Quand Télérama fait du bobo

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Cela donne ce type de reportage plein de bons sentiments, de belles photos et un brin culpabilisateur . Oui, vous mangez trop de viande et êtes un gros pollueur !  La solution : « achetez moins et plus cher ». Encore faut-il se le permettre. C’est là que l’on voit que Télérama ne s’adresse pas aux plus populaires des Français mais à une frange qui peut tout simplement se permettre de s’offrir une bonne bavette régulièrement.  Quant aux autres, ont-ils vraiment encore les moyens de s’acheter de la viande …?

48 commentaires sur “Quand Télérama fait du bobo

  1. Les zécolos et autres entreprises privées spécialisés dans le lobby anti tout ont réussis leur coup !
    En effet très peu de réfugiés veulent rester en France , tous vont en GB ou RFA , ils doivent lire les communiqués alarmistes sur le nombre de cancers et autres perturbation endocriniennes qu’il y a en France.

  2. On se doute bien que ce genre de reportage ne se serait pas fait en hiver quand après un épisode pluvieux les bêtes si elles ne sont pas rentrées pataugent dans la bouillaque autour des rateliers, ni ne fait la remarque des poules dans l’auge qui si elles viennent picorer la complémentation des vaches (c’est mignon!) elles y chient aussi dedans!
    D’ailleurs quoi qu’il met dans ces auges, lui qui se targue de ne nourrir qu’à l’herbe avec de la luzerne!?! Ce sont bien des céréales! Avec probablement du maïs et des tourteaux de colza, de soja, etc.
    Non plus le nuage de mouches sur cette belle tête de salers en plein-air…

  3. « Evidemment, cette côtelette a un prix… »

    On prend encore un producteur dans une filière de niche pour en faire une généralité.

    Pourtant le producteur donne le bémol qu’il faut ! Le prix de sa viande n’est pas celui que peuvent payer une grosse majorité de la population qui fait déjà ses comptes « ric/rac »

    Résultat : encore un bel exemple de production pour les nantis/boboriche qui peuvent se permettent ce luxe.

    Rigolo de pensée que certain voudrait que l’on remplace l’activité de Rungis par des AMAP ou vente directe. Cela va etre sympa organiser des enlèvement à la ferme autour de Paris, Lyon, Marseille…….
    Ils sont gentil tous à oublier que 70% de la population française est urbaine ou peri urbaine

  4. Un reportage plein de bon sens pour une agri soutenable.
    Ce n’est pas un scoop que l’élevage participe massivement aux dérèglements climatiques.

    Je mange encore de la viande, guère plus de 3 fois par mois et même si j’ai peu de moyens financiers je préfère une bonne bavette du petit éleveur à côté de chez moi plutôt que celle aux hormones et antibio de carouf.

    Et oui, MOINS MAIS MIEUX ! Dingue non ? N’en déplaise aux ultra-productivistes-méga-carnivores de tout poil (et toute chair) !

    1. @Lionel P
      Non ce n’est pas un scoop que l’élevage participe aux dérèglements climatiques c’est une idiotie !.Nul n’a besoin d’inventer de telles élucubrations pour justifier de manger moins de viande ou de manger végétarien. Chacun est libre de manger ce qu’il veut, le climat n’a rien a faire là dedans.Il a été démontré que les variations de température du passé étaient causées essentiellement par l’activité solaire (ce qui est quand même logique). Ceux qui pensent malgré tout que l’élevage va nous faire griller devraient penser à exterminer tous les animaux sur terre, à commencer par les toutous et les chats, à arrêter de faire des gosses et à encourager les guerres.

      1. @ VISOR

        Ah ouais très bon ça !
        Inédite et très bouffonante cette réaction.
        Dites-moi vous faites des interventions pour une soirée, on aimerait bien vous inviter, parce que là y’a du niveau !!

  5. Le beau biau de Télerama, sauf erreur, a une empreinte carbone bien supérieure à celle du bon boeuf que les bons beaux bobos bios dénigrent comme issu de l’agriculture « productiviste », polluante, et indigne de leurs délicats estomacs.

  6. S’agissant d’élevage on pourra lire l’excellent:
    http://www.nice-provence.info/2015/05/retour-loup-chute-dogme/

    Que je recopie avant qu’il disparaisse

     » Le retour forcé du loup dans nos alpages est l’une de ces lubies inspirées d’une vue du monde dogmatique qui fait un flop après avoir généré d’énormes dégâts.

    Il aura fallu attendre plusieurs drames humains chez les bergers, mais surtout dépasser tous les plafonds budgétaires, pour que nos dirigeants changent leur fusil d’épaule sur l’introduction artificielle du loup en zone pastorale.

    Loup indemnisation ovins tués en 2014Pour la seule année 2014, 9 033 ovins furent victimes du prédateur, selon les chiffres du ministère de l’Agriculture. Ce qui fait presque 25 bêtes tuées par jour ! La progression sur l’année dernière atteint 65 %.

    Les « amoureux du loup » arguent que toutes les bêtes tuées sont indemnisées. Et donc que le problème n’existe pas. C’est comme si le chômage n’existe pas au prétexte que les chômeurs sont indemnisés. Mais à la longue, même cet argument économiste finit par ne plus tenir, surtout lorsqu’il atteint des millions.

    Le bulletin n°3 d’InfoLoup, revue éditée par la Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement de la région Rhône-Alpes, très « pro loup », annonce le chiffre de presque 2 millions et demi d’euros d’indemnisations pour la seule année 2014. Les ovins tués ne sont indemnisés qu’après enquête. À laquelle se greffent les délais administratifs divers. L’indemnisation reste une frustration pour le berger.

    Mais ces 2 millions et demi ne représentent qu’une partie du coût du loup. Il convient d’y ajouter toute la logistique bureaucratique qui s’occupe de ce dossier aux différents niveaux de notre lourde Administration. On finit par disposer de plus de fonctionnaires affectés à l’introduction du loup que de bergers !

    L’introduction du loup s’est faite sans aucune concertation avec les populations concernées. C’est une lubie bucolique pour technocrates urbanisés. Même l’argent du contribuable ne règle pas le problème car les dégâts sont irréparables sur le plan humain. Un chômeur, même indemnisé, se sent aliéné jusqu’à ce qu’il trouve du travail. Or un berger qui n’aime pas ses brebis n’est tout simplement pas un berger. Après une attaque, un berger abandonne souvent son activité, l’âme déchirée. C’est une activité rude, austère, peu rentable, éprouvante. Qu’avait-on besoin d’en ajouter ?

    Récemment les loups furent vus à quelques mètres à peine des habitations. La sous-préfète Nice-Montagne, Sylvie Cendres, le reconnaît, en rupture frontale avec les autorités nationales et européennes : « Ces attaques inquiètent de plus en plus les bergers et la population car le loup se rapproche des habitations. » Aïe, aïe ! Ça change la donne. Cela nous rappelle la panique des Franciliens lorsqu’ils aperçurent un chat errant (voir notre article du 17 novembre 2014). Quelques bergers, une espèce en voie de disparition, ne pèsent pas lourd sur le plan électoral. Mais un village, puis un autre, c’est une autre affaire.

    Pour le président du Conseil Départemental des Alpes Maritimes, Éric Ciotti, de souche montagnarde, il faut « sortir de la convention de Bernes » (qui protège le loup). Il se demande « pourquoi on protègerait le loup au détriment du cerf et du mouflon ». Avant d’ajouter, narquois, en retournant le dogme de la Bien Pensance, à la manière de l’arroseur arrosé : « C’est une autre forme de racisme ! »

    D’autres dogmes coûteux relatifs aux flux migratoires apprêtés tomberont un jour ou l’autre.

    Massimo Luce »

    Fin de citation

    1. @alzine

      « Quelques bergers, une espèce en voie de disparition, ne pèsent pas lourd sur le plan électoral. Mais un village, puis un autre, c’est une autre affaire. »

      >>> et quand ils vont tomber dans les élevages de brebis produisant le Roquefort…, ce qui en toute logique ne saurait tarder, ce ne sera peut-être plus la même paire de manches…

  7. S’agissant d’élevage on pourra lire l’excellent:http://www.nice-provence.info/2015/05/retour-loup-chute-dogme/

    « Le retour forcé du loup dans nos alpages est l’une de ces lubies inspirées d’une vue du monde dogmatique qui fait un flop après avoir généré d’énormes dégâts.

    Il aura fallu attendre plusieurs drames humains chez les bergers, mais surtout dépasser tous les plafonds budgétaires, pour que nos dirigeants changent leur fusil d’épaule sur l’introduction artificielle du loup en zone pastorale.

    Loup indemnisation ovins tués en 2014Pour la seule année 2014, 9 033 ovins furent victimes du prédateur, selon les chiffres du ministère de l’Agriculture. Ce qui fait presque 25 bêtes tuées par jour ! La progression sur l’année dernière atteint 65 %.

    Les « amoureux du loup » arguent que toutes les bêtes tuées sont indemnisées. Et donc que le problème n’existe pas. C’est comme si le chômage n’existe pas au prétexte que les chômeurs sont indemnisés. Mais à la longue, même cet argument économiste finit par ne plus tenir, surtout lorsqu’il atteint des millions.

    Le bulletin n°3 d’InfoLoup, revue éditée par la Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement de la région Rhône-Alpes, très « pro loup », annonce le chiffre de presque 2 millions et demi d’euros d’indemnisations pour la seule année 2014. Les ovins tués ne sont indemnisés qu’après enquête. À laquelle se greffent les délais administratifs divers. L’indemnisation reste une frustration pour le berger.

    Mais ces 2 millions et demi ne représentent qu’une partie du coût du loup. Il convient d’y ajouter toute la logistique bureaucratique qui s’occupe de ce dossier aux différents niveaux de notre lourde Administration. On finit par disposer de plus de fonctionnaires affectés à l’introduction du loup que de bergers !

    L’introduction du loup s’est faite sans aucune concertation avec les populations concernées. C’est une lubie bucolique pour technocrates urbanisés. Même l’argent du contribuable ne règle pas le problème car les dégâts sont irréparables sur le plan humain. Un chômeur, même indemnisé, se sent aliéné jusqu’à ce qu’il trouve du travail. Or un berger qui n’aime pas ses brebis n’est tout simplement pas un berger. Après une attaque, un berger abandonne souvent son activité, l’âme déchirée. C’est une activité rude, austère, peu rentable, éprouvante. Qu’avait-on besoin d’en ajouter ?

    Récemment les loups furent vus à quelques mètres à peine des habitations. La sous-préfète Nice-Montagne, Sylvie Cendres, le reconnaît, en rupture frontale avec les autorités nationales et européennes : « Ces attaques inquiètent de plus en plus les bergers et la population car le loup se rapproche des habitations. » Aïe, aïe ! Ça change la donne. Cela nous rappelle la panique des Franciliens lorsqu’ils aperçurent un chat errant (voir notre article du 17 novembre 2014). Quelques bergers, une espèce en voie de disparition, ne pèsent pas lourd sur le plan électoral. Mais un village, puis un autre, c’est une autre affaire.

    Pour le président du Conseil Départemental des Alpes Maritimes, Éric Ciotti, de souche montagnarde, il faut « sortir de la convention de Bernes » (qui protège le loup). Il se demande « pourquoi on protègerait le loup au détriment du cerf et du mouflon ». Avant d’ajouter, narquois, en retournant le dogme de la Bien Pensance, à la manière de l’arroseur arrosé : « C’est une autre forme de racisme ! »

    D’autres dogmes coûteux relatifs aux flux migratoires apprêtés tomberont un jour ou l’autre.

    Massimo Luce »

    Fin de citation

      1. Oui roger vous avez raison

        Après avoir été présent pendant 400 000 ans, le loup a été pourchassé jusqu’à disparaître dans les années 1930. A partir d’une petite population ayant subsisté dans le centre de l’Italie, le loup désormais protégé regagne peu à peu les Alpes du sud italiennes dans les années 1980, favorisé par la reforestation et les lâchers de gibier
        pour la chasse. Il réapparaît côté français en 1992 dans les Alpes-Maritimes. Il est donc revenu naturellement dans les années 1990 de façon spontanée, par recolonisation naturelle de son ancienne aire de
        répartition.
        Et après 20 ans de recolonisation naturelle en France, sa population en 2013 est estimée à 250 individus (http://www.oncfs.gouv.fr/IMG/pdf/Bulletin_Reseau_Loup_27.pdf), soit environ 5% de l’effectif existant au début de l’ère industrielle

        1. Eliane a dit : Oui roger vous avez raison

          >>> Vous devez être nouvelle ici, sinon vous sauriez que roger a toujours raison quel que soit le sujet traité!! C’est lui qui le dit alors çà doit être vrai puisqu’il a toujours raison!

          Quant à votre « démonstration » du retour du loup… Bof!! Comme dirait Diafoirus  » voilà pourquoiMonsieur votre fille est muette »

      2. roger a dit : le loup n’a pas été introduit en France , il a passé les Alpes c’est tout.

        >>>>> Ben voyons!

  8. Pour établir un fait il faut le démontrer. S’il n’y a pas de démonstration il n’y a pas de fait, seulement une affirmation.

      1. Je reviens sur ce fil pour vous transmettre la suite de cette enquête méticuleusement menée par son auteur, Bruno Lecomte que l’on peut féliciter, étant lui-même éleveur, pour le temps qu’il y a consacré!

        https://youtu.be/FBy5lLS8R5g

        Ce 2è épisode vient achever le travail de cette enquête parlementaire, dont je faisais référence au-dessus, qui laissait planer le doute sur ce retour naturel du loup en France.
        On peut reprocher aux parlementaires de n’avoir pas investigué plus en amont à partir des dépositions (faut-il le rappeller, sous serment…) des spécialistes convoqués, mais c’était sans compter sur leur habileté à fournir le strict minimum de leur machination…
        Avec ce travail d’investigation Bruno Lecomte lève enfin le doute d’un retour naturel que les défenseurs du loup n’ont cessé de nous rabacher depuis le début!

        https://youtu.be/65DVgyz0RkU

        Son enquête ne s’arrête pas là, dans la 3è video il montre tout l’organigramme de cette prodigieuse escroquerie. Cette fois il nous emmène visiter les strates d’un pouvoir où rien n’a été laissé au hasard sauf les conflits d’intérêts de ces « acteurs »*. Depuis le Conseil européen en passant par la multinationale verte, WWF (pour les finances…), de l’UICN en passant par la création de la LCIE qui leur dicte non seulement ce qui fera loi mais aussi les recommandations ainsi que les campagnes médiatiques à l’attention du public pour qu’il soutienne ardemment ce prédateur sur le territoire. On peut dire à ce stade qu’ils y ont réussi!

        Cette affaire n’est pas sans en rappeller une autre que le Risk-Monger avait soulevé et que Seppi avait décryptée sur le lobby contre les néonics…

        * par leur fonction certains « acteurs » sont censés faire preuve de neutralité, d’autres, militants écolos de la première heure pour la cause lupine, des manipulateurs en puissance.

        En gros dans cette histoire les éleveurs depuis + de 20 ans ont été trompés, manipulés, pris pour des imbéciles par une petite bande d’escrocs en bande
        organisée!

        En complément cet article
        http://blogs.mediapart.fr/blog/francoise-degert/271114/l-extraordinaire-arnaque-de-la-protection-du-loup

    1. un fait :
      fait, la chaîne alimentaire a été reconnue comme l’une des principales voies de transmission de la résistance des populations bactériennes aux antibiotiques de l’animal vers l’homme. En 2014, un rapport de l’Organisation mondiale de la Santé sur la surveillance mondiale de la résistance aux antibiotiques révèle que cette question n’est plus une prévision puisque des preuves établissent un lien entre les antibiotiques utilisés chez les animaux de production alimentaire et l’émergence de la résistance chez des pathogènes courants. Cela pose un risque pour le traitement des infections nosocomiales et hors de l’hôpital. Cette revue décrit les sources possibles et les voies de transmission des bactéries lactiques résistantes aux antibiotiques issues de charcuteries séchées fermentées, présentant des bactéries lactiques ayant un profil de résistance aux antibiotiques et des déterminants génétiques associés.

      1. Lire l’avis du Docteur Madec dont l’interview figure dans ce document (signalé par vetoride) =>
        http://www.civ-viande.org/wp-content/uploads/2014/04/CIV-AB-BD.pdf

        Page 20 dans l’interview du Docteur Madec on lit : « Non, au stade actuel des connaissances, ces flux entre l’animal et l’Homme (et réciproquement) ne
        sont probablement pas très importants. » Et si plus loin on peut lire « Dans l’avenir, il se pourrait qu’une meilleure connaissance des flux de gènes montre que les échanges animal-Homme et Homme-animal sont plus nombreux que ce que l’on croit. »

        Votre affirmation que « la chaîne alimentaire a été reconnue comme l’une des principales voies de transmission de la résistance des populations bactériennes aux antibiotiques de l’animal vers l’homme. » ne veut pas dire que la principale source des résistances aux antibiotiques en médecine humaine se trouverait dans le tranfert de bactéries anribiorésistantes des animaux à l’homme par l’alimentation mais que dans les transmisions de l’animal à l’homme, la voie alimentaire est la principale. ce qui n’est pas étonnant car si certains citadins se couchent avec leur chat on ne sache pas que beaucoup d’éleveurs dorment avec leus vaches !

    1. un fait :
      fait, la chaîne alimentaire a été reconnue comme l’une des principales voies de transmission de la résistance des populations bactériennes aux antibiotiques de l’animal vers l’homme. En 2014, un rapport de l’Organisation mondiale de la Santé sur la surveillance mondiale de la résistance aux antibiotiques révèle que cette question n’est plus une prévision puisque des preuves établissent un lien entre les antibiotiques utilisés chez les animaux de production alimentaire et l’émergence de la résistance chez des pathogènes courants. Cela pose un risque pour le traitement des infections nosocomiales et hors de l’hôpital. Cette revue décrit les sources possibles et les voies de transmission des bactéries lactiques résistantes aux antibiotiques issues de charcuteries séchées fermentées, présentant des bactéries lactiques ayant un profil de résistance aux antibiotiques et des déterminants génétiques associés.

  9. José Bové est excellent et très pragmatique, même s’il n’est plus éleveur de mouton, il ne les a pas oublié, 100 % d’accord avec lui.
    Capturons les loups qui peuvent l’être pour les renvoyer dans des parcs grillagés ou des régions où ils ne posent pas problème, à l’étranger, éliminons ceux qui ne peuvent l’être, pour cela il faut sortir cet animal de la convention de Berne. On peut se poser la question du bien fondé de ces conventions internationales qui bloquent les décisions juste des Etats, produits de lobbies écologistes.

    Le multilatéralisme donne ici une fort mauvaise image, ce faisant il se condamne, il est condamné de toute façon dans un monde de plus en plus multipolaire voire à terme apolaire , qui tend au bilatéralisme dommage cela partait d’une bonne intention et aurait pu marcher.

    1. Question :
      pourquoi le loup pose problème en France mais pas en Espagne ??

      NB :je connais ta réponse Ran Tan Plan donc pas la peine ….

      1. Ce que dit un spécialiste sur le reportage proposé par Rageous, c’est qu’en Espagne et Slovaquie, connaissant les mœurs des loups, ils ont bien pris soins d’exclure le loup des espèces protégées par la Convention de Berne. Donc, ils s’autorisent à « réguler » les populations.
        En Italie, le loup est censé être protégé mais les italiens ne priveraient pas « réguler » leur population, le respect de la loi étant parfois, élastique chez nos voisins transalpins.

    2. Quand José Bové n’est pas concerné directement, il raconte conneries sur conneries, avec ses logorrhées anticapitaliste, altertruc chose.
      Par contre, dès qu’il est susceptible d’être impacté directement, bizarrement, son discours devient plus cohérent. Ici, avec les loups, hier avec le Roquefort qui pouvait être interdit d’importation aux US (pas très local, au passage pour des américains).

      1. Je n’ai bien sûr pas pu suivre le direct en totalité, la première partie était ici mais la fin (Bové) étant inaudible, la video a été supprimée…
        https://youtu.be/G6snlHqQSps
        Moi c’est le proc que j’ai trouvé excellent! Un béotien dans ce domaine mais avec une parfaite capacité à cibler où pêche le problème ; évidemment cette Convention de Berne qui nous a tous berné! Et d’insister sur ces biotopes où le loup n’est plus présent depuis bien longtemps et qui n’empêche absolument pas à la biodiversité d’exister alors l’équilibre de la chaîne alimentaire, c’est poubelle! Tout comme la remarque sur son extension qui n’en fait plus un animal en voie de disparition!

        Ce qui est particulièrement pénible douar c’est le pathos sur l’élevage version Conf’ (bon pour les bobos de Télérama!) :
        Rien sur la filière viande, le préjudice économique comme si c’était tabou de reconnaitre qu’on élève des animaux de rente pour en vivre! Alors la différence entre se faire bouffer ses produits par le loup avec les dommages collatéraux ou qu’ils finissent à l’abattoir c’est le choix de l’éleveur de vendre à un moment précis ses animaux, choisis pour ce qu’ils sont élevés, leur finition, leur qualité bouchère, inutile de justifier autre chose comme un supposé revenu avec la laine, c’est grotesque, ça fait des lustres que la laine ne paie pas le tondeur seulement, à part une légère amélioration depuis 2 ans…opération nulle, ça ne paie pas encore le travail de l’éleveur et sa préparation.
        En apparté j’ai appris tout récemment parce que mon groupement de producteurs exploite cette filière, que les agx de laitiers bio étaient sevrés à 1 semaine pour partir en atelier d’engraissement (passage au lait artificiel obligé). Pas très éthique ceci…

        Les conduites d’élevage diffèrent entre lait et viande. On ne promène pas les laitières sur du parcours en période de traite, ni les mères d’agx en période d’élevage, elles sont « cantonnées » sur des parcelles cultivées ou des prairies naturelles (au printemps) proches de la bergerie.
        La race Lacaune peu couverte est sensible et la mamelle d’autant + aux écarts de T°; les bâtiments sont d’ailleurs isolés avec système de ventilation étudié pour éviter les courants d’air et les coups de froid.
        Et évidemment en production elles sont complémentées avec des céréales et autres tourteaux, auquel cas ces « pisseuses de lait » ne seraient qu’un tas d’os, ce que semble écarter Bové et le berger/éleveur témoins à l’audience en profitant de l’occase pour parler du « soja argentin »! Minable.

        Sur l’élevage en « batterie » ils auraient dû dire in extenso que ce n’est pas viable avec le mouton! Les plus grosses troupes en France sont en plaine de Crau (2000 à 5000 brebis) avec des races rustiques, peu prolifiques, donc système extensif avec l’impérieux besoin de partir en estives l’été.
        Les autres cas en moindre effectifs sont les ateliers spécialisés en viande, races prolifiques, agx en bergerie et…les laitiers, ces élevages savent pertinemment qu’un effectif en excès va jouer sur l’état général du troupeau avec problèmes sanitaires en cascade à l’appui. Si c’est aussi vrai en matière de conduite d’élevage, ça l’est tout autant pour les parcs de nuit imposés en estive!

        L’influence méditerranéenne, la crue du siècle de la Sorgues dans le sud Aveyron en 2014? Exceptionnelle.
        Parce que les causses surtout le Larzac, le Méjean n’ont pas besoin de cette influence climatique pour être secos en été avec la roche à fleur, mise à part le cas des dolines. D’ailleurs ce n’est pas par hasard si ces endroits ont attiré l’Armée et pas seulement sur le Larzac!
        Pour enfoncer le clou, je rappelle que la transhumance se fait en majorité en camion (même en semi-remorque) et l’empreinte carbone, alors !?! 😆

        Ormis tout ceci bien sûr ils ont à eux deux apporté l’essentiel sur le préjudice qu’il soit moral ou physique, il est ingérable!
        Et sur l’histoire des kosovars, un détail que j’ignorais et qui explique bien des choses en matière « d’acceptation » de la bestiole!
        Finalement je retire ce que j’ai dit précipitamment, cette séance un peu théatrale a été riche d’enseignements, malgré le verbiage, les petits mensonges qui arrangent chacunes des parties, par exemple la femme à lunettes, celle que Lecomte épingle dans son documentaire promettant d’en reparler dans les épisodes suivants, spécialiste du loup nous fait croire qu’avant sa venue sur site, le Mercantour et les estives en général, les mecs vivaient comme au Moyen-Age! Pitoyable…

    1. des partipants qui partipent à déposer des commtaires ????

      Déjà à l’Apéro , Berthod (et ça rime !)

      1. @ roger retourne te coucher! 🙂
        Laurent parle de la petite case à cocher pour être averti du fil de discute et elle n’y est plus.
        Le plus regrettable c’est la disparition des commentaires dans les billets + anciens…

  10. Est-t-il normal qu’après avoir cliqué sur « Envoyer », il apparaisse sur l’écran le message reproduits ci-dessous et que je doive réinitialiser la page en deux ou trois clics pour voir apparaîrre mon message ?

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    Failed to query blacklist: domain – over-blog.fr. Query: SELECT * FROM `sk2_blacklist` WHERE (`value` =  » AND (`type` = ‘domain_black’ OR `type` = ‘domain_white’)) AND `score` > 30 ORDER BY `score` DESC
    SQL error: Can’t connect to local MySQL server through socket ‘/var/run/mysqld/mysqld.sock’ (2)
    Failed to query blacklist: regex_match – laurent.berthod.over-blog.fr/. Query: SELECT * FROM `sk2_blacklist` WHERE `id` IN(-1) AND `score` > 30 ORDER BY `score` DESC
    SQL error: Can’t connect to local MySQL server through socket ‘/var/run/mysqld/mysqld.sock’ (2)
    Failed to query blacklist: regex_content_match – Pour une fois que Roger ne dit pas une sottise ou ne fait pas une mauvaise blague !. Query: SELECT * FROM `sk2_blacklist` WHERE `id` IN(-1) AND `score` > 30 ORDER BY `score` DESC
    SQL error: Can’t connect to local MySQL server through socket ‘/var/run/mysqld/mysqld.sock’ (2)
    Failed to query blacklist: domain_grey – over-blog.fr. Query: SELECT * FROM `sk2_blacklist` WHERE (`value` =  » AND `type` = ‘domain_grey’) AND `score` > 80 ORDER BY `score` DESC
    SQL error: Can’t connect to local MySQL server through socket ‘/var/run/mysqld/mysqld.sock’ (2)
    Failed to insert blacklist entry: ip_white – 2.4.236.111.
    SQL error: Can’t connect to local MySQL server through socket ‘/var/run/mysqld/mysqld.sock’ (2)
    Failed to insert blacklist entry: domain_white – over-blog.fr.
    SQL error: Can’t connect to local MySQL server through socket ‘/var/run/mysqld/mysqld.sock’ (2)
    Error: cannot update comment entry ID: 187921 to status: approved.
    SQL error: Can’t connect to local MySQL server through socket ‘/var/run/mysqld/mysqld.sock’ (2)
    Failed inserting/updating sk2_kSpamTable record for comment ID:187921 (mode: overwrite).
    Query: INSERT INTO `wp_sk2_spams` SET `karma` = 2001,`karma_cmts` =  », `unlock_keys` =  », `remaining_attempts` = 5,`last_mod` = NOW(), `comment_ID` = 187921
    SQL error: Can’t connect to local MySQL server through socket ‘/var/run/mysqld/mysqld.sock’ (2)
    Sorry, but your comment has been flagged by the spam filter running on this blog: this might be an error, in which case all apologies. Your comment will be presented to the blog admin who will be able to restore it immediately.
    You may want to contact the blog admin via e-mail to notify him.

    1. Le problème semble provisoirement réglé. Dites nous si vous le rencontrez de nouveau.

  11. Ok le charabia n’apparait plus, à la place on a « Votre commentaire est en attente de validation. »
    Et pour la disparition des commentaires aux billets antécédents à mi-mai?

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