Une internaute victime des marchands de peur

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Heureusement, certains esprits sérieux et rationnels veillent, réinformant avec patience et bienveillance :

 

 

2 commentaires sur “Une internaute victime des marchands de peur

  1. Ceux qui veulent avoir peur pourront toujours trouver des raisons: l’herbicide touche les mauvaises herbes puis va dans le sol puis est absorbé par la salade. etc…..
    Quand on ne veut pas regarder précisément les impacts possibles des métabolites on peut tout imaginer. On peut aussi s’inquiéter du fait que chaque molécule peut interagir avec des milliers d’autres et qu’il y a des milliards de combinaisons possibles, dont on ne sait rien .

  2. Enfin pas exactement, si des salades sont modifiées pour résister au glyphosate, en produisant la CP4 EPSP Synthase ou autre stratégie, la salade résistera, donc on pourra utiliser du glyphosate sur la salade avec des résidus d’autant plus que le traitement sera proche de la récolte.
    Cela a certainement été testé mais non autorisé, donc aucun risque de retrouver du glyphosate dans les salades si elles sont bien vertes et non pas défraichies.
    Indépendamment de cela face aux dangers que constituent des plantes toxiques, pour la salade on peut souligner les séneçons riches en alcaloïdes pyrrozilidiniques (APs) dans le mesclun, avec un vrai danger sanitaire pour le consommateur … de nouvelles stratégies de désherbage peuvent avoir du sens, d’autant que le séneçon résiste à un nombre croissant d’autres herbicides et le tri à la main n’est pas possible pour éliminer 100ù des séneçons. La dose d’APs qui présente un risque chronique est très faible, cancérigène et génotoxique et sans débat sur les risques liés à ces substances dans ce cas.

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