de produits addictifs et détruisant la santé, on peut se demander pourquoi tant de haine contre une petite plante verte. La dépénalisation permet de mettre en place de réelles études sur les populations et ainsi avoir de vraies statistiques sur le comportement des gens face aux drogues. Cela permettrait de mettre en place de vrais centres de conseils et d’informations pour sensibiliser les consommateurs comme les non-consommateurs.
    Seulement voila, deuxièmement, un produit considéré comme une drogue illicite durant tant d’année qui du jour au lendemain (façon de parler) deviendrait légal aurait un effet dévastateur sur la consommation des autres drogues bien plus dangereuses. Qui contrôle le marché des drogues douces et dures? les mafias très organisés italiennes, et des Balkans (en europe on parle). Que va t’il se passer si la dépénalisation arrive? ce genre d’organisation ont des vitesses de réactions bien supérieurs à n’importe quelles entreprises du fait qu’ils naviguent dans le marché noir et que donc par ce fait aucune loi ni institutions ne les contrôlent. Maitrisant la logique capitaliste depuis des générations (avant même qu’on commence à expliquer ce que c’était), ils vont devoir parer cette concurrence subite. La production et l’approvisionnement en herbe et haschich vont brutalement chuter. Le temps qu un système transparent comme tout autre produit commercial se mette en place, l’héroine, la cocaïne, les metamphetamines, l’opium, le crack, le LSD, les extas, et tout autre produit destructeur (et je sais de quoi je parle) vont débarquer sur le marché à des prix plus bas qu’une bouteille de coca a dakar. Vu l’avenir peu rayeux que nous présente la plupart des etudes sociopolitiques, il faut peu pour comprendre que ce genre de drogue va infiltrer tout les milieux et toutes les générations, tout en rajoutant le fait qu’en gros 99% des gens ont une addiction, y a de quoi se poser la question sur la légitimité de dépénaliser. En hollande, ok y a des coffeshops et c’est super d y aller en week end. N empeche c’est aussi l’endroit le plus facile pour choper tout autres produits fortement nuisibles. Dans un pays ou le nombre de mule venant des pays d’amérique centrale était tellement grand que pour vider les tribunaux, diminuer les procédures et éviter les surpopulations carcérales si tu transportes moins de 3kg de cocaine, plus de prison, juste une amende… Les petits français qui vont le week end sur place ne se rendent surement pas compte que la liberalisation des moeurs en hollande n’a pas que des cotés positifs… Alors que faire? tout dépenaliser? donner un accès libre à tout? Cela serait donner libre court à un marché de la drogue qui semera le chaos dans les pays producteurs. Comment ces pays pourrait combattre le narcotrafic si la demande explose. Car n’oublions pas, un pablo escobar est juste un business man qui profite des opportunités que le marché lui offre. Donc ici le problème ne vient pas de l’offre mais de la demande.
    En pesant le pour et le contre, en voyant les conséquences destructrices ce que la depenalisation d’un simple produit comme le cannabis, si bon soit il. Je préfere finalement qu’il reste sur une marché marginal, et je préfère donc être hors la loi que de voir que légaliser mon petit plaisir amène tant de problèmes.

  17. Pour info: seule le transport en hollande pour la cocaine est traite et exlusivement de la zone douaniere à l’aéroport et bien sur cela s’applique exclusivement aux non européens, héhé faut pas déconner pour les petits qui commençaient à sortir leur calculette… donc vous amusez pas. A bon entendeur salut

  18. Rien de nouveau sous le soleil!
    La légalisation permettra de taxer! Yes my dear!
    Pour le tabac et l’alcool distribué gratos et à profusion sur les fronts militaires: Allez y les petits gars faites vous casser la gueule dans la joie et l’allégresse! Pareil pour les prolos…du gris que l’on roule cela vous saoul, ça aide à tenir le coup au turbin.(sans compter le « Jaune » dans le placard)
    Je répète: légaliser permettra de taxer. C’est juste un changement de mains. Mafia tout cours ou mafia d’état..

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