Écolo ou nazi, Yann Arthus-Bertrand vous somme de choisir votre camp

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« L’homme, c’est quelqu’un qui crée, qui avance en permanence, qui invente des trucs pour faire mieux, avoir plus. On vit dans ce que l’on pourrait appeler “la banalité du mal”. Ce n’est pas moi qui ai inventé ce mot, c’est Hannah Arendt au moment du procès Eichmann. » Interrogé par LaSemaine.fr, l’activiste n’hésite plus à sous-entendre, avec toute la nuance qui le caractérise, que ceux qui ne partagent pas ses convictions sont des… nazis. Comment se qualifierait-il, lui qui, jusqu’à ses 73 ans, prenait l’avion? Pas de réponse. Et encore, nous n’avons pas été vérifié s’il s’était vraiment arrêté de prendre l’avion. Puis, Yann Arthus-Bertrand enchaîne les fake news et les propos du niveau du café du commerce. Exemple : « Et je ne parle pas des pesticides. On a perdu 80 % des insectes volants. » Dans un papier bien documenté, Philippe Stoop revient sur l’étude allemande de 2018 qui alerte sur le déclin des insectes volants. Force est de constater que les méthodes utilisées sont très critiquable et que ses résultats ont été détournés et instrumentalisés par des écolos militants qui lui font dire ce qu’elle ne dit pas… Une autre étude de 2019 allant dans le sens médiatique n’est pas plus sérieuse. Yann Arthus-Bertrand lie ensuite utilisation des phytos et chute du nombre d’oiseaux. C’est en fait un peu plus compliqué que cela… Etc. Tout ça pour nous expliquer qu’ « être écolo, c’est aimer les animaux et la forêt, c’est aussi aimer les gens »… Donc ne pas être écolo, c’est ne pas aimer son prochain ? Et si être écolo, c’était surtout faire de la morale à deux francs six sous, et pour les plus âgés, projeter de manière égocentrique et frustrée sa fin sur le monde entier ?

10 commentaires sur “Écolo ou nazi, Yann Arthus-Bertrand vous somme de choisir votre camp

    1. C’est un breton pur souche… tradition..localisé..chouchen et kouinaman…

      1. C’est certain, ces traditions là sautent au yeux à la lectures de ses interviews…

        Votre commentaire est quelque peu nauséabond en plus d’être grotesque.

    2. La pensée de YAB est ainsi faite : la société moderne qui évolue est mauvaise car les gens ne pensent plus.
      En effet « la banalité du mal » est une expression d’ Hannah Arendt pour qualifier Adolph Eichmann, qui au cours de son procès pour nazisme, c’est avéré n’être qu’un banal fonctionnaire. Un banal fonctionnaire qui faisait son travail de manière routinière sans la moindre conviction no moralité personnelle !!!
      C’est la pensée des écolos : le consumérisme et l’industrialisation sans morale détruisent la nature… C’est mal. Mais c’est banal au sens tout le monde le fait !!!
      Science sans conscience n’est que ruine de l’âme (Rabelais).
      Les écolos ont paraphrasé cette maxime : »modernité sans consciences n’est que ruine de l’homme » !!!

      1. Arendt a été critiqué pour sa vision du procès Heichmann. Cette « banalité du mal » pouvant aussi, avec d’excellentes raisons, être prise pour une simple stratégie de défense d’un accusé.
        De toute façon cette expression (banalité du mal) est devenue un lieu commun digne de figurer dans une édition augmentée et mise à jour d’un célèbre dictionnaire que l’on doit à Flaubert.

        1. Je ne me place pas du coté de la critique ou non de l’expression d’Arendt.
          Je me contente de dire comment les écolos pensent : pour eux, du fait de nos « méchants comportements » nous sommes tous des nazis !!!

          1. Après lecture de l’interview, Y-A Bertrand est bien plus gnangnan à souhait (et profondément stupide, comme, par exemple, le rapprochement entre les abattoirs et les usines d’armements au prétexte… qu’on ne peut les visiter) qu’il ne traite les gens de nazis.

  1. Les écolos usent des techniques de propagande du régime Nazi..avec l’habilite des communistes…

    1. Heureusement qu’il y a des gens subtiles pour le remarquer et le dénoncer.

  2. Cet hélicologiste est un converti à la religion écolo et il n’est pas surprenant qu’il débite des inepties au kilomètre, comme son compère marchand de shampoings.
    Le plus grave, c’est que cette religion a contaminé une bonne partie de notre administration et que nos politiques n’ont pas le niveau – ou ne se donnent pas la peine – pour aller plus loin que des actions putassières pour l’environnement (en effet, « qui est contre l’environnement ? » doivent-ils se dire, flairant là le bon sujet « rassembleur »).
    Et, en matière de putasserie, nos grandes entreprises pratiquent une véritable surenchère à qui sera le plus éco-citoyen-responsable-décarboné-gnagnagna parce que « coco, ça se vend ! ».
    Je ne parle pas des médias…
    C’est tout simplement triste.

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