L’interdiction du glyphosate multiplierait par plus de 10 le budget désherbage de la SNCF

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sncf reseauChez SNCF Réseau, on pulvérise chaque année 34 tonnes de glyphosate le long des 60 000 km de voies, rapporte le quotidien L’Opinion du 26 octobre. Du coup, « l’interdiction prévue à court terme du produit est ‘un vrai sujet’ pour l’entreprise » car « on ne peut pas laisser la végétation se développer le long des voies », « les chutes de feuilles, de branches, les accumulations d’herbes sur les rails provoquent des patinages et des retards », dixit un porte-parole de l’entreprise publique. Mais alors, comment faire pour se passer de cette « solution radicale et pas chère pour faire place nette sur le réseau ferré » (le traitement global avec la molécule coûtait à la SNCF 30 millions d’euros par an) ? « Mieux cibler le désherbage, favoriser une ‘végétalisation lente’ le long des voies, de façon à repousser les plantes envahissantes » mais surtout utiliser « un ‘train désherbeur’ équipé de GPS et de caméras pour s’occuper des zones rebelles. « Cela va porter notre budget désherbage entre 300 et 500 millions d’euros, soit entre 10 et 16 fois plus qu’aujourd’hui », explique SNCF Réseau à notre confrère. Et devinez qui paiera à la fin ? Pas Générations Futures & Cie mais vous, chers lecteurs usagers et contribuables !

Lire aussi :
> Glyphosate : réponse à Générations Futures

16 commentaires sur “L’interdiction du glyphosate multiplierait par plus de 10 le budget désherbage de la SNCF

  1. 30 millions € pour 34 tonnes de glyphosate: cela fait cher même si le coût de la pulvérisation est pris en compte. La SNCF se moque pas mal de la compétitivité et même quelques centaines de millions € de plus ou de moins ne vont pas les perturber, vu les dizaines de milliards € de dettes.

  2. Pour une fois Visor ne raconte pas de conneries. Il faut le signaler , la rare fois que cela arrive.

  3. Je constate un peu partout que les trottoirs sont envahis de végétation. Au bout de combien de temps cela entrainera-t-il des dommages et combien cela coûtera-t-il de les réparer ?

    1. « ….un peu partout que les trottoirs sont envahis de végétation…. »

      >>> Tellement envahis (donc esthétiquement sales) que ce printemps et cet été, j’ai traité le pied du muret sur mes 50 mètres de trottoirs au Roundup dont j’ai stocké quelques bidons pour mes allées et mon trottoir!

  4. Les bobos citadins adoooorent les folles herbes qui envahissent parcs, jardins et trottoirs!
    Ils adoooorent moins les rats et les ambroisies qui se développent aussi en ville mais pour l’ambroisie surtout dans la vallée du Rhone.
    Le public s’était ému sur le témoignage de la maman dont le fils souffrait d’une malformation qu’elle attribuait, de façon très simpliste, à la pulvérisation de glyphosate alors qu’elle était enceinte ( la proximité d’une voie de circulation ou la proximité de fumeurs serait certainement plus à mettre en cause.

    La prise de certains médicaments aussi et principalement:
    https://lecrat.fr/spip.php?page=article&id_article=742
    « – Acide valproïque (Dépakine®, Dépamide®, Dépakote®, Micropakine®) :
    – Acitrétine (Soriatane®)
    – Isotrétinoïne par voie orale (Contracné®, Curacné®, Procuta®, Roaccutane®) (cliquez ici)
    – Misoprostol (Cytotec®, Gymiso®, Misoone®) (cliquez ici)
    – Mycophénolate (Cellcept®, Myfortic® ) (cliquez ici)
    – Thalidomide
    – Antimitotiques divers »

    Certains pesticides sont en outre recommandés pour les femmes enceintes qui risquent des piqures de moustiques vecteurs , tous ceux qui protègent des moustiques vecteurs d’arboviroses dont le plus tératogène d’entre eux reste le zika. Bien naturel et bien teratogène.

  5. Pour les recommandations d’expositions aux insecticides pyrethrinoides utiles pour se protéger vis à vis des moustiques vecteurs d’arboviroses dont certains terriblement teratogènes:https://lecrat.fr/spip.php?page=article&id_article=444
     » Les piqûres d’insectes vecteurs de pathologies infectieuses (moustiques pour le paludisme, la dengue, le chikungunya, le zika …, tiques pour la maladie de Lyme …) peuvent survenir de jour comme de nuit.
    La protection contre les piqûres associe plusieurs mesures applicables à la femme enceinte ou allaitante :
    Utiliser des moustiquaires imprégnées de pyréthrinoïdes.
    Porter des vêtements longs imprégnés de pyréthrinoïdes ou de répulsifs.
    Utiliser des répulsifs sur les parties découvertes du corps.
    Utiliser les mesures d’appoint suivantes : diffuseurs électriques, tortillons fumigènes à l’extérieur… »

    De quoi faire perdre la perruque ou décoiffer plus d’un écolo bobo!

  6. Important de ne pas oublier cette phrase dans votre article
    « le traitement global avec la molécule coûtait à la SNCF…  »
    34 millions d’€ le « traitement globale » pas les litres de glyphosate qu’ils achetaient. Sinon cela nous fait le litre à 880 000€ !
    Il se foute pas un peu de nous et de vos confrères le « SNCF réseau ».
    Admettons qu’ils achetaient un glyphosate « hyper formulé » (avec pénétrant qui traverse la cuticule sans la détruire, activateurs de « systémies descendantes » …) en négociant un minimum (34 tonnes (quand même) = 34 000 l==> si densité a 1 ce qui ne peu être le cas mais bon, soyons large ) il ne le payaient pas 50€ le litre quand même ?????
    Bon admettons (soyons très très large) qu’ils aient payés 50€ le litre de leurs produits en or==> cout « produit désherbage » a l’année = 1.7 million (pas 30 millions)!!
    Comment justifier que la perte du glyphosate puisse les faire monter a une facture de désherbage en augmentation de minimum 270 million (300 M coût mini future moins 30M coût actuel= 270M d’augmentation)???
    Il existe déjà d’autre herbicides totaux (pas besoin de sélectivité sur les ballastes) et les firmes vont pouvoirs homologuer plein de nouvelles molécules qui n’auront plus la concurrence du glypho qui les bloquaient !!! ( sous brevet les nouvelles molécules alors que le glypho n’y est plus depuis longtemps maintenant)! Donc oui les firmes vont y gagner et les acheteurs y perdre financièrement!
    Mais admettons que le coût « produit  » au km de rail traité du future désherbant en or de la SNCF (soyons très très très large) double au km de rail traité et passe de 88€/km avec glypho ( si glyphosate à 1 de densité et est utilisé a :60 000km de rail divisé par 34000 litre par an= 1.7l/km de rail x 50€/l = 88€ de cout glypho par km de rail traité .) a 166€/km (le double en coût produit) de rail traité alors ont a une augmentation de 4.6 Millions et pas de 270 million. Dans les cout globale, ce qui n’est pas le coût « produit désherbant » représente (dans l’hypothèse a 50€/l :34 000 l /an x 50 € = 1.7 million a déduire de la facture des 30 million de cout globale de déserbage =28.3 million qui ne sont pas du au « cout produit ») 28.3 million qui sont forcement des coût matériel , les hommes qui travaillent,….! C’est coût non pas à changer a cause du glyphosate ou sont changement! Traiter avec un système de géolocalisation (ce que font déjà beaucoup d’agriculteurs équipés de systèmes RTK entre autre et de la gestion de leurs pulvérisateurs « par tronçon ») ou un système d’ouverture des buse avec interrupteur déclenché par analyse de la réfractance (entre autres techniques pas très chère…) est un « plus » technique maitrisé et à mettre en œuvre aujourd’hui quelque soit la molécule herbicide utiliser ( on ne change pas le matérielle technique d’application parce que l’on change d’herbicide). On baisse ainsi les quantités utilisées de façon simple et en gardant une efficacité d’action . On appel aussi cela l’agriculture de précision en « grandes cultures » et apparemment la SNCF n’est pas du tout pionnière dans le domaine!!!
    L’histoire du glyphosate est UBUESQUE et DRAMATIQUE quand aux fonctionnements de nos institutions comme de nos sociétés, mais faut il pour autant raconter/sous entendre n’importe quoi pour remettre en place quelque vérités ??
    Pourquoi donner aux antis « on ne sait même plus quoi » des contre arguments évident/valides, si on « quitte le réel »/ment sur les vrais raison qui font que le glyphosate ne devrait pas en être là aujourd’hui ?
    En résumé : Le surcout de 270 millions € minimum pour la SNCF du a l’arrêt du glyphosate est une grosse connerie /mensonge.
    Lire cette information/bêtise sur ce site me déçoit un peu !
    Vous avez assez d’élément a charge contre un Portier, escroc qu’il faut dénoncer (avec entre autre pour preuve ses 160 000€ qu’il a touché ) ou les dernière révélation sur la façon malhonnête de travailler dont a fait preuve le CIRC sur le dossier glyphosate pour ne pas vous rabaisser aux info « sensationnel » mais fausse, même si elle vont dans le sens de la vérité !

    1. « Sinon cela nous fait le litre à 880 000€  »
      Mes excuses :30 000 000€ divisé par 34 000 litre = 882 € le litre de glyphosate pas 882 000 .Pour autant, cela ne change rien au reste de la « réflexion ».

  7. Je ne sais pas si le chiffre de 34 tonnes est juste, mais nos amis british estiment le surcoût du désherbage sans glyphosate à quelque 100 millions d’euros.

    http://www.reuters.com/article/us-britain-train-weeds/weedkiller-ban-would-disrupt-uk-trains-and-raise-ticket-prices-study-idUSKBN1CT2IX

    Pour quelque 16.000 kilomètres de lignes.

    Leur chiffre est équivalent à l’estimation basse d’une surcoût de 300 millions. Le débat sur le prix du litre n’est que littérature.

    1. seppi vous dites: « Je ne sais pas si le chiffre de 34 tonnes est juste  » !!!??? et alors même foi 10 cela ne change pas le « mensonge » !!! juste pas juste on ne peut pas justifier une augmentation de 270 millions d’€ pour la SNCF qui serait seulement du à la disparition du glyphosate (Matière active qui sera aussitôt remplacé par une autre, la SNCF ne pouvant pas faire autrement) sans jouer sur
      l’incompétence/ignorances des autres. Le vrai prix de l’herbicide contenant du glyphosate acheté par la SNCF doit ou devrait ne pas dépasser les 15€ du litre comparé aux prix pratiqués pour les agris (et je suis large avec les glyphosates banalisés à moins de 6€ le litre en petites quantités pas par 34t a l’année (ou alors ils se mettent « gros » dans la poche les acheteurs SNCF…..)).Si on veut utiliser l’argument ci dessus dans l’article le prix du litre a un sens et ce n’est pas de la « littérature » mais de l’économie/comptabilité de base , puisqu’il représente le coût réel du produit (pas celui du matériel qui va en épandre des centaines de milliers de litres quels qu’ils soient) . C’est votre remarque qui n’a pas de sens et cette « phrase/conclusion littéraire » qui associée a votre première phrase sur « le tonnage  » me rappelle plus les techniques de détournement de sujet à la manière d’avocate de Corine Lepage que le Seppi qui argumente habituellement…?
      Je retire ma comparaison avec Lepage que vous ne pouvez pas mérité. Par respect pour le travail d’info/analyse que vous faite habituellement sur votre site http://seppi.over-blog.com/ je reconnais que vous ne pouvez pas être comparé a elle .
      j’ai dérapé, surement fatigué (Lepage quand même….) il est tard je sors!

    1. Super encore comme articlefait part des « expert « . Oui mais expert de quoi?
      B.b. votre super info commence avec un 1er sous titre qui fait que je n’ai pas eu besoin de lire la suite: « Les pesticides : une machine à cash pour les grosses coopératives agricoles »
      Cela impliquerait que les coop soit accro au glyphosate pour le « fric  » qu’il engendrerait.
      C’est tellement bête vis à vis du glyphosate avec un minimum de connaissance des marchés sur ce produit. Le glyphosate comme tous les produits qui ne sont plus sous couvert de brevet est ce qu’on appel devenu un produit banalisés. Cela veut aussi dire a faible voir très, très faible marge. Si le glypho disparait il sera aussi tôt remplacé par un autre produit (autre matière active) qui sera lui sous brevet et donc avec marge plus forte (sans concurrence le temps du brevet pour la firme qui met en marché)
      Les agriculteurs traiteront avec un herbicide « total » la même surface que lorsqu’ils utilisaient du glyphosate, mais cela leurs coutera plus chère (alors que déjà surcharger de charge par rapport a leurs prix de vente ).Mais cze qui est sur c’est que justifier du fait que la FNSEA ou les coop serait accro ou défendrait le glyphosate pour garder « une machine a fric » est a « l’envers des réalités ». Ce sera même l’inverse concrètement et dans la pratique pour la disparition du glyphosate. Par compte la FNSEA (et donc la majorité du monde agricole qui sait de quoi il parle lui) et les coopératives agricoles sont contre l’arrêt du glyphosate car il se ferait sur la base d’une tromperie que l’on connait maintenant puisque organiser par des « idéologistes » malhonnêtes du CIRC (avec portier en tète qui n’a touché que 160 000 dollars!!!) . Ce produit serait remplacer en plus part un produit qui a peux de chance d’arriver au niveau de sécurité du glyphosate avec un coup minimum du double a l’ha. Avant d’avoir un produit aussi « sure » que glyphosate que se soit pour la santé ou pour l’environnement , (et il n’y a que le seul CIRC (lui seul contre tous)qui dit le contraire comme agence mondial…)il va y avoir un peu de temps.
      Donc pour la FNSEA comme pour les coop , la motivation a sauver le glyphosate ne peut être financière (très con comme idée si on connait les marchés produits banalisés/produits protégés), mais simplement technique et MORALE pour le monde agricole vis à vis de leurs situations économique. Pour finir les coopératives agricole, comme la FNSEA sont géré/ dirigé par DES AGRICULTEURS (ce qui gène bien les anti « on ne sait plus quoi ») qui font tout pour faire oublier ce fait : Ben oui car Pb avec des agri: Ils sont forcement mieux placer que beaucoup pour connaitre , savoir , et comprendre leur contrainte et réalité dans leurs pratiques. Et c est sure, quand ont voit les journaleux et leur « super analyse », on valident vite qu’ils est normal que les plus concerner (les

      1. parti trop vite.
        Et c est sure, quand ont voit les journaleux et leur « super analyse », on valident vite qu’ils est normal/logique que les plus concernés (les agri) aient plus de compétences et moins de conneries a affichées dans les médias que tous les  » anti de bureau » qui n’ont jamais mis les pieds dans un champ pour cultiver.
        Pour finir: bien sure que les ventes de phyto , semence, engrais, font vivre les coopératives aux niveaux de leurs fonctionnement financiers. C’est même géré par des AGRICULTEURS eux même comme toutes coopérative qui se respecte. Par contre une coopérative n’a pas de « dividende » en fin d’année pour ses cadres dirigeant, mais réinvesti dans les outils de productions de la coopérative pour les agriculteurs (céréalier/éleveur) .les agriculteurs deviennent adhérent d’une coopérative que si il le souhaitent…… et ils sont une très grande majorité en FRANCE a l’avoir souhaitez en connaissance de cause.
        Fatigant cette inculture crasse étalée a tout bout de champs, du monde agricole en France. La ferme/exploitation agricole de  » MARTINE A LA FERME  » N’EXISTE PAS ».

      2. « Super encore comme articlefait part des « expert « . Oui mais expert de quoi? »

        @yann,
        Bastamag, c’est des rouges, donc experts en mensonge, désinformation et manipulation.

  8. La SNCF va peut -être interdire le glyphosate (exclusivement suspecté, par un seul groupe de travail, du seul CIRC, contre l’avis de toutes les agences de santé au plan mondial et même de l’OMS pour le risque dans l’alimentation) mais va devoir fortement augmenter la quantité d’insecticides biocides (le même que les agricoles mais en plus divers et souvent des insecticides interdits en agriculture car considérés par l’ANSES comme trop dangereux pour des agriculteurs pourtant bien protégés).

    La raison : les punaises de lit dans les compartiments et sur les sièges , des trains, couchettes mais aussi dans les wagons classiques, les sièges suffisent à voir ces charmantes bestioles proliférer, nous gâcher le voyage et nous suivre dans nos foyers.

    Faudra t-il prendre désormais le train (ou l’avion aussi traités largement) avec une combinaison de scaphandrier comme les agriculteurs ?

    Voir le mèl qui suit sur le sujet.

  9. A propos de punaises des lits, là on est dans le lourd, le sérieux, l’irritant, bientôt le dangereux:
    http://www.leparisien.fr/longjumeau-91160/longjumeau-faites-le-plein-de-conseils-pour-vous-debarrasser-des-punaises-de-lit-08-11-2017-7380624.php

    « Face à la détresse des habitants aux logements infestés par ces parasites, la ville a décidé de réunir lors d’un forum des spécialistes qui dispenseront leurs conseils.

    Des appartements aux pavillons individuels, en passant pas les plus grands hôtels de la capitale, le phénomène des punaises de lit touche tout le monde et explose un peu partouten Ile-de-France.

    La ville de Longjumeau n’y échappe pas. Confrontée à la détresse d’un grand nombre d’habitants, la mairie organise un forum consacré à cette problématique d’infestation, ce jeudi après-midi, à la maison de quartier Colucci.

    Le rendez-vous, proposé en partenariat avec la communauté d’agglomération Paris-Saclay, la Caisse d’allocations familiales et l’Agence régionale de santé, se veut éclairant. Le forum donnera en effet toutes les clés pour se libérer de ces nuisibles qui élisent domicile dans les lits, sommiers, meubles et lattes de parquet.

    La punaise de lit est un parasite extrêmement résistant qui peut rester des semaines sans se nourrir et aime l’obscurité. Près de 200 000 sites seraient infestés en France selon la Chambre syndicale désinfection, désinsectisation, dératisation (CS3D), qui réunit les entreprises françaises de lutte contre les parasites et les nuisibles.

    La punaise se nourrit à 90 % du sang des humains et aiment donc se nicher à ses côtés : matelas, sommiers, tapis, canapés, etc.

    Quasi disparu depuis les années 1950, l’insecte connaît une recrudescence depuis deux ans. Et sa présence n’est pas liée à un problème d’hygiène. Les punaises de lit ne transmettent pas de maladie à l’homme (ma remarque: ce qui faux, nombreuses bactéries dont celle de la maladie de Chagas) mais peuvent occasionner des troubles du sommeil, de l’anxiété, un isolement social, etc. Les signes qui doivent vous alerter ? Des piqûres au réveil, semblables à celles des moustiques, sur les parties découvertes du corps : main, visages, bras…

    Les participants pourront apprendre à détecter et à éliminer ces indésirables, notamment par le biais d’ateliers pratiques et d’un appartement témoin. Des animateurs et démonstrateurs d’appareils à vapeur sèche mettront en avant les bons gestes à adopter en cas de mauvaise rencontre.

    Des techniques simples, qui ne nécessitent pas l’emploi de produits chimiques, semblent par exemple très efficaces. « On peut laver le linge à plus de 60 degrés ou, au contraire, le mettre dans un grand sac et le congéler à – 20 degrés », nous explique-t-on en mairie.

    Des habitants ayant réussi à traiter ce fléau seront également présents pour témoigner de leur expérience en la matière. Une plaquette d’informations réalisée par la ville sera en outre distribuée lors du forum. Elle sera disponible en ligne sur le site Internet de la ville dès le lendemain. » fin de citation

    On nous amuse avec le traitement par le froid ou la chaleur mais la photo montre une application d’insecticide : produit ACTO: Perméthrine 0,11% – Tétraméthrine 0,52% – pbo : 2,60% – Sméthoprène 0,03% .

    En cas d’infestation si l’on fait appel à des sociétés exterminatrices de ces bestioles, elles vont utiliser aussi des insecticides bien de synhèse, bien chimique, au plus près des populations et pas de la poudre de diatomée.

    La poudre de diatomée contre les punaises de lit, c’est de la poudre aux yeux et une succion répétée sur le compte en banque, de la pure bobologie, mais les journalistes adooooorent cela! …….sauf s’ils sont infestés chez eux!

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