L’espérance de vie continue à croître (alors que nous sommes programmés pour vivre 38 ans)

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Les fadaises écologistes catastrophistes ne résistent pas à l’épreuve des faits : l’espérance de vie ne cesse d’augmenter. L’Insee a publié mardi 14 janvier son bilan démographique pour l’année 2019. On y apprend notamment que l’espérance de vie augmente encore dans notre pays : 85,6 ans pour les femmes et 79,7 ans pour les hommes :

Une performance d’autant plus remarquable qu’en utilisant le génome humain, les chercheurs ont constaté que notre durée de vie naturelle maximale serait de 38 ans, ce qui correspond aux estimations anthropologiques de la durée de vie des premiers humains modernes, selon une étude récemment parue dans Scientific Reports. Ils ont découvert que les Néandertaliens et les Denisoviens avaient une durée de vie maximale de 37,8 ans, semblable aux humains modernes vivant à la même époque.

La raison pour laquelle l’espérance de vie des humains modernes est plus du double de cette durée est due aux progrès du niveau de vie et de la médecine moderne, selon les chercheurs.

Réjouissons-nous, cette hausse devrait durer. Le Centre international de recherche contre le cancer (Circ), quand il fait son travail sérieusement et sans biais idéologique, nous est d’un grand secours pour savoir où concentrer nos efforts : son tout nouveau rapport sur la proportion en 2015 de cancers en lien avec les facteurs de risques permet d’en distinguer quatre : tabac (20%), alcool (8%), alimentation déséquilibrée – faible consommation de fruits et légumes, et trop de viande transformée (5,4%), surpoids et obésité (5,4%). De quoi établir des priorité d’action et de sensibilisation pour les pouvoirs publics, occupés comme jamais aujourd’hui à lutter contre le glyphosate !