Écologie : on nous cache les bonnes nouvelles !

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16 commentaires sur “Écologie : on nous cache les bonnes nouvelles !

  1. et on insiste sur des informations mal comprises pour éviter les vrais sujets, ici la crainte du glyphosate dans les urines:
    https://www.terre-net.fr/actualite-agricole/economie-social/article/rassemblement-de-soutien-au-maire-de-langouet-202-151259.html
    « « J’habite à Langouët dans une longère au milieu des champs, et ça fait très longtemps que les pesticides m’inquiètent, aussi bien pour mes enfants que pour mes petits-enfants », témoigne Nicole Duperron-Anneix, membre du collectif. « Les enfants de Langouët mangent bio à la cantine, habitent dans des bâtiments éco-conçus mais ils se déplacent et vivent près des champs et on a retrouvé des taux de glyphosate très élevés dans les urines de deux d’entre eux », ajoute-t-elle. « J’ai deux filles et je n’ai pas envie qu’elles tombent malade, on a des taux élevés de glyphosate dans nos urines alors qu’on mange bio et qu’on cultive notre jardin », abonde Hélène Heuré, employée communale. » Fin de citation.
    Le glyphosate dosé dans les urines (avec les limites de la méthode employée) est exclusivement du glyphosate ingéré avec les aliments solides et la bière bue, pas l’eau.
    Ce glyphosate est un glyphosate appliqué sur des céréales ( blé, orge principalement) mais aussi protéagineux ( pois, lentilles, féveroles, pois chiches….) dans les semaines qui précèdent la récolte sous des climats plutôt frais et humides à l’approche de la récolte donc dans le nord et l’est de l’Europe ou en Amérique du nord, la fonction de désherbage pour détruire les mauvaises herbes mais aussi des mauvaises herbes dont les graines pourraient être toxiques est aussi soulignée.
    Ce ne sont pas des céréales françaises ou des protéagineux français dans la mesure où la pratique n’est pas autorisée sur protéagineux ( pas utile) et totalement marginale sur céréales, quelques champs de céréales ( 1 à 2%) et des traitements par taches, uniquement pour des ronds de mauvaises herbes.
    Le fait de passer à une alimentation 100% d’origine française pour les céréales et les protéagineux fait tomber ce taux à 0 (faire attention à ne pas boire de la bière cependant avec des orges produites hors de France, la bière étant une boisson forte contributrice pour le glyphosate dans l’alimentation ). Idem si alimentation 100% bion mais avec du bio de pays sérieux ( pas de pays d’Europe de l’est qui produisent un bio approximatif) , le bio canadien, pays où le traitement glyphosate des céréales et des protéagineux est quasi systématique avant la récolte à cause du climat est un bio a priori sérieux.
    La contamination des enfants vient souvent des céréales du petit déjeuner, paradoxalement celles à base de blé ou d’avoine et moins de maïs ( y compris OGM) parce que le blé e l’avoine de nombreux pays autres que la France sont traités juste avant la récolte pour éviter les mauvaises herbes et assurer une récolte de qualité avant les pluies. Pour les adultes, l’ingestion se fait surtout avec la bière dont l’orge a été traitée avant la récolte, là aussi une bière dont le malt est étranger à l’hexagone.
    En résumé, le maire de Langouet ment honteusement à ses administrés en leur faisant croire que son arrêté fera chuter le taux de glyphosate dans les urines, idem pour les pesticides dans les cheveux, ce sont essentiellement des biocides, contre les poux, ceux que l’on met sur les chiens et les chats, ceux qui nous entourent dans les transports en commun, avions et trains contre les punaises de lit ( mais que la SNCF et les compagnies aériennes ne signalent pas), surtout dans les hôtels des grandes chaines ou les particuliers confrontés aux punaises de lit, c’est une pollution urbaine et pas agricole, avec des applications au plus près des populations avec un renforcement en été lorsqu’un traitement généralisé est fait sur moustique tigre avec de la deltaméthrine comme dans de nombreuses villes du sud de la France, parfois sans informer la population mais pour éviter les épidémies de dengue, de zika ou de Chik.
    La population n’est plus informée pour éviter les arrêtés de maires très bio et très idiots, comme celui de Langouet qui aiment faire prendre des risques, très naturels, à la population.

    1. Les tests des pisseurs involontaire sont de l’arnaque. Ils demandent à un laboratoire vétérinaire militant Allemand non homologué pour les analyses médicales, parce qu’il savent qu’ils auront les résultats voulue. Tous les médias et politique partageant ces résultats, participes pleinement à cette arnaque généralisé. Ce maire à même reçue le soutien des coquelicots.

        1. Soutien plutôt à l’ambroisie et aux daturas.
          Ici des citoyens confrontés à des maires qui ne font rien contre les ambroisies, l’histoire des référents ambroisie étaient une forme d’inaction organisée.
          On n’arrache pas l’ambroisie d’un champ manuellement, idem en bord de route.
          Résultat :
          https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/isere/allergies-isere-alerte-rouge-aux-pollens-ambroisie-1712763.html
          C’est grave, obligation pour les allergiques de se mettre sous antihistaminiques et nombreux cas d’asthme.
          Grace à cette inaction municipale, l’ambroisie progresse, en surface et densité, créant de plus en plus d’allergiques et d’asthmatiques.

          1. J’ai testé sur Google Daniel Cueff et ambroisie et je n’ai rien eu.
            Les médias disjoignent ces deux informations pourtant liées.
            Idem pour Daniel Cueff et moustique tigre ou Daniel Cueff et herbicides dans peinture de façade ou bien Daniel Cueff et punaises de lit ou bien Daniel Cueff et tiques des chiens et chats.
            Les médias sont incapables de mesurer l’inconséquence de ce type d’élu dangereux pour la population dans son incapacité à hiérarchiser les risques. La pollution en pesticides des villes vient des pesticides utilisés dans la ville, dans les peintures de façades notamment et le traitement du bois pas de la campagne alentour, présence à l’état d’infimes traces venant de la compagne alentour comparativement à ce que l’on retrouve à l’intérieur du domicile notamment pour les traitements du toutou mais cela le citoyen ne le sait pas .
            La pollution des villes est d’origine urbaine et va sur la campagne alentour.

              1. Je trouve cet article du point un peu superficiel, notamment le « L’industrialisation en cours de l’agriculture peut intensifier ce risque ». Cette affirmation très gratuite, y compris pour un chercheur va à l’encontre de l’observation la plus élémentaire.
                Ce sont surtout les productions bio, sans herbicide qui sont concernées par le datura et l’abandon (suite à l’interdiction) de l’atrazine dans les maïs explique très vraisemblablement ( confidence d’un ami producteur de maïs et agronome, très observateur ) la recrudescence dans cette culture estivale qui en était à l’origine indemne. On connaissait le tournesol et le sarrasin ( bio ) mais pas le maïs comme culture infestée avant 2005. Les herbicides désormais disponibles sur maïs ( après interdiction des triazines) sont vraisemblablement plus complexes d’emploi, avec des interventions plus nombreuses pour contrôler le datura, mais les maïs bio sont bien plus infestés que ceux qui bénéficient d’herbicides, qui peuvent être assez facilement indemnes si programme herbicide bien choisi pour le datura , là aussi observations faites par des producteurs de maïs sérieux .
                La même observation élémentaire peut être faite pour l’ambroisie et ce ne sont pas les arguments d’autorité qui changeront la réalité facilement observable dans les champs cultivés.

  2. Au hasard d’un article la véritable information sort :
    « Pour l’heure, le nombre de cas autochtones de dengue reste heureusement limité. Depuis 2010, 12 épisodes de transmission autochtone ont été identifiés, dont 9 de dengue, ce qui a entraîné la contamination de 23 patients. »
    https://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/29820-Dengue-nouveau-cas-detecte-Bergerac-faut-il-s-inquieter

    La mot autochtone est important, jamais utilisé auparavant dans un article, ce qui était très comique, impossible d’avoir que des cas symptomatique importés, le vecteur présent et pas de cas autochtones sachant que les cas asymptomatiques aussi importés sont sources de contaminations de proximité mais sans repérage possible.
    Le traitement deltamethrine clairement se fait sur un début d’épidémie autochtone et pas sur le seul cas symptômatique importé .

    Cette situation décrite est minimaliste et minoré, parce que de l’ordre de 80% des cas de dengue , de zika ou de chik sont asymptomatiques, mais avec séquelles parfois sérieuses.
    Un cas signalé, c’est plus de 5 cas réels, plus les oublis dans les enregistrements des ARS qui ne veulent pas inquiéter les populations sur des phénomènes pour lesquels les outils ne sont pas politiquement corrects: des insecticides et en pleine ville.
    15 jours de calme coté moustique tigre à suivre ce traitement, c’est en cela que l’on peut poser l’hypothèse d’un traitement très discret.

    1. On pourra lire aussi : https://www.laprovence.com/article/societe/5647009/moustique-tigre-plus-de-50-cas-de-dengue-recenses-dans-la-region-depuis-le-1er-mai.html

      Ne vous débarrassez pas de votre anti-moustique, vous allez encore en avoir besoin ! Si l’été touche bientôt à sa fin, les moustiques, eux, ne sont toujours pas rassasiés. « Nous ne sommes qu’au milieu de la période de prolifération. Il reste encore quelques mois avant d’en avoir fini », rappelle Samer Aboukais, médecin gestionnaire des alertes en veille sanitaire à l’Agence régionale de santé Provence-Alpes-Côte d’Azur (ARS Paca).

      « Le 26 juin dernier, 17 cas de dengue avaient été recensés. Deux mois plus tard, ils sont plus de 50 à avoir contracté cette maladie dans la région. « Depuis le 1er mai, nous avons enregistré 53 cas confirmés de dengue en Paca. 28 sont recensés dans les Bouches-du-Rhône, 1 dans les Alpes-de-Haute-Provence, 2 dans le Vaucluse, 8 dans le Var et 14 dans les Alpes-Maritimes », précise-t-il. »
      Si on lit bien ce sont des cas autochtones, ce qui est contredit ensuite.

      et la suite vaut la peine : » »Lorsque l’ARS est prévenue qu’un cas de dengue, de zika ou de chikungunya est détecté en France, ils retracent les points de passage de la personne touchée, afin de s’assurer qu’il n’y a pas de moustiques dans la zone », détaille Grégory L’Ambert, entomologiste à l’EID Méditerranée. Comme le moustique tigre est incapable de couvrir de longues distances, l’EID va vérifier qu’aucun moustique n’a été infecté par le porteur.
      « Ce sont des lieux très localisés qui sont visés. On va donc vérifier qu’il n’y a pas de moustique tigre sur les lieux de passage du patient zéro. Pour cela, on va passer sur un rayon de 150 m des pyréthrinoïdes afin de tuer les potentiels moustiques infectés pour endiguer la propagation du virus ». Depuis le 1er mai, l’EID s’est déplacée 40 fois sur le territoire pour procéder à des surveillances. »

      Propos édifiant en fait, le « on va vérifier » ou « procéder à des surveillances », c’est « on balance un coup de deltamethrine dans un disque d’un rayon de 150 mètres, essentiellement des habitations en intégrant surtout les écoles et les hôpitaux, zones plus sensibles et à protéger en priorité en pulvérisant bien l’insecticide dessus.

      Faudra le susurrer à l’oreille du maire de Langouet; pas sûr qu’il comprenne ce qu’on lui susurre, il parait assez bouché, le maire … le maire est bouché …ne pas confondre avec Lemaire et Boucher et l’histoire du lithotamne, c’est une autre histoire, bretonne également.

  3. Une autre bonne nouvelle ici :
    https://www.telerama.fr/scenes/a-notre-dame-des-landes,-la-petite-bete-a-mange-le-gros-aeroport,n6355363.php
    Où l’auteur de l’article prouve, à son corps défendant, que la biodiversité n’est pas en danger. Que lorsqu’on y met les moyens, et ici à NDDL, c’est 10 ou 100 fois plus de moyens que pour n’importe quel autre projet grâce au travail des centaines de naturalistes bénévoles, et bien toutes les espèces soi-disant en voie de dispartition, on les trouve.
    Si la même étude était lancée sur 10, 100, 1000 sites en France, il est probable qu’on trouverait les mêmes résultats

  4. Voilà une très bonne nouvelle: http://www.doctissimo.fr/sante/news/moustique-tigre-nouveaux-9-departements-en-alerte-rouge
    « Ce n’est pas parce que l’été touche à sa fin que les moustiques tigres, eux, prennent des vacances bien au contraire ! La publication des dernières données de surveillance du moustique tigre par Santé publique France, le 2 septembre, révèle 9 nouveaux départements en alerte rouge. Désormais la totalité de l’Ile-De-France est concernée.

    Les données sont recueillies du 1er mai au 30 novembre chaque année depuis l’implantation du moustique tigre en France, elles comprennent notamment le nombre de cas de Dengue, Chikungunya et virus Zika transmis par le moustique tigre, Aedes albopictus de son nom scientifique.
    Pour l’instant jusqu’au 30 août 2019, 362 cas de dengue, 36 de Chikungunya et 4 cas de virus Zika ont été importés depuis l’ile de la Réunion où sévit actuellement une épidémie de grande ampleur.

    Parmi ces cas, 112 cas de dengue, 13 de Chikungya et 1 de virus Zika se concentrent uniquement dans la région Ile-de-France ce qui explique la vigilance particulière appliquée dans cette zone de l’Hexagone.

    A noter également “qu’il n’y a désormais plus de départements en simple veille sanitaire. Tous les départements qui ne sont ni en vigilance orange, ni en vigilance rouge passent en vigilance jaune, ce qui signifie qu’ils sont en veille entomologique” révèle Vigilance Moustique.  »

    Tous cas importés, mon œil !

    Pour les communes qui veulent des distances pour l’utilisation de pesticides de synthèse, plus de traitement deltamethrine lorsqu’un début d’épidémie de dengue , de zika ou de chik commence.
    Supprimer aussi les traitements fipronil des chiens et chats infiniment plus facteurs d’exposition.
    Et les antipoux des synthèse aussi.

    Il faut de la cohérence.
    Si ces maires sont réélus cette fois , trop proche des municipales, pour la prochaine ils sont grillés. Moustiques vecteurs + arboviroses + forte densité de population – insecticide est une équation à résultat unique : maire grillé, quoique à la Réunion ou aux Antilles certains ont survécus.

  5. @ Seppi,
    Le plus grave reste l’utilisation irraisonné d’huiles essentielles et d’huile de lavande en particulier avec une alerte lancée par les pédiatres en France et dans le monde sur l’effet perturbateur endocrinien majeur. D’autres alertes anciennes par des endocrinologues aux US, relayées par la société d’endocrinologie américaine qui sont réactivées à cette occasion .
    Sous prétexte que naturel, des maman ont utilisé ce moyen peu efficace pour protéger des bambins contre les poux ( sans grande efficacité) mais en entraînant un développement mammaire. Certes l’époque est à la confusion des sexes et à l’indéterminé mais à part les partisans de la thèse du genre, l’émotion était forte chez ces mamans craignant l’effet d’un vilain pesticide caché dans l’huile essentielle pourtant bio. Le phénomène était naturel, l’huile de lavande est perturbateur endocrinien puissant et l’utiliser massivement a des conséquences.
    L’arrêt de l’application a permet un retour ( visuel) à un état dit « normal ».
    http://em-endocrino.com/contributions/effet-perturbateur-endocrinien-des-huiles-de-lavande-et-de-larbre-de-des-produits-pas

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