Après les humains, les vegans s’attaquent aux chiens et aux chats !

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Même Libération n’en croit pas ses yeux. Dans son édition du 22 juillet 2018, le quotidien s’intéresse à « la vague folle du végan pour chiens et chats ». Et encore, certains aliments ne se contentent pas d’être vegans, ils sont aussi sans céréales et sans gluten… Des régimes contre-nature qui mettent en danger de mort le chien, et surtout le chat (qui a un besoin impératif de taurine, un acide aminé animal, sans laquelle ils risquent le développement de pathologies mortelles), s’indigne Libération qui conclut par cette remarque pleine de bon sens : « Mais si tu veux un animal végan, prends un lapin ou une tortue, non ? »

32 commentaires sur “Après les humains, les vegans s’attaquent aux chiens et aux chats !

    1. Dom
      Et peut être qu’on devrait les remplir avec ceux qui diffusent volontairement des fausses informations pour tenter de faire passer d’autres personnes pour des débiles ?

    1. Ernst
      Non pas pour un végétalien mais s’il est vegan il préférera récupérer un animal abandonné, y’en a tellement…. L’idée est de ne pas acheter un animal à un éleveur puisqu’il participe à l’exploitation animale. Et au niveau des animaux domestiques on connait les traffics avec les usines à chiots des pays de l’est mais en France aussi, certains élevages ont aussi été dénoncés.

        1. Ernst.
          Eh non ! Un vegan a un régime alimentaire végétalien mais un végétalien n’est pas forcément vegan.
          Etre vegan c’est un mode de vie qui refuse toutes les exploitations animales donc, régime alimentaire végétalien, ne pas porter de laine, de soie, de cuir ou de fourrure, utiliser des produits de beauté sans ingrédient d’origine animale et non testés sur des animaux, pas de zoo ou de spectacle avec des animaux, etc, etc.
          Un végétalien peut s’intéresser qu’au régime alimentaire….

          1. Voilà un commentaire informatif (enfin pour ceux qui n’avaient pas encore compris)… ce n’est pas tous les jours…

            Peut-on supposer que le végan s’intéresse aussi à l’origine précise des aliments — forcément végétaux — qu’il consomme ?

            Un radis produit dans un jardin sans fertilisation apportée est « végan ». L’est-il encore si le jardin a reçu un fumier ou un compost issu de fumier ?

  1. Mais avant d’écrire des inepties, renseignez vous !
    Faites donc la recherche sur internet et vous trouverez des étiquettes de croquettes végétales . Vous verrez que les apports nutritionnels sont les mêmes que les croquettes avec de la viande. Pourquoi ? Car comme les croquettes avec de la viande, les croquettes végétales ont été enrichies et tout un tas de minéraux, vitamines et taurine. Au fait, la plupart des croquettes avec de la viande ne contient pas plus de 20 à 30% de « viande » de qualité plus ou moins variable, le reste des céréales, des légumes, etc.

    1. Au même titre que les humains végans, les animaux végans ont besoin de compléments alimentaires pour survivre. De fait, c’est une alimentation absolument artificielle.
      Pour un végan, avoir un animal de compagnie relève de la schizophrénie : C’est déjà totalement spéciste d’imposer un mode de vie humain (vie en appartement etc) à son animal de compagnie mais le prosélytisme alimentaire du maître est encore plus effroyable de non sens.

      1. Hibou
        Avant d’écrire n’importe quoi , renseignez vous. Allez donc voir la composition des aliments pour le bétail, ils sont bourrés de compléments alimentaires. Et sans les antibiotiques pas d’élevage non plus. Pour votre info personnelle, plus de la moitié des antibiotiques fabriquée dans le monde sert aux animaux, pas aux humains.
        Un animal de compagnie qui est né à cause des éleveurs et qui se retrouve à la SPA sera toujours mieux chez un vegan que dans sa cage, vous ne croyez pas? Un vegan sera certainement plus à l’écoute de son animal que la plupart des autres personnes… et arrêtez avec votre image du vegan citadin, c’est ridicule. Bref vos arguments montrent que vous y connaissez rien et que vous avez juste envie de cracher sur du vegan.

        1. Il n’y a pas plus intolerant que les végans ! ce n’est pas un jugement , c’est un constat ! Et s’ils ne sont pas intolerant , ils ne tiennent pas le coup , car ils se rendent vite compte qu’ils se marginalisent et que leur vie sociale se compliquent ! ça c’est un temoignage de mon entourage !

    2. de la taurine dans des aliments végé vegan !! Mais c’est un scandale !!
      alors le marc il faut hurler a la mort contre cette horreur. Combien de cadavre exploités pour enrichir en taurine les aliments végé/végan ????
      Le pire: Des végans qui achèteraient des aliments complétés en taurine pour leur animaux de compagnie …..! alors là c’est le pompon! le monde a l’envers! la cabane est sur le chien!!
      Ce sont des faux végan de toutes évidences.
      plus sérieusement: généralement les végan donnerait envie de pleurer et pour une foi c’est de rire qu’ils donnent envie tellement « y sont …………. » (il y a le choix ).

  2. Interdire l élevage , c est faire disparaître le fumier , et faire disparaître le fumier c est condamner les agris biau…..

    Je pouffe….

        1. Ernst
          le marc de concours pense que c’est simpliste car pour lui, si l’on ne mange plus de viande , que l’on n’exploite plus la laine des moutons et que l’on ne mange plus d’œuf , il ne comprend pas pourquoi (ou ne peut pas comprendre plutôt)des éleveurs arrêteraient leur élevages pour autant. C’est tellement évident pour les végé/végan ou autres du même acabit que des agriculteurs puissent continuer leur élevages juste pour « la beauté du geste »! Avec des charges (d’élevage) a payer et sans pouvoir produire quoique ce soit a vendre les éleveurs vont bien se sacrifier et continuer a trimer juste pour fournir gratuitement de l’engrais aux bio !!. Le fait que les exploitations agricoles soient des entreprises et qu’elles doivent comme toutes entreprises être rentable ne leur traverse même pas l’esprit de ces super » sachant ».
          Plus sérieusement, c’est assez génial se genre de remarque de « végan » pour mettre en avant leur vrai « valeurs » et réelles compétences sur les sujets pour lesquelles ils veulent donner des leçons au monde agricole.
          Plus ils « s’étale » plus ils seront connu pour ce qu’ils sont !!!

          Encouragement au marc pour bien mettre en avant sa cause ! Qu’il ne change rien!

      1. Ben, les biaus demanderont une dérogation pour l’utilisation d’azote de synthèse, à partir d’électricité fournie par des éoliennes.
        C’est défendable 😉

  3. Au même titre que les humains végans, les animaux végans ont besoin de compléments alimentaires pour survivre. De fait, c’est une alimentation absolument artificielle.
    Pour un végan, avoir un animal de compagnie relève de la schizophrénie : C’est déjà totalement spéciste d’imposer un mode de vie humain (vie en appartement etc) à son animal de compagnie mais le prosélytisme alimentaire du maître est encore plus effroyable de non sens.

  4. Mais il ingere quand meme des proteines animales en ne mangeant que des vegetaux. Donc gros foutage de gueule.
    En effet des milliards de bacteries sont presentes et ce sont des animaux……

    1. @Ernst; vous ne mélangeriez pas les connaissances sur les ruminants et les animaux en générale.
      Les ruminants qui ingèrent exclusivement des végétaux digèrent effectivement surtout des bactéries.Une foi les végétaux dans leurs rumens les vaches moutons ou autre ruminant développe en faite dans cette cuve de fermentation qu’est le rumen (environ 200l pour les vaches ) des bactéries qui sont elles seules capables de valoriser ces végétaux .Si le ruminant profite a ce moment là de la libération d’AGV, elle va surtout par la suite digérer ces milliards de bactéries qui se sont multipliées dans sa pense. Les chiens et chats ne sont pas des polygastrique comme tous les ruminants. Ce sont des monogastriques carnassiers capables directement de valoriser des protéine animal.(il peut y avoir aussi la présence de bactérie sur les végétaux consommés….).

      Pour les végans ce qui est génial (grosse ironie) c’est de les voir défendre le faite d’avoir un animal de compagnie ! Trop drôle ! Ils osent et c’est a cela que l’on peut les reconnaitre!!
      ils sont géniales ces gugusses avec des affirmations comme celle la:
       » Un vegan sera certainement plus à l’écoute de son animal que la plupart des autres personnes ».
      Vu le sujet de l’article c’est évident!! trop fort le marc ! un vrai donneur de leçon a la mode kmer vert.
      Belle preuve que les blocages idéologique peuvent vraiment rendre idiots a souhait certains qui ne sont même plus capable de voir l’étalage qu’ils font de leurs incohérences/idioties.

  5. Après les animaux domestiques ils vont forcément s’attaquer aux carnivores sauvages. Mais comment mettre les lions aux carottes vichy ? Les requins aux algues ? Et ces terribles baleines bleues qui avalent des tonnes de gentilles crevettes ? Que faire des bébés phoques ?…

  6. Nourrir un chat ou un chien sans viande n’est certainement pas « naturel »,
    mais les nourrir tout court n’est pas  »naturel ». Le chat et le chien ne sont
    pas eux-mêmes « naturels », ils ont été créés par les humains à partir
    d’espèces sauvages. Les humains les ont tellement modifié qu’on ne sait
    même pas exactement de quelles espèces ils proviennent. Bien qu’il en soit
    proche, il n’est pas sûr que le chat domestique descende directement du
    chat sauvage d’Europe, ni que le chien provienne du loup. Leurs habitudes
    et leur physiologie ont changé dans une direction voulue par les humains,
    selon les intérêts des humains, sans se demander si cette évolution
    respectait leur  »nature ».

    Beaucoup d’humains trouvent scandaleux de
    nourrir les chats sans viande. Mais ils ne se posent pas la question de
    savoir s’il est  »naturel » de sélectionner des  »animaux de boucherie » pour
    leur rendement, de les parquer des mois ou des années durant dans des
    espaces où ils peuvent à peine bouger, où ils reçoivent une nourriture on
    ne peut moins « naturelle », pour finir leur carrière dans des boîtes pour
    autres animaux, dits « familiers », dont les ancêtres sauvages n’auraient
    jamais songé à se nourrir de boeuf ou de poisson. Pour donner un autre
    exemple de l’ineptie des références au  »naturel », rappelons que les poules
    sauvages pondent 6 ou 7 oeufs par an, tandis que leurs lointaines
    descendantes, les poules en batterie, en pondent plus de 300…

    Si les humains avaient eu intérêt à nourrir les chiens et les chats sans viande,
    cela fait belle lurette que cela serait fait, tout comme, pour des motifs
    purement économiques les poules en batterie sont nourries sans vers de
    terre, alors que leurs ancêtres en mangeaient dans la  »nature ». Et on ne se
    soucie pas de savoir si cela est « contre nature », mais seulement si le
    rendement n’en est pas affecté. Bref, la question de savoir s’il est  »naturel »
    ou non de nourrir les chats sans viande ne m’intéresse pas plus que de
    savoir s’il est  »naturel » ou non de lui faire faire ses besoins dans une caisse
    avec du gravier. Ce qui m’importe est de savoir si un chat ou un chien peut
    être en bonne santé et heureux sans viande ; et ceci en gardant à l’esprit
    que les animaux qui servent à faire la viande, eux, n’ont pas cette chance
    qu’on se préoccupe de leur bonheur et de leur santé, du moment qu’ils
    arrivent vivants aux portes de l’abattoir.

  7. Nourrir un chat ou un chien sans viande n’est certainement pas « naturel »,
    mais les nourrir tout court n’est pas  »naturel ». Le chat et le chien ne sont
    pas eux-mêmes « naturels », ils ont été créés par les humains à partir
    d’espèces sauvages. Les humains les ont tellement modifié qu’on ne sait
    même pas exactement de quelles espèces ils proviennent. Bien qu’il en soit
    proche, il n’est pas sûr que le chat domestique descende directement du
    chat sauvage d’Europe, ni que le chien provienne du loup. Leurs habitudes
    et leur physiologie ont changé dans une direction voulue par les humains,
    selon les intérêts des humains, sans se demander si cette évolution
    respectait leur  »nature ».

    Beaucoup d’humains trouvent scandaleux de
    nourrir les chats sans viande. Mais ils ne se posent pas la question de
    savoir s’il est  »naturel » de sélectionner des  »animaux de boucherie » pour
    leur rendement, de les parquer des mois ou des années durant dans des
    espaces où ils peuvent à peine bouger, où ils reçoivent une nourriture on
    ne peut moins « naturelle », pour finir leur carrière dans des boîtes pour
    autres animaux, dits « familiers », dont les ancêtres sauvages n’auraient
    jamais songé à se nourrir de boeuf ou de poisson. Pour donner un autre
    exemple de l’ineptie des références au  »naturel », rappelons que les poules
    sauvages pondent 6 ou 7 oeufs par an, tandis que leurs lointaines
    descendantes, les poules en batterie, en pondent plus de 300…

    Si les humains avaient eu intérêt à nourrir les chiens et les chats sans viande,
    cela fait belle lurette que cela serait fait, tout comme, pour des motifs
    purement économiques les poules en batterie sont nourries sans vers de
    terre, alors que leurs ancêtres en mangeaient dans la  »nature ». Et on ne se
    soucie pas de savoir si cela est « contre nature », mais seulement si le
    rendement n’en est pas affecté. Bref, la question de savoir s’il est  »naturel »
    ou non de nourrir les chats sans viande ne m’intéresse pas plus que de
    savoir s’il est  »naturel » ou non de lui faire faire ses besoins dans une caisse
    avec du gravier. Ce qui m’importe est de savoir si un chat ou un chien peut
    être en bonne santé et heureux sans viande ; et ceci en gardant à l’esprit
    que les animaux qui servent à faire la viande, eux, n’ont pas cette chance
    qu’on se préoccupe de leur bonheur et de leur santé, du moment qu’ils
    arrivent vivants aux portes de l’abattoir.

    1. En fait, il n’y a pas de différences fondamentales sur le plan nutritif entre la viande et les plantes, il y a des nuances. Les chats et les chiens ont certainement des ancêtres lointains herbivores. Dans la nature, qu’un animal soit carnivore signifie surtout que ses moyens de déplacement (rapidité de la course…) et d’attaque (dents, griffes), ainsi que son psychisme le portent à chasser, plutôt qu’à manger des plantes. Un loup qui ne chasserait pas survivrait difficilement, parce qu’il n’a pas, par exemple, l’habitude qu’a l’écureuil de collectionner les graines pour l’hiver, ni la dentition permettant d’ouvrir les noisettes, ni enfin les réflexes de mastication qui rendent les plantes plus digestes, un ensemble de faits disparates, et non une quelconque «nature de carnassier», font que le loup chasse. Il n’a pas «besoin» de viande, mais de protéines, graisses, vitamines, etc., sous une forme appétissante et digestible. D’ailleurs les renards, et sans doute les loups, mangent beaucoup de fruits, quand ils en trouvent.
      Le système digestif et le métabolisme d’un animal carnivore s’adaptent par la force des choses à son alimentation – tant bien que mal, car une alimentation très carnée est toujours déséquilibrée. En particulier, chez le chat, qualifié contrairement au chien de «carnivore exclusif», les reins sont lourdement sollicités par la grande quantité d’azote (protéines) à éliminer. Dans les conditions difficiles de la nature, un chat vit rarement plus de cinq ou six ans, et ses reins peuvent tenir le coup ce temps-là, mais en appartement, où il peut vivre plus de quinze ans, ce sont en général les reins qui lâchent en premier, et, les vétérinaires le disent, «le chat meurt par les reins». Aucun vétérinaire sensé ne recommanderait pour un chat un régime aussi riche en protéines que celui qu’il aurait dans la nature. Le régime «naturel» pour un chat n’a aucune raison d’être le meilleur pour lui. Bien au contraire, les vétérinaires sont souvent obligés de se battre pour faire admettre aux gens que leur chat est malade parce qu’il mange trop de viande pure – un tel régime est pire encore pour eux que leur régime «naturel», qui comporte une certaine quantité de plantes (au moins le contenu de l’estomac des proies), et aussi des os.

      1. Et si on veut vraiment que ce soit dans la «nature» des chats d’être carnivores, il faut croire que mes chats ne sont plus des chats, en effet, ce qui est vraiment dans la nature d’une chose, on ne peut le changer. Je continuerai quand même à les appeler «chats», parce qu’ils continuent à ressembler à des chats, à jouer, miauler, ronronner… comme des chats.
        Au sujet de la taurine, c’est une petite molécule banale que la plupart des animaux se fabriquent eux-mêmes. Elle se trouve dans tous les organes. Le chat qui mange de la viande profite de celle que fabrique un autre animal, et il a perdu la capacité de s’en fabriquer assez lui-même. Il n’y en a pratiquement pas dans les plantes. Sans taurine le chat devient aveugle, une carence modérée peut lui faire des problèmes cardiaques. Les boîtes pour chat, dont la viande est cuite et accompagnée de plantes, sont pauvres en taurine (aux Etats-Unis, les fabricants y rajoutent de la taurine de synthèse), et vraisemblablement les chats français en manquent souvent. Pire de ce point de vue, les chats de rue reçoivent souvent moitié pâtes, moitié boite. Le Vegecat contient de la taurine de synthèse, assez pour éviter toute carence, et mes chats, végétariens, sont donc plus à l’abri des problèmes cardiaques dus à une carence que la plupart des chats français non végétariens.

      2. Merci pour ces explications claires (dans la forme surtout car sur le fond…?).Vous dites:
        « En particulier, chez le chat, qualifié contrairement au chien de «carnivore exclusif», « .
        Mais si je comprends bien le reste de vos explications, l’idéale pour le chat, serait donc une alimentation « non naturel », pas « carnivore exclusif » plutôt « omnivore » forte en « viande/protéines animale quand même, ce qui lui donnerait une espérance de vie, toujours selon vos explications ,effectivement beaucoup plus longue (5/6 ans==>15ans et plus).
        Il faut donc de la protéine animale et végétale dans des proportions adapté/équilibré à chaque espèces pour qu’elles puisent vivre a « l’optimum de leurs santés ». Equilibre Naturel ou non! (si je vous ai bien suivi…?)
        Pour le coté « chat création non naturel par l’homme », vous avez raison. Comme pour les chiens, les poules pondeuses et autres! Personnellement cela ne me pose aucun problème et est simplement une des nombreuses preuves de la « particularité Humaine « dans le règne animale. J’adore mes animaux (chien/chats) et ils me le rendent bien (pas les poules qui sont là que pour valoriser certains déchets en œufs) . Souhaitez vous que l’on « éradique » à long terme tous ces animaux « domestique » ? Le lion et les ours qui mangent beaucoup de saumons aussi ?
        Ce qui me semble apparaitre dans vos explications, c’est que vous vous mettez à la place des animaux d’élevage (entre autres) pour « évaluer » leur « plaisir de vie » avec vos repère d’homme (peut être un peu trop) « sensible ». Là est probablement votre erreur! La nature, la planète, n’ont et ne font (ni ne feront) jamais aucune sensiblerie vis à vis de l’humanité !

  8. Bonjour, la taurine n’est pas un acide aminé contrairement à ce que l’on peut lire parfois sur le web, dont elle ne possède absolument pas la structure contrairement à ce qui est écrit dans l’article mais est bien un dérivé métabolique de deux acides alpha-aminés, la cystéine et la méthionine.
    Cordialement,

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