Mensonge bio sur France 2

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Un Français sur deux ignore que l'agriculture biologique utilise des pesticidesLes journalistes sont sensés vous informer de la réalité….Ah, mais Monsieur, c’est un temps révolu depuis longtemps ! Prenez l’exemple de cette journaliste de France 2, Justine Weyl, qui affirme, très sûre d’elle-même et sans doute avec toute l’honnêteté du monde que « Seuls les produits estampillés bio sont garantis sans pesticides et avec une part infime d’OGM : moins de 0,9%. Les labels Rouge et autres Origines Contrôlées ne garantissent rien là-dessus ».

Ah bon ? Et le cuivre, le souffre, l’huile de neem, ce ne sont pas des pesticides peut être ? Madame Weyl, revoyez vos fiches la prochaine fois et allez voir d’autres interlocuteurs que les associations anti-phytos qui jouent parfaitement de cette confusion.

 

 

 

7 commentaires sur “Mensonge bio sur France 2

  1. Souffrez que je vous souffle qu’on soufre les vignes et d’autres cultures…

    Le pire dans cette déclaration, c’est que tous les produits mis dans le commerce sont à moins de 0,9 % d’OGM – car, au-delà, il faut étiqueter.

  2. Bonjour,

    Je n’interviens pas d’habitude mais c’est là un hors sujet qui vaut le détour : comment les ‘alter’ tentent de vous noyer subtilement sur le net.

    En me trompant dans l’adresse du site et en mettant .com à la place de .fr -ce qui m’arrive de temps en temps- je viens de voir que le domaine alerte-environnement.com avait été récemment occupé par un blog diffusant les plus grandes inepties dans le domaine ex: « Aspartame : un danger mortel nommé E 951 » qui conseille en plus de contacter une pharmacie homéopathique pour se ‘désintoxiquer’ de l’aspartame en cas de tumeur cérébrale… (Effrayant mais véridique)

    Ou comment introduire de la confusion pour les internautes qui auraient entendu parler du site tout en faisant prospérer un peu plus la mouvance pseudo-(anti- à ce point là)scientifique…

  3. Ah, ces journalistes qui ne connaissent rien sur le sujet et qui se permettent de se poser en conseillers santé et alimentation. Ce n’est pas une première !

  4. Il est possible que la journaliste fasse allusion à l’alimentation végétales bio que l’on donne aux animaux, je doute que les éleveurs bio puissent justifier d’aliments bio importés en dessous de 0.9% d’OGM alors que les éleveurs conventionnels utilisent du corn gluten et tourteaux de soja issus d’OGM… on a vu ce que cela donnait avec les saumons bio comparés aux saumons conventionnels mais trop compliqué pour la cervelle d’oiseau de Justine Weyl, bobo à souhait jusqu’au sourire très bobo.

  5. Pour rester dans l’ignorance crasse des journalistes, j’ai trouvé cette reprise d’article du site de Wacke seppi fort intéressante: http://seppi.over-blog.com/2016/11/un-scandale-dont-personne-ne-parle.les-peintures-de-facades-willi-l-agriculteur-qui-ne-veut-pas-que-sa-maison-ait-longtemps-un-aspec

    Des désherbants interdits interdits comme biocide dans les peintures de façade, totalement ignoré par les ONG et omerta des assoc à la con!
    herbicides que l’on va retrouver dans les cours d’eau.

    mais il y a mieux : où trouve t-on tributylétain, Diuron, Tolyfluanyde,Chlorothalonil, cuivre, Irgarol 1051, Ziram….?

    Mais dans les peinture de bateaux des animateurs de télé bobobio, sur la peinture de la coque de leur bateau qui diffuse le long des cotes ou dans les étangs et le bassin d’Arcachon, normal que les huitres fassent la gueule

    « For example, in the United Kingdom during the 1990s, antifouling agent use was massively dominated by copper(I) oxide, followed by (in order of use) diuron, Irgarol 1051, zinc pyrithione and dichlofluanid. »
    « Contamination of coastal waters by booster biocides was first reported in the early 1990s. Irgarol 1051 concentrations of up to 1700 ng/L were reported around the Cote d’Azur on the French Riviera(Readman et al., 1993). » … soit 1, 7 ug/l .

    Il serait intéressant de connaitre la peinture anti fowling des militants écolobobo, prélever sur la coque de leurs bateaux et analyser, il est certain que celles ( peintures antifowling pleines d’herbicides et fongicides toxiques pour la flore aquatique des coques de ses bateaux) de l’Hulot national nous renseignera sur le sérieux du personnage.

    L’utilisation de pesticides agricoles, rideau de fumée pour cacher ces contaminations massives… mais par les zélites en régates.

    Un tracteur qui pulvérise proche d’un ruisseau mais en prenant soin d’éviter la dérive dans ce dernier ( distance, pression, …), le public crie : « à mort ».
    Le départ de la route du Rhum avec des coques chargées en herbicides (diuron … ), fongicides (tributylétain…) interdits en agriculture car dangereux pour la faune et la flore aquatique, ici relargage direct dans l’eau de mer, le même public crie : « bravo ».
    Les CONS, les incroyables CONS, les merveilleux CONS! maquerait plus qu’ils bannissent le « p » de pesticides de leur discours, j’image l’Hulot déclamant « « Rien n’est ire que de renoncer ».
    « 

  6. Alors, désolé de jouer les trublions, mais non, l’huile de neem n’est pas un pesticide, ou du moins, pas en France. C’est, certes, un perturbateur endocrinien, c’est , certes, très utilisé, notamment en arbo BIO, mais c’est juste UN PRODUIT INTERDIT EN FRANCE !
    Les arboriculteurs qui l’utilisent devraient être poursuivis par les autorités publiques, à moins que… les BIO ont droit aux PE ? Le Draaf et autres Sraal sont moins regardant ?

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