L’agriculture bio accroc aux pesticides

Partager sur : TwitterFacebook

La France dépasse les autres Etats de l’UE en matière de dérogations aux restrictions d’usage des pesticides, a critiqué lundi 21 mai le député européen (socialiste) Eric Andrieu, président de la commission parlementaire spéciale sur la procédure d’autorisation des pesticides dans l’Union. « Avec 58 demandes (en 2016, ndlr), contre une moyenne de moins de 10 dans l’UE, la France est championne des dérogations » pour une période maximale de 120 jours accordées en UE, a tweeté l’élu socialiste français qui rappelle que « les dérogations (ne doivent pas être) la règle mais l’exception ». Comment vous pouvez le voir, en agriculture bio, les demandes de dérogation sont la règle :

 

10 commentaires sur “L’agriculture bio accroc aux pesticides

  1. alerte environnement; 2 minute de lecture et on voit bien que vous déformez tout parce que vous êtes pour l’agriculture intensive et chimique …

    au revoir, à jamais.

    1. Bon débarras si c est pour lâcher une vilenie et se barrer comme un pleutre.

  2. Tu as tout compris Anonyme. Il parait que les pesticides ne sont pas dangereux et y’a qu’Alerte Environnement qui le pense .

    1. Quelle qualité d’argumentation ! On reconnait celui qui a longtemps étudié les dossiers.

      1. Il est taquin, Moustique !
        A-t-il tout simplement voulu jouer à la « mouche du coche » ? 🙄

    2. Et qui a dit qu’utilisés avec parcimonie ils étaient dangereux ? Générations Futures, et peut-être quelques autres, mais pas les agences de santé Françaises ou Européennes.

    3. Les pesticides sont ( pratiquement tous) dangereux comme quantité d’autres choses ( le soleil, l’électricité, les médicaments, l’eau de javel, etc…) mais ils ne sont pas risqués si ils sont correctement employés. Ne pas confondre danger et risque! ( erreur commune, volontaire ou non, dans les médias, les ONG etc…).

    4. moustique consommé bio cela fait vivre la filière.
      Il n’y a qu’en bio que vous trouverez des aliments avec trace d l’huile de neem. (D’abord interdit car perturbateur endocrinien avéré) Ce produit qui ne peut même pas être présenté pour une homologation en conventionnel, car PE avéré est autorisé en bio par dérogation (car tout le monde l’utilisait quand même malgré l’interdiction)==> c’est la filière bio==> et vous la mérité bien!!!!

  3. Il est évident que la manière de procéder de ce groupe favorable à l’agriculture (ou plutôt l’industrie agricole) intensive et chimique est une preuve que les membres se sentent menacés par des agriculteurs qui ont le courage de se remettre en question, d’évoluer vers une agriculture respectueuse de la santé humaine, du bien-être animal, de la terre tout simplement…

  4. Aujourd’hui c’est simple, il y a les méchants et les gentils.
    Quand vous visitez la grotte de Lascaux, la gentille guide vous explique que dans la vraie grotte (pas la réplique), au bout de quelques années de visites dans les années 60 , des traces vertes étaient apparues sur la roche … Heureusement, on avait réussi à les faire disparaître avec un (gentil) « antibiotique » (sic)… Un paysan appellerait cela un fongicide. Elise Lucet appellerait ça un pesticide…
    Rien n’est tout blanc, rien n’est tout noir, mais on a de plus en plus de malades mentaux en France ..

Les commentaires sont fermés.