NDDL : quand les « agités du bocage » s’en prennent aux agriculteurs

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Paris Match du 25 janvier dernier nous propose sur six pages de faire la connaissance de familles d’agriculteurs qui se battent depuis 1968 contre le projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes. Ils racontent comment les « zadistes radicaux » qui les ont rejoints dans ce combat s’en sont pris à eux, les traitant de « pollueurs » et de « propriétaires » (c’est une insulte dans leur bouche…). Le pire dans l’histoire, c’est que ce n’est pas face aux agris, qui menaient une lutte légitime, que le gouvernement Philippe a cédé, mais face à ces huluberlus…

4 commentaires sur “NDDL : quand les « agités du bocage » s’en prennent aux agriculteurs

  1. Ces agris qui flairant la somme d argent se sont empressés de valoriser des terres peu propices a leur metier mais l illusion etait suffisante pour faire monter les encheres lors de l expropriation.Un fois celle ci realisee ils sont restes avec un montant genereux mis de cote pour plus tard ( assurance retraite consequente).

  2. Salut !
    Il y a quelque chose de pas très clair dans le résumé que vous proposez de ce « dossier » de Paris Match :
    « Ils racontent comment les « zadistes radicaux » qui les ont rejoints dans ce combat s’en sont pris à eux, les traitant de « pollueurs » et de « propriétaires » (c’est une insulte dans leur bouche…).  » Donc là c’est sans ambigüité, ce sont les agriculteurs qui se plaignent des « Zadistes radicaux ».
    Mais après :
    « Le pire dans l’histoire, c’est que ce n’est pas face aux agris, qui menaient une lutte légitime, que le gouvernement Philippe a cédé, mais face à ces huluberlus… » Et là, je ne sais plus trop à qui j’ai affaire. S’agit-il des propos des agriculteurs ceux mentionnés plus haut ? S’agit-il d’une « analyse » de Paris Match ? Ou d’un commentaire de votre rédaction ?

  3. Le conflit ne semble pas devoir s’arrêter avant longtemps… 😥
    « On sait que sur la question de la propriété, ça va être très compliqué. Pour nous, le plus urgent, c’est la question de l’usage. C’est pourquoi on demande le gel immédiat et pendant deux ans de l’attribution des terres », pour laisser le temps à de nouveaux projets d’installation de prendre forme, insiste Vincent Delabouglise, membre de Copain 44, un collectif d’agriculteurs anti-NDDL.
    https://www.20minutes.fr/societe/2219551-20180212-dame-landes-departement-loire-atlantique-veut-recuperer-parcelles

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