La méthode « fielleuse » de Nicolino

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Dans l’affaire des bébés sans bras, le ministre de l’Agriculture Didier Guillaume a osé affirmer que « c’est aux scientifiques de faire la preuve ou non qu’il y a des conséquences à l’usage des pesticides ou pas ». Immédiatement, le Mouvement des Coquelicots présidé par Fabrice Nicolino a dénoncé le ministre comme étant un « négationniste ». Mais les mots ont un sens ! Le négationnisme (réprimé pénalement) a pour définition : « Doctrine niant la réalité du génocide des Juifs par les nazis, notamment l’existence des chambres à gaz. » Ainsi, Nicolino place Didier Guillaume au même niveau abject que celui de feu Robert Faurisson.

Or, en août dernier, Nicolino avait violemment critiqué le journaliste Jean-Baptiste Malet quand celui-ci a parlé « fielleusement » de « retour à la terre » en ce qui concerne Pierre Rabhi. Nicolino expliquait : « J’écris fielleusement, car cette expression prépare le lecteur à ce qui suit : le compagnonnage avec l’ignominie vichyssoise. Du « retour à la terre » à « la terre ne ment pas, elle », mots écrits par Emmanuel Berl pour Pétain, il n’y a qu’un pas. Malet sait parfaitement, nouveau clin d’œil, que l’affaire est ainsi lancée : Rabhi ne peut être au mieux, qu’un archiréactionnaire. » Bref, ce type de méthode fielleuse ne perturbe pas trop Nicolino, dès lors qu’il s’agit de dénoncer les pesticides…

 

 

 

 

 

 

 

Sources
https://fabrice-nicolino.com/?p=4615
https://nousvoulonsdescoquelicots.org/2018/10/19/didier-guillaume-est-un-negationniste/

23 commentaires sur “La méthode « fielleuse » de Nicolino

  1. Je ne qualifierai pas nicolino car je ne voudrais pas avoir d’histoire avec la SPA et les défenseurs des animaux!

    « le ministre de l’Agriculture Didier Guillaume a osé affirmer que « c’est aux scientifiques de faire la preuve ou non qu’il y a des conséquences à l’usage des pesticides ou pas ».  »

    >>>> Pour une fois qu’un ministre de l’agriculture s’en remet à l’avis de scientifiques pour prendre une décision (on verra s’il tient finalement compte de ces avis). Moi je pensais que des avis scientifiques concordants avaient démontré depuis pas mal de temps l’absence de risque pour les utilisateurs et les consommateurs dans les conditions d’emploi recommandées!du glyphosate (sauf bien entendu l’avis frelaté du CIRC démenti par sa « maison mère » l’OMS.

  2. Demander une preuve scientifique, c’est être négationniste…
    Nicolino se rêve grand inquisiteur d’une nouvelle religion.

    1. Nicolino minable tombe tellement bas qu’il se démène pour essayer de se trouver une raison ou un prétexte pour se rassurer qu’il est toujours vivant!

      1. C’est vrai qu’il s’était pris deux balles dans une jambe et qu’il était passé tout près de la correctionnelle !!!

    2. « Demander une preuve scientifique, c’est être négationniste… »
      .
      Et en demander plusieurs, serait-on considéré comme « un cas aggravé » – voire… comme « un cas irrécupérable » ? 😈
      .
      Tiens, justement…
      Depuis hier, en référence à une étude, le « tambour » médiatique clame haut et fort l’effet protecteur (25 % de réduction de la survenance des cancers) de l’alimentation bio, sans attendre le moderato de l’auteur de l’étude, qui précise :
      « A ce jour, les données épidémiologiques disponibles ne permettent pas de conclure à un effet protecteur de l’alimentation bio sur la santé (ou un risque accru lié à la consommation des aliments issus de l’agriculture conventionnelle). On peut espérer obtenir plus de moyens pour la recherche, pour mener plus d’études, sur d’autres populations, pour voir si les résultats obtenus sont similaires.
      Ainsi, si de futures études confirment nos travaux, […]
      »
      .
      plus de moyens = on veut des sous !
      https://www.20minutes.fr/sante/2359523-20181023-plus-gros-consommateurs-bio-risque-lymphome-reduit-76

  3. @ JG2433 24/10/2018 | 10:03

    « Depuis hier, en référence à une étude, le « tambour » médiatique clame haut et fort l’effet protecteur (25 % de réduction de la survenance des cancers) de l’alimentation bio »

    >>>> Ces perroquets ignares, incultes et biaisés, ne se rendent même pas compte (mais à leur décharge il faut dire qu’ils n’en ont pas les moyens éthiques, déontologiques et l’expérience professionnele) de l’ineptie même de cette valeur de 25% de réduction de l’incidence des quelques cancers, compte tenu des conditions méthodologiques de l’étude qui vaut ce qu’elle vaut et ne prendra de valeur que si ses résultats sont confirmés par d’autres études comme le disent clairement les auteurs!!!

  4. Une bonne approche dans l’agence Reuters: « They do know, however, that people who ate the most organic foods were more likely to be married, have higher income and education levels, consume less red and processed meat, and drink less alcohol.  »
    https://www.reuters.com/article/us-health-organic-food-cancer/organic-foods-tied-to-slightly-lower-cancer-risk-idUSKCN1MW23D
    alcool et viande transformée cancérigènes certains, viande rouge cancérigène probable.
    Questionnement sur les dioxines et PCB contenues dans les viandes rouges et transformées puisque les produits d’origine animale sont plus riches en dioxines, pour certaines origines du moins et sur ce sujet la communication est minimaliste.

    Les dioxines vont ainsi s’accumuler dans les tissus graisseux, notamment d’origine animale tout au long de la chaîne alimentaire. On en retrouve donc particulièrement dans les aliments riches en graisses animales ».
    25 % est un % énorme, impossible à tenir face à des spécialistes du sujet. la réduction des LNH est tout aussi suprenante pour un cancer dont on identifie difficilement les causes, les solvants principalement mais les solvants disparaissent rapidement car volatils.
    Le cas du benzène dans l’essence étant une des expositions les plus probables mais qui n’a rien à voir avec l’alimentation bio et tout avec l’exposition aux vapeurs d’essence, pourtant rien d’aussi significatif dans les études sur les causes des LNH.
    Le lindane aussi en cause, seul pesticide où le lien ne fait aucune doute mais plus en lien avec le traitement du bois. La formule du lindane est en outre proche de celle de nombreux solvants, justement suspectés d’être en cause.

    Même CNN pourtant très proche de cette philosophie note «  »At the current stage of research, the relationship between organic food consumption and cancer risk is still unclear, » Chavarro and his co-authors wrote in the commentary. »
    https://edition.cnn.com/2018/10/22/health/organic-food-cancer-study/index.html

    Les commentaires de CNN ressemblent une execution en règle et à mots couverts de cette étude française qui complète l’extraordinaire travail de notre ami Séralini… du même tonneau!

  5. Pour en mettre une couche supplémentaire:
    http://www.action-agricole-picarde.com/actualites/cancer-et-pesticides-les-agriculteurs-en-premiere-ligne:FG1S3B9B.html?_ga=2.85463513.1596181884.1540392770-336192681.1540392770

    « Les pesticides domestiques souvent oubliés

    «Il ne faut pas toujours prendre le champ voisin pour coupable d’avoir engendré une maladie.» Le docteur Pierre Lebailly, coordinateur de l’étude Agrican (Agriculture et cancer) souhaitait remettre les pendules à l’heure lors de sa conférence au CHU d’Amiens, le 19 octobre.
    Car, des pesticides, il y en a parfois plus à l’intérieur de la maison que dans les cultures. Produits de traitement antiparasitaire du chien et du chat, bombes désodorisantes, fleur autocollante anti-mouche collée à la fenêtre, ou encore produit de traitement des cheveux appliqués à même le crâne, sont autant de produits nocifs pour la santé.
    «Les carbamates, interdits depuis longtemps en milieu agricole, étaient des molécules très toxiques encore en vente libre dans les pharmacies sous forme de produit anti-poux», donne comme exemple le professionnel. Une communication auprès du grand public est donc encore nécessaire. »

    Sachant que dans les causes de maladies neurodégénératives on trouve au premier plan l’insecticide roténone largement utilisée en agriculture bio et les pyrethrines naturelles ne sont pas totalement sans danger non plus.

    Avec les punaises de lit et les voyages en avion, qu’on m’explique comment ne pas être en contact avec les insecticides biocides, Le Dr Lebailly qui fait bien son boulot, obligé de trouver des poils aux pesticides en jouant de la loupe, a toutefois oublié cette exposition qui va s’envoler avec la progression de ces charmantes bestioles dont j’apprends qu’elles colonisent aussi à grande vitesse l’habitat des bobos dont le merveilleux quartier du Marais à Paris, phénomène exponentiel avec AirBnB, formidable vecteur pour ces gentils vampires. Quelques gouttes de sang en moins pour les bobos, quelques irritations aussi en sus, mais en positif un peu plus de compréhension des misères du bas peuple. Avant que ne se répande la maladie de chagas dans l’hexagone.

  6. @ loup Garou: avec une limite dans cet article « En attendant, le principe de précaution peut pousser à consommer des produits bio. Mais il ne faudrait pas que cela pousse à ne plus consommer de fruits et légumes tout court si les alternatives sans pesticides sont trop chères, ce qui est souvent le cas du bio. »
    Un peu léger comme conclusion; l’étude https://jamanetwork.com/journals/jamainternalmedicine/fullarticle/2707948 mélange tout ou plutôt ne sépare pas suffisamment les différents effets, les consommateurs de produits bio de l’étude sont  » more likely to be married, have higher income and education levels, consume less red and processed meat, and drink less alcohol.  » .
    Le fait d’être mariée et de consommer moins d’alcool diminue le cancer du sein, la femme marié a plus d’enfants qu’elle va allaiter . Les viandes rouges et transformées, surtout celles de moindre qualité, sont plus riches en dioxines, HAP, autres contaminants ubiquitaires .. et peuvent parfaitement avec le cadre de vie impacter les LNH comme les métiers des participants, qui les conduisent à être en contact avec les solvants, coloration des cheveux, produits cosmétiques pour les ongles…. Ce sont les solvants organiques, principalement cosmétiques ou lié au métier exercé ou liés au lieu de vie ( proximité des voies routières et étages inférieurs d’un immeubles ) qui expliquent les lymphomes. Les « higher income and education levels » permettent d’échapper en relatif à cet effet.
    Il suffit ensuite de mal pondérer, extraire l’effet, les autres facteurs comme la consommation de tabac dont il n’est pas question parmi les facteur pris en compte pour orienter l’étude dans le sens voulu. C’est une étude de femmes chercheuses militantes qui ont biaisé la conclusion très clairement. 25 % de cancer en moins pour les consommateurs de bio dont 70% de LNH en moins en suggérant l’origine pesticide dans l’alimentation pour les français est tout simplement grotesque.
    Ne pas oublier les graines germées avec E colin, cas connu pour combien instruits avec discrétion et les accidents à répétition liés au datura dans les crèpes de sarrasin qui là ne sont pas des extrapolations mais des faits bien établis à coté de nombreux autres accidents passés sous silence par les médias voire les ARS qui ne relaient pas toujours très bien les informations importantes.
    Cette étude c’est du Séralini avec une compétence statistique plus affirmée.
    C’est surtout très triste pour la recherche française qui mérite mieux comme chercheuses. Les journaux internationaux ne s’y sont pas trompé vu leurs réserves plus claires et sans équivoques, réserves non reprises, hélas, par leurs équivalents français. On attend du Figaro qu’il fasse son travail correctement comme d’habitude, rien à attendre des autres.

    1. Cette étude a oublié les traitements hormonaux de la ménopause dont on a établi la relation avec certains cancers.

  7. Voila une bonne analyse : https://www.sciencesetavenir.fr/nature-environnement/manger-bio-reduit-il-les-risques-de-cancer-difficile-a-prouver_128894

    Tout est bon.

    « L’étude a 3% de chance d’avoir trouvé quelque chose d’important, et 97% de propager des résultats absurdes et ridicules », conclut John Ioannidis, professeur émérite de médecine à Stanford.

    Avis sans appel et partagé par la majorité des chercheurs sérieux à l’étranger.

    L’INRA aurait mieux fait de relativiser la qualité de cette étude, d’autant que focaliser sur les résultats de cette étude fait perdre de vue les principaux principes pour réduire le risque de cancer: Ne pas fumer, réduire sa consommation d’alcool par jour en dessous de deux verres de vin pour un homme et d’un verre pour une femme, ne pas s’exposer au soleil , modérer sa consommation de viandes rouges et transformées, avoir une activité physique si possible de plein air ( non pollué), consommer davantage de fruits et légumes (bio ou pas bio) …

    Focaliser sur de fausses recommandations fait perdre de vue les points essentiels, plus qu’idiot, c’est criminel.

    Indépendamment j’ai toujours beaucoup de sympathie pour les petits producteurs bio des marchés qui pratiquent des prix raisonnables, sont en circuit court mais dépendent tous de fumiers et déjections animales pour leurs productions. la moitié de la production de viande rouge d’altitude sous label bio, pourquoi pas, si le cout du label bio diminue, car ce sont les organismes certificateurs qui se gavent le plus avec le bio, plus que la filière.

    1. l’INRA est un ennemi du monde agricole Français depuis quelque années maintenant! Ne pas oublier leur rapport minable/débile complètement bidonné sur les coups cachés des pesticides.
      Il est noyauté par des «  »chercheurs «  »et certains « responsable » idéologique qui ne devraient pas être financés par nos impôts!
      Une des hontes de la recherche française maintenant!
      ( a mettre dans le même panier que certains « branquignoles » du CNRS qui nous expliquent que le désherbage des cultures pénalise les rendements ==> c’est tellement évident!)

    2. Difficile aussi d’échapper au matraquage quasi-universel de la part des journalistes, des médias de toutes sortes et des collectivités publiques sur le bénéfice pour la santé de consommer bio et que le modèle agricole actuel est à l’origine de tous nos maux : maladies et pollutions généralisées !

  8. Certes, tout cela parait bien extraordinaire.
    Il n’est pas possible de trouver de chiffre sur la consommation annuelle de cuivre en agriculture. Une estimation de 6 000 tonnes par an, vigne et pomme de terre principalement juste après le glyphosate parait réaliste. Si le glyphosate disparait; le cuivre apparaitra comme le pesticide le plus utilisé et pas le moins toxique.

    De façon tout aussi sérieuse on peut lire http://www.web-agri.fr/actualite-agricole/politique-syndicalisme/article/le-parlement-europeen-limite-le-recours-aux-antibiotiques-1145-142561.html

    Chaud devant, cette mesure indispensable vu l’érosion de l’efficacité des antibiotiques en santé humaine va avoir des conséquences sur l’importance d’une plus faible teneur en mycotoxines de l’alimentation des animaux, mycotoxines dont il est bien établi que certaines, nombreuses, dépriment l’immunité des animaux de façon significative.

    Si des pesticides de synthèse permettent de réduire les mycotoxines de l’alimentation animale cela change beaucoup sur leur bénéfice au final quant à la moindre utilisation des antibiotiques.
    Ce qui est valable pour les animaux d’élevage l’est aussi pour les hommes, évidemment.
    Mais ce sujet est neutralisé.

  9. En revanche cela chauffe coté punaises de lit dans les cités universitaires: https://www.20minutes.fr/toulouse/2360283-20181025-toulouse-denoncent-presence-cafards-punaises-lit-cite-u

    C’est clairement ingérable et le CROUS procède par des désinsectisations ponctuelles, avec des pesticides de synthèse évidemment, mais déplaçant l’étudiant le temps du traitement et sans mesures drastiques, propage aussi le phénomène.
    C’est tout simplement ingérable dans ces milieux, sauf à accepter de protections chimiques permanentes dans les ailes des bâtiments contaminées.

    Coté comique de l’affaire, c’est la déclaration « Un traitement général de tous les bâtiments par fumigation serait nécessaire, il faudrait reloger les résidents deux ou trois jours », avance Antoine Bertrand des jeunes Insoumis-e-s de Toulouse. »

    Le problème avec le mouvement des Insoumis, c’est qu’il est en général aussi contre l’utilisation des insecticides … surtout en agriculture. Le « par fumigation  » doit faire référence à un produit bio…qui ne fera pas grand chose aux punaises.
    Donc favorable à laisser les punaises de lit faire leur office et leur ponction quotidienne de sang sur les résidents.

    Indépendamment de cela à partir des ces foyers lorsque les étudiants iront loger chez l’habitant, ils transporteront avec eux les punaises de lit, bonjour la dissémination de ce charmant insecte qui sera le vecteur et le révélateur de la schizophrénie de notre société.

    Bon appétit les punaises !

  10. « il faudrait reloger les résidents deux ou trois jours »,  »
    Le plus simples serait de faire le traitement durant le week-end…
    Ah mais oui, les Insoumis sont contre le travail le week-end !!!
    On est pas sorti de l’auberge (de jeunesse !!!).

  11. Un article d’un collectif de médecins qui fait peur, vraiment peur.

    https://www.lemonde.fr/idees/article/2018/10/29/notre-proposition-monsieur-le-ministre-pour-evaluer-la-toxicite-des-pesticides_5375967_3232.html

    « De plus, cette preuve devrait être faite avant leur mise sur le marché et validée par des organismes indépendants certifiés comme c’est le cas pour les médicaments qui, pour être commercialisés, doivent avoir reçu une AMM (Autorisation de mise sur le marché). »

    Il est effarant de constater que ces médecins, espérons que leur diplôme a été obtenu dans un pays étranger, ne savent pas que les même laboratoires, indépendants, testent la toxicité des pesticides comme celle des médicaments , même procédures, avec un surplus de preuves environnementales pour les pesticides, pas pour les médicaments. Ils ne savent, visiblement pas non plus que de nombreuses substances actives notamment antigales ou antipoux sont utilisées en agriculture et en médecine, ni visiblement que ce qui permet d’autoriser des médicament c’est le rapport bénéfice /risque alors que pour les pesticides il faut que le risque soit minime pour qu’il y ait autorisation.
    De nombreux médicaments sont prouvés cancérigènes comme l’EE des pilules contraceptives qui est loin d’être le plus préoccupant, labo et études de cohortes, classement cancérigène certain, un telle substance ne serait plus utilisée comme pesticide.
    Les médicaments tuent de façon certaine entre 15 000 et 20 000 français chaque année dans un délai suffisamment court pour que la preuve soit certaine et en envoient autour de 150 000 à l’hôpital . En contre partie, il est difficile de trouver un effet net et immédiat sur les agriculteurs avec les pesticides. C’est normal le médicament est ingéré ou injecté et l’agriculteur se protège désormais du pesticide agricole.

    Enfin les eaux superficielles et souterraines sont bien plus contaminées par les médicaments que par les pesticides ( absence d’intérêt des autorités par la pollution par les médicaments alors que des preuves d’effets délétères sur l’environnement, infiniment plus préoccupantes que pour les pesticides s’accumulent, idem pour les consommateurs d’eau potable notamment pour l’éthinyl oestradiol.

    Visiblement ces médecins qui craignent les pesticides continuent à prescrire des médicaments issus de l’allopathie et c’est extrêmement inquiétant vu leur ignorance crasse. Ils faudrait les voir se limiter à l’homéopathie seule prescription sans risque… si le patient n’est pas très malade et que l’autosuggestion suffit à le guérir.

    1. Alzine, il n’y a que deux possibilités pour qu’un médecin ne soit pas au courant que les produits phyto (pesticides de synthèse) sont homologué de façons très sérieuses et ont obligatoirement une AMM. Soit C’est un menteur (encore un, pour qui la fin justifie les moyens) ou soit c’est un idiot incompétent dangereux pour ses patients.
      Il n’y a qu’une sorte de « pesticide » homologué avec des règles/principes de sécurité très allégé voir nul et effectivement de façon anormale: Les produits dit « préparations non/peu préoccupantes ». On les trouve que dans les gammes de produit dit de « biocontrol » . C’est l’aberration du système idéologique français qui veut nous imposer un fait complètement anti science: si c’est un produit de synthèse on panique (voir on devient fou) si c’est une produit a base « naturel » c’est pas grave et même bon pour la santé!!(alors on ne control /vérifie pas les problèmes que ce produit peu créer, (et )provoquer).
      C’est pour cela que vous pouvez même acheter en vente libre en sac du tourteau de ricin pour mettre dans votre jardin contre les petites bébêtes du sol qui mange vos salade. Moyennement efficace sur les taupins et autres parasite du sol mais très efficace sur le chien de la maison qui trouve ce produit très appètent en plus ( généralement il ne faut pas plus de 4 à 5 heures max après ingestion pour que le toutou rende l’âmes).
      https://www.ledauphine.com/vaucluse/2018/09/05/cinq-chiens-morts-un-engrais-dangereux-mis-en-cause

        1. Une piste de recherche : la nouvelle réglementation sur les produits phyto (pesticides) a base « naturel » (vous savez les produits non/peu préoccupants) sortie après 2010 .Le ricin c’est bien naturel, l’huile de ricin a même été utilisée comme « médicament »(et bien marqué ceux qui en ont ingurgité), alors c’est même carrément bon pour la santé…..non!
          Problème :l’huile et le tourteau qui en résulte lors du pressage non rien a voir au niveau du « risque santé »! Le tourteau est vraiment « mortel »!

  12. @ Yann,
    Le tourteau de ricin fait partie des sujets paradoxaux.
    Normalement le traitement par la chaleur doit inactiver la ricine qui est la substance toxique principale mais lorsque ce traitement est insuffisant, les accidents sont fréquents.
    Ce tourteau peut aussi être dangereux pour les jeunes enfants.
    Mais comme c’est bio…

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