Les végans menacent l’humanité et la planète, voici pourquoi !

Partager sur : TwitterFacebook

Dans Le Monde du 7 janvier 2019, le politologue décroissant Paul Ariès s’en prend au véganisme qui « ouvre des boulevards aux idéologies les plus funestes mais terriblement actuelles ». En effet, explique l’auteur de Lettre ouverte aux mangeurs de viande qui désirent le rester sans culpabiliser (Larousse), « le véganisme n’est pas seulement une production d’alimentation farineuse mais une machine à saper l’humanisme et à tuer une majorité d’animaux » : « c’est pourquoi je ne suis pas antivégans pour défendre mon bifteck mais l’unité du genre humain et la biodiversité bien au-delà de mon assiette » écrit-il. Voici pourquoi, selon Paul Ariès, le véganisme est un véritable danger pour l’humanité :

Les végans veulent détruire toute vie sur terre pour éliminer la souffrance :

J’accuse les végans de cacher leur véritable projet qui n’est pas simplement de supprimer l’alimentation carnée, simple goutte d’eau dans l’ensemble de la prédation animale, mais d’en finir avec toute forme de prédation, en modifiant génétiquement, voire en supprimant, beaucoup d’espèces animales, sous prétexte que n’existerait pas de viande d’animaux heureux et que les animaux sauvages souffriraient bien davantage et en plus grand nombre que les animaux d’élevage ou domestiques. Le fond du problème à leurs yeux n’est pas la consommation de produits carnés mais la souffrance animale ; or cette dernière étant inhérente à la vie, il faudrait réduire le vivant, en vidant, par exemple, les océans, car il ne serait plus possible de laisser encore les gros poissons manger les petits, ou en empêchant un maximum d’animaux de naître.

Le véganisme est un individualisme extrême :

J’accuse les végans de mentir en faisant croire au grand public qu’ils seraient des écolos et même des superécolos, alors qu’ils haïssent l’écologie et les écologistes, puisque les écolos aiment la nature et qu’eux la vomissent, car elle serait intrinsèquement violente donc mauvaise. David Olivier, un des pères des Cahiers antispécistes, signait, dès 1988, un texte intitulé « Pourquoi je ne suis pas écologiste ». Il confirme en 2015 : « Nous voyons l’antispécisme et l’écologisme comme largement antagonistes. » Peter Singer, considéré comme le philosophe le plus efficace de notre époque, et ses comparses Tom Regan et Paola Cavalieri le confirment : l’écologie n’est pas soluble dans l’antispécisme et les écolos dupés sont des idiots utiles ! Le véganisme refuse tout simplement de penser en termes d’espèces et d’écosystèmes pour ne connaître que des individus (humains ou non humains). Le prototype de la ferme bio a toujours été une ferme polyvalente liant agriculture et élevage, faute de fumier, il ne reste aux végans que les engrais chimiques, sauf à accepter une baisse drastique de la population humaine.

Les végans jugent que les droits des animaux antinomiques avec ceux de la nature :

La biodiversité n’a aucune valeur en soi, dixit la philosophe Julia Mosquera. D’autres théoriciens du mouvement, comme Brian Tomasik, estiment que mieux vaudrait encourager la pêche intensive détruisant les habitats marins, Thomas Sittler-Adamczewski demande de soutenir les lobbies pro-déforestation, Asher Soryl suggère d’éviter d’acheter des produits biologiques, puisque l’agriculture productiviste est plus efficace pour réduire le nombre d’animaux, et d’éviter de combattre le réchauffement climatique car il réduirait l’habitabilité de la planète pour les animaux. Ces mêmes végans conséquents clament que les droits des animaux sont antinomiques avec ceux de la nature.

Selon les végans, les animaux passent avant certains humains :

J’accuse les végans de prendre les gens pour des idiots lorsqu’ils se présentent comme de nouveaux humanistes alors que l’humanisme reste leur bête noire, puisque, selon eux, responsable du spécisme envers les autres espèces animales, alors que toute leur idéologie conduit à déplacer les frontières entre espèces et à clamer, avec leur principal théoricien Peter Singer, que les nourrissons, les grands handicapés, les personnes âgées très dépendantes ne sont pas des personnes, que ces individus n’ont pas, au sens propre, de droit à la vie, qu’un chiot valide est plus digne qu’un grand handicapé, que tuer un nourrisson est moins grave que sacrifier un grand singe. Trier l’ensemble des animaux (humains ou non) en fonction d’un critère quelconque (caractère « sentient ») revient toujours à recréer la hiérarchie. Proclamer l’égalité animale c’est signifier que certains animaux seront plus égaux que d’autres, donc que certains humains seront moins égaux que d’autres humains et même que certains animaux non humains.

Leur relativisme éthique les conduit à approuver la zoophilie

J’accuse le véganisme d’aboutir à un relativisme éthique dès lors qu’il introduit la notion de qualité de vie pour juger de la dignité d’un handicapé, d’une personne âgée dépendante, dès lors qu’il banalise la zoophilie à la façon de Peter Singer, lequel dans son fameux « Heavy Petting » défend certaines formes de rapports sexuels entre humains et animaux, évoquant des contacts sexuels mutuellement satisfaisants. Ce sont ces mêmes végans qui se prétendent les champions toutes catégories de l’éthique face à des mangeurs de viande diaboliquement immoraux.

Améliorer le bien-être des animaux retarderait leur Grand Soir :

J’accuse les végans d’abuser celles et ceux qui aiment les animaux et s’opposent avec raison aux mauvaises conditions de l’élevage industriel car, comme le clame Tom Regan, le but n’est pas d’élargir les cages mais de les vider. Ils s’opposent donc à tout ce qui peut adoucir le sort des animaux puisque toute amélioration serait contre-productive en contribuant à déculpabiliser les mangeurs de viande, de lait, de fromages, les amateurs de pulls en laine et de chaussures en cuir et retarderait donc l’avènement d’un monde totalement artificiel.

Ce sont des apprentis sorciers :

J’accuse les végans d’être des apprentis sorciers qui, non satisfaits de vouloir modifier génétiquement les espèces animales et demain l’humanité, s’acoquinent avec les transhumanistes comme David Pearce. Il s’agit non seulement de corriger les humains, mais de corriger tous les autres animaux. Les chats et chiens carnivores sont qualifiés de machines préprogrammées pour tuer. Ce qui est bon pour un animal (humain ou non humain) serait donc de disparaître en tant qu’animal, pour aller vers le posthumain, le chien cyborg. Le chat végan n’est qu’un produit d’appel de ce paternalisme technovisionnaire. Pearce ajoute que tout désir de préserver les animaux (humains compris) dans l’état « sentient » actuel serait du sentimentalisme malavisé.

Ils sont manipulés par le lobby des biotechnologies alimentaires :

J’accuse les végans de cacher (…) qu’ils sont les faux nez des biotechnologies alimentaires, notamment des fausses viandes fabriquées industriellement à partir de cellules souches, avant de s’en prendre demain à l’agriculture génératrice de souffrance animale.

Les végans prônent le suicide de masse :

J’accuse les végans, sous couvert de combattre la souffrance, de recycler en plein XXIe siècle un vieux fonds religieux, celui de la gnose considérant que la matière est en soi mauvaise, ce qui conduit les plus conséquents d’entre eux à prôner, avec le manifeste OOS (manifeste récent pour la fin de toutes les souffrances, sigle de The Only One Solution, lancé par d’anciens activistes de l’Animal Liberation Front), le suicide de masse.

Ils mentent au grand public :

J’accuse les végans de mentir et de le faire sciemment. Brian Tomasik ne cache pas la dissimulation nécessaire : « Il est peut-être dangereux d’évoquer la cause des animaux sauvages avant que le grand public ne soit prêt à l’entendre. » Abraham Rowe, un autre théoricien de l’antispécisme, surenchérit : quand vous vous adressez au grand public, évitez de plaider pour la déforestation, évitez de parler d’élimination de masse des prédateurs, évitez de parler des programmes consistant à tuer des animaux.

En fait, ce sont des transhumanistes nourris de fantasmes de toute-puissance

Le véganisme est une pensée racoleuse mais glissante, car elle ouvre des boulevards aux idéologies les plus funestes mais terriblement actuelles. Le grand mystère de l’anti-anthropocentrisme végan proclamé est de déboucher sur un hyperanthropocentrisme transhumaniste nourri de fantasmes de toute-puissance.

Sans surprise, l’association extrémiste (anti-viande) L214 dénonce « des fantasme » et « des débats philosophiques éloignés du réel et de notre action au quotidien » mais ne répond jamais sur le fond.

Lire aussi :

> Les végans menacent la planète
> Quand les vegans veulent empêcher les lions d’attaquer les gazelles et les pucerons de s’en prendre aux feuilles !
> L214 a perçu plus d’un million d’euros de financement d’une organisation américaine pour mettre un terme à l’élevage… en France

20 commentaires sur “Les végans menacent l’humanité et la planète, voici pourquoi !

  1. Je trouve personnellement que le courant philosophique sur lequel repose le véganisme c.a.d. l’antispécisme est une hypocrisie. Bien que considérant qu’il n’y est pas de hiérarchie entre les espèces (scientifiquement parlant il n’y en pas mais parce que la science ne fait pas de jugement morale) pour justifié de l’immoralité de consommé des animaux, cela rendrait la consommation de toutes être vivant immorale. Ils créer donc une hiérarchie basé sur la sentience et la capacité à ressentir la douleur pour justifié l’exploitation des végétaux (et le fait que le système immunitaire tue des millions d’êtres vivant chaque jour). Il n’y pas de hiérarchie (dans le sens morale du terme) mais certaines vie valent moins que d’autres. De plus considéré que l’homme est le seul animal n’ayant pas le droit de consommé de viande du fait de ça capacité à avoir un sens éthique est à nouveau une hiérarchisation qui insinue de plus que l’homme serait supérieur aux autres pouvant influer sur la destiné du monde à lui tout seul.
    La figure médiatique végan principale en France, Aymeric Caron veut stopper la propriété qu’il considère comme non naturelle alors que la majorité des espèces la pratique (territoire qu’un animale seras près à défendre au péril de sa vie) et ne prend pas en compte la prédation existant déjà dans la nature, montrant ainsi sa méconnaissance du fonctionnement de la nature et des écosystèmes et donc de sa vision fantasmé d’une nature merveilleuse mais inexistante. Il va jusqu’à prôné une dictature (permis de voté, contrôle des naissance, etc) et ose appeler ça une utopie.
    Le terme spécisme est équivalent à allopathie, un terme inventé par les anti-spécistes pour créer une fausse équivalence et une binarité (les bons (anti-spéciste) et les méchants (spéciste)), mais comme allopathie ce terme n’a pas de sens.

  2. Max
    Vos propos montrent que vous n’avez pas lu le livre d’Aymeric Caron ou alors vous n’avez rien compris.

    L’être humain est omnivore contrairement à certaines espèces carnivores. Nous pouvons manger de la viande et poissons mais nous n’en avons pas un besoin vitale (ce n’est pas le cas du lion ou du tigre ! ) . Si ces apports ne sont pas indispensables, pourquoi continuer à exploiter les animaux? A les enfermer dans les bâtiments toujours plus petits ? A les nourrir avec les aliments cultivés à l’autre bout de la planète ou avec des aliments qui pourraient nourrir les humains ? A les maltraiter ? A les tuer si jeunes ? Cette exploitation consomme énormément d’énergie, pollue, utilise des antibiotiques en quantité phénoménale, sans oublier l’eau pour abreuver ces milliards d’animaux d’élevages sur la planète. Pourquoi continuer quand on connait tous les effets négatifs de l’élevage ? Vous allez me dire que cette exploitation fait vivre des personnes , oui et alors ? Les agriculteurs ne vivent plus de leur travail sans subvention de l’Etat et ceux qui font le sale boulot , hein je parle de ceux qui passent leur journée dans les abattoirs vivent un cauchemar entre le froid, les hurlements, les mauvaises odeurs, les cadences infernales à respecter, les risques d’accidents, les gestes répétitifs et ses conséquences…. Comme tous les changements dans la société (exemple l’arrivée de l’informatique), il faut un temps d’adaptation et c’est possible.
    Le veganisme est contre l’exploitation des animaux car non indispensable, ne mélangez pas tout.
    « Permis de voter » ??? Je confirme vous n’avez pas lu son livre. Il est sorti en poche, ça vous coûtera moins cher! Les oeuvres de Peter Singer également , vous pouvez faire un achat groupé.
    Un antispécisme est contre l’exploitation des animaux mais pas seulement, contre le racisme , contre le sexisme contre toutes les discriminations basées sur l’espèce.
    Ceux qui cherchent encore des arguments pour justifier l’exploitation des animaux doivent avoir du mal à se regarder en face dans leur miroir. Le fric et les qualités gustatives ne suffisent plus à cacher l’horreur des élevages et les consommateurs en prennent de plus en plus conscience et ce n’est qu’un début.

    1. Omnivore ne veut pas dire que l’on peut manger soit de la viande soit des végétaux, mais que l’on doit manger les deux. Vous comptez les calorie nécessaires et non les acides aminés dont une parties dit essentielles ne sont pas présent en assez grandes quantité dans les plantes, sans compter le fer, B12, oméga 3 etc. Le cout des 15000 litre de l’élevage n’est que quand l’on rajoute l’eau de pluie sur le pâturage, sinon c’est 50 à 70 l. Vous voulez voire des chose cruelles ? Allez vivre à poile dans la jungle et ont verras si vous trouvez la nature toujours aussi juste.
      Son permis de voter est obtenue en remplissant un QCM, mais qui décideras du test ? Il faudra qu’il soit en accord avec ses opinions, déterminant ainsi que si nous ne somme pas d’accord avec lui nous n’auront pas le droit de voter et ça sa s’appelle une dictature, et même si ce n’était qu’un simple test de connaissances générale (si elle viennent de la science elle ne seront pas en sa faveur) ce seras tout de même discriminatoire, venant d’une personne prônant l’égalité c’est un peu hypocrite.
      L’arrêt de la propriété signifie que tous appartient à l’état (oui il veut bien qu’on garde nos vêtement et quelque effet personnel), même Staline n’est pas allez aussi loin.
      Sa critique du libéralisme montre qu’il ne sais pas ce que signifie se terme, la liberté individuelle qu’il prône est justement du libéralisme et au faite, aucun de nos gouvernement ne sont libéraux (ils sont socialiste en faite).
      Son projet de production de l’énergie est irréaliste bercé par l’idée que la physique se plieras à son idéologie. Il montre aussi que ces connaissance scientifique son plutôt mauvaise.  » Il y a quelques siècles, nous avions découvert les énergies fossiles et
      le nucléaire, mais nous les avons abandonnés depuis parce
      qu’ils sont trop polluants ou dangereux : nous ne produisons
      plus que de l’énergie 100 % renouvelable. Nos villes sont donc
      auto-alimentées grâce au vent, à l’eau, à la biomasse ou au
      soleil. L’énergie solaire est celle qui domine toutes les autres :
      des cellules photovoltaïques sont installées dans nombre de
      matériaux et d’appareils. Nos routes, par exemple, sont entiè-
      rement équipées de panneaux solaires recouverts d’un verre
      trempé très résistant. Elles récupèrent l’énergie du soleil qui
      alimente les véhicules en circulation, sachant que l’énergie
      dégagée par les voitures en mouvement est elle aussi récupé-
      rée. Les cellules photovoltaïques nourrissent également des
      diodes électroluminescentes intégrées au verre. Ces diodes
      sont de couleurs différentes, ce qui permet de définir le mar-
      quage au sol, mais aussi de dessiner les panneaux de circula-
      tion qui s’affichent directement sur la route. »

      « Pas d’inquiétude pour leurs revenus : ils sont payés par l’État
      et non par l’industrie qui achèterait leurs productions au prix
      le plus bas possible. Les paysans travaillent délestés du poids
      de l’incertitude. Puisqu’ils n’ont pas à se soucier des comptes
      et qu’ils n’ont pas de couteau sous la gorge, ils peuvent se
      consacrer pleinement à leur mission naturelle, à savoir nourrir
      le mieux possible la population. » Oui reproduisons la même erreur, l’état plombe les agriculteur en les faisant crouler sous les charges et les normes donc faisons les passer sous le contrôle de l’état.
      Bref trop de chose à relever pour monter que son utopie ne reste au final qu’une utopie.
      Si vous vous demander quel point de vue politique et économique j’ai, je suis libérale, moins d’impôts, de taxe et de charge, respect de la liberté individuelle (droit de l’homme), responsabilité personnelle et moins d’états (retour à ces fonctions régalienne). Pour les êtres vivant, IL N’Y A PAS DE HIÉRARCHIE et en tant qu’hétérotrophe on doit se nourri d’être vivant, si l’on pouvait vivre en suçant des caillou se serais beaucoup plus facile, mais ce n’est pas le cas.

      1. Max
        Omnivore veut dire que l’on peut manger de tout mais que l’on est pas obligé de manger de tout pour être en bonne santé. Les viandes et poissons ne sont plus indispensables, tout comme les produits laitiers (on a assez assez d’exemples de personnes qui sont âgées et qui ont eu ce régime depuis leur enfance)
        « Vous comptez les calories nécessaires  » ? Sens ?
        « les acides aminés dont les essentiels…. » Faux ! Vous ne devez pas connaitre les travaux du Dr Jérome Bernard Pellet. Résumé dans sa vidéo sur le mythe des protéines. D’autres vidéos comme introduction à la nutrition végétale donnent différentes informations.
        Le fer: il est présent dans de nombreux végétaux . De nombreux gros mangeurs de viandes font de l’anémie. L’assimilation du fer est complexe: il faut une présence de vitamine C au cours du repas, éviter le thé et peut être le café en fin de repas, l’excès de cuivre peut aussi bloquer l’assimilation.
        Oméga 3: L’huile de colza, les fruits oléagineux, le lin en sont riches.
        La vitamine B12: C’est une vitamine qui est détruite en partie par la cuisson. Par chance c’est la seule vitamine que le corps peut stocker donc pas grave si on n’en mange pas tous les jours. Des aliments en sont enrichis et même certaines boissons. Par contre vous pouvez être sûr que tous les animaux d’élevage ont été complémentés par cette vitamine.
         » etc » ? Non il n’y a pas de « etc » car il n’y rien à part la B12 que l’on ne trouve pas dans le règne végétal.
         » Aller dans la jungle…. » Quel rapport ? Ce sont des animaux carnivores, ils tuent pour manger.
        50 à 70 l d’eau, bien sûr ! Sources ?

        Vous partez sur d’autres arguments….l’énergie, etc. C’est inutile d’échanger avec vous puisque vous restez sur les préjugés et des arguments bidons. Vous vous moquez de la souffrance animale et des conséquences de l’élevage sur les humains (pollution, antibiorésistance, consommation d’eau, déforestation, vols des terres aux petits paysans dans les pays pauvres pour le soja ou autres, conditions de travail difficiles dans les abattoirs, TMS fréquentes chez les ouvriers, etc, etc).
         » On doit se nourrir d’êtres vivants » ? Lisez, informez vous, vous verrez que ce n’est plus indispensable. Et si vous voulez découvrir des exemples de recettes végétales vous pouvez consulter le site de Marie Laforêt, vegemiam , au vert avec lili ou bien d’autres qui donnent de nombreuses recettes variées. Et si vous êtes un minimum sportif et bilingue, le site de Franck Médrano vous apportera aussi des informations.

        1. Omnivore signifie que l’alimentation est à la fois d’origine animale et végétale. Les ours sont omnivores, allez les convaincre de renoncer à la viande puisqu’ils n’en n’auraient pas besoin.
          Le Dr Jérome Bernard Pellet ne semble pas savoir que les protéines sont composées d’acides aminés. Durant la digestion, les protéines sont désassemblées en acides aminés, les acides aminés dit essentiels sont ceux que nous ne pouvons pas synthétiser. Il faut donc les absorber par l’alimentation. Les protéines animales les plus proches des nôtres en contiennent donc. Ce docteur devrait prendre des cours de chimie organique et de biochimie.
          Sur « allez vivre dans la jungle », c’est pour illustrer que la nature ne correspond en rien à votre fantasme et que votre éthique, les animaux (dont nous ne sommes pas supérieurs) n’en n’ont rien à faire.
          Les critiques sur le livre Utopia 21 de Aymeric Caron sont pour montrer que son projet n’est pas réaliste, est une dictature, et qu’il possède les connaissances en physique d’un enfant de 5 ans.
           » On doit se nourrir d’êtres vivants ? Lisez, informez vous, vous verrez que ce n’est plus indispensable. » Les plantes ne sont donc plus des êtres vivant ? Niveau arguments bidons vous me battez là.
          Vous pensez que je ne me soucis pas du bien-être animal ? Vous me connaissez bien mal. Le fait que j’en mange ne signifie pas que j’accepte que des abattoirs ou des élevages les traitent mal. On peut consommer de la viande et bien traiter les animaux. Je me soucis aussi de l’environnement, je ne me fie
          juste pas à la religion écologiste qui imagine une nature fantasmée.

    2. Alors si vous dites que l’homme est omnivore mais n’a pas besoin d’alimentation d’origine, pourquoi les chasseurs-cueilleurs (comme les hommes préhistoriques) chassent certaines bêtes et les animaux domestiques existent ?

  3. Aymeric Caron

    Ahhhh!!! Aymeric Caron ….. No comment!! Je ne tire pas sur les ambulances!

  4. Il a été payé combien celui là pour dire des conneries pareilles ?
    Du grand n’importe quoi de A à Z.
    S’il a des enfants j’espère qu’au moins un deviendra vegan.

  5. MP

    MP le vegan !! Ah! le véganisme! Ah l le végan tolérant, le végan à l’ouverture d’esprit large comme un bouche d’égout! Le vegan tolérant à condition qu’on pense comme lui!
    Le vegan qui qualifie de « connerie » tout ce avec lequel in n’est pas d’accord !

    MP, Caron et consorts : preuves vivantes que la véganisme est dangereux pour la santé physique mais aussi intellectuelle et mentale!

    Allez assez perdu de temps avec cette secte.

    PS. Ne vous souciez pas de mes enfants! Eux au moins ils ont été bien élevés. Il mangent et apprécient toutes sortes de viandes sous toutes sortes de formes. Des gens normaux quoi.

    1. Zygomar, le spéciste en puissance!
      Quels arguments ! Waouhhh  » la secte « , ça va chercher loin.
      « Ils ont été bien élevés  » C’est sympa pour les parents qui donnent de solides connaissances en nutrition à leurs mômes au lieu de s’arrêter à l’argument bidon: « si tu ne manges pas ta viande tu vas tomber malade ! »
      Vos enfants, des « gens normaux  » comme vous dites ! Vous savez les gens changent… aujourd’hui ils en mangent mais demain? Ils ouvriront peut être les yeux par leurs lectures, leurs ami(e)s, leurs rencontres, leurs expériences… A vos yeux ils ne seront peux être plus « normaux » ou alors d’ici là vous aurez évolué positivement.

      1. @ MP

        5…. aujourd’hui ils en mangent mais demain? Ils ouvriront peut être les yeux par leurs lectures, leurs ami(e)s, leurs rencontres, leurs expériences…  »

        >>> Surement pas car comme je l’ai dit ils ont été bien élevés, c’est à dire qu’ils mangent de tout ce qui est bon pour leur santé et leur bien-être et qui leur fait plaisir mais en outre, leur mère et moi leur avons appris très tôt à se méfier des frapadingues des sectes végans et apparentées (mais pas seulement) et à ne pas gober n’importe quelle connerie surtout si elle est aussi grosse et ridicule comme celles que vous et vos consorts du type du malade mental Aymeric Caron (et hélas tant d’autres dans son genre, preuves vivantes que les régimes végans exclusifs altèrent nettement les facultés)

    2. « Ah! le non véganisme! Ah l le non végan tolérant, le non végan à l’ouverture d’esprit large comme un bouche (SIC) d’égout! Le non vegan tolérant à condition qu’on pense comme lui! »
      Le non vegan qui qualifie de « connerie » tout ce avec lequel in n’est pas d’accord !
      Bravo, encore du grand zygomar ! Quel grand homme vous faites, j’en suis tout ébahi !

  6. MP 21/01/2019 | 2:42

    « Quels arguments ! Waouhhh » la secte « , ça va chercher loin. »

    Secte : Groupement de personnes adeptes d’une même doctrine.

    Le mot « secte » désigne d’abord un ensemble d’individus plus ou moins important qui s’est détaché d’un enseignement officiel philosophique, religieux ou politique pour créer leur propre doctrine, et qui travaillent à faire valoir et imposer leur point de vue dans le monde.

    Selon la Commission parlementaire française d’enquête sur les sectes
    Groupe visant par des manoeuvres de déstabilisation psychologique à obtenir de leurs adeptes une allégeance inconditionnelle, une diminution de l’esprit critique, une rupture avec les références communément admises (éthiques, scientifiques, civiques, éducatives), et entraînant des dangers pour les libertés individuelles, la santé, l’éducation, les institutions démocratiques.

    « C’est sympa pour les parents qui donnent de solides connaissances en nutrition à leurs mômes »

    Le véganisme et autres élucubrations apparentées ne sont pas  » de solides connaissance en nutrition »!

    « Vos enfants, des « gens normaux » comme vous dites ! […] A vos yeux ils ne seront peux être plus « normaux » ou alors d’ici là vous aurez évolué positivement. »

    > Tout çà n’est rien d’autre que de la bouillie pour les chats ne reposant sur aucun argument valable!

  7. Conclusion : ils se battent secrétement pour rétablir la notion de l’humain objet.

Les commentaires sont fermés.