Glyphosate : le cirque parlementaire continue

Partager sur : TwitterFacebook

La mission d’information parlementaire sur la sortie du glyphosate a auditionné deux ministres (agriculture et environnement) ce jeudi. Que retenir de cette audition ?
La France Agricole a fait le point sur les annonces des ministres mais un coup d’œil sur la vidéo de l’audition permettra de constater que nos parlementaires sont complètement hors sol.
Mathieu Orphelin député du Maine et Loire (ex porte-parole et porte flingue de Nicolas Hulot) n’a qu’une seule préoccupation qui est de savoir trimestre par trimestre qui achète du glyphosate. Une envie de fliquer les utilisateurs ?
Chaque parlementaire y va également de son intervention ce qui aboutit très vite à une grand gloubi-boulga. On parle ainsi d’un problème d’homologation d’un produit de bio contrôle contre le mildiou de la vigne. A priori ça n’a rien à voir avec l’utilisation du glyphosate ce qui n’empêche pas une parlementaire de Gironde (Bérangère Couillard LRM) de souhaiter une homologation express de ce produit. Dans sa petite tête ce qui est bio est forcément bien et donc on peut se passer de l’évaluation ? Pitoyable…
Sur les solutions alternatives, il y a de quoi pleurer notamment sur l’idée qu’en trois ans on va trouver le produit miracle (L’idée de Macron d’une start-up post glyphosate est toujours dans l’air). Mais le plus ridicule, ce sont les déclarations des ministres sur le surcoût engendré pour les agriculteurs, le ministre de l’Agriculture admet que «pour l’instant, il n‘y a pas de soutien financier particulier de l’État en dehors de toutes les mesures de droit commun». Mais les deux ministres s’accordent sur l’importance de la loi Egalim pour que les distributeurs incluent les coûts de production dans leur prix. Bref du grand foutage de gueule !

 

24 commentaires sur “Glyphosate : le cirque parlementaire continue

  1. Des fossoyeurs de l’agriculture française, comme Mitterrand et sa clique ont été les fossoyeurs de l’industrie française !!!

      1. C’est un fait que l’agriculture Française qui était considérée ,à juste titre,comme la deuxième au monde ( après les USA) et que venaient visiter des gens du monde entier ( Brésil…), est maintenant considérée comme décadente. En Europe, tous les grands pays ont pris des parts de marché sur la France ( fruits, légumes, porc, volailles,lait et produits laitiers etc….) .La France reste un modèle mais maintenant c’est le modèle de ce qu’il ne faut pas faire. Seul le vin a plus ou moins échappé au désastre des gouvernements à politique socialiste. Les  » déconstructeurs  » ont réussi leur sale boulot.

        1. Pour le vin, c’est uniquement grâce à l’image de marque des grandes appellations, on est désormais plus au niveau de la légende du vin français qui justifie son succès mondial avec cependant un impact limité des mesures prises contre la protection rationnelle et minimale de la vigne , l’arsenal de traitement phytosanitaire n’est pas trop affecté.
          On verra ce que donnera l’interdiction du glyphosate dans les parcelles en pente, un peu sèches et un peu gélive.
          La seule mesure qui a eu vraiment un impact est l’interdiction de l’arsenite de soude qui a condamné les vignes âgées dans les régions à climat humide.
          Ne reste que des vignobles âgés exposés à l’Esca sous climat méditerranéen moins favorable à cette maladie du bois.
          Le concurrence pour le vin est plus complexe, car l’attrait tient autant au nom sur l’étiquette qu’au produit dans la bouteille.
          Le scandale lié à Zhen Wang Huang alias Rudy Kurniawan prouve bien que ce n’est pas le produit qui est acheté mais l’idée que l’on a, d’où le succès des vins bio, biodynamique et « nature », avec une limite quand même pour les vins « nature » qui poussent la difficulté au-delà du raisonnable.
          Le vin est devenu au fil du temps un remake de l’art, les grands critiques comme en leur temps les marchands de tableau, faisant le prix d’une appellation ou d’un domaine.
          On notera cependant que pour la vigne et le vin, la conversion bio reste plus modeste que l’effet d’annonce, avec fin 2015, 8,7 % des surfaces , avec 5 176 exploitations viticoles issues de l’agriculture biologique (AB) surtout sous climat méditerranéen où le mildiou n’est pas un gros problème en général… lorsqu’il l’est, l’agriculteur ne récolte pas, mais ce vin est essentiellement exporté car les consommateurs pas trop cons, ne s’y trompent pas, dans le vin ce ne sont pas les résidus de pesticides (de synthèse) qui sont dangereux, c’est bien l’alcool, cancérigène certain et à des doses où il contribue à induire des cancers, surtout chez la femme … mais proportionnellement à la quantité consommée avec un effet bénéfique global en relatif pour le premier verre de vin rouge, neutre pour le second et dangereux au-delà du troisième.
          Logiquement il faudrait un symbole susceptible d’entraîner des effets irréversibles sur chaque bouille de vin ou d’alcool, de façon plus certaine que sur les bidons de pesticides.
          Idem pour les stations essence, elle-mêmes infiniment plus dangereuses que la consommation de vin, il suffit de sniffer le produit pour s’intoxiquer, même si progressivement nous roulerons plus à l’alcool …qui n’est dangereux qu’ingéré.

      2. @ernst
        L’allemagne exporte plus de fromages que la France; vous trouvez cela normal?
        La France importe du bois d’Allemagne ( alors que l’on a 25 millions ha de forêts en métropole et 10 en guyane) : vous trouvez cela normal?
        on pourrait continuer la liste encore longtemps …
        si vous ne voyez pas le déclin c’est que vous ne voulez pas voir les choses en face.
        Ou bien on est très protectionniste pour son agriculture (type japon) mais on n’exporte pas et on taxe les importations ou bien on doit être compétitif et exporter sur le marché mondial : la France socialiste a choisi le pire: pas de protection et pas de compétitivité , ce qui anéantit nos savoir faire et nos emplois.Ils ont déjà détruit toute l’industrie et ils sont bien partis pour l’agriculture : ils ont horreur de ce qui marche et leur goût pour la médiocrité est sans limite.

        1. +1000@ Visor
          Ils détruisent bien et méthodiquement l’agriculture française qui recule de partout après avoir été un exemple!
          juste un bémol pour « ils ont horreur de ce qui marche et leur goût pour la médiocrité est sans limite. ».
          Ils sont surtout d’une incompétence crasse et vraiment minable sur le monde agricole, abruti qu’ils sont par les délires idéologiques de certains « khmer vert » à la batho/hulot et autre Jadot complétement « bloqué », même pas capable d’accepter poliment la remarque d’une personne lui faisant remarquer (le jadot) qu’il confondait la formule de calcule du périmètre d’un cercle et sa surface .An nom de « la science » ce genre de personne en France sont devenue des « références » et en 2018 elles défendent le cuivre « meilleur » pour l’environnement et la santé que le glyphosate!!
          Il en est là, le « pays des lumières (plus a tous les étages et qu’elle honte!!)

          1. Non, la surface et le périmètre du cercle, c’est une autre vedette de l’écologie politique, Julien Bayou…

  2. Et si certains arrêtais de nous tartiner les oreilles sur ce site avec les « socialistes » ?

    Dans l’état actuel des choses, les socialistes sont en état de coma dépassé. Ceux qui prétendent reprendre le flambeau représentent une certaine évolution darwinienne avant extinction finale. L’image que nous envoie le lider minimo est tout aussi pitoyable. Et, malheureusement, malgré leur idéologie pathétique, les verts risquent de devenir le dernier refuge pour les électeurs de sensibilité de gauche… Bonjour la nouvelle Europe…

    La déconfiture à droite est tout aussi reluisante.

    Quant à la politique agricole, son évolution a été plutôt continue à travers les mandats successifs. Ce n’est pas d’hier, ni même d’avant-hier que date le grand écart entre, d’une part, une volonté de favoriser une agriculture productive — qui assure globalement notre souveraineté et sécurité alimentaires et alimente une industrie agroalimentaire de poids tout en contribuant aux exportations, à la balance commerciale et à la paix (relative) intérieure de nombre de pays du Sud — et, d’autre part, une volonté de favoriser « l’environnement » avec les théories et pratiques ineptes de l’ « agro-écologie » (la politique, pas la vraie) et le bio.

    La connerie du « principe de précaution » dévoyé, ce n’est pas les socialistes. Le Grenelle Environnement, ce n’est pas les socialistes.

    Plutôt que de se déchirer sur des positionnements sur un échiquier politique en ruine, nous ferions bien mieux de faire preuve de pédagogie et d’expliquer sans parti pris les enjeux. Ce que fait A-E.

    1. Personnellement, je n’ai pas parler de socialiste.
      Juste de la politique de Mitterrand afin de « défendre l’acier et le charbonnage français ». Des centaines de milliards de francs dépensés avec un échec retentissant : l’acier français a quasiment disparu, les mines ont fermé, près de 4 millions de chômeurs et une dette multiplié par 40 (de 10 milliards d’euros constants en 81 à 400 milliards 95) !!!
      Cette politique a été destructrice !!! Car l’argent dépensé, pour « sauver » ce qui qui était condamné, aurait pu servir à développer les nouvelles technologies (informatiques, téléphoniques, pharmaceutiques…). Ce qui n’a pas été le cas !!!
      La politique menée était totalement idéologique, voir électorale (les « ouvriers »). Mais absolument pas pragmatique ni scientifique.
      La politique actuelle pour l’agriculture est exactement pareille : idéologique !!! On va ralentir voir empêcher les développements de nouvelles technologies (OGM, robotiques…) et « propager » (subventionner) un modèle archaïque (Le Bio) ou pire, un modèle totalement « phantasmé » (Agro-éco, permaculture…).
      Le résultat sera le même : Endettement, faillite, chômage… et importation de produits agricoles !!!!
      Pour finir : Pour moi la « droite » n’est pas de droite, elle est « étatiste » !!! les cadres de la droite sont tous issus des mêmes « grandes écoles » que ceux de gauche :ENA, X ou IEP !!! Ils ont tous les mêmes idées et les mêmes « solutions » : taxer, subventionner, contrôler, normer !!! Mais de Liberté : jamais !!!

      1. @Daniel et Seppi
        J’ai l’impression que c’est pour moi que Seppi parle des socialistes. Je considère en effet que Sarlozy et d’autres de  » droite  » ont , en fait, mis en place une politique sociale démocrate ( cela sonne mieux que socialiste il est vrai mais c’est la même base). Les noms changent mais l’idéologie subsiste en bonne partie ( redistributionautoritaire par l’état, égalitarisme, étatisme poussé au maximum,mondialisme,atteinte à la liberté et à la propriété individuelles etc..). la (supposée) droite faisant une politique de gauche il a été facile pour Macron de les absorber dans un grand parti social démocrate ( laissant de côte les extrêmes). Les spécialistes de comm ont fait du relooking car le terme socialiste n’est, il est vrai, pas vendeur. Je suis d’accord avec Daniel sur son opinion de la droite et je m’efforcerais de ne pas trop employer le terme socialiste pour ne pas heurter Seppi.

        1. Nous sommes en effet bien en République Démocratique Socialiste, tout y est. La nomenclature protégée bien rémunérée, les fonctionnaires innombrables, un État obèse et vorace, des milliards de taxes, une science remplacée par l’idéologie ostracisant les vrais scientifiques qui s’expatrient ou se soumettent, et un petit peuple soumis tenu par des aides dévalorisantes, surveillé, dirigé à tout instant pour ses choix alimentaires, moraux et autres, balloté au gré des décisions ubuesques des « élites », une dette infernale, un appauvrissement du pays où l’incompétence le dispute à l’absurde…

      2. Daniel

        « Cette politique a été destructrice !!! Car l’argent dépensé, pour « sauver » ce qui qui était condamné, aurait pu servir à développer les nouvelles technologies (informatiques, téléphoniques, pharmaceutiques…). Ce qui n’a pas été le cas !!! »

        >>>> La France et la majorité des Français soutenus (pour une fois!) par leurs syndicats surtout préoccupés du bien-être de leurs commissaires du peuple et su soviet suprême et de leur survie, aiment beaucoup les canards surtout quand ils sont boiteux! Cà date de pas mal de temps et les socialo-mitterandards et leurs successeurs depuis n’ont fait qu’aggraver la situation!

  3. On notera dans ce débat le silence assourdissant des deux acteurs pourtant concernés au premier chef :
    1 La ministre de la santé ( il parait qu’il y a un problème de santé publique )
    2 L’Office Parlementaire d’Evaluation des Choix Scientifiques et Techniques
    Parce que Buzyn et Villani risquent de réagir en scientifiques ?

    1. Villani est un grand mathématicien, il avait d’ailleurs eu des mots durs contre Seralini lors d’une commission d’enquête sénatoriale sur la fausse étude anti-OGM de Seralini !!!
      Il est pris entre deux feux : son adhésion au mouvement à Macron et son adhésion à l’empirisme scientifique.
      Il est dans la même position que les chercheurs soutiens du PC durant les années 50-60 !!!
      Espérons qu’il fasse les bons choix : le choix scientifique !!!

  4. Le glyphosate a été pris pour cible par les organisations écolos mondiales comme Greenpeace parce qu’il représentait bien la réussite de l’industrie phytosanitaire : un produit étonnamment sans danger, d’une efficacité redoutable et qui disparait rapidement dans le sol sans laisser de trace. Une réussite commerciale mondiale extraordinaire compte tenu de ses qualités. Le détruire représentait donc une possible victoire extraordinaire.
    Ces données connues, il leur est apparu primordial de plomber le produit par des attaques depuis tous les horizons, attaques factices et sans aucune base scientifique (voir par exemple Séralini), mais on en parlait dans les médias, et petit à petit, dans l’esprit du citoyen moyen, les attaques ont fait leur oeuvre mortifère. Même un Président, semblant pourtant doté d’une intelligence hors normes s’est fait prendre au piège : comparer l’amiante au glyphosate, il faut quand même le faire ! Mais en utilisant l’arme fatale de la peur, ils ont réussi à déglinguer un produit efficace et sans reproche.
    L’avenir est sombre, parce que le remplaçant miracle ne pourra, très probablement pas être trouvé : depuis quarante ans, des entreprises brillantes comme Monsanto l’ont cherché sans succès. Comment pourrait-on réussir en 3 ans ?

    1. Sans compter que la peau du glyphosate n’est que la première de la pile. Il ne faut pas compter sur un produit de substitution. L’ennemi, c’est l’herbicide, quel qu’il soit.

      Je pense d’ailleurs que c’est la conception — personnelle et pas simplement fruit d’un opportunisme démagogique — de notre cher Prés. Voir son programme électoral !

      Quel autre homme politique est suffisamment influent et respecté pour dire : « Halte-là ! Nous faisons fausse route » ?

  5. Un remplaçant du glyphosate?

    Le rapport discutable du CIRC s’appuie uniquement sur des études de cohortes (sélectionnées) qui montreraient que le glyphosate formulé dans les années 80-90, principalement sel d’isopropylamine de l’ acide 2-[(phosphonométhyl)amino]acétique entrainerait ( conditionnel, très conditionnel) un surnombre d’un cancer particulier, les LNH.

    Un produit voisin, un autre sel que le sel d’isopropylamine de l’ acide 2-[(phosphonométhyl)amino]acétique ferait le même boulot sans étude de cohorte à mettre sous la dent cariée et gâtée du CIRC.

    En sus cet effet du glyphosate formulé ne serait mesuré que sur les applicateurs, l’OMS et la FAO sans remettre en cause l’avis (discutable et discuté) du CIRC a bien spécifié que les consommateurs ne risquaient rien avec les LMR établies.

    Donc on continuera à pisser du glyphosate car il ne s’agit pas de glyphosate que l’on utilise sur céréales à maturité en France mais sur celles importées d’Allemagne, du Canada et plus sûrement sur la bière produite avec des orges qui en on reçu mais ce n’est pas des orges françaises.

    Les guignols du tribunal de Foix sont particulièrement pitoyables car s’ils pissent du glyphosate, c’est qu’ils boivent de la bière et pas un peu, pas de la bière produite avec de l’orge française mais de la bière belge ou hollandaise, une fois le glyphosate interdit en France, on continuera à doser du glyphosate dans leurs urines mais sans en faire des manchettes de journaux.

    Faudra aussi leur expliquer que la bière dont il se gavent, il y a de l’alcool, infiniment plus cancérigène que le glyphosate. Pour être logique faudra qu’ils portent plainte pour la présence d’alcool cancérigène certain dans leur bière. Avec beaucoup plus de preuve cette fois.
    Plus pitoyables que ces guignols , on trouve les juges qui leur ont donné raison à propos du glyphosate et ont considéré leur requête avec sérieux.

    1. Dans la monographie du CIRC, les études de cohorte montrent aucun effet, ce sont des études cas-témoins, beaucoup moins significatives qui en montrent (?) un.
      (je suppose qu’il s’agit d’un lapsus)
      Les vrais problèmes de santé majeurs sont l’alcool et le tabac. Les lobbies de l’alcool et du tabac doivent jubiler. Sont-ils derrière ces campagnes ?

  6. En fait on trouve diverses manipulations de l’opinion dans l’actualité notamment dans le type de mobilité recommandée: il fallait acheter des diesel en 2007, bon contre les GES ( ce qui était vrai, comme était vrai le fait que ces diesels ne contenaient pas de benzène, cancérigène terrible, avantage non médiatisé, diesel dont les microparticules étaient bien filtrées avec le FAP) , las, en 2018 on nous raconte qu’il faut repasser à l’essence, alors que les microparticules de nos villes sont liées aux diesels d’avant 2007, sans FAP mais aussi aux moteurs essence qui en dégagent et ne les filtrent pas.

    Restent les biocarburants, accusés ( par des ONG mercenaires) de créer des pénuries alimentaires mais biocarburants qui constituent des carburants les moins nocifs sur le marché, dans les pays du nord, ne s’y sont pas trompé.

    Plutôt que de subventionner de façon éhontée les voitures hybrides ou électriques dont on nous dira dans 5 ans qu’il s’agissait d’une impasse technique ( cf rapport Syrota de 2008), c’est les biocarburants qui devraient bénéficier de toute l’attention pour rendre l’air des villes moins nocifs.
    Certainement le message qui sera porté vers 2025, mais avant …..

    1. Un calcul d’ordre de grandeur montre, sauf erreur, que la surface agricole de la France entièrement dediée aux biocarburants n’arriverait pas à faire circuler toutes nos voitures.

      1. Et les biocarburants sont aussi largement subventionnés à tous les niveaux de la chaine et l’analyse de tout son cycle ne les montrent pas plus vertueux en matière d’émissions de CO2, bien au contraire !

      2. Déjà faire rouler celles des centre ville, les stations essence à l’intérieur des cités ne distribuant que des biocarburants.
        Pour circuler sur l’autoroute en pleine campagne, la pollution des carburants ( benzène, HAP, microparticules…) existe mais reste diluée et ne touche que marginalement les humains.
        Le pire en terme de pollution de l’air liée à l’automobile étant rencontré dans les tunnels aux heures de pointe et dans les parkings souterrains, les boulevards et rues enclavées dans des immeubles hauts, bien aussi. Normal que le parisien moyen ait une espérance de vie écourtée de 2 ans environ. On évite de lui rappeler trop souvent de peur qu’il ne prenne peur…avec raison cette fois.
        Les pesticides n’y sont pour rien !

  7. @Daniel 10/11/2018 | 1:52

    « Villani est un grand mathématicien…………… Il est dans la même position que les chercheurs soutiens du PC durant les années 50-60 !!! »

    >>> Bien fait! Il fallait pas qu’il y aille! Je ne comprends pas comment un type de ce niveau d’intelligence se laisse embobiner par une clique d’incultes et d’incompétents prétentieux!

Les commentaires sont fermés.