Végans : le délire ne fait que commencer !

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Dans un entretien accordé à L’Express du 18 avril, l’animateur (et désormais doubleur) Mac Lesggy se laisse aller à une surprenante et inquiétante confidence. Après nous avoir expliqué qu’il est « 100% ordinateur » et « zéro papier » (« sauf pour un dessin… ») car « c’est coûteux pour l’environnement » (sic), il déclare qu’ « il faudra bien se pencher un jour sur la souffrance végétale qui, pour (lui), sera le dossier de ce siècle ». En effet, affirme-t-il, « au XIXe siècle, si on avait dit que les animaux souffrent, on nous aurait ri au nez ». Évidemment, c’est plus compliqué que ça. Mac Lesggy a-t-il seulement entendu parler de Henry Salt ou même de Pythagore sur cette question de la souffrance animale qui sert aujourd’hui de prétexte pour diaboliser la viande, tenter d’en décourager la consommation et, à terme, de l’interdire. L’animateur conclut : « La découverte sur l’intelligence des végétaux n’en est qu’à ses balbutiements, mais elle avance. » Des plantes intelligentes et sensibles ? À quand l’interdiction de la salade et des petits pois au nom de la défense de ces « êtres » sans défense ? Voilà une nouvelle opportunité de radicalisation pour les végans les plus extrémistes (souvent des personnes souffrant en fait d’orthorexie, la maladie des écolos) qui n’auront plus qu’à se suicider, incapables qu’ils seront de consommer ou « d’exploiter » le moindre animal ou même végétal. Ils appelleront tous les humains à faire de même et n’hésiteront pas à s’en prendre à ceux qui veulent simplement vivre, les accusant de commettre un génocide aux moindres repas ou séance de jardinage. M’est avis que le délire vegan ne fait que commencer !

23 commentaires sur “Végans : le délire ne fait que commencer !

  1. Il restera la possibilité de synthétiser chimiquement les molécules nécessaires à partir du pétrole …

  2. De nos jours, existe-t-il un courant politique susceptible de s’engager dans la promotion d’ une loi de « protection » des végétaux en édictant des normes anti-souffrance à leur intention ?
    J’en doute !… À moins que ses adeptes aient trop tendance à fumer du shit – même garanti bio et récolté selon ces normes anti-souffrance… 😆
    D’autre part, ce serait sans compter avec le bon sens populaire qui ne manquerait pas d’ajuster ses comportements.
    .
    Rappelons-nous : après le vote de la loi du 2 juillet 1850, dite loi Grammont :
    « Seront punis d’une amende de cinq à quinze francs, et pourront l’être d’un à cinq jours de prison, ceux qui auront exercé publiquement et abusivement des mauvais traitements envers les animaux domestiques. »

    Certains observateurs de l’époque avaient relevé que le bon peuple en avait déduit :
    « Quand tu bats ton chien, ferme ta porte ! » 🙄

  3. Que de raccourcis et des arguments dans le vent….
    L’orthorexie, une maladie des écolos ? Les vegans sont souvent orthorexiques ? Ah oui des chiffres ?
    « Radicalisation », « extrémistes », ouh des termes forts pour faire peur, attention ces gens sont dangereux, ouh la la!
    Pour les arguments bidons, Alerte Environnement devrait recevoir un prix.
    Les vegans prouvent que l’on peut vivre et en pleine forme sans aliment d’origine animale et vous avez peur pour votre business . Moins de risques d’obésité, de surpoids, de maladies cardiovasculaires et en plus ils polluent moins car plus informés sur la nutrition, ils achètent davantage d’aliments non transformés.
    Vous n’avez rien compris car les vegans sont antispécistes . Si vous ne savez pas ce que ça signifie, lisez donc le bouquin d’Aymeric Caron, au moins ça vous fera réfléchir au lieu d’écrire n’importe quoi.
    Le délire des carnistes ne fait que continuer !
    Comparer la souffrance des végétaux avec celle des animaux d’élevage ou des poissons qui vivent l’enfer, il faut oser… ou alors c’est juste pour rassurer les carnistes .
    Il est toujours plus facile de se moquer des gens qui souhaitent améliorer le monde plutôt que de se bouger le C.. !

    1. En ce qui me concerne je n’ai pas de chiffre . Mais les seuls vegétariens que je connaissent ne sont pas en super santé , ni physique ni morale . Tls ne consoment pas de viande , mais beaucoup de médicaments .

    2. Vous dites que les vegans peuvent vivre sans consommer de produits d’origine animale. Et bien justement non ! Tous les vegans prennent ou devront prendre des compléments alimentaires. La vitamine B12 est essentielle pour vivre et n’existe pas dans le règne végétal. L’organisme a un stock de 4 à 6 ans donc au bout de cette période, il y a carence et donc la mort sans compléments alimentaires. Ce simple exemple prouvent que le veganisme est une escroquerie intellectuelle. Par ailleurs, des amis pédiatres me témoignent qu’ils voient arriver aux urgences de plus en plus de bébés et enfants en bas age en sous nutrition. En questionnant les parents, ils comprennent vite que la doctrine vegan est à l’origine de cela.
      Vous citez Aymeric Caron. Ce type est une escroquerie sur 2 pattes. Son recul scientifique sur ce qu’il affirme est une vaste blague et ne sert qu’à étayer sa religion.
      En fait, vous êtes profondément specistes car vous ne voulez pas reconnaitre la sensibilité du règne végétal sous prétexte qu’une plante ne possède pas de système nerveux. Or c’est parfaitement spéciste de faire cette distinction. Pourquoi n’y aurait il pas la possibilité de ressentir avec autre chose que des nerfs ? On sait que les plantes peuvent communiquer entre elles. Ne serait ce pas là une forme d’intelligence ? Pousser votre raisonnement à fond et nourrissent vous uniquement de complément alimentaire.

      1. Fred
        Je connais la vitamine B12 qui est thermosensible donc même ceux qui mangent de la viande sont souvent carencés sans le savoir. Cette vitamine est également dans les nombreux compléments alimentaires donnés aux animaux d’élevage. Nous avons une réserve de vitamine B12, « 4 à 6 ans » non c’est moins , donc effectivement le complément est nécessaire mais pas forcément tous les jours, et des aliments sont aujourd’hui enrichis comme certaines boissons végétales. Cette vitamine commercialisée n’est pas prélevée sur des animaux mais elle est extraite de différentes bactéries (fermentation, etc). Tarif: moins de 10 euros la boite pour 3 mois, très raisonnable et non ce n’est pas la Sécu qui paye !
        Aujourd’hui et grâce à la production de B12, il n’est donc plus indispensable de consommer des aliments d’origine animale !
        Vos amis pédiatres retiennent certainement plus les patients végans parce qu’ils sont contre ce mode d’alimentation, parmi eux , certains parents ne sont peut être pas suffisamment informés mais à qui la faute ? Quand on voit le niveau en nutrition de bon nombre de médecins, ça fait peur. Le lait maternisé d’origine végétale existe, c’est pas nouveau. Dans mon entourage je vois des parents carnistes qui ont des enfants bien gras, trop certainement qui leur mettent du coca dans leur biberon ? J’appelle la PMI ?
        Avant de critiquer Aymeric Caron, lisez donc ses bouquins…. S’il y a bien un sujet qu’il maitrise parfaitement c’est bien celui dont il s’est engagé depuis des années.
         » Sa religion » ? quelle religion? Le véganisme, la bonne blague !

        Je ne suis pas spéciste , je n’ai jamais écrit que les végétaux n’avaient pas de sensibilité. Je sais que ces mêmes végétaux peuvent communiquer, etc, etc. Je m’informe régulièrement et j’en apprends encore tous les jours. Par contre essayer de culpabiliser les gens qui ne mangent pas d’aliments d’origine animale en leur prouvant que les végétaux sont aussi sensibles, en clair, que quoi qu’ils mangent il y a souffrance ( afin qu’il n’y ait pas de changement dans les habitudes alimentaires ), c’est de la manipulation.
        Vous oubliez un argument, celui qui mange de la viande , des produits laitiers…. participe à la destruction de beaucoup plus de végétaux ( les animaux d’élevage se nourrissent même si leur vie est courte) que celui qui n’en mange pas.
        Conclusion, même si les végétaux ont une sensibilité, le végétalisme limite la destruction des végétaux par rapport aux autres régimes alimentaires.

    3. mais il faudrait lire aussi tout , sur le sujet de la place de l’homme sur la planète et de ses rapports avec les animaux et les végétaux . Caron n’est pas une référence philosophique sur le sujet . Il défend ses convictions et se trompe sur toute la ligne . L’homme domine la nature et toute les especes qui la peuple c’est un fait établit et les référence philosophique et religieuses sont nombreuses sur le sujet . Et si on suit la logique des vegans , il faudra sans doute conduire en justice le chien de mon voisin qui a deglingué mon chat et le condamner à mort ou à la prison à perpète .
      Chez Caron et ses condisciples se pose tout simplement la question de la mort et de leur propre mort …. à méditer …! Et ce qui est sur , c’est que les animaux n’ont aucune notion du temps , donc de leur possible fin de vie …

      1. Dom
        Avant d’avancer des arguments bidons, lisez ses bouquins…. Aymeric Caron fait référence aux nombreux philosophes et écrivains sur le sujet, donc la bibliographie est importante.
        « L’homme domine la nature et toutes les espèces qui la …. » On voit le résultat ! Disparition des espèces, pollution, destruction des habitats des espèces présentes avant l’arrivée de l’homme, etc, etc.
        Visiblement vous ne connaissez rien au sujet ….
        Votre dernière phrase…. Ce sont des résultats d’études scientifiques? L’éthologie est une science récente , de nombreuses découvertes restent à faire….
        Le bon sens, pourquoi élever, exploiter, tuer des animaux pour notre simple plaisir gustatif ? Car aujourd’hui, c’est bien de cela dont il s’agit puisqu’il n’est plus indispensable de manger des aliments d’origine animale pour être en bonne santé.

          1. JG2433
            L’ours , dans de nombreux pays les gens vivent avec mais il semblerait qu’en France, nous n’en soyons pas capables. Quelques éleveurs dans la rue et hop, ça fait du bruit. A midi aux infos j’entendais un éleveur « l’élevage, c’est la vie! » Ah? Chacun sa perception …
            Vouloir laisser ses moutons sans surveillance ou presque c’est un peu facile, alors ils veulent tuer tous les éventuels prédateurs. Quand on voit la taille de certains troupeaux, ces gens ne vivent pas de leur activité…. mais très certainement des aides de l’Etat.
            L’ours pourrait rapporter davantage d’argent en développant le tourisme qui va avec. D’autres pays l’ont bien compris mais comme d’habitude la France a un train de retard…

            1. C’est bien cela, développer le tourisme comme justification de l’obsession de la biodiversité protégée.

              Mais la France est déjà le 1er pays touristique au monde en nombre, pas grace à sa biodiversité mais à sa nourriture diversifiée et ses produits de terroir , ses paysages ( pas ceux de la Beauce ou de Champagne) et surtout son histoire ( batiments d’exception).

              Le tourisme du ski alpin résulte en outre de la pire atteinte à la biodiversité qui soit, dénaturation de site et utilisation massive d’eau pour créer la neige artificielle.

              L’ours comme objet de tourisme peut avoir du sens en Slovénie pas lorsqu’il est réintroduit. En outre les oups sont un objet de crainte pour les randonneurs qui risquent d’ailleurs plus de se faire attaquer par les patous, imposés aux éleveurs que par la présence des loups.
              Ici le loup est un frein au tourisme rural et respectueux des milieux.

              Cette histoire de loups et d’ours utiles pour le tourisme est une obsession de fonctionnaires chercheurs du museum d’histoire naturelle qui veulent trouver une finalité économique à leur activité y compris pour les projets les plus idiots, ils sont légions actuellement.

              1. Développerait t on encore des stations de ski aujourd’hui ? sans doute que non, et pourtant cela a été une formidable décision d’investir massivement il y a quelques décennies car nous en avons maintenant le retour.
                Ferait on aujourd’hui le lac de Serre Poncon ou de Ste croix ? et pourtant, cela a été extraordinaire pour la biodiversité ( faune et flore aquatique) et l’économie ( énergie- tourisme). En fait, l’état fait tout pour bloquer l’économie ( il a déjà réussi à détruire toute l’industrie) et la biodiversité n’est qu’un argument.

            2. « L’ours pourrait rapporter davantage d’argent en développant le tourisme qui va avec. »
              .
              Faut-il donc qu’ils soient vraiment c.ns, ces pauvres bergers pyrénéens – d’un autre âge, à en croire vos sous-entendus –, pour ne pas avoir pensé et encore moins compris qu’ils pourraient se faire du blé en se recyclant… montreurs d’ours ! 😥

            3. mag vous dites: »Vouloir laisser ses moutons sans surveillance ou presque c’est un peu facile, alors ils veulent tuer tous les éventuels prédateurs. Quand on voit la taille de certains troupeaux, ces gens ne vivent pas de leur activité…. mais très certainement des aides de l’Etat. »
              Constat: Vous avez un tas de CONNERIES en tête qui expliquent vos propos insultants pour les éleveurs qui eux sont des victimes de vos délires « d’incompétente en élevage » entre autres.
              Je suis pour la liberté d’expression mais en lisant vos propos une seule expression me vient : fermer la!!!!! Puisque vous n’y connaissez rien , arrêté d’insulter ceux qui vivent et savent de quoi ils parlent .
              Au fait, vivement que lors de vos vacances « touristiques » vous puissiez vous retrouver en face d’une maman ours ‘(avec ses petit tant qu’a faire) et on reparle ensuite des touristes qui seront content de les voir dans la nature.
              Quelle délire ces propos de personnes qui n’ont aucune idée de la vie d’un éleveurs en montagne mais qui se croient autorisées a leurs donner des leçons quand même !!!
              Pour qui vous prenez vous ?

            4. Le cas de l’ours est bien choisi pour 2 raisons:
              1 – L’ensemble des membres de la famille ursidae (je vous prie d’excuser cette classification spéciste mais je n’en connais pas d’autre) a un régime omnivore avec une tendance carnivore +/- marquée en fonction des disponibilités du milieu, sauf 1 qui est végan: le panda géant. Il a une dentition d’omnivore un système digestive d’omnivore et il consomme quasi exclusivement du bambou ce qui lui prend les 2/3 de la journée en raison de sa faible capacité d’assimilation (de 10 à 20% du volume ingurgité). Cependant, je n’ai jamais vu de panda tenter de convaincre un grizzli de se mettre au bambou.
              2 – La famille ursidae est une des seule à être représentée sur tous les continents et sous tous les climats sauf en Australie et en Antarctique (arctos, l’ours en grec, antarctos, opposé à l’ours, mais cela relève du domaine de l’astronomie). En France on en trouvait partout jusqu’au 19ème siècle. Aussi je propose, plutôt que de se cantonner un ours dans les Pyrénées contre l’avis d’éleveurs incomprenants, de réintroduire une quinzaine d’ours (ne lésinons pas) dans les espaces interstitiels laissés par les lotissements de la banlieue de Tours ou de Lyon dont les habitants sont certainement plus sensibles à la notion de biodiversité. Ces derniers pourront aller faire leur jogging avec une bombe aérosol de répulsif à la ceinture comme dans certains Etats des USA. La notion de biodiversité prend tout son sens lorsqu’on n’est pas au sommet de la chaîne alimentaire. D’autre part, je ne vois pas de raison de privilégier les Pyrénées, déjà bien dotées en terme de développement touristique, et de ne ne pas faire profiter les zones periurbaines du moteur de développement que représente ce paisible animal

  4. Que pense les végans (Voyous Escrologistes Générateurs d’Anxiétés Stupides) des plantes carnivores (Dionae, Nepenthes, Drosera et certainement de nombreuses autres qu’on ne connait pas encore) ?
    Ils ne vont tout de même pas se mettre à les manger !

    La souffrance des plantes !!!, leur intelligence ??? leur sensibilité ???
    Autant de pseudo-arguments derrière lesquels se réfugient les végans qui traduisent à l’évidence le peu de neurones qu’ils ont (sans doute autant que les plantes elles-mêmes) !
    Une étude très sérieuse en neurosciences vient de démontrer l’existence de noeuds dans notre système neuronal qui constituent des blocages dans la compréhension et un lien avec l’intelligence (mesurée au travers du QI). Il ne doit faire aucun doute que les végans doivent avoir un nombre de noeud neuronaux supérieurs à la moyenne. Il y a d’évidence des concepts biologiques et évolutifs qui leurs échappent totalement.

    1. Gattaca
      Si vous vous intéressez aux études en neurosciences alors vous pouvez vous intéresser aux dernières découvertes par rapport aux végétaux, différents bouquins sont sortis dernièrement. Votre curiosité semble être assez sélective.
      Les végans sont des citoyens donc il y a de tout, du bac – 3 au bac + 10 et pour avoir une réflexion sur leur alimentation et consommation aussi poussée, ils ne doivent pas être si idiots que ça. Et comme je le disais dans mon message précédent, la dernière phrase vous correspond parfaitement.

  5. On peut être très instruit et totalement idiot ( au sens du raisonnement pratique).

    Il vaut mieux d’ailleurs être très instruit lorsque l’on a aucun sens pratique comme nombre de nos soi disant chercheurs actuellement dans le domaine de la biologie.

    Nous avons d’ailleurs un instrument de mesure facile pour cela dans le domaine des sciences agronomiques, c’est le rapport de la progression de la production de richesse agricole rapportée à l’investissement dans la recherche en agriculture ( tous instituts confondus). La France, comme pour l’éducation des enfants a des performances effroyables, parmi les pires au monde pourtant avec un climat, des sols et des infrastructures d’exception. Une profession agricole bien formée initialement et bien structurée aussi, produit d’une époque autrefois rationnelle dont il reste quelques traces.

  6. est ce que les végans ont réalisés que s’ils sont vivants aujourd’hui c’est parce qu’ils ont été consommateurs de protéines animales dès leur naissance ?
    Il serait « super » que la « race des végans » respecte à la lettre leurs convictions et croyances. Ainsi dès qu’ils auraient un descendant, ils ne manqueraient pas de le nourrir avec des protéines végétales ce qui le conduirait inévitablement à un décès prématuré (sans doute en moins d’un an !). En une génération, cette race s’éliminerait ainsi toute seule !
    Quant à l’intelligence et le niveau d’étude… je suis d’accord avec Alzine, il existe trop d’exemples qui montrent que tous les jours les « intelligents » (énarques, politiques, journalistes, décideurs, tous ceux enferrés dans des convictions et englués dans l’escalade d’engagement) commettent des actions stupides, voire malhonnêtes, au détriment d’un développement positif, sensé, rationnel de l’humanité ! faut il rappeler une fois de plus la célèbre phrase d’Einstein : « deux choses sont infinies, l’univers et la bêtise humaine…. …. »

    1. Gattaca, pourquoi se priver ?
      Complète, la savoureuse citation d’Einstein est encore plus explicite 🙂 :
      « Deux choses sont infinies : l’Univers et la bêtise humaine. Mais, en ce qui concerne l’Univers, je n’en ai pas encore acquis la certitude absolue. »

  7. Oui, merci pour avoir complété la citation…. j’en avais fait l’économie présupposant que tout le monde la connait par coeur !

  8. L’ours est un exemple bien choisi pour 2 raisons:
    1 – tous les membres de la famille Ursidae (si on utilise la classification spéciste tellement pratique et scientifique) sont omnivores avec une tendance carnivore +/- prononcée en fonction des disponibilités du milieu, sauf un qui est végan: le panda géant. Il a une dentition d’omnivore, un système digestif d’omnivore et il ne mange que du bambou ce qui lui prend les deux tiers de la journée en raison de sa faible capacité d’assimilation (entre 10 et 20% de la masse ingurgitée). Bref, il est en voie de disparition.
    2 – la famille ursidae est présente sous toutes les latitudes sauf en Australie et en Antarctique (arctos en grec signifie ours, « antarctos », opposé à l’arctique même si cette dénomination relève plus de l’astronomie). En France, jusqu’au 19ème siècle, on en trouvait partout. Aussi je vous propose plutôt qu’un lâcher d’un malheureux ours dans les Pyrénées, d’en réintroduire une quinzaine dans la banlieue de Tours ou de Lyon dans l’espace laisser entre les lotissements. Ainsi les habitants pourront aller faire leur jogging avec une bouteille de gaz répulsif comme dans certain secteur des Etats Unis. La biodiversité prend tout son sens quand on n’est pas au sommet de la chaîne alimentaire et puis il n’y a pas de raison de favoriser les Pyrénées en termes touristiques.

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