Le bio « tout blanc » & le conventionnel « tout noir » : les raccourcis faciles du président de Biocoop

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BiocoopDans une tribune publiée hier dans le Monde, Claude Gruffat, le président de Biocoop dénonce l’injustice que serait les « subventions à une agriculture aux conséquences sanitaires et environnementales coûteuses ». « L’injustice est flagrante. Le modèle agricole dominant, qui repose sur la mécanisation et la chimie de synthèse, pollue et détruit les sols, ne crée pas d’emplois et endette les agriculteurs. C’est le modèle que nous subventionnons. Le modèle paysan de l’agriculture biologique, lui, crée 2,5 fois plus d’emplois, protège nos sols, l’air, l’eau et la biodiversité, produit une nourriture nutritive et saine, pourtant il est surtaxé. »

Evidemment, avec ce genre de données lancées comme autant d’obus sur le conventionnel, on ne peut être que d’accord. Sauf que la réalité est un peu plus compliquée. Parlons de subventions. Des secteurs de l’agriculture bénéficient d’aides liées à la PAC. Qu’en est-il pour « la bio »? Elle est également subventionnée est même plus que la conventionnelle. Aux subventions « normales » par production, il faut rajouter les nombreuses primes nationales et régionales, pour le maintien de l’agriculture biologique. A ce petit jeu de qui est le plus « subventionné », pas certain que « la bio » s’en sortent beaucoup mieux!

Les conséquences sanitaires de l’agriculture conventionnelle? Parlons en…Claude Gruffat, oublie un peu vite les 35 morts et les milliers de malades en 2011 en Allemagne suite à la présence de la bactérie bactérie E.Coli dans des lots de graines germées bio.

Les conséquences environnementales du bio? Parlons en…Claude Gruffat fait l’impasse sur ses sols bien peu productifs, parce que traités des centaines de fois au cuivre ou au souffre, ou encore sur les milliers de tonnes de CO2 émis en plus par des producteurs obligés de traiter de nombreuses fois leur culture, faute de phytosanitaire immédiatement efficace.

Les conséquences sociales du bio? Claude Gruffat dénonce aussi la mécanisation. Souhaite-il revenir en arrière ? Dans le secteur du bio, ils ne seront pas nombreux à le suivre…

Alors, faire des comparatifs, pourquoi pas, mais encore faut-il se baser sur des données réelles et non fantasmées. Chaque type d’agriculture a ses avantages, ses inconvénients. Plutôt que de les opposer dans une perspective marketing, peut-être faudrait-il les faire travailler ensemble?

 

46 commentaires sur “Le bio « tout blanc » & le conventionnel « tout noir » : les raccourcis faciles du président de Biocoop

  1. Ah le choix des arguments!
    Maintenant l’argument de E.Coli dans les graines germées, de mieux en mieux.
    Les bactéries que l’on retrouve le plus dans les aliments sont surtout dans les aliments d’origine animale bio ou pas. Les salmonlles pour les oeufs et les volailles, la listéria dans les produits laitiers, Eschérichia coli pour les viandes mais surtout pour les steaks, les staphylocoques dans les aliments fortement manipulés . Egalement tous les aliments qui ont été contaminés par simple contact (matériels mal désinfectés, mains sales, etc).
    Ceux qui mangent des graînes germées savent bien que le matériel doit être parfaitement propre sinon c’est un bouillon de culture. Le triste évenement de 2011 ne doit plus se reproduire.
    Pour connaitre tous les aliments non conformes il suffit de s’incrire ou de consulter des sites de rappels, c’est le plus pratique. Parfois on entend certains rappels dans les médias ou alors il faut consulter le classeur à la caisse centrale des hypermarchés (très pratique !) ou parfois on peut croiser des petites affiches dans le rayon concerné (encore faut-il repasser peu de temps avprès avoir fait ses courses)

    1. a Mag
      Vous dites:
      « Ah le choix des arguments!
      Maintenant l’argument de E.Coli dans les graines germées, de mieux en mieux »
      Argument très justement en défaveur du bio!!!!!!!!!!!!!
      Les « germes bio » sont obligatoirement avec un risque bien supérieur aux  » germes non bio » , pour la simple et bonne raison qu’en conventionnel il y a obligation de sécuriser le pb par utilisation de rayon cobalt ou chloration à la sortie des « germoirs ».
      Le bio refuse la mise en place de cette sécurité qui ce fait automatiquement en production de germes conventionnel car le chlore ou les lampes au cobalt, se n’est « pas naturelle ».
      C’est exactement pour ce genre de blocage idéologique que le bio est insupportable surtout lorsque l’on veut le mettre en avant pour la sécurité des consommateurs!
      Autre fait récent insupportable de cette filière bio de plus en plus « triste ».
      En pleine crise de la grippe aviaire, les vétos se sont aperçu (ou on eu la confirmation plutôt) que les produits autorisés en élevage de volaille bio pour désinfecter les bâtiments entre deux bandes d’élevage n’étaient pas du tout efficaces. Certains vétérinaires se sont (normalement) » fâché  » et ont demandé aux des éleveurs bio de prendre des produits efficaces car l’heure n’était pas « a la rigolade ». La filière bio à été prévenu et les éleveurs bio de volailles ont donc reçu un courrier pour leur rappeler que si ils utilisaient un désinfectant non inscrit « bio » (et donc efficace), il seraient « déférencé » de la filière bio!!!!
      Il ne faut même pas parler des élevages de volailles bio qui sont restés à l’extérieur quand tout le monde avait confiner comme il se devait les autre élevages.
      En plus d’être hyper mensongère cette filière bio fais prendre des risques inconsidérés aux autres ( ne pas oublier le cas de la flavescence dorée ou un bio c’est distinguer minablement en mettant tout son secteur viticole en risque majeur)
      L’argument du « plus santé » du bio, en plus d’être idiot a la base devient carrément insupportable dans la pratique .
      Et tout cela pour que des biocoop et autre escroc puissent faire un peu plus de fric avec une alimentation « sur subventionner » .
      Les subventions à l’ha en bio sont bien supérieur au conventionnel (faux etre un vrai tordu pour osé dire le contraire comme le patron de biocoop) et ramené a la tonne produite a l’hectare cela devient bien pire et surtout honteux (car toujours pour que les plus riches puissent payer moins chère leur lubie idéologique alimentaire).

      1. Yann
        Franchement vous voyez beaucoup de graines germées en vente dans les hypermarchés? A part les germes de haricot mungo frais, en bocal ou en boite de conserve?
        En magasin bio, il y a plus de choix mais les prix sont élevés pour des petites portions qui servent plus à des garnitures d’assiette. Le CA de ces ventes doit être ridicule. Comme tous les végétaux il faut les laver pour éliminer les bactéries pathogènes comme l’éventuelle E. Coli. Perso je fais germer des graines chez moi, c’est très simple, pas cher, la variété de graines est énorme, ça ne peut pas être plus frais comme aliment, c’est nutritivement très intéressant et bon et je sais exactement comment j’ai lavé mon bocal (pas besoin d’acheter de germoir ou autre), les graines et ensuite les germes.

        Vous avez envie de tapper sur le dos des éleveurs bio mais vous oubliez juste une chose! Qui a touché la dernière crise de grippe aviaire en France? SURTOUT les élevages d’oies et de canards dans le sud ouest de la France… Et pour votre info le foie gras bio n’existe pas. Ouai c’est pas éthique de rendre malade un animal, la stéatose hépathique pour obtenir le foie gras. Ces élevages sont aussi bien subventionnés ! De plus en plus d’animaux dans les élevages, résultat quand quelques uns tombent malades ils faut tout tuer…. on indemnise, une période de vide sanitaire et on recommence ! Ce sont aussi les animaux sauvages contaminés par la grippe aviaire qui contaminent …. donc y a t-il une solution? Différents pays européens ont interdit la production de foie gras ce n’est peut pas pas que le côté éthique.

        Vous savez les choses changent, ce ne sont pas que des riches qui achetent bio aujourd’hui. Il suffit de faire des choix très simples pour ne pas augmenter le budget nourriture. Par exemple acheter que des produits non transformés, augmenter la portion de protéines végétales dans les menus, favoriser les aliments avec un index glycémique bas, manger des fruits et légumes de saison,etc, etc. Et bien sûr les boissons… dans certaines familles pauvres le bugdget « boissons inutiles » est parfois hallucinant, il est relativement simple à réduire afin de privilégier des aliments de qualité supérieure.

        1. Mag vous avez traité par le mépris les arguments clairs sur E coli en particulier et Yann vient vous remettre à votre place de façon factuelle et argumentée.
          Comme vous n’avez rien à répondre sur le fond, vous faites diversion sur des sujets AUTRES.
          La mauvaise foi dans toute sa splendeur.
          En attendant, la santé des consommateurs, visiblement, vous ne vous en préoccupez QUE lorsqu’elle est mise en danger par l’agriculture convetionnelle. C’est tellement énorme! Vous devriez avoir honte au lieu de distribuer des leçons de morale.

        2. g vous dites: « Franchement vous voyez beaucoup de graines germées en vente dans les hypermarchés »
          a donc cela excuse le fait que le cahier des charge bio interdise de mettre en place la protection juger indispensable en conventionnel…..rigolo ou triste au choix votre argumentation sur ce coup là!!!
          Vous dites: »Comme tous les végétaux il faut les laver pour éliminer les bactéries pathogènes comme l’éventuelle E. Coli. » Biensur qu’il faut laver les légumes que l’on mange ..heureusement que des bio nous le rappel….LOL
          Par contre pour se protéger de E.coli avec un lavage à l’eau il n’y a que des « bio » qui en sont capables personnes d’autre n’est capable d’une telle prouesse.
          Vous dites: »Vous avez envie de tapper sur le dos des éleveurs bio  »
          Non et encore non, pour rappel je travail dans une des coopératives les plus engagée dans le bio (leader sur plusieurs marché du bio).Ce n’est pas pour cela que je vais valider les énormes mensonges d’un dirigeant sans scrupule de biocoop ou les saloperies constantes de FNE. Je suis très en colère contre la filière bio et son cahier des charge anti science et purement idéologique mais pas contre les producteurs qui profitent d’une filière de production pour en vivre. Beaucoup d’agri bio (quand ils sont au courant des réalités) sont aussi en colères contre la filière que moi. Il y a des consommateur (trompé le plus souvent par la com mensongère) qui veulent du bio…autant que cela soit nos producteurs qui en profitent. Les producteur bio (non bloquer idéologiquement) sont souvent conscient de tout ces PB mais on du mal a scier la branche sur laquelle ils se sont « posé ».
          Pour la connerie extrême du bio vis à vis des pb de la filière volailles pour votre argumentation vous partez sur la « suppression du gavage »…!! Cela n’a rien a voir! il n’y a pas que les gaveurs qui on le pb grippe aviaire (faune sauvage également touché et surement pas a cause de la surpopulation).
          Vous éviter le vrai pb en parlant que du gavage……Je vous rassure beaucoup de producteurs bio sont intelligents et conscient des réalités de l’élevage, et la désinfection chez beaucoup se fait très correctement/efficacement malgré la conneries effarante de la filière qui les gères.
          Pour le : » il n’y a pas que les riches qui mange bio »….Vous êtes mignonne et gentille en faite, mais un peu crédule et très croyante non?
          Regarder les voitures sur le parking d’un biocoop, cela donne déjà une petite idée….Pour finir le bio en part de marché total de l’alimentation française ne représente toujours pas plus de 3% de part de marché en 2016.(et tout le monde déclarent manger bio…..ben tient)
          On vous parle de 30% d’augmentation là, 20% de plus ici, blablabla et tous le monde pense que le bio nous a envahie! Je peux même vous confirmer une augmentation de 200% des part de marché du bio en France en 16 ans (ou même une multiplication par 300% du bio en France en 16 ans)Et oui mag , on est passé de 1% de part de marché en 2000 à 3% de part de marché en 2016 ce qui fait bien une multiplication par 300% ou une augmentation de 200%. (et sur les 3% de part de marché on en importe un peu moins de la moitié maintenant ce qui fait encore de la production a récupérer pour nos producteurs……)
          Le seul vrai gros plus du bio est le plus « fric » (et c’est très bien pour les producteurs)

          1. Yann

            Vous le faites exprès de détourner le sens de ce que j’ai écrit?
            Premier phrase, rien à voir!
            A vous de les laver ses germes…. ou de les cuire.
            Quand vous achetez un steak, il se peut que vous ayez des E. Coli dedans…. si vous le mangez saignant ou cru c’est votre choix, vous assumez les risques qui pourraient être évités avec une bonne cuisson.
            Deuxième phrase…. charabia. Vous semblez ne pas comprendre que l’eau n’élimine pas les bactéries!
            C’est vous qui avez critiqué la filière bio par rapport à la grippe aviaire…. j’ai juste dit que la grippe aviaire touchait surtout les élevages de canards et d’oies au sud ouest de la France. Que ceux là n’étaient pas bio puisque le fois gras bio n’existe pas. (Bien sûr certains de ces animaux finissent pas qu’en foie gras….)
            Et vous vous allez à la messe du dimanche? Moi j’ai autre chose à faire. Le coup des bagnoles, c’est bon…. aller donc sur les parkings de Liddl et autres et vous verrez qu’il y a aussi de belles bagnoles! Certains salariés ont des voitures de fonction aussi et ils l’utilisent même le week end. Certains mangent bio à hauteur de quelques %, chacun fait ce qu’il veut. Quelqu’un qui arrête simplement de fumer peut largement se nourrir bio à 100% et même avec du vin à table. Question de choix et d’éducation…. Tout comme celui qui ne mange pas bio mais qui va payer très cher ses repas à base de charcuterie, fromages et viandes s’il veut de la qualité. Acheter sa baguette à Liddl ou limiter des aliments inutiles et acheter son pain chez un vrai boulanger? Certains ont des choix pas du tout raisonnés mais ils font ce qu’ils veulent. On n’a jamais dépensé si peu pour nous nourrir proportionnellement à nos revenus….
            Je contaste quand même que les 3 concurrents du bio s’implantent presque en face dans différentes villes ou quartiers de grandes villes. Si les ventes n’étaient pas suffisantes, les ouvertures de boutiques ne se poursuivraient pas… et il n’y a pas que de l’alimentaire. En centre ville c’est aussi pratique comme commerce de proximité. J’ai vu que certains proposaient des espaces casse-croutes à midi (salades, sandwichs, etc). L’offre existe après chacun achète ce qu’il veut.

        3. Vous êtes une caricature. La stéatose, chez les palmipèdes, n’a rien de pathologique. C’est un phénomène naturel et réversible qui permet aux spécimens sauvages de stocker l’énergie nécessaire à la migration sous forme de graisse.
          Les égyptiens l’avaient, dès l’antiquité, observé et se délectaient du foie d’oies sauvages capturées sur les rives du Nil. Nos vaillants éleveurs ne font qu’utiliser cette capacité naturelle pour nous régaler.

          1. Olivier
            Ben voyons je m’attendais à cet argument que l’on retrouve sur les sites des éleveurs d’oies et de canards, mais c’est faux!
            Essayez de faire voler quelques milliers de km à une oie qui vient d’être gavée! Elle ne va pas aller loin!
            Une oie qui fait des réserves avant de partir en migration prend du poids mais cette graisse est répartie et n’atteind pas celle de l’engraissage.
            Vous êtes très fort pour embellir des pratiques ignobles …. »utiliser cette capacité naturelle ». Les consommateurs mangent du foie malade, après que l’animal ait souffert…. l’image est tout de suite moins glamour!

        4. Un oubli: pour la Mag.
          Autre bêtise que vous répétez comme bien d’autres qui feraient mieux de se taire plutôt que de parler de ce qu’ils ne connaissent pas!
          La mag nous dit le 18/07/2017 | 12:25 (ci dessus):
          « Ces élevages sont aussi bien subventionnés ! » en parlant des élevages de canard pour le foie gras
          Ce que l’on comprend vite, c’est que vous n’aimez pas les élevages pour le foie gras. Cela ne vous autorise pas pour autant à raconter n’importe quoi sur cette filière que vous ne connaissez pas (si non vous ne raconteriez pas autant de bêtise dessus). Aucune subvention n’est donnée aux productions de canards pour le foie gras(pas d’aide annuel comme pour les céréales ou certain élevage « gros ruminants ».) A ma connaissance aucun élevage dit « hors sol » (même quand il y a un parcours extérieur) ne reçoit d’aide annuel comme les aides PAC.
          En fait en vous relisant la Mag vous collectionnez vraiment les contres vérités/âneries sur le monde agricole .
          En plus ,Vos leçons de morale sont à mourir de rire ou a pleurer suivant l’humeur du jours :exemple Mag 18/07/2017 | 12:25 « Et bien sûr les boissons… dans certaines familles pauvres le bugdget « boissons inutiles » est parfois hallucinant, il est relativement simple à réduire afin de privilégier des aliments de qualité supérieure. »
          « y a qua faut qu’on! »
          C’est tellement simple la vie, vue de votre fenêtre en pleine hivers appuyé au radiateur.

    2. Mon choix est fait depuis longtemps.
      Je préfère largement une protection sanitaire en amont , quitte à consommer quelques picogrammes de résidus phytosanitaires plutôt que du bio qui peut venir de producteurs peu regardant .
      En 1900 les centenaires étaient rares, aujourd’hui il y en a tellement que l’on fait même plus attention .

      1. Marco
        Sauf que les centenaires d’aujourd’hui, ils n’ont pas été nourri aux pesticides en étant gosses.

        1. oubliez vous que dans la première partie du 20ème siècle on traitait les cultures avec des produits à base …. d’arsenic. ERt les cérales bio ont plus de risque d’être bourrées d’aflatoxines et mycotoxines , cancérigènes certains

          1. Mais non ! Il/elle n’oublie pas ! Car il/elle ne sait pas. Son horizon se limite aux fadaises que les marchands de peur – et de produits « bio » – martèlent dans le cerveau dérangé des hypocondriaques.

            1. Seppi
              Oui bien sûr vous êtes libre de dire ce que vous voulez. Comme un gosse qui n’a plus rien à dire.

          2. Sans parler des conserves mal appertisee : botulisme.
            Du salage des viandes ( pas de frigo ) : cancer des voies digestives.
            Du fumage : carcinogène grâce au HAP.
            Sans de l’équilibrage nutritionnel des repas , les gens surtout ruraux et urbains pauvres mangeaient toujours la même chose.
            C’était jusque dans les années 65-70……..

            C’était mieux avant ??? Sources : mes parents et beau – parents nés dans les années 25-30. Ce qu’ils ont vécus eux et leurs parents…… Confirmé avec des sources officielles sur les repas du passé.

        2. Vous racontez n’importe quoi. C’est pathétique.

          Les centenaires d’aujourd’hui sont nés en 1917 ou avant. Ils ont dégusté les produits alimentaires traités avec de vraies cochonneries, interdites depuis longtemps ou depuis moins longtemps (fallait bien des produits « naturels » comme la roténone pour le « bio ») – ou pas encore interdites comme le cuivre.

          Et je ne vous dis pas les cochonneries qui résultaient d’une protection souvent très rudimentaire des produits alimentaires, bruts ou transformés.

          1. Seppi
            Et non pas tous…. ceux des campagnes comme mes grands parents, ils mangeaient ce qu’ils cultivaient ou achetaient au producteur du coin. Les produits transformés? Ils n’en achetaient pas ou très peu…. Une alimentation de saison, simple, saine, des bocaux et confitures faits maison, des aliments mis au congélateur (à partir des années 85 environ), etc. N’oubliez pas à quelles dates sont apparus les premiers supermarchés… et pour que les gens des campagnes puissent se rendrent dans ces lieux à des distances raisonnables, il a fallu encore attendre, le début des années 90 voire plus tard…

            1. Viande salée ou fumées , conservés mal apertisees , que du bonheur.
              Espérance de vie a la naissance : 45 ans. Aujourd’hui : 80ans tout ça en un demi siècle.
              Vous etes vraiment un rigolo naïf mon cher Mag…..

        3. non ils ont bien commencé leurs vie avec des produit beaucoup moins saint et avec beaucoup plus de risques alimentaires que maintenant, et votre remarque est bien celle d’une bloquer idéologique indécrottable. Cela tombe bien car on a des producteurs a faire vivre de cette filière , et donc on a besoin de personne comme vous qui vont accepté de payer plus pour……….. !(Il faut de tout pour faire un monde, mais pour certain il n’en faut pas trop quand même)

          1. Yann
            Eh bien on verra comment l’espérance de vie va évoluer prochainement et surtout l’espérance de vie en bonne santé des personnes âgées.
            Est ce que j’ai dit que je mangeais bio, non.
            Ce qui me fait marrer sur ce site c’est qu’entre agriculteurs vous vous tirez dans les pattes au lieu d’être unis. A moins de produire sa propre nourriture on est bien obligé d’acheter soit du conventionnel soit du bio soit de l’ agriculture raisonnée quand on nous le propose. Le choix est finalement pas si important.

            1. Concernant l’espérance de vie, un point important est que la mortalité baisse régulièrement à tous les âges. Ainsi la mortalité des octo ou nonagénaires actuels était trois fois supérieure à celle des trentenaires actuels. On peut comparer à 40,50 ou 60 ans, on a toujours une mortalité très supérieure des « anciens » qui vivaient paraît-il si « sainement » par rapport aux générations actuelles du même âge . Bref, pour observer un effondrement de l’espérance de vie, comme régulièrement prédit par ceux qui espèrent y voir la preuve de notre malbouffe, c’est très mal parti.

        4. Vous êtes de mauvaise fois .
          Nés en 1917, ils ont connu des produits phytosanitaires fin des années 50 , à l’âge de 43 ans jusqu’à nos jours soit pendant 57 ans alors que nos ancêtres , qui vivaient beaucoup moins vieux en moyenne ne les ont jamais connu , comme mes arrières grands parents , mari et femme , décédés en 1935 de cancer à l’âge de 65 ans !!!
          Leur fils, mon grand père est mort à l’âge de 80 ans d’une rupture d’anévrisme , alors que ses fils , mon pére et mon oncle , 83 et 87 ans , en bonne santé, ont utilisé les premiers phytos sans précaution !!!
          La nourriture actuelle conventionelle n’a rien à voir avec celles des années 60-70 , vous êtes en retard de 50 ans mon pauvre Monsieur !!!

          1. Mag , votre famille ne peut pas être utilisée comme une preuve même comme argument .C’est sur une population plus importante ( des milliers) que l’on peut déduire des faits ,des tendances. Et les Faits scientifiques vous contredisent.
            A lire le livre de JOHAN NORBERG  » Non ce n’était pas mieux avant « . Édition Plon . 272 p. 17,90€.

        5. Mag
          la masse de pesticides utilisée en France aujourd’hui est compris entre 60000 et 70000 tonnes par an. Entre les 2 guerres elle avoisinait les 350000 tonnes avec une surface utile et des rendements ha bien inférieurs;
          Les principaux phytosanitaires utilisés à l’époque étaient le cuivre et soufre en fongicide, l’acide nitrique en désherbant et la nicotine en insecticide.
          L’INRA et l’Académie d’Agriculture fournissement une foultitude de données sur le thème mais cela demande un peu de curiosité, de travail et d’ouverture d’esprit.

    3. Il y a un concept fondamental de biologie que les tenants de l’AB n’ont absolument pas compris (c’est le comble alors qu’ils utilisent -usurpent à mauvais escient- le préfixe « bio » – = vie – à toutes les sauces et s’en servent même comme emblème !).
      Je vais le faire simple pour que ces gens comprennent, mais il va leur falloir faire quelques efforts de réflexion qu’ils ne peuvent éviter si, justement, ils font de l’AB (comprendre le niveau biologique !) :

      IL VAUT MIEUX MANGER AVEC (des traces de) PESTICIDES QUE LES PESTES ET LEURS (cortège de) TOXINES !

      Ce qui devient dangereux, c’est ce qui n’a pas été traité (on rejoint là le mensonge originel et scandaleux du lobby « bio » : ils ont réussi à faire croire qu’ils n’utilisaient pas de pesticides aux consommateurs ! (Il est vrai qu’ils utilisent des « biopesticides » car, le saviez vous ? le préfixe « bio » les exonèrent (évidemment) de tout danger ! mais ils se gardent bien de dire qu’ils en utilisent potentiellement 439 dont certains sont tout aussi dangereux (cancérogènes, perturbateurs endocriniens etc. que ceux « maudits » issus de synthèse chimique – mais, qu’en plus, ils utilisent malgré leur cahier des charges (exceptions)-) !
      Il faut absolument fourrer dans le crâne de tout un chacun que : « bio » = sans pesticides !
      Et question formatage du public avec relais bienveillant et récurrent des médiocrates, ils savent faire !
      Quoiqu’il en soit, on sait maintenant que le seul risque bactérien est 5 fois plus important avec les produits issus de l’AB que ceux issus de l’A Conventionnelle. Certains dans leurs commentaires ont fait mention à juste titre du risque accru du « bio » avec les mycotoxines (et ils ont bien raison) quasiment toutes cancérogènes et ayant provoqué des millions de morts dans les siècles passés (du temps où l’on ne faisait que du « bio » obligatoire puisque les intrants n’existaient pratiquement pas).
      …. A regarder, en parallèle, l’évolution de l’espérance de vie durant ces siècles passés par rapport au début de l’A Conventionnelle (1950) !
      Le pire c’est que ces gens arrivent à imposer des repas «bio» dans les restaurants scolaires. (accidents récents -Rouen- d’intox alimentaire dans les cantines scolaires fournissant en « bio »: au moins 300 élèves intoxiqués d’un seul coup !)
      Laissez-nous le choix de ne pas manger «bio» au minimum et de ne pas empoisonner sournoisement nos enfants !
      Ce n’est pas du « bio », c’est du « létal » !

      Il faut alors maintenant rappeler un autre concept, lui aussi fondamental, de la Biologie. Il représente l’essence même de la vie même, de son émergence et de son fonctionnement intrinsèque : c’est que tout est pesticide (cf. Bruce Ames, 1990) … la vie est une succession de réactions biochimiques de substances (chimiques) qui «luttent» (interagissent) les unes contre les autres !

      Pour info, Denis Corpet dans la préface qu’il a faite du livre de Gil Rivière-Wekstein (Panique dans l’assiette) rappelle qu’il faudrait manger 25 millions de pomme (avec la peau) pour avoir l’équivalent de produits cancérigènes contenus dans un seul verre de vin.
      L’AFIS rappelait également récemment (Sciences et Pseudo-sciences, n° 315, 2016) que « dans une seule tasse de café, nous ingérons autant de pesticides naturels, cancérigènes, mutagènes ou reprotoxiques que tout ce que notre alimentation nous fournit en un an en pesticides synthétiques ».

  2. En sus de l’épisode E coli sur les graines germées qui a aussi touché la bonne ville de Bègles, sans décès, heureusement, on rappellera les galettes de sarrasin bio et la trentaine d’hospitalisés dont deux avec des séquelles à vie, syndrome type guerre du golfe avec prise d’atropine, ici naturellement grâce aux graines de datura qui contaminaient le sarrasin.
    Combien d’accidents de ce type que la presse se défend de médiatiser à l’excès pour éviter de gêner le développement d’une filière certes fort sympathique. Le bio m’est réellement très sympathique si bio local, produit par de petits agriculteurs qui sinon ne pourraient pas vivre de leur métier et avec des circuits courts qui évitent d’engraisser les requins de la grande distribution , dont la structure bio coop qui n’a de coop que le nom et exploite sauvagement ces petits agriculteurs bio si sympathiques. Donc normal que les responsables de biocoop colportent des mensonges éhontés, un requin parmi d’autres requins avec des méthodes de requin.

    On lira http://www.avosassiettes.fr/panique-dans-lassiette-ils-se-nourrissent-de-nos-peurs-par-gil-riviere-wekstein-aux-editions-le-publieur/… et surtout le livre correspondant.

    Le « témoignage » de Claude Gruffat, le président de Biocoop, illustre à merveille ce que cet excellent livre de Gil Rivière démontre et démonte parfaitement, un merveilleux exemple, en live!

    1. Alzine
      Parce que les autres (hypermarchés non bio) n’exploitent pas les petits agriculteurs?
      Mais pour développer les circuits courts il faut que les producteurs fassent le nécessaire pour que ce soit accessible aux consommateurs (présence sur les marchés, stand sur l’exploitation ouvert à des horaires corrects, etc, etc).

      1. C’est super le développement des AMAP ou autre vente de proximité.
        .Mais, on ne remplacera pas par des AMAP les activités de distributions comme celle de Rungis. La vente directe restera forcement une activité marginale dans notre organisation sociétale.
        Deplus , les premiers bilans ne sont pas « folichon » pour les producteurs qui la pratique .Plus de travail (déjà que…) pour pas forcement beaucoup plus de revenus. P

        1. Yann

          C’est difficile à développer mais c’est selon la volonté des consommateurs aussi.
          Les AMAP ne sont pas assez nombreuses, s’il faut faire 20 km en voiture ce n’est pas intéressant.

      2. « Mais pour développer les circuits courts il faut que les producteurs fassent le nécessaire pour que ce soit accessible aux consommateurs » ?

        Il faut qu’il produisent, qu’ils s’occupent de la paperasse, qu’ils conditionnent, qu’ils vendent en étant présent aux heures du consommateur bobo féru de bio…

        Comme vous dites : « (présence sur les marchés, stand sur l’exploitation ouvert à des horaires corrects, etc, etc) ».

        Vous avez bien fait de mettre deux « etc. ». Vous rêvez, gueule ouverte, et, eux, ils galèrent.

        1. Seppi

          Vous avez oubliez vos cachets aujourd’hui? Zen SVP!
          Si les producteurs se font exploiter c’est entre autre qu’ils ne vendent pas leurs propres produits…. les intermédiaires se gavent!
          Quand un système ne fonctionne pas il faut essayer autre chose non? C’est bien de se plaindre, c’est typiquement français mais il ne se passera rien de plus. Beaucoup de choses sont possibles…. Certains producteurs se regroupent pour vendre leur production. Un exemple, près de chez moi depuis plusieurs années ,un camion récupère la production de différents agriculteurs (fruits, légumes, fromages, vins, viandes….) sur une 60aine de km et la vend un jour par semaine en fin d’après midi début de soirée. Les clients doivent auparavant commander sur internet. C’est du travail mais qui peut aussi créer des emplois.

          1. @Mag,

            Il n’y a pas que des producteurs de légumes , il y a aussi , la majorité en volume, ceux qui produisent les céréales et oléoprotéagineux, betteraves , luzerne , ect qui ne se commercialise pas en Amap , mais par les coops et les négociants !!!
            Vous voyez beaucoup d’agris vendent leurs sacs de blé er d’orge au bord des routes de vacances !!!

  3. Quelques chiffres fiables et finaux : http://proxy-pubminefi.diffusion.finances.gouv.fr/pub/document/18/12265.pdf
    Et les bons chiffres de début 2012: « 53 décès par intoxication aux graines germées
    Entre mai et juin 2011, la bactérie E. Coli présente sur les graines germées de moutarde et de roquette a causé l’une des plus graves crises sanitaires vécues en Europe. L’Allemagne a été la plus touchée, avec 53 morts, 4 000 malades et plus de 800 personnes hospitalisées notamment pour un syndrome rénal. En France, on a recensé 24 malades et 15 hospitalisations. Les soupçons s’étaient d’abord portés sur le concombre espagnol. »

    Ne sont pas comptabilisées les décès postérieurs à l’épidémie, notamment dans les 800 personnes hospitalisées notamment pour un syndrome rénal, de source bien informée on dépasserait la centaine mais comme ce sont des morts bio ou plutôt des mortes bio puisque ce sont presque exclusivement des femmes qui ont été touchées, ce sont de bonnes morts, mortes de mort naturelle!

    Il est surprenant que la presse fasse tout pour effacer cet accident de la mémoire collective.

  4. Erreur dans l’article de presse, ce n’était pas de la roquette et de la moutarde mais des graines de fenugrec bio en provenance d’Egypte https://www.efsa.europa.eu/fr/press/news/120711

    Ce que l’avis ne dit pas c’est que ce fénugrec bio avait été fertilisé avec les fosses sceptiques du Caire faute de disposer d’engrais organique d’origine animale, le bio en Egypte est très risqué de ce point de vue, beaucoup de fosses sceptiques et peu d’élevages bovins.

    1. Alzine
      Vous savez la bactérie E. Coli on la retrouve un peu partout (sur les aliments, le matériel, dans l’environnement….) même sur les mains des personnels qui travaillent en cuisine, dans des plats, sur les ustensiles, etc. C’est une bactérie très fréquente malheureusement, elle peut se développer en présente ou non de dioxygène . Les causes de contamination sont nombreuses mais c’est souvent par le mauvais lavage des mains à la sortie des toilettes ( pas de savon antiseptique, lavage trop rapide voire juste un rinçage à l’eau complètement insuffisant)

      1. Ah ! Nous avons même droit à des leçons ! C’est même le grand Alzine qui se fait chapitrer !

        Mais tout ça ne change rien au fait que si le danger est le même entre conventionnel et bio, le risque est bien plus grand en bio parce que le catéchisme du bio interdit les solutions qui suppriment ou réduisent ces risques.

        Les 53 morts allemands, c’est une contamination probablement en Egypte – la prohibition des engrais de synthèse… – et une absence de désinfection en Allemagne – la prohibition du chlore…

      2. Mag vous dites:
        Ben alors la MAG qui nous donne des leçons et nous explique la vie en nous refaisant l’histoire, vous ne savez plus ou vous en êtes dans vos argument.
        Mag 18/07/2017 | 12:25
         » Comme tous les végétaux il faut les laver pour éliminer les bactéries pathogènes comme l’éventuelle E. Coli.  »
        Ha vous êtes une vrai pro du bio et des sciences!!Là il n’y a pas de doute, car vous êtes bien capable comme tout bon zélote du bio de nous donnez/trouvez des arguments a la demande et aux besoins.
        A 12h 25 le 18/07 l’eau élimine E.Coli mais à 12h40 toujours le 18/07 avec un besoin argumentaire diffèrent vous nous dites « Les causes de contamination sont nombreuses mais c’est souvent par le mauvais lavage des mains à la sortie des toilettes ( pas de savon antiseptique, lavage trop rapide voire juste un rinçage à l’eau complètement insuffisant) »
        Si vous avez des faits (sourcés pas vos avis « super éclairé »….) n’hésité pas a intervenir, sinon vos intervention n’ont d’intérêt que par la qualité de vos argumentaires et là vous lire devient une perte de temps évidente.

        1. Yann

          Si vous ne savez pas ce que sont les bactérie Escherichia coli je n’y peux rien mon pauvre. Allez donc vous informer, ça vous incitera peut être à vous laver correctement les mains.
          N’inventez pas ce que je n’ai pas écrit. L’eau n’élimine pas E. Coli. C’est une bactérie qui peut être éliminer que par la chaleur ou par un bactéricide (ou désinfectant ou antiseptique ).Ses spores résistent à la surgélation ou congélation c’est pour cela qu’on la retrouve assez souvent dans les steaks surgelés.
          Je ne vous oblige pas à me lire.

          1. Vous êtes vraiment très très très gentille la mag.
            votre: »Si vous ne savez pas ce que sont les bactérie Escherichia coli je n’y peux rien mon pauvre. « est a mourir de rire puisque je n’ai fais que des copier collés de vos blabla (avec le jours et l’heure pour que l’on puisse vérifier que c’est affirmations qui se contredisent sont bien de vous et surtout « digne » de vous…).
            Donc vos « retour » sont comme le reste de vos propos : sans intérêt. Mais ils permettent à tous (ceux capables comprendre que se sont des copiés coller de vos bêtises==> donc de vous)de voir la « qualité » et le réel « intérêt » de vos discours de « croyant idéologique bloqué ».
            Pour le PB de la grippe aviaire , vous confirmer que vous faite partie des pro de la désinformations(ou des pro qui comprennent toujours les info a l’envers voir qui ne comprenne rien à rien).
            Le Pb n’est pas du tout spécifique au gavage! Oui se sont les gaveurs du sud ouest qui ont été les premiers et les plus touché par le PB, mais l’on sait pourquoi: Ce sont c’est éleveurs qui on le moins appliquer les mesure de biosécurité préventives (qui sont devenues obligatoire maintenant). D’autres secteurs de gavage comme la Vendée n’ont pas eux plus de cas que des éleveurs de poulet de chairs dans les même secteurs. Ils n’ont même pas eux les même contrainte de sécurité a appliquer que les gaveurs du sud puisque les autorité savaient que leurs situation et compétence n’étaient pas du tous les même que pour les gaveurs du sud (qui ont un peu fait n’importe quoi effectivement a certains moment)
            Le PB est carrément mondiale maintenant et les éleveurs du nord (pays scandinave) ne comprennent même pas que l’on soit capable d’avoir des élevage de volaille extérieur en France .Pour eux c’est de l’inconscience total avec le risque annuel du au migration des oiseaux sauvages (premier vecteur) qui peuvent contaminer n’importe quel élevage non confiné. Le risque de la grippe aviaire nous amène au risque monstrueux de la grippe espagnol qui a tué entre 30 et 45 million de personnes (suivant les sources) entre 1918 et 1921. C’est pourquoi la filière bio qui interdit a ces producteurs de volailles d’utiliser des produits de désinfections entre deux bandes de production de volailles qui soit EFFICACE pour maitriser ce risque majeurs est une horreur total et vraiment incompréhensible. Les éleveurs (qui eux ont compris le PB majeurs que représentait « l’influenza ») qu’ils soit bio ou non font ce qu’ils faut pour gérer ce risque. Le pb vient/viendra de ceux qui « moins équipé intellectuellement » vont valider les conneries super dangereuse de la filière bio sur ce dossier là .
            Décidément ma pauvre mag, quelque soit les sujets abordé autour du monde agricole vous êtes vraiment a la « rue ». Vous êtes l’exemple parfait de toutes ces personnes qui parce qu’elles ont accès a l’internet, confondent accès aux connaissances et accès aux compétences.
            Oui mag vous avez accès aux connaissance sur le net mais vous n’avez pas pour autant les compétences pour les interpréter/comprendre de toutes évidences.

      3. Effectivement, ce sont les sans à répétition du bio : sans engrais minéral, infiniment moins à risque ( sauf à AZF mais c’est une autre histoire, même plusieurs autres histoires dans une) , sans eau de javel et produits chlorés, un simple trempage des graines aurait détruit une contamination de surface, …qui sont responsables du phénomène. Le sans insecticides conduit au Zika , au chikungunya et à la dengue, bientôt à la fièvre jaune. Le sans insecticides produit les punaises de lit et l’explosion de la gale. Le sans raticide conduit à la leptospirose, aux hantavirus et bientôt à la peste bubonique.

        L’alzine ou alzina ou chêne vert selon l’appellation locale de part et d’autre des Pyrénées méditerranéennes ne domine… que de la garrigue, parce que les autres espèces fuient ces sols trop ingrats.
        Soumis à des sécheresses rudes et à un excès de vent du nord, il doit limiter sa masse de feuillage et sa taille.
        Il a souvent un port penché voire courbé, même couché en crête… à cause du vent du nord qui sculpte sa croissance.
        Ce qui vaut pour les arbres vaut pour les porteurs d’idées qui ne sont pas « main street », pas trop luxuriant sinon gare au dessèchement par le vent et par le sec et pas trop grand pour éviter que la tramontane ne l’arrache.
        Cela dit ces sols ingrats limitent aussi la compétition avec d’autres espèces… à condition d’accepter la petite taille, un sol pauvre et le risque d’incendie.

        .

    1. @ Romain 20/07/2017 | 11:06

      « Quand est-il », à corriger, sinon
      (un détail, mais ça pique)

      <<<< Voilà une intervention qu'elle est claire!

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