Le monde bio rêvé par certains, c’est l’Afrique

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Colonisée aux trois quarts par la chenille légionnaire débarquée d’Amérique du Sud, l’Afrique voit ses cultures de maïs ravagées par le nuisible. Un producteur explique à l’AFP avoir perdu en 2017 50% de sa récolte… en une attaque éclair ! Pour l’heure, et les écolos doivent s’en réjouir, aucun insecticide ne permet de venir à bout efficacement de la sale bête. L’Afrique se retrouve bien involontairement dans une situation où voudraient nous mettre (cette fois-ci volontairement) nos écolos nationaux.

8 commentaires sur “Le monde bio rêvé par certains, c’est l’Afrique

  1. l’Afrique : c’est le bio à grande échelle: tout le monde peut voir les résultats calamiteux.

  2. Il y a une solution, au moins partielle : OGM. Mais l’Europe activiste et même l’Europe politique fait obstacle.

    1. Au Brésil comme en Amérique du nord, depuis des décennies la gestion se fait avec des insecticides puissants et diversifiés , les OGM avec des toxines (naturelles) d’origine Bt pour l’instant ( avant les ARNi) et aussi diversifiées permettent une gestion efficace et ont facilité et régularisé la gestion de l’insecte , en associant génétique et chimie pour faire durer à la fois les gènes et les insecticides.

      Ce que les chinois feront en Afrique lorsqu’ils auront totalement la main.

      Les africains n’ont que faire des leçons (vertes) des occidentaux et veulent que les champs produisent du maïs.

  3. En Europe nous sommes moins ou peu menacés par cet insecte mais pour les moustiques tigre et les punaises de lit c’est l’enfer !
    Les populations en ont marre surtout dans le sud pour les moustiques tigre mais le « gentil  » Nicolas veut que nous comprenions que la biodiversité est plus importante que notre santé.

    Bordel qu’il foute le camp du gouvernement comme il l’annonce et nous foute la paix avant qu’une arbovirose transmise par ses chers moustiques tigre qu’il aime tant et ses chères punaises de lit parfaitement caractéristiques de la biodiversité des insectes ménagers d’avant 1950 et le DDT ne fasse de milliers de morts en France.
    Certes cela ne serait pas bon pour l’équilibre vert et la biodiversité du gouvernement actuel mais il est quand même des priorités.

    On ne peut faire l’éloge ( en grande partie justifié ) des vaccins et ne rien faire contre les vecteurs de maladies graves comme c’est le cas actuellement au niveau des ARS.
    L’exemple des Antilles qui ont subi tour à tour le chikungunya puis le zika en sus de la dengue endémique devrait servir de contre exemple.
    Imposer la même chose à la métropole est irresponsable et le « gentil » Nicolas est bien un de ceux là …sauf pour les intérêts financiers de sa fondation.

    1. Quel serait le lien entre légionellose et surfaces cultivées en bio? ( je ne vois pas trop)

      1. C’est pour rire ! Et prover que corrélation n’est pas lien de cause à effet. Comme la corrélation entre le développement du bio et celui de l’autisme…

Les commentaires sont fermés.