Le véganisme, c’est dans la tête

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Le véganisme, c'est dans la tête

Ce « prank » (« canular ») montre des jeunes Américaines véganes consommer un produit végétarien qu’elles trouvent délicieux. Puis, on leur dit qu’il s’agit en fait de viande et là, elles font une réaction quasiment allergique, vomissent, etc. Du théâtre car il s’agissait bien de graines ! Une belle démonstration de ce qu’est la pratique végane : un placebo qui guérit un mal imaginaire…

7 commentaires sur “Le véganisme, c’est dans la tête

  1. Cà rappelle également les « électrosensibles » qui se mettent à gigoter et à baver quand ils ne savent pas que les antennes à proximité ont été neutralisées……

  2. 90% des végétariens ne consomment pas de viandes, non pour de raisons de santé, mais pour des raisons éthiques ou philosophiques. Ils refusent de manger des êtres souffrants quand ils ont la possibilité de le faire. Le véganisme n’est pas qu’un bullshit anti-science, c’est une question presque religieuse qui existe depuis la révolution industrielle et notre redéfinition de notre rapport à la « nature ».

    1. Pensez vous sérieusement qu’ avant la révolution industrielle que les bêtes étaient tuées avec moins de souffrance ? alors que le véganisme n’existait pas ?
      Moi je pense que le véganisme c’est une forme de lâcheté , d’un rejet du réel !!! un recul du courage et une maladie de notre société d’assisté !!!

      1. Je ne blâme absolument pas les personnes qui mangent de la viande. Au contraire, je suis un grand carnivore.

        Ce que je veux dire c’est que le discours « végétarien = bobo irréaliste » est limité. Vous ne convaincrez personne en utilisant ce message. La question du végétarisme est avant tout une question éthique et la souffrance animale ne doit pas être balayée d’un revers de manche.

        Avant la révolution industrielle, évidemment que les gens n’avaient pas le choix de tuer des animaux pour se vêtir ou se nourrir. C’est du bon sens… La question est : aujourd’hui,

        1. … grâce précisément à la révolution industrielle, certaines personnes ont le CHOIX de ne plus en manger (alimentation diversifiée, etc.).

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