Agricultrice et enceinte : pas simple !

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L’émission « La Maison des maternelles » du 5 avril revient sur les difficultés rencontrées par certaines agricultrices pour prendre leur congé maternité. Exemple avec Pascaline, éleveuse de porcs avec son mari, qui attend son 4e enfant. Certes, sa mutuelle lui permet de bénéficier d’un remplaçant six semaines avant l’accouchement. Mais sera-t-elle remplacée sur sa durée de travail réelle (65 heures par semaine !) sept jours sur sept par quelqu’un de compétent ? Par sécurité et pour rassurer la maman, le couple a embauché Diane au SMIC, quatre mois avant le terme, le temps nécessaire pour la former. Pour ses trois premiers enfants, Pascaline était salariée. Les congés maternité étaient alors bien plus simples à envisager. De quoi nous rappeler que les agris n’ont pas la vie facile et que, dans ces conditions, l’agri-bashing est tout simplement écoeurant :

4 commentaires sur “Agricultrice et enceinte : pas simple !

  1. L’état Français privilégie et incite les assistées qui ne font rien : logements sociaux, pas de travail, RSA … et non les mères travailleuses.Dans ces conditions, les populations d’origine africaine ont 4 à 7 enfants ( cela sécurise les logements et aides et cela rapporte ) sans pour autant avoir la capacité à les élever (illétrisme, valeurs inadaptées à la société occidentale, peu d’intérêt pour les études, incapacité à s’intégrer etc..). Dans l’intérêt de tous il serait plus intelligent de favoriser et d’encourager les mères les plus capables d’éduquer des enfants ( niveau de QI, valeurs,sens de l’effort, modèle ….) et d’interdire aux autres d’avoir plus d’un enfant.En faisant le contraire c’est tout le monde qui va couler.

    1. Visor, désolé, mais tu amalgames tout.
      Ta sortie sur les « populations d’origine africaine ont 4 à 7 enfants » relève du fantasme: si c’est vrai pour la première génération qui est arrivée en France, dès la seconde génération, la fécondité s’aligne sur le reste de la population française.
      de toute manière, nous avons eu le même phénomène en France, nos parents étaient issus souvent de familles nombreuses, et dès la génération suivante, les cas de familles nombreuses (>5) sont plus rares.
      Même dans un pays comme l’Egypte, avoir de nombreux enfants commence à devenir une charge pour la famille , alors que c’était jusqu’à encore récemment, considéré comme une richesse pour la famille, car c’était une main d’oeuvre bon marché.
      Exactement le même phénomène que nous avons connu dans nos campagnes (bretonnes en l’occurence) jusque dans les années 70/80.

      1. Et les femmes qui sont propriétaires de leur salon de coiffure, d’esthétique ou d’un magasin quelconque, c’est bien la même chose si elles travaillent seules. Pour certaines femmes cadres de grandes entreprises, elles n’arrivent déjà pas au quatrième enfant en étant toujours salariées. Virées bien avant, en utilisant parfois des techniques plus que douteuses.

      2. @Douar
        Le fameux modèle de la transition démographique est basé sur ce qui s’est passé en occident et en Asie et manifestement il tarde à s’appliquer en Afrique ( la baisse de la mortalité infantile et la croissance économique ne se traduisent pas par une baisse de la fécondité: c’est un fait dans certains pays). Les idéologues diront que ce n’est qu’une question de temps ( puisque le modèle est bon!) et les pragmatiques envisageront des différences durables. Les aspects culturels ( pas de prise de pilule,pas de préservatifs.; assistance des occidentaux  » due » etc…) , religieux ( conquête islamique ) et politiques jouent un rôle. En région parisienne avec plus de 40 % des naissances d’origine africaine je ne vois pas comment le fameux modèle ( dès la deuxième génération les immigrés africains adoptent le comportement des gens de souche) pourrait être correct, car le nombre d’étrangers est loin d’être aussi élevé. Il suffit d’ailleurs de regarder autour de soi pour constater que les immigrés d’origine Africaine de deuxième génération sont loin d’adopter les pratiques autochtones ( il faut dire que l’état les encourage dans ce sens à coups de milliards €)

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