Viticulteur bio de Bourgogne : la grande manip’

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La couverture médiatique du procès du viticulteur bio de Côte d’Or prouve encore une fois que les journalistes ont été complétement manipulés, notamment par « L’’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle » (siège à Bruxelles).  La pétition en faveur du viticulteur, lancée par cette association a rencontré un certain succès à tel point que son site est inaccessible.

Quelques infos complémentaires : L’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle »  est connue pour faire la promotion de la médecine naturelle… et pour être un grand pourfendeur de la médecine moderne, à coup notamment de vidéos archi-anxiogènes. Pas étonnant avec ça que la position de l’administration mais surtout des professionnels du secteur ait du mal à passer le barrage médiatique.

48 commentaires sur “Viticulteur bio de Bourgogne : la grande manip’

  1. Les « infos » de ce matin sur France Inter étaient choquantes d’ignorance et de partialité.

    J’ai aussi « aimé » le gugusse de la Conf’ qui a « expliqué » que les agriculteurs (bio) voulaient plus de liberté.

    Il faudrait qu’une autorité leur demande très officiellement s’ils considèrent que les viticulteurs doivent être assujettis au risque de voir leur vigne détruite par la flavescence dorée.

    1. En conventionnel, si on devait être aussi « limité » que la bande d’abrutis, obnubilés par les risques de contaminations diverses et variées, les vignes de ce type seraient déjà arrachées! :mrgreen:

  2. Je n’ai écouté que RTL hier matin aux environs de 7h15, puis vers 8h15 et encore après le journal de 13
    heures lorsque les auditeurs appelaient.
    tout ce remue ménage c’est surtout un prétexte pour taper sur les « méchants pesticides ». Le matin à 7h15 le témoignage de ce médecin de famille incriminant les PPP dans « de nombreux cas de mortalité ou de maladies », soutenant que la « dose létale de beaucoup de produits n’était pas connue » était consternant de nullité, mais bon le citoyen lambda comme d’habitude va croire toutes ces âneries. Malheureusement en début d’après midi le témoignage de Laurent n’a corrigé le tir qu’à moitié, car pour cet auditeur apparemment informé car travaillant dans le domaine de l’effets des « pesticides » sur la santé, les PPP sont la cause de certaines pathologies propres aux agriculteurs qui y sont exposés. de quoi s’agit il? du lien entre les OC et la MP? il y a belle lurette que l’on n’utilise plus d’OC en métropole! Les viticulteurs: il n’y en avait pas un pour relever le niveau car de tous ceux qui sont passés à l’antenne aucun n’a jamais raconté un ânerie si petite soit elle! devant l’étonnement du journaliste de RTL: « mais comment les vignes bio reçoivent elles des pesticides? » Mais oui mon bon Monsieur, sans les indispensables cuivre et soufre pour lutter contre le mildiou et l’oïdium comment nos chers bio s’en sortiraient ils??? or le cuivre et le soufre sont bien des pesticides non??? Il ne faut tout simplement pas confondre culture biologique et lutte biologique.

  3. Philippe Meyer sur France Culture a aussi donné dans l’ignorance avec pour point d’attaque : l’administration tatillonne et inquisitrice !

    1. oui j’ai entendu, un brin consterné. Mais il faut croire que le monde de la vigne embrume quelque peu notre chroniqueur matutinal. Il avait couvert d’éloges, la BD, « les Ignorants », relatant les expériences croisées d’un dessinateur de BD (E.Davodeau) et d’un viticulteur (en biodynamie). cette BD était certes intéressante, mais bourrées également de clichés.
      Un ami viticulteur a eu du mal à finir de la lire, tellement c’était caricatural.

  4. les romains il y a 2000 ans ont plantés de la vigne et la flavecsence doree a tout ravagé a l epoque mdr!

  5. @ loup garou donc apres 1949 ca a été la disparition du vignoble armagnac dans le gers
    dur dur

  6. @ loup garou donc apres 1949 ca a été la disparition du vignoble armagnac dans le gers
    dur dur

  7. apres la mort du vignoble ils ont replanté en quelle annee? par la suite ils on fait des traitements efficaces?

  8. Je constate de tout cela trois points particulièrement curieux (je suis docteur en sciences environnementales, pour certains nouveaux sur le site) :
    – La majorité des français croient que les fabricants de pesticides conçoivent un produit, le vende et après seulement font des tests de toxicité, de santé… Si l’Etat leur en fait le demande… Il serait temps de réellement combattre cette ignorance majeure !!!
    – Les agriculteurs bio et leur supporters demandent sans arrêts des contrôles, des normes, des contraintes, des lois pour « éradiquer » l’agriculture conventionnelle.
    – Mais en même temps, ils trouvent que les administrations sont trop « tatillonnes » et trop lourdes pour leur autoriser des produits illégaux dans leurs domaines !!!

    Tout cela relève de la schizophrénie la plus totale… et d’une ignorance immense des sciences biologiques et environnementales, des procédures d’homologations des phytosanitaires et des réelles pratiques agricoles !!!

    Combien de fois j’ai vu des gens surpris de voir un gps et un ordinateur de bords dans un tracteur… car ils pensaient encore que l’agri est un paysan moyenâgeux qui ne sait pas ce que sont les technologies et qui fait les mêmes pratiques agricoles depuis des générations… Et leur surprise encore plus grande quand on leur explique à quoi servent ces instruments (dosage précis des intrants , des phyto, au m² près !!!). Tout cela pour réduire et optimiser au maximum les intrants !!!
    Et oui, la majorité des vrais agriculteurs sont plus intelligents et plus technologiques que la moyenne des bobo-écolos !!!

    1. Quand on voit dans la production laitière comment ça marche !
      Ils connaissent ce que chaque vache mange , ce que chaque vache a produit comme lait (qty , qualité ) tout ça chaque jour.
      Sans parler des dispositifs électroniques qui sont déposés ds l’animal pour contrôler sa température et surveiller la gestation.

      1. Il faut savoir calculer les rations alimentaires journalières pour chaque animal, en fonction de son état physiologique, de temps depuis le vélage, de la qualité du lait à obtenir…
        Oui c’est très complexe et c’est un gros gros travail… Que malheureusement beaucoup de gens ignorent totalement !!!
        Je pense que de notre coté, nous pouvons faire ce travail de pédagogie, pour faire changer les mentalités des « urbains » sur l’agriculture et les agriculteurs.
        Je trouve que le mot « paysans » (utilisé par les écolos et les médias) est très péjoratif et dévalorisant, surtout en regard de la complexité et de la charge de travail que représente la conduite d’une exploitation agricole !

    2. @daniel

      Combien de fois j’ai vu des gens surpris de voir un gps et un ordinateur de bords dans un tracteur… car ils pensaient encore que l’agri est un paysan moyenâgeux qui ne sait pas ce que sont les technologies et qui fait les mêmes pratiques agricoles depuis des générations… Et leur surprise encore plus grande quand on leur explique à quoi servent ces instruments (dosage précis des intrants , des phyto, au m² près !!!). Tout cela pour réduire et optimiser au maximum les intrants !!!
      Et oui, la majorité des vrais agriculteurs sont plus intelligents et plus technologiques que la moyenne des bobo-écolos !!!

      >>> et d’où vont-ils tomber les bobo-escrolos quand dans un proche avenir ils verront des drones ?…

      1. Les écolos bobos ne sont que des [modéré] incultes.

        Bon, voilà, ça apparait sous le pseudo « Ecolo de droite », mais c’est moi, Laurent Berthod, qui ai posté. Juste pour mettre en lumière l’insécurité fondamentale de ce site. Sans compter son ergonomie de plus en plus merdique.

  9. rapport inserm juin 2013
    ce rapport n est point en faveur de l utilisation des produits phytos
    svp docteur?
    franchement croyez vous que le delai de rentree dans la parcelle est respecté pour la production fruitiere?

  10. Ces chercheurs de l’Insem du rapport inserm juin 2013 doivent être ceux qui ont conseillé Nelly Ollin en 2005 pour réduire la lutte contre les moustiques à la Réunion et produire une épidémie catastrophique.

    On rappellera qu’au 24 mars 2006, un total cumulé de 218 000 cas estimés de chikungunya avait été enregistré depuis le début de l’épidémie. 10% des personnes infectées développeront une forme chronique de la maladie, avec rechutes d’épisodes douloureux soit plus de 20 000 et plus de 200 morts « officiels ».

    Pour venir à bout de l’épidémie, il a fallu employer les grands moyens comme actuellement aux Antilles, en Nouvelle Calédonie, en Guyane, à Tahiti et en France si l’hiver très doux nous prépare un été piquant.

    http://www.invs.sante.fr/presse/2006/le_point_sur/lav_chikungunya_140206/

    Quels sont les produits utilisés pour la lutte antivectorielle et comment sont-ils utilisés lors de l’épidémie de chikungunya à la Réunion ?

    Deux types d’insecticides sont utilisés pour la lutte anti-vectorielle :
    – pour la lutte larvicide, un insecticide de type organophosphoré (matière active téméphos), bientôt remplacé par le Bacillus thuringiensis israeliensis ;
    – pour la lutte adulticide ;
    • dans un premier temps, un insecticide de type organophosphoré (matière active fénitrothion) ;
    • le fénitrothion est désormais remplacé à la Réunion par un insecticide à base de pyréthrinoïdes (principalement la deltaméthrine).

    Pour la lutte larvicide, la préparation à base de téméphos est pulvérisée directement vers les gîtes larvaires (eaux stagnantes).
    Pour la lutte adulticide, les préparations à base de deltaméthrine et de fénitrothion sont pulvérisées dans tous les endroits où les moustiques adultes sont susceptibles d’être présents selon 3 modes :
    • à l’aide d’atomiseurs ;
    • à l’aide de pulvérisateurs à dos ;
    • à l’aide de pulvérisateurs montés sur des véhicules 4×4.

    Ces pesticides sont-ils dangereux pour l’homme ?

    Lors des applications de ces produits, à défaut de précaution particulière, les populations peuvent être exposées par :
    – inhalation et contact cutané lors des pulvérisations ;
    – par contact de la peau avec un objet traité ;
    – ingestion lors de la consommation de fruits et légumes produits dans la zone traitée ;
    – pour les enfants, ingestion de sol ou lors de mise à la bouche d’objets ayant été traités.

    Les différentes observations faites lors de campagnes de désinsectisation utilisant de la deltaméthrine ou du fénitrothion dans différents pays n’ont mis en évidence qu’un nombre extrêmement limité de manifestations cliniques de faible intensité dans la population. Les rares troubles objectifs ont été essentiellement observés chez les personnes chargées de leur application. Celles-ci doivent porter un équipement adapté et respecter les consignes de sécurité pour éviter ces problèmes.
    Lors d’une exposition à la deltaméthrine, des symptômes bénins tels que irritation et rougeur cutanées, conjonctivite, toux, irritation de la gorge peuvent survenir.
    Lors d’une exposition au téméphos ou au fénitrothion, les effets susceptibles d’apparaître sont les suivants : maux de tête, sensations vertigineuses, fatigue, troubles digestifs

  11. Autre cas d’information à la louche en étant gentil http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/02/27/97001-20140227FILWWW00427-baisse-de-la-qualite-du-sperme-des-inegalites.php:
    Joëlle Le Moal, médecin? épidémiologiste???, chercheuse à vie mais certainement pas trouveuse, ni découvreuse, qui incrimine sans argument convenable les pesticides alors que la région la plus en forme sur le plan de la qualité des spermatozoïdes, la Bretagne, est celle où l’eau est la plus chargée en trace de pesticides et en nitrates. Ce qui ne choque pas notre médecin? épidémiologiste???,
    « L’étude régionale confirme que le déclin de la qualité du sperme « n’épargne pratiquement aucune région », dit à le Dr Le Moal. L’Aquitaine et Midi-Pyrénées, les plus touchées, ne font pas partie de celles où la consommation de tabac et d’alcool sont les plus élevées. Elles n’ont pas non plus de fort taux d’excès de poids qui pourraient être mis en cause. En revanche, ce sont des régions fortement agricoles, ajoute l’épidémiologiste: Aquitaine (viticole), Midi-Pyrénées (viticole et arbres fruitiers). » http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20140228.OBS8060/la-mauvaise-qualite-du-sperme-due-aux-pesticides.html
    Il vaudrait mieux faire le lien avec la consommation de cannabis, le mode de contraception , e vote Radical de Gauche, la présence de centrale nucléaires, on pourrait étudier la proximité de ces centrales et la chute de mobilité des spermatozoïdes ou inverse à la pratique religieuse, l’ouest étant toujours pratiquant . La corrélation serait certainement tout aussi efficace, certainement plus.
    On peut supposer que Joëlle Le Moal pratique la fumette à l’herbe de temps à autre et était sous son influence lors de ces déclarations minables.
    Notre médecin épidémiologiste ne sait pas en effet que les régions pays de loire et PACA sont parmi les premières pour l’arboriculture et que Languedoc Roussillon est la première pour les surfaces en vigne, traitée comme il se doit en France et dans le monde. Le taux d’utilisation des pesticides en Midi Pyrénées est en moyenne parmi les plus bas de France hors arboriculture, que l’on trouve loin des lieux de vie des populations.
    Pour les régions concernées et la relation avec les pesticides dans les eaux :
    http://www.letelegramme.fr/qualite-du-sperme-elle-augmente-chez-les-bretons-27-02-2014-10055814.php
    Ne pas chercher de relation avec la surface en Maïs non plus, la Bretagne, l’Alsace et Pays de la Loire sont parmi les premières en France à cultiver du maïs en proportion de leur surface agricole.

    1. Avec un nom comme ça (le Moal), elle ne peut pas cacher ses origines donc elle protège sa région d’origine.;)
      Pour mémoire, la Haute Garonne a été élue comme le département le plus écolo récemment…

    2. Les conclusions de cette études ont eu les honneurs d’un sujet présenté aux « infos » 🙁 du journal de 8 h sur Fance-Inter ce matin…

    3. Ce que ne sait pas Mr Alzine c’est que les bretons ont des filtres a nanoparticules dans les couilles ce qui annule complétement ses allégations !
      En effet ce qu’ignore monsieur Alzine c’est que la consommation de kouign aman ainsi de galettes de sarrazin (avec datura ) oeufs fromage bacon (don’t forget le chouchen ) offre une protection que ne possède pas les autres régions.De plus la très forte radioactivité du granite breton consolide la membrane testiculaire.

      Voir l’étude de A.Stivell/D.A.Braz . UMR2956 .Aout 1958.

    4. En Bretagne :le seul risque que je connaisse de l’agriculture en générale et du maïs en particulier est la présence de boue sur les départementales lors du ramassage du maïs en raison de la circulation des engins agricoles !
      Aussi , la moiss-bat en sortie de virage ,ça surprend !

  12. On peut compléter avec une bonne étude en Suisse, bien plus sérieux qu’enFrance.http://romande.labmed.ch/fileadmin/redaktion/zz_testbild/Romandie/pdf/Kursunterlagen/2010_5_spermatogenese.pdf

    Qui rappelle ce que sont les perturbateurs endocriniens sachant que les Produits industriels sont les moins actifs de la liste.

    Stéroïdes
    • Estrogènes (aliments)
    • Androgènes (aliments)

    Produits pharmaceutiques et vétérinaires
    • Diéthylstilbestrol (DES)
    • Ethinyl oestradiol (pillule contraceptive)
    • Androgènes (animaux)

    Produits végétaux
    • Mycotoxines produites par des champignons (Zearalenone…)
    • Isoflavone (soja…)
    • Coumestrol (haricots…)

    Produits industriels
    • DDT (aujourd’hui interdit)
    • Bisphénol A (boissons, aliments)
    • Phthalates (plastiques, aliments, produits cosmétiques, équipement médical)
    • Pesticides (eau, légumes, animaux)

    Ont été étudié et rien n’a été vu avec
    . phthalates
    • bisphénols
    • PCB
    • pesticides (DDE, …)
    • exposition à la fumée (nicotine, cotinine, …)

    Reste à voir
    • l’alimentation du volontaire
    • les expositions liées son activité
    • les habitudes alimentaires de la maman durant la période de gestation

    Mais aussi les autres perturbateurs endocriniens notamment Ethinyl oestradiol (pillule contraceptive) pendant la période de gestion surtout au début de la période de gestation, le tabagisme aussi de la mère.

    On notera que la France est championne du monde en matière de contraception via Ethinyl oestradiol et consomme 3 fois plus de médocs que ses voisins Allemands ou Hollandais, pire, les américains.

  13. Et on ajoutera cela pour Ethinyl oestradiol in the aquatic environment – Susan Jobling and Richard Owen

    « Many decades of research have shown that when released to the environment, a group ofhormones known as oestrogens, both synthetic and naturally occurring, can have seriousimpacts on wildlife. This includes the development of intersex characteristics in male fish, which
    diminishes fertility and fecundity. Although often sublethal, such impacts may be permanent and
    irreversible.
    This chapter describes the scientific evidence and regulatory debates concerning one of theseoestrogens, ethinyloestradiol (EE2), an active ingredient in the birth control pill. First developed
    in 1938, it is released to the aquatic environment via wastewater treatment plants. Although it isnow clear that wildlife species are exposed to and impacted by a cocktail of endocrine disrupting
    chemicals, there is also reasonable scientific certainty that EE2 playsa significant role, and atvanishingly low levels in the environment.
    In 2004 the Environment Agency of England and Wales accepted this, judging the evidence sufficient to warrant consideration of risk management. In 2012, nearly 75 years after itssynthesis, the European Commission proposed to regulate EE2 as a EU-wide ‘priority substance’
    under the Water Framework Directive (the primary legislation for protecting and conservingEuropean water bodies). This proposal was subsequently amended, delaying any decision on a
    regulatory ‘environmental quality standard’ until at least 2016.
    This is in part because control of EE2 will come at a significant price. Complying with proposedregulatory limits in the environment means removing very low (part per trillion) levels of EE2
    from wastewater effluents at considerable expense.
    Is this a price we are willing to pay? Or will the price of precautionary action be simply toohigh — a pill too bitter to swallow? To what extent is society, which has enjoyed decades of
    flexible fertility and will also ultimately pay for the control and management of its unintendedconsequences, involved in this decision? And what could this mean for the many thousands
    of other pharmaceuticals that ubiquitously infiltrate our environment and which could havesublethal effects on aquatic animals at similarly low levels? »

    Que fait l’EU de façon efficace et la commission sur ce sujet: RIEN!
    « This proposal was subsequently amended, delaying any decision on a
    regulatory ‘environmental quality standard’ until at least 2016 »
    Joëlle Le Moal est une imbécile qui génère des rideaux de fumée.
    L’eau du robinet est elle vraiment saine lorsque puisée dans les rivières en aval des villes?

  14. Je suis surpris que ne soit jamais évoqué la question des habitudes vestimentaires, logement, mode de vie. Tout le monde sait que les spermatozoïdes n’aiment pas la chaleur. Si la nature a fait des testicules séparés du corps , ce n’est pas pour les maintenir en permanence comprimé contre le corps à 37 ° c.
    J’ai vu passer il n’y a pas si longtemps une étude américaine qui établissait un lien chez les jeunes hommes entre le temps passé devant le télé et la qualité du sperme ( inversement proportionnel).

    1. « J’ai vu passer il n’y a pas si longtemps une étude américaine qui établissait un lien chez les jeunes hommes entre le temps passé devant le télé et la qualité du sperme ( inversement proportionnel). »

      Il est classique chez les « intellos » de dire que la télé, c’est « nul ». Ça abrutit… toussa toussa…

      Si, en plus elle, il s’avérait qu’elle ne soit même pas… « b*ndante » ! 😀

      [Bon, je sors ➡ ]

      1. 😳
        Si, en plus elle, il s’avérait —> Si, en plus, il s’avérait
        [Mes excuses pour ce gloubiboulga]

    2. Pour ce qui est de la présence des testicules « en dehors » de l’abdomen ce n’est pas une question de température .
      La raison est assez compliquée , la présence de ces organes dans l’abdomen serait un désavantage vis d’animaux pourvue d’organes génitaux externes.
      Malgré le risque évident d’avoir des objets aussi précieux à l’air libre!

      A propos de désavantage évolutif , voici une histoire :
      C’est un touriste (éleveur de brebis de profession ) qui questionne un éleveurs de chameaux sur les méthodes de castration .
      —Comment procédez-vous avec vos chameaux , ça doit pas simple avec de si grands animaux ?
      –eh bien , ci tri simple , ti te ramène discrètement dirrière le chameau quand il est debout et avec une une pierre dans chaque main … CLAC .. si fait !
      —Ouille ouille , dit le touriste en faisant une horrible grimace , wow ça doit faire mal !
      –Ti con ou quoi , ti fait gaffe à tes pouces , c’est tout !

      1. @ roger

        Pour ce qui est de la présence des testicules « en dehors » de l’abdomen ce n’est pas une question de température .
        La raison est assez compliquée ,

        http://fr.wikipedia.org/wiki/Testicule

        Les testicules de l’homme sont des organes pairs et symétriques situés à l’extérieur du pelvis dans le scrotum afin d’être à une température inférieure à celle de l’abdomen (2 °C en moins)………………………….

        Température des testicules.

        Bonjour
        Je sais que la température des testicules est inférieure à celle du corps, et je me demande si elles peuvent être introduites dans la bouche sans qu’il y ait de graves conséquences sur l’efficacité des spermatozoïdes. Je sais que c’est plutôt cru comme question. Merci de me répondre.
        L’EXPERT SEXO
        Corinne BERGER

        Bonjour
        La température des testicules est plus basse que la température corporelle. Une variation transitoire ne change pas le fonctionnement de la spermatogenèse. Vos pratiques sexuelles sont beaucoup moins pénalisantes qu’un jean serré, bien chaud.

        http://www.ipubli.inserm.fr/bitstream/handle/10608/222/?sequence=19
        (…..)

        Régulation thermique
        Chez les mammifères, une spermatogenèse normale nécessite une hypothermie
        physiologique : la température des testicules doit être plus basse que la
        température corporelle. Chez l’homme, une température testiculaire d’environ
        33-35 °C permet un fonctionnement optimal de la spermatogenèse. Cette
        hypothermie relative (euthermie testiculaire) est maintenue grâce au système
        vasculaire particulier qui permet, par des échanges thermiques à contre courant,
        un refroidissement du sang artériel arrivant au testicule et également
        grâce au système scrotal, qui par ces capacités d’adaptation, va permettre les
        échanges entre le scrotum et le milieu extérieur et ainsi refroidir le contenu
        scrotal. Par ailleurs, il faut noter que l’épididyme est également un organe
        thermosensible nécessitant un environnement thermique abaissé. Les conséquences
        d’une élévation de la température épididymo-testiculaire ont été
        étudiées chez l’animal et l’homme. Chez l’homme, une faible augmentation
        de la température (n’atteignant toutefois pas la température corporelle) a pour
        conséquence une altération quantitative de la spermatogenèse, diminution
        majeure de la quantité de spermatozoïdes produits avec à l’extrême une
        azoospermie, mais également une altération qualitative de la spermatogenèse
        (Mieusset et Bujan, 1995).
        Cette notion de thermodépendance de la fonction épididymo-testiculaire
        108 concernant
        (…..)

  15. @ zigomar pourriez vous cher monsieur nous dire la temperature moyenne de vos testicules une fois

  16. Dès qu’on parle de « couilles » ça dégénère. Je pense néanmoins que c’est une explication à considérer. L’utilisation de bain prolongé très chaud est une excellente méthode de contraception. Il est également indéniable que les conditions de vie de nos contemporains ont continuées à s’améliorer ces 20 dernières années avec pour conséquence des températures de maturation trop élevées. Nous passons de plus en plus de temps assis sur des sièges de bureau ( au travail) ou des fauteuils ( à la maison) toujours plus confortables, les testicules bien au chaud entre les cuisses. Qui peut prétendre que cela n’a pas, de conséquence !

    1. « L’utilisation de bain prolongé très chaud est une excellente méthode de contraception. »

      === Contraception, probablement mais à condition de répéter régulièrement l’opération parce que dans ce cas on doit fortement dégringoler la spermatogénèse! Il y a bien longtemps, l’exposition à la chaleur élevée pendant longtemps a été soupçonnée comme étant responsable de la faible fertilité observée dans certaines professions comme les forgerons, les ouvriers des hauts-fourneaux, etc….

  17. sincèrement le bain prolongé tres chaud es ce efficace comme contraceptif?? vous avez testé isoproturon?

    1. Oui j’ai vérifie, pas personnellement mais dans mon entourage proche.Ce qui m’a conduit à m’intéresser au sujet.Et je constate que personne sur ce site n’est capable d’envisager sérieusement cette hypothèse pour expliquer la baisse de fertilité masculine.

  18. Le bain chaud comme moyen contraceptif efficace ?

    Pas plus que ne pourrait l’être la prévention anticancéreuse par les bains de siège à l’eau froide, méthode prônée, jadis ou naguère, par Mme Rika Zaraï, avec tout l’aplomb dont elle était coutumière ! 😯

    D’ailleurs, un sceptique s’était même permis de mettre fortement en doute sa méthode, au motif qu’elle n’avait pas précisé s’il fallait a posteriori… s’essuyer ou pas ! 😀

  19. @ isoproturon faut arreter de raconter des betises svp car vous serez responsable ici de grossesses non désirées MDR

    1. L’interprofession a rappelé que le Pyrévert est le seul produit efficace en bio. Trois traitements permettent de réduire de 99 % les populations de cicadelles. L’interprofession a testé plusieurs autres méthodes ou produits qui n’ont pas donné satisfaction.

      Read more at http://www.lavigne-mag.fr/actualites-viticulture-vin/languedoc-roussillon-les-bios-appellent-a-lutter-contre-la-flavescence-doree-86560.html#GjjhQlZX4zPmx0se.99

      === C’est quand même malheureux de constater encore une fois qu’en France, il n’y a que la preuve par l’absurde et le coup de pied dans le cul de dernière heure qui marchent……

    2. Mieux vaut tard que jamais…

      …Il faut juste attendre maintenant que la presse nationale s’empare de cette information… on attendra longtemps !

      J’espère que quelqu’un la communiquera au tribunal de Dijon.

  20. VICTOIRE – Refuser les pesticides n’est PLUS un crime !

    Les bonnes nouvelles en matière écologique sont suffisamment rares pour être saluées comme il se doit.

    Emmanuel Giboulot, viticulteur bio, qui s’était illustré en refusant de se soumettre à un arrêté préfectoral l’obligeant à épandre des pesticides pour lutter contre la flavescence dorée, a été relaxé par la cour d’appel de Dijon.

    Menacé, en première instance, d’une peine de 1000 euros d’amende (dont 500 euros avec sursis), Emmanuel Giboulot a interjeté appel en considérant que refuser de polluer ne pouvait faire l’objet d’une condamnation, même symbolique.

    Une nouvelle fois, un lanceur d’alerte a réussi à faire plier un État qui, par la voix d’un préfet, estime que les vieilles recettes du productivisme agricole seraient encore la seule et unique méthode à appliquer unilatéralement.

    Par son opposition déterminée, Emmanuel Giboulot a mis en lumière l’extrême incohérence d’un État. Alors qu’au niveau national, les nouvelles législations visent à une division par deux de l’utilisation des pesticides d’ici 2018 et interdissent l’usage des pesticides par les collectivités d’ici à la fin 2016 ; localement les viticulteurs seraient contraints de recourir à des produits toxiques.

    Alors que la France est encore dans le trio de tête des pays les plus utilisateurs de pesticides, il est grand temps de changer de modèle et de s’engager pleinement dans une transition agricole et alimentaire.

    De plus en plus de citoyennes et citoyens engagés réclament une alimentation de qualité et une agriculture biologique. Face à cette demande sociale grandissante, il est plus que temps que le gouvernement adopte des mesures fiscales et règlementaires fortes visant à amplifier et soutenir l’émergence d’une agriculture biologique locale, accessible à toutes et tous.

    Le combat d’Emmanuel Giboulot et de bien d’autres lanceurs d’alerte nous démontre chaque jour un peu plus que la mobilisation citoyenne alliant ténacité et créativité, conduit parfois à des succès.
    Au regard de l’énergie déployée pour obtenir ces victoires, ne boudons pas notre plaisir.

    Merci à toutes celles et ceux qui luttent pour une planète vivable 🙂

    1. Pauvre pomme, tu as lu l’arrêt ? Le tribunal a estimé que l’arrêté préfectoral aurait dû recevoir une approbation ministérielle et qu’il n’a pas pu en être apporté la preuve. Le Giboulot a été acquitté à cause d’une erreur de l’administration dans les formalités. Alors les cris de victoire de ce copier coller ne sont que de la propagande vulgaire et mensongère.

      Vivent les pesticides, à bas la connerie !

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