Taxer la viande pour sauver le climat, une idée folle généralisée d’ici 5 à 10 ans ?

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viande« Taxer la viande pour sauver le climat » (sic), cela va devenir « inévitable » dans les prochaines années, affirme le think tank britannique FAIRR qui rappelle que 180 pays taxent déjà le tabac, 60 le carbone et 25 le sucre. Il « oublie » de préciser que de très puissants lobbies oeuvrent dans cette direction, et que ce travail – payant – n’est pas du tout, mais alors pas du tout désintéressé. Le média en ligne Brut (financé par France Télévisions qui fonctionne elle-même grâce à de l’argent public), dont les vidéos sont systématiquement orientées en faveur des idéologies environnementaliste et antispéciste, explique au grand public cette folle proposition au moyen d’une vidéo angoissante (musique lourde et inquiétante, battements du coeur, images sombres, carcasses dans un abattoir, sang, etc.) qui vise à culpabiliser les téléspectateurs et à bâillonner les inévitables opposants à ces nouvelles taxes dont rêvent nos dirigeants, tandis que leurs élites polluent sans complexe pour leurs caprices :

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4 commentaires sur “Taxer la viande pour sauver le climat, une idée folle généralisée d’ici 5 à 10 ans ?

  1. De nombreux médias sont au services de lobbies de l’ombre qui cherchent à mettre la main sur des biens essentiels ( alimentation, eau et s’ils le pouvaient air). Vendre du « vent » très cher ( du divertissement, du foot et de la TV bas de gamme) va trouver ses limites dans le monde multipolaire qui s’annonce. La nourriture de qualité, sans métaux lourds, contaminants ubiquitaires ( pcb et dioxines ) ou contaminants naturels va, à l’instar du film « green soylent » ( traduire soleil vert) êttre réservé à des « élites », nombreuses dans des marchés mondiaux et prêtes à payer. Il faut faire croire aux péquenots européens que se nourrir d’ insectes vaut mieux que le steak de charolais.

    Dans le même registre, France Info relaie une étude  » à la con « https://www.francetvinfo.fr/economie/automobile/diesel/automobile-le-superethanol-un-carburant-low-cost-compatible-avec-les-moteurs-essence_2528669.html
    « Pourtant, il n’est pas moins polluant. Selon une étude américaine, ce « biocarburant » présente autant de risques sanitaires et de pollution que l’essence classique. »
    qui prétendrait que le bioéthanol serait aussi dangereux pour la santé de ceux qui respirent involontairement ses vapeurs que les carburants pétroliers. Les chinois en ont cependant fait leur cheval de bataille pour assainir l’air des villes et les études, sérieuses, sur les bienfaits des biocarburants sont sans appel. Là aussi les lobbies de l’ombre cherchent à perturber le grand public.
    Certes l’éthanol (bio) est dangereux et même cancérigène… mais à condition d’en boire régulièrement (dans le pastis ou le whisky) et pas dès la première gorgée … ne pas essayer avec l’essence sans plomb.

    Dans le même regitre, France Info relaie une étude  » à la con « https://www.francetvinfo.fr/economie/automobile/diesel/automobile-le-superethanol-un-carburant-low-cost-compatible-avec-les-moteurs-essence_2528669.html
    « Pourtant, il n’est pas moins polluant. Selon une étude américaine, ce « biocarburant » présente autant de risques sanitaires et de pollution que l’essence classique. »
    qui prétendrait que le bioéthanol serait aussi dangereux que les carburants pétroliers, les chinois en ont cependant fait leur cheval de bataille pour assainir l’air des villes et les études, sérieuses, sur les bienfaits des biocarburants sont sans appel, mais là aussi les lobbies de l’ombre cherchent à perturber le grand public.

  2. Il se trouve que j’ai réveillonné avec des personnes dont une était responsable RSE (responsabilité sociale et environnementale) d’une entreprise dont je tairai le nom, par charité.
    Au delà d’un jargon indigeste, il m’ a semblé que ce type de démarche allait droit vers la création d’indicateurs environnementaux, allant de l’empreinte carbone, consommation d’eau et autres joyeusetés dont le résultat dépendait avant tout de la manière de calculer et surtout, de prémisses de départ, avant tout, fortement idéologiques.
    L’idée de taxer la viande est une des conséquences de ces approches.

    1. Le problème est d’avoir des indicateurs environnementaux qui mesurent les moyens et non les résultats. Il faut avoir des indicateurs de performance.
      Ainsi, pour les pesticides l’état met en place des usines à gaz pour mesurer la baisse des phytos ( c’est un moyen) alors qu’il faudrait mesurer, par exemple, les résidus dans les eaux. La France est tellement contaminée par la bureaucratie que les fonctionnaires raisonnent toujours en moyens ( il n’y en a jamais assez!) et jamais en performance. Les résultats , eux, ne sont jamais au rendez-vous. de ce point de vue les Anglais sont beaucoup plus orientés sur les résultats en laissant les gens décider des moyens.

  3. A quand les tickets de rationnement comme pendant la guerre, le marché noir ?

    Qu’ils aillent raconter aux inuits, aux lapons, aux berbères et autres peuples d’Asie Centrale qu’il faut renoncer à la viande et manger des fruits et légumes !

    Et cette façon totalitaire d’exiger un menu végétarien dans les cantines – Hitler aussi était végétarien.
    Qu’ils broutent ce qu’ils veulent mais f…… la paix aux autres.

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