Alerte à l’intoxication au bio en Belgique

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Le bio, c’est sans risque, sauf quand vous vous retrouvez avec de l’ergot de seigle dans de l’épeautre que vous venez d’acheter au magasin du coin. L’agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire (Belgique) vient ainsi d’en demander le retrait d’un lot de marque Bio-Planet. Symptômes possibles : diarrhées, vomissements, spasmes, maux de tête et agitation.

 

 

89 commentaires sur “Alerte à l’intoxication au bio en Belgique

  1. Il serait intéressant d’avoir le rapport entre accidents alimentaire et nombres de consommateurs pour la filière bio comparé au même rapport pour la filière conventionnel.

  2. la crise de l’e-coli bio (consécutive du cahier des charges anti-chlore, et de rien d’autre car ce qui est arrivé est normal) a tué des zizaines de personnes, et mis à la dyalise ou a la graffe une centaines d’autres… qui vont mourir de complications prévisibles pour un grande partie…

    si vous connaissez une scandale sanitaire qui a tué 100 personnes ???

    la vache folle n’a pas fait ca…
    l’huile frelatée espagnole ? je crois pas…

    peut être qu’un scandale a fait plus de 100 morts, mais je me souvient plus…

    1. Oui , j’ai trouvé quelque chose comme ça :

      45 000 morts par an + 3000 bébés qui naissent avec des retards mentaux ou autres joyeusetés.

      La cause : Vins,Bières,pastis , Whisky ,vodka ,……….

      what else ?

      1. Il y a aussi l’étude de Bouchard de 2011 : 7 points de QI en moins pour les morpions dont les mômans ont le plus de pesticides dans le sang comparativement à celle qui en avaient moins.

        1. Auriez-vous l’obligeance de transformer vos éructations en vrais commentaires à l’intention d’une communauté de fidèles de ce blog avec plus qu’un vernis scientifique ? En clair, veuillez citer les sources.

          Dans ce cas précis, sauf erreur, c’est :

          http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3237357/

          Vous avez écrit :

          « Il y a aussi l’étude de Bouchard de 2011 : 7 points de QI en moins pour les morpions dont les mômans ont le plus de pesticides dans le sang comparativement à celle qui en avaient moins. »

          Incidemment, nul besoin de faire preuve d’arrogance et de condescendance, c’est-à-dire d’écrire « morpions » et « mômans ». Enfin, à moins de vouloir faire la preuve d’une remarquable indigence intellectuelle et morale.

          Quant au fond, Mme Bouchard – une spécialiste de la chasse aux associations entre pesticides et déficits cognitifs – a trouvé une telle association entre « pesticides » et déficit de QI, mais entre « organophosphorés » et déficit de QI.

          Cela change déjà pas mal de choses.

          Quant à l’étude elle-même, je n’ai pas l’intention de m’y plonger. Ces gens sont des militants pour qui tout fait ventre.

          Ils affirment : « Associations were linear, and we observed no threshold. » Sauf que la figure 1 ne montre aucune linéarité.

          Ils écrivent aussi : « This study has limitations ». Et quand on plonge dans les limitations, on doit bien se demander quelle est la valeur des conclusions.

          1. Son passage sur radio-canada était caricatural: enceinte, elle était interviewé pendant qu’elle faisait son épicerie.

    1. le risque zéro n’existe pas ,mais pour le risque mycotoxine il me semble forcément plus faible et plus gérable en conventionnel que sur le bio puisque l’on à des armes avec les fongicides (ex:fusariose blé) ou des insecticides(pyrale et sésamie sur maïs) que les bio ne peuvent pas utiliser.Si les tolérances variétal montent en puissance pour certain bioagresseurs elles ne sont toujours pas devenues des résistances aux bioagresseurs.

  3. @ CTX,

    Yann n’a ni raison, ni tort : aucune filière n’est à l’abri d’une contamination par des bactéries pathogènes, des mycotoxines, des graines de plante toxique ….

    Mais il faut bien avouer que le bio collectionne les handicaps :

    – Il refuse l’azote minéral et privilégie la matière organique, composée pour partie de féces animales, certes compostée mais le compostage est toujours approximatif en terme de montée en température, les parties extérieures conservent leurs pathogènes qui recontaminent le reste. En remuant, puis remuant …..mais brasser le compost est très cher et très long, donc jamais suffisant.

    – Il refuse les herbicides donc bonjour le datura, l’ambroisie, les morelles….

    – Il refuse les fongicides donc favorise les fusarioses du blé.

    – Il refuser les insecticides donc s’expose à des fusariotoxines sur maïs voire pire….

    Ici, l’ergot est détecté dans du bio, le conventionnel aurait aussi pu être concerné mais les graminées qui semblent expliquer pour partie le retour du champignon si l’on en juge par une série d’articles lus dans la revue perspectives agricoles d’ordinaire plus discrète sur le sujet, ne sont pas facilement maitrisables dans du blé bio, pas toujours dans le conventionnel aussi il est vrai, mais au moins les outils existent dans le conventionnel, ils s’appellent, entre autre, herbicides.

    Un rapport présenté au sénat sur les pesticides en 2010 mettait l’accent sur ce type de phénomène, il me semble, bien vu de la part de messieurs Gatignol et Étienne. Raisonnement très juste qui trouve un exemple dans ce cas, comme avec les alcaloïdes de datura dans le sarrasin bio cet automne.

    Si l’on veut manger bio, le risque est limité s’agissant de bio français, le cas de l’épautre contaminé me fera mentir , en revanche du bio ukrainien, égyptien, italien ( s’il est bien bio et bien italien), chinois, il faut être fou à lier , c’est pourtant l’essentiel du biocoop, du bio Auchan, du bio carrouf.
    A votre santé ! …en péril.

    On peut continuer les exemples en corsant le sujet …

    1. Bien entendu en se refusant ces techniques, ils s’exposent aux risques que vous évoquez. C’est pour ça qu’il y a de bonnes pratiques à respecter. Plus que dans le conv dans certains cas. Après, l’utilisation de ces techniques en conv ne les exemptent pas de problèmes. Le risque est-il doublé, décuplé ou juste de 5% supérieur sur ce point ; c’est une question centrale.

      Par conte je suis très intéressé par votre histoire sur le bio chinois et égyptien. Je connaissais les fraudes italiennes révélées, mais pas sur le fait que le bio carrouf et Cie était à majorité chinois et cie. Quel est le rapport importations/fabrication Fr-Be-CH dans le bio et le conventionnel ? Quand je fais mes courses en supermarché, le Made in France aux rayons fruits et légumes est quasi inexistant rayon bio ou non.

      1. @CTX

        L’histoire de l’importation dans le BIO, c’est que c’est bien leur cache-misère.
        Quand on prend la peine d’aller chercher de la lécithine de soja à 13000 km, pour avoir un tampon BIO ….. quel est le but ?
        Avoir un produit qui respecte le cahier des charges imposées par le BIO ?
        Avoir un produit « similaire », à un prix défiant toute concu, quitte à avoir une « garantie BIO » de complaisance ?
        Après ça, quand on est aussi bon que Findus dans sa traçabilité, est-on en droit de donner des leçons ?

    2. Alzine
      Vous dite
      « Yann n’a ni raison, ni tort : aucune filière n’est à l’abri d’une contamination par des bactéries pathogènes, des mycotoxines, des graines de plante toxique »
      ??????Je n’émet aucune idée mais pose une question.
      (Je pense bien connaitre la notion de risque).

      Pour être plus précis, dans la situation des filières actuelles et de leurs fonctionnements, quel alimentation (bio ou conv.) a le risque le plus fort au niveau sanitaire ???
      (et le risque zéro n’existe pas bien sur)

      98% des actes d’achats bio sont fait pour le coté « sécurité alimentaire » (étude de marché des systèmes U)
      Mr ¨PAPIN directeur des système U « Jamais nous ne communiquerons sur le coté sécurité alimentaire du bio, trop de risques Leclerc Carrefour font se qu’ils veulent, nous nous ne communiquons que sur les bien fait du l’agriculture bio sur l’environnement »

    3. « – Il refuse les herbicides donc bonjour le datura, l’ambroisie, les morelles….  »
      => sur ce point aussi on gagne en risque mycotoxines, une céréale mal nettoyée est plus difficile à conserver dans un stockage.
      Et quoi de plus difficile à nettoyer que des graines d’adventices presque identiques à la culture ?
      Sauf que les débris et graines d’adventices seront plus humides, plus visqueux, porteurs d’autres pathogènes ….
      Un casse-tête !

  4. Comme vous le constatez, les fruits et légumes français sont rares en grandes surfaces des gammes carrefour et Auchan, il semble que le pro bio et l’anti OGM en terme de com se double d’une stratégie d’achat anti production locale pour des questions de marge, ce que l’on met dans la com, on ne le met pas dans la qualité des produits et leur caractère local.

    En revanche Casino, Leclerc jouent davantage cette carte qualité et local, on voit la différence en goutant les produits.

    Pour en revenir sur la Chine, le cas le plus emblématique est celui des tourteaux de soja bio importés de Chine, garantis sans OGM mais bourrés de mélamine, mélamine retrouvée dans les oeufs que produisaient les poules. La charte bio était respectée sauf pour la mélamine systématiquement ajoutée en chine pour remonter le taux d’azote à l’analyse.

    http://sante.lefigaro.fr/actualite/2008/11/28/9332-soja-contamine-melamine-importe-france

    D’autres exemple sur le bio Ukrainien en Allemagne qui ajouté au graines germées, aussi bio, a fait plonger cette filière désormais moribonde dans ce pays. On y parle de local mais les consommateurs bio sont en chute libre. Il est vrai que 50 sont mortes, un petit millier sous dialyse à vie et 5000 ont été hospitalisées. Sachant que chacune, puisqu’il s’agissait essentiellement de femmes, avaient une dizaine de copines qui ont aussi pris peur, 60 000 clientes échaudées, c’est le début de la fin .

    Une telle affaire dans le secteur conventionnel tuait une filière. La vache folle a failli tuer l’élevage bovin, la grippe aviaire celui de poulets et pour combien de victimes? Visiblement le bio est un secteur de production robuste capable de traverser bien des crises.

    Prochain record à battre 1000 morts et 10 000 hospitalisés pour dépasser l’affaire des sprouts de fénugrec égyptiens . Des candidats pour participer à cette nouvelle aventure du bio étranger?
    Bio non produit en France car le notre est malgrè tout bien plus sécurisé.

    Mangez bio si cela vous chante, mais mangez bio français!

    1. Non je n’ai pas constaté moins de produits français à Carrefour qu’au Leclerc. C’est une impression personnelle. A-t-on des chiffres à ce sujet ? Votre première affirmation me semble erronée, ou du moins non étayée. Vous semblez écrire sous l’émotion. Je m’attendais à autre chose.

      Ma question portait sur l’import conventionnel/bio. retrouve-t-on plus de bio étranger que de conv français (ou belge ou suisse). Vous semblez plutôt vous porter sur un bashing contre productif, il serait bon de ne pas tomber de la pseudo-science. A ce titre j’ai lu le livre de GRW (celui sortit quelques jours avant le mise en ligne de ce site) ce fut très très décevant. Entre les citations d’uluberlus de 1850 et autres extraits de journaux sur 3/4 du bouquin, 2 chiffres d’une poignée de publications douteuses venant de chercheurs militants…. Sans compter les erreurs factuelles (dire que le quinoa est une céréale), je reste sur ma faim. Non mais ce n’est pas vote faute bien sûr mais je viens de le finir et j’ai l’impression que chaque secte accuse l’autre secte d’être sectaire. Alors quelle proportion de bio non FR/CH/B comparativement au conv. chiffre à mettre en lumière avec ceux de l’évolution des consommations.

      1. CTX il faut bien admettre qu’on trouve beaucoup de bio étranger en GMS, avec des tarifs très agressif, parfois proche du conventionnel locale. Ca soulève pas mal de question quand de l’ail bio argentin est vendu moins cher que l’ail espagnol ou français.

        1. L’Argentine bénéficie de conditions pédoclimatiques exceptionnelles, surtout en Patagonie, les salaires y sont de misère, la baisse du prix du kérosène entraîné par l’exploitation des gaz de schiste aux USA, peuvent expliquer cela ! :-()

          1. Je suis pas certains que le kéro en Patagonie profite vraiment du gaz de schiste, par contre leur monnaie faible leur permet d’exporter à très bas prix, et le transport en container doit peut être profiter d’échange asymétrique avec l’UE (l’Argentine n’a pas beaucoup d’industrie).

        2. @ Karg
          « CTX il faut bien admettre qu’on trouve beaucoup de bio étranger en GMS, avec des tarifs très agressif, parfois proche du conventionnel locale. Ca soulève pas mal de question quand de l’ail bio argentin est vendu moins cher que l’ail espagnol ou français. »

          Tout à fait d’accord avec vous. La dernière fois j’ai trouvé au simply uniquement de l’ail argentin (conventionnel). C’est assez navrant. J’ai trouvé quelques données sur le bio importé mais c’est très parcellaire comme info, surtout si l’on veut comparer au conventionnel. Je cherche encore et je posterai ça ici.

          @Laurent Berthod
          « L’Argentine bénéficie de conditions pédoclimatiques exceptionnelles, surtout en Patagonie, les salaires y sont de misère, la baisse du prix du kérosène entraîné par l’exploitation des gaz de schiste aux USA, peuvent expliquer cela ! 🙁 ) »
          Exact, mais l’Espagne se place pas mal niveau salaires aussi avec les marocains clandestins.

          1. « A ce titre j’ai lu le livre de GRW (celui sortit quelques jours avant le mise en ligne de ce site)
            ce fut très très décevant. »
            => En matière « d’erreur factuelle », vous vous posez bien là ! Où avez-vous vu que la création de alerte-env était corrélée à la sortie du bouquin GRW ?

            « Entre les citations d’uluberlus de 1850 »

            => Bin forcement, quand on révèle qui sont les fondateurs du mouvement « BIO-BIO » dans ce pays et dans le monde ….. Quand on est un sympathisant de la chapelle, c’est clair que ça doit être dur à admettre, de savoir que ce que l’on pense être un « bel élan humaniste moderne ». N’est en fait que la prolongation des idées d’extrême droite, de la part de pauvre types rétrogrades affolés par le progrès qui se dessinait devant leurs yeux.

            « et autres extraits de journaux sur 3/4 du bouquin, »

            => Ne serait-ce pas ce que l’on appelle une « enquête sourcée » ?
            Les écrits et les dire des pères de ce mouvements sont bien réels. Que cela vous gêne est une autre histoire !

            « 2 chiffres d’une poignée de publications douteuses venant de chercheurs militants…. »
            => Et un peu de « ad hominem » ? Non ?
            ça compléterait votre « solide » argumentaire bidon !

            « Sans compter les erreurs factuelles (dire que le quinoa est une céréale), »
            => Wouaaaaa !!!!! La faille énorme !
            Mais c’est hallucinant ! ça va au moins remettre en cause tout le bouquin ça !

             » je reste sur ma faim. Non mais ce n’est pas vote faute bien sûr mais je viens de le finir et j’ai l’impression que chaque secte accuse l’autre secte d’être sectaire. »
            => Les faits et les démonstrations factuelles ont toujours dérangé les charlatans !
            Pour résumer GRW : Les charlatans verts se sont fourré le doigt dans l’œil jusqu’au coude … faut-il accorder plus de crédit à la dernière génération ?
            Surement NON, puisque le discours n’a pas beaucoup changé en un siècle :
            « l’agriBIO peut nourrir la planète »
            (pas plus hier qu’aujourd’hui, encore moins demain !)
            « l’agriBIO c’est meilleur pour la santé »
            (sauf qu’on n’a jamais pu le démontrer)
            « L’agriBIO c’est bon pour l’environnement »
            (Tout est relatif ! Les vers de terre n’aiment pas la charrue BIO, tout autant que celle du conventionnel, pour les traitements phyto c’est pariel !)

          2. Vous l’avez lu ?

            Citer des articles de journaux n’est pas un travail sourcé fiable. Surtout quand il se borne à ne tirer que les aspects qui lui paraissent croustillants. C’est le cas, les conneries sont légions, mais de là à comparer le bio de nos jours et le bio de 1850. Moué. Kervan comme point d’orgue du bio. C’est surtout un bon moyen de rire. Cela n’a aucun intérêt. C’est comme dire, regardez des scientifiques croyaient à la génération spontanée. Donc les scientifiques ne sont vraiment pas fiables. Des illuminé il est existe un peu partout. Et chaque grand homme a raconter sa dose de connerie.

            Donc GRW qui se trompe sur le quinoa : pas grave. Un quéuqué bio qui raconte de la m*, oh alors là c’est la preuve.

            Toute la rhétorique du bouquin est sur du blabla. Pas sur une revue scientifique sérieuse.

          3. – Oui je l’ai lu !
            Et je le conseille à quiconque voudrait discuter du bien fondé de l’agri-BIO…. (J’en ai même offert plusieurs à Noël il y a deux ans)

            – « C’est comme dire, regardez des scientifiques croyaient à la génération spontanée. – See more at: http://www.alerte-environnement.fr/2013/07/16/alerte-a-intoxication-au-bio-en-belgique/#comments »

            => Parce que vous en connaissez beaucoup des « scientifiques » qui de nos jours que la génération spontanée c’est du dur ?

            Vous devriez relire mon dernier paragraphe. En fait le discours actuel des écolos politiques est quasiment le même que les Steiner, et Boucher-Lemaire, du début du siècle passé. Les arguments aussi n’ont que très peu changé.
            Tous ces gens ont eu tort face au déroulement de l’histoire. Pourquoi voudriez-vous que ces affirmations soient aujourd’hui devenues vraies pour notre futur actuel ?

            « Le temps est le pire ennemi des charlatans. » Belle pensée n’est il pas ? Pourtant trop rare sont les charlatans bannis des mémoires ! En fait combien passent à la postérité, parfois même tel Séralini en arguant qu’ils sont « victimes » de la vindicte populaire.
            « On ne m’a pas laissé ma chance. » « Je suis une victime. » …. Bin voyons ! Il est bien dommage que le temps et l’ignorance soient finalement des portes de sorties honorables pour ces crapules.
            Peut-être que désormais Internet, fera son oeuvre offrant les connaissances et la mémoire dont souffrent tant nos sociétés…..

            Internet en général :
            – Tu te souviens de la bonnasse des anges TV 5 ?
            – Chais pas !
            – Regarde sur Google image !
            – Ha, ouais ! Celle-là !

          4. Les bobos ont donc MMR comme Déesse, les beubeuh GRW. Chacun achète les livres de son Dieu, ou voit ses films. Une erreur n’est pas une erreur, c’est la divinité qui teste ses ouailles. Mais attention, c’est l’autre qui est dans le mauvais camps, qui n’a rien compris et qui est sectaire.

            Par contre vous ne nous avez pas dit ce que greepeace vous avait causé comme dommages personnels, je commence à croire que c’est imaginaire.

          5. « Citer des articles de journaux n’est pas un travail sourcé fiable. – See more at: http://www.alerte-environnement.fr/2013/07/16/alerte-a-intoxication-au-bio-en-belgique/#comments »

            => Vous êtes balaise vous !
            Vous avez mieux que le bouquin de Steiner lui-même, pour authentifier ses dires ?
            Quoi de mieux que les journaux d’époque, les bouquins signés par leurs auteurs …..
            Une Delorean lancée à 88 miles par heure ?

            « Les bobos ont donc MMR comme Déesse, les beubeuh GRW. – See more at: http://www.alerte-environnement.fr/2013/07/16/alerte-a-intoxication-au-bio-en-belgique/?replytocom=88268#respond »

            => Sur MMR on peut vous en trouver des centaines d’idioties qu’elle a pu dire ou écrire.
            Par contre de votre côté à part le « Quinoa classé céréale », vous avez quoi de concret ?

            Dire que je suis « sectaire » est assez facile … Mais ça ne cache pas plus votre incapacité à produire des arguments « réels » !

          6. Par contre vous ne nous avez pas dit ce que greepeace vous avait causé comme dommages personnels, je commence à croire que c’est imaginaire.

          7. @CTX

            Je vous la recolle puisque vous semblez avoir zappé ma réponse, à votre interrogation sur le grief que m’a causé GP.

            « Pour ce qui est de votre interrogation, sachez que JE suis ce qu’appelle GP « le ma incarné » : Agriculteur intensif, en monoculture de maïs, et je conteste ouvertement leurs mises en scènes guignolesques de « mon » agriculture. »

            http://www.alerte-environnement.fr/2013/07/13/riz-ogm-lideologie-ecolo-contre-la-vie/#comments-88148

          8. Si vous cherchez des failles et des argumentaires à « démonter », je ne saurais que trop vous conseiller de lire les bouquins de Jean de Kervasdoué :

            http://recherche.fnac.com/ia90298/Jean-de-Kervasdoue

            Pour moi le plus aboutit de ses bouquins reste :
            La peur est au-dessus de nos moyens.

            Mais vous devriez vraiment commencer par un livre plus pédagogue :
            Les prêcheurs de l’apocalypse – Pour en finir avec les délires écologiques et sanitaires
            Jean de Kervasdoué

          9. Merci je les connais. Pas top non plus même si plus fournis. Vous m’excuserez mais je n’ais pas très envie de reprendre tous les « détails » de ces bouquins. En général je les trouve de très mauvaise foi et assez mal faits. Avez-vous lu les « marchand de doutes » , « la fabrique des mensonges » ou encore le populisme climatique ?
            bon tout ça c’est pour s’amuser , je prèfre lire les revues directements. Je suis aussi un « fervent lecteur » de Ames, que vous devez connaître. Bien plus convainquant : http://www.larecherche.fr/savoirs/autre/neuf-idees-recues-passees-au-crible-science-01-10-1999-88219. Mais aussi je suis les travaux de Bernard Jegou et de son équipe, qui sont très intéréssants

          10. @CTX

            Alors vous ! Vous êtes un cas d’école !
            Vous me citez « Cellular basis of memory » par Bruce N AMES ??????
            http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/2271062

            C’est surement l’étude qui démontre le plus au monde combien l’idée que « le BIO c’est meilleur pour la santé » est une belle ânerie !
            Par contre n’allez pas parler de B. AMES dans une soirée « débat » de MMR ou Coline Serreau, vous risqueriez de finir sur un bûcher avant 22 h ….

            Chez GP Bruce Ames est considéré comme un vil lobbyiste, un type « bien trop controversé pour être pris au sérieux », m’a-t-on répondu une fois. (post signé Greenpeace France, me demandant d’aller voir ailleurs …)

            Les expé de Ames sont très intéressantes, et même extrêmement pertinentes, mais je en connait personne qui les a reproduites …. Ni sévèrement contestées non-plus.

            Par contre je ne comprends pas votre démarche initiale …. Vous semblez vouloir défendre Greenpeace contre vents et marées, puis vous critiquez les bouquins de Kervasdoué et GRW sur des détails et de la conception ….. Puis vous montez au pinacle Ames ??????

            Vous avez retenu quelque chose de concret de vos lectures ?
            (Vos réaction sur le bouquin de GRW me font croire que soit vous n’êtes pas arrivé au bout, soit vous êtes passé à côté du fond du sujet !)
            Ou c’est juste vos pulsions irrépressibles de contestataire qui vous poussent à « être contre tout » ?

          11. A non je suis arrivé au bout du bouquin de GRW ! Et je maintiens mes critiques. Comme je m’écharpe à le dire, je ne suis pas sectaire et je cherche à avoir tous les avis. Du moment qu’ils sont précis et diverses. Bon c’est vrai que Bruce tout puissant est un très bon dans son genre (c’est bien de cte publi à la quelle je pensais, un bijou) et il faut prendre en compte ces dires, même s’il faut les modérer sur certains points. Me borner à certaines lectures pour me conforter dans mon avis, il n’y a aucun intérêt. Je suis pour cela très déçu quand 95% des intervenants sur ce site aiment à étaler leur science très orienté et à cataloguer les gens dans des catégories. Les menteurs et charlatans d’un côté et les scientifiques pragmatiques de l’autre. Parlez du cuivre avec des agris bio ou des universitaires qui travaillent sur le sujet. Parlez avec des promoteurs du Demeter et ceux qui l’appliquent. J’en ai croisé qui n’en n’ont rien à f* de l’homéopathie ou des forces vitales machins, la vérité est ailleurs. Les sectaires ne sont pas toujours là où on les croit.
            je pense que l’on peut se poser des questions sur certaines pratiques agricoles ou sur le BPA par exemple tout en trouvant les principes de l’homéopathie comme étant complètements débiles. Pardon mais c’est ma pensée.

            Bref j’aime prendre les problématiques dans leur ensemble avec tous les avis et études. Après je me fais un avis, ou pas le plus souvent (!), mais j’aime à voir comment chacun a ses limites. Un moment on ne maitrise plus les données et on se range derrière une étude. ou non. Pourquoi ? Souvent c’est pour se conforter dans son idée. Regardez les tenants de l’héliocentrisme climatique sur ce blog, ils passent leur temps à s’auto-féliciter en sélectionnant leurs papiers, voir pire, des articles sur des blogs. D’autres sont des névrosés de la pilule.

            Du coup pour en revenir à GP, relisez bien mes propos je ne les défend pas contre vents et marées, et croyez moi j’aime bien parler de ce genres d’études lors des soirées débat de type GP/MMR etc. lol. Au contraire, les gens sont souvent très réceptifs et cela permet d’entamer des discutions très intéressantes. Les gens y sont plutôt ouverts. Certains m’ont même surpris avec leurs expériences d’homéopathie, c’est pour dire.

            Bonne soirée

          12. CTX croit que la science c’est comme un supermarché, on peut y remplir son caddy en choisissant dans les rayons. Mais la science ce n’est pas ça. La science ça commence par « comprendre ce que l’on lit ».

          13. Voila LCP, quand je parle d’idiots qui pensent savoir mieux que les autres. Alors que l’on ne l’avait même pas sonné.
            Voyez Mr BHL vos croyances sur le climat sont bien le reflet de mes dires. Un « ingénieur » agronome à la retraite a bien ses limites, ne faites-vous pas vos courses dans les rayons de la pseudo-science pour dénicher les idoles de votre sainte croyance anti »ecolo » ?
            tenez, un peu de lecture http://climatica.org.uk/beyond-the-science-facing-the-challenge-of-climate-change

          14. @CTX

            « et croyez moi j’aime bien parler de ce genres d’études lors des soirées débat de type GP/MMR etc. lol. Au contraire, les gens sont souvent très réceptifs et cela permet d’entamer des discutions très intéressantes. »

            => Franchement vous en avez croisé souvent de vrais « fans de MMR » ?
            Ceux-là s’en tamponnent de la science en général !
            Quand vous aurez vraiment fait face à un auditoire d’une centaine de braillards, on en reparlera !

            « Non mais ce n’est pas vote faute bien sûr mais je viens de le finir et j’ai l’impression que chaque secte accuse l’autre secte d’être sectaire. »

            => Encore la théorie du complot « anti-BIO » ?
            Je me fiche que vous ne vouliez rien acheter d’autre que des produits sous étiquette BIO !
            Si ça vous rassure c’est déjà ça !
            Par contre quand les gens du « mouvement » PRO-BIO lancent des accusations mensongères, « les résidus sur l’agriculture chimique vont vous tuer » (discours invariable depuis Steiner au 19° siècle) Là oui, j’ai des envies distribution de coups de pelle !

            Les « pôôôvres agri-BIO » sont persécutés ?
            Par qui, par quoi ?
            Combien de champs BIO ont volontairement été saccagés ? Combien de fermes expérimentales détruites ? Combien de semenciers BIO visités par des milices armées de bâtons ?

            La violence.
            La discrimination.
            Les mensonges.
            Les destructions.
            ne sont le fait que d’UNE et une SEULE catégorie dans ce pays !
            Le pire c’est que ces gens ne sont ni agriculteurs, et ont encore moins de bagage technique en biologie que le premier berger qui passe.
            Ce qui est grave c’est que cette persécution menée sans relâche depuis plus de 20 ans se passe avec la bénédiction des médiats, de tout le corps politique, et la clémence de bien des juges ….
            Alors ne venez pas me gonfler avec vos considérations philosophiques sur des prises de positions que vous jugez « excessives ».

            Lorsque vous serez contraint de vous justifier auprès moindre couillon qui promène son chien, pour vos actions PROFESSIONNELLES ….. Là oui vous serez en droit de me juger !

            Parce qu’on en est là de tout ce cirque médiatique. Lorsque je passe avec mon pulvé dans la rue certains ne peuvent s’empêcher de se mettre un foulard sur le nez !
            Oui le quidam moyen est terrorisé dès qu’on lui parle de produits Phytosanitaires (pesticide est le nom Anglais).
            Un jour dans un avion en discutant avec mon voisin de siège, apprenant que je suis agriculteur, me dit clairement que « je suis la pollution », lui était commercial aéronautique, je lui fait remarquer que ses avions ne volent pas avec de l’eau du robinet dans les réservoirs …. Mais peu importe j’étais un pollueur, pas lui.
            Voila la résultante des campagne médiatiques de la religion GP et toutes ses sous-chapelles !
            Même nos voisins Espagnols sont bien moins embrigadés que nous sur ce sujet.
            Mais curieusement bien que la sérénade du grand cirque batte son plein, les produits alimentaires BIO ne pèsent pas plus de 2,8 % des achats ….

          15. oui j’ai déjà parlé aux fans de MMR et même à MMR, il faut savoir dire le choses et ne pas tomber dans la caricature. Même les fans de MMR quand ils l’on rencontré lui trouve des défauts, en tout cas ceux que je connais. Les mêmes que j’ai ressenti. Elles a les mêmes défauts que Gérard Pascal par exemple. Les deux sont dans leur rôle. Ca fait de l’animation.

            En fait vous reliez bio avec faucheur. Si 100% des faucheurs mangent du bio (je pense) il n’y a pas 100% des bouffeurs de bio qui fauchent. A part en Australie, GP n’a pas dans ses « gènes » le fauchage.

            Pour vos diverses rencontres, vous trouverez quelque soit votre milieu de travail toujours des gens qui n’ont rien compris à votre boulot et crois pouvoir le faire mieux que vous. C’est humain et ce n’est pas à cause de GF ou GP. Il faut être pédagogue et avancé des faits précis dans ce genre de situation sur son action à soit.

          16. « En fait vous reliez bio avec faucheur. Si 100% des faucheurs mangent du bio (je pense) il n’y a pas 100% des bouffeurs de bio qui fauchent. »

            => Là, on est clairement d’accord. Les quelques agri-BIO que je connais ne cautionnent pas le fauchage. Et beaucoup sont de vrais agriculteurs. Ce qui explique forcement cela.

            Par contre ouvrez les yeux sur GP.
            c’est étonnant tous ces gens très « proches » de GP que l’on rencontre dans les réunions MMR ….
            C’est étonnant tous ces militants dévoués de GP pour distribuer le DVD de MMR devant l’assemblée nationale.
            Chaque action du collectif faucheur est salué comme une « victoire » sur le site de GP.

            Mais ne nous y trompons pas comme le dit MMR : « Je n’en veux pas aux agriculteurs » ….

            MMr n’est qu’une marionnette, tout juste bonne à mal recracher la chorégraphie apprise chez Bourguignon ou Rhabi. Mais les vrais marionnettistes sont chez GP.
            Eux seuls fixent le calendrier.

            Vous trouvez que beaucoup sur ce site sont trop extrémistes, mais aux dernières nouvelles aucun ne revendique avoir saccagé un champs BIO, ou dégommé un militant GP.

            Par contre moi aussi j’ai discuté en tête à tête avec MMR, j’aimerai bien avoir votre ressenti sur votre entrevue. Pourriez-vous en dire plus ?

          17. La différence entre Gérard Pascal et MMR c’est que le premier est un scientifique, un vrai, la seconde une journaliste, une fausse, en carton pâte, qui a maintes fois fait la preuve de sa mythomanie.

            Conclusion ?

            La parole du premier a une crédibilité nettement supérieure à celle de la mythomane.

            Mais CTX remplit son caddie de connaissances picorées dans les rayons de son supermarché de l’inculture scientifique.

        1. Il est intéressant de voir que si en P40 GRW site des études pour dire que le bio n’est pas plus à l’abri des mycotoxines (en sous entendant que le bio y est plus sensible), une revue plus profonde de la littérature montre que la majorité des études montrent que les produits bio contiennent moins de mycotoxines qu’en conventionnel (15 contre 4 pour les études avant 2010). La dernière étude espagnole sur les pâtes montre que les pâtes bio ont systématiquement une sorte de mycotox, mais qu’en moyenne le conventionnel présente 2 à 3 fois plus de mycotoxines. Étonnant non ?

      2. Secte, quelle secte, il est fait la promotion du bio français par de petits producteurs de zones difficiles qui vendent en direct. Il n’est pas évident que leurs produits soient plus sains, plus respectueux pour l’environnement si labour ou sulfate de cuivre dans les procès, en revanche sur le plan sociologique c’est excellent, microéconomique également avec le supplément de prix que sont prêts à payer les consommateurs.

        Une étude de la fédération de l’élevage assez positive pour le bio relayée, donc ce n’est pas une position partisane.

        Pour des statistiques fiables sur l’origine des produits dans la presse, il faudrait que les 2 groupes de GSM ne représentent pas un CA supérieur à 150 milliards d’€ avec un potentiel d’intimidation sur la presse via la publicité. Passé un certain niveau d’investissement en pub, de belles histoires deviennent des vérités dans la presse économique la plus sérieuse, plus d’enquêtes.

        Parmi ces belles histoires, le soutien à la filière bio, la promotion du non OGM, belles histoires non pas totalement inventées mais sur les motivations réelles, l’origine des produits bio et surtout la ventilation des volumes : 1produit bio français pour 99 venant d’Ukraine , d’Italie ou du Maroc.

        Sans l’affaire des graines germées contaminées personne n’aurait imaginé que des germes produits en Allemagne l’étaient avec des graines produites en Égypte et fertilisées avec les fosses sceptiques du Caire.

        Idem pour les œufs mélaminés produits avec du tourteau bio chinois.

        Donc pour avoir des statistiques précises sur les volumes et leurs origines, faut pas rêver, une histoire revue et corrigée par Disney : « il était une fois un gentil gérant de GSM rencontrant un pauvre producteur de légumes qui lui proposa…… », la photo grand format du pôvre producteur sur le stand au-dessus de l’alouette locale et autour les chevaux ukrainien ou italien avec l’origine mentionnée en tout petit, lorsqu’elle l’est.

        Cela ne se passe pas que chez Mac do mais aussi chez Auchan et Carrouf, et cela marche plutôt bien auprès des zozos qui y croient.

    2. Le vin bio , vous y pensez ?
      Il est souvent vanté pour son coté naturel (pas de sulfite ) donc bon pour la santé ………..il contient autant d’alcool éthylique que les autres , non ?
      C’est comme si on faisait la promo de balle de fusil en acier vis à de balle en plomb.
      Se suicider (lentement )sans risquer de faire une intox ……….génial non ?

      En France :
      50 Litres de vin par habitant par an
      30 Litres de Bière /H/An –
      6 L /H/an pour les spiritueux………….

      Et 8 fois sur 10 , les drogués à l’alcool sont fumeurs … 😉 Alzine

      1. Renseignez-vous. Les sulfites ne sont pas interdits pour les vins issus de l’agriculture biologique.

        D’ailleurs les sulfites ne sont pas un problème en soi pour la qualité des vins. Pour être bon, un vin doit être sulfité, sinon il ne se conserve pas, mais juste pas trop pour que le goût de souffre ne soit pas perceptible, et donc suffisamment bien vinifié pour qu’il se conserve convenablement avec de faibles doses de sulfites.

        Des vins blancs correctement vinifiés, sulfités mais sans goût de soufre, c’est plutôt difficile – mais pas impossible – à trouver dans le commerce. A la propriété ou à la coopérative ça se trouve plus facilement. J’en connais plusieurs à des prix plus que raisonnables et même, en bag, moins chers que dans la grande distribution. Je ne parle donc pas là de grands crus – excellents – à des prix exorbitants.

        1. Je sais pour les sulfites mais leur argument de pas en mettre (ou en dessous du tx légal ce qui permet de mettre l’étiquette pas de sulfites ..) est plus vendeur pour les clients « Bio-compatibles »
          Le soufre est connu pour donner des maux de tête chez certaine personnes ( et ce n’est pas seulement l’alcool ) .
          Les sulfites sont des allergènes connus.

          1. C’est pour cette raison que je ne touche plus aux « rosés de Provence », lorsqu’on m’en propose.

      2. J’ajoute que des vins issus de l’agriculture biologique au goût de sulfites prononcé, j’ai eu l’occasion d’en « goûter » un très récemment.

        Je préfère nettement le Grignan-les-Adhémar conventionnel de ma coopérative ou encore celui de la cave du propriétaire récoltant de Chantemerle-les Grignan où je me fournis aussi (assemblage avec 50 % de viognier ou, meilleur encore, un pur viognier). Des petits bijoux. Je donnerai les adresses à ceux qui me les demanderont.

        1. @Laurent Berthod votre dernier article sur votre blog m’a fait beaucoup rire. Confondre réchauffement global avec réchauffement de la zone intertropicale est quand même assez surprenant. Quand à comparer les températures de troposphère moyenne avec celles de surface, on se demande qui trogne le Grignan-les-Adhémar.

          1. Vous n’avez rien compris ou vous êtes d’une parfaite mauvaise foi. Je n’ai rien, ou plutôt le scientifique dont je résume l’article n’a rien confondu du tout. Il a comparé les prédictions des modèles giecistes avec les mesures constatées concernant les températures de la troposphère de la zone intertropicale. La comparaison des mesures effectives et des prédictions portent sur le même objet et les écarts sont tels que les mesures invalident les prédictions, donc les modèles sur lesquels s’appuie le Giec. Point barre. Vous êtes une nullité crasse, quant à ernst c’est le zéro absolu.

          2. Parlez lui de l’effet serre , je parie que son pacemaker ne va pas résister.

            Parler de l’effet de serre avec lui est comme parler de dieu à un athée .

          3. Quand vous avez quelqu’un qui se prend pour un « scientifique » et qui croit à « l’intelligent design » ça fait rigoler.

    1. Tss tss, votre article semble pointer un bel exemple de non respect des règles sanitaires et d’irresponsabilité.

    2. On sent une certaine « animosité » dans vos propos … Auriez-vous une rancœur contre quelque chose ou quelqu’un ?

      1. Je n’ai jamais eu de problème avec les indiens. Par contre vous ne nous avez toujours pas raconté quels ont été les actions de GP à votre encontre. Doit-on en déduire qu’elles n’ont pas existé ?

  5. Quel rapport avec les graines germées bio ou avec le présent article? Cette intoxication en Inde n’a rien à voir avec un problème agricole a priori: “It’s not a case of food poisoning. It’s a case of poison in food in a large quantity, going by the instant deaths,”

  6. Empoisonnement en Inde par un insecticide vraisemblablement du fait de l’utilisation d’un bidon mal rincé ( l’utilisation de tous les contenants de produits industriels est commune dans les pays pauvre, le risque généralement réduit par un bon nettoyage du bidon ayant contenu un produit dangereux)

    Il parait vraisemblable que cet empoisonnement soit lié à l’utilisation d’un bidon ayant contenu des insecticides organophophorés pour stocker ensuite de l’huile alimentaire. Il est vraisemblable que ce bidon n’a pas été rincé pour entrainer un effet létal sur autant d’enfants. On ne peut jamais exclure dans une telle situation, un fond d’insecticide dans le bidon dilué par l’huile.
    http://worldnews.nbcnews.com/_news/2013/07/18/19536559-insecticide-blamed-for-india-school-meal-deaths

    Cela revient à ingérer directement l’insecticide et renvoie aux cas de suicides des paysans pauvres dans un pays où le principal ennemi reste la misère et la faim.

    Cela n’a aussi rien à voir à priori avec le traitement du riz au champ, éventuellement pourrait à voir avec le traitement du riz pendant la conservation dans les locaux de l’école pour lutter contre les charançons et charmantes bêtes qui se développement dans les grains sous climat tropical.
    En effet dans ces pays très pauvres, le riz est acheté par sac entiers pour 3 à 6 mois voire l’année et ensuite utilisé au fur et à mesure.

    Lorsque le grain est attaqué par des insectes, des pratiques locales et mal calibrées peuvent aussi entrainer un usage massif d’un produit insecticide non adapté directement sur l’aliment stocké pour ne pas le voir se dégrader voire risquer un développement de moisissures.
    Nous sommes bien en Inde, pays où se nourrir tous les jours reste un objectif premier pour une bonne part de la population.

    Le bidon d’huile aurait contenu n’importe quel produit industriel ou un biocide présentant un niveau de toxicité comparable, le résultat aurait été le même.

    Si le bidon avait contenu l’herbicide glyphosate au lieu d’un insecticide organophosphoré les enfants seraient toujours en vie.

    Une question cependant, alors que la FAO veut imposer les insectes pour servir de source de protéines aux populations dont les populations européennes http://www.alterinfo.net/Les-insectes-sauveront-la-planete-de-la-faim-_a90375.html
    http://www.fao.org/docrep/018/i3264f/i3264f00.pdf

    Nous ne sommes alors pas loin de soleil vert et du steak de bœuf réservé aux seuls riches !

      1. De l’huile de neem, du pyrèthre naturel, ou de la roténone, … OUI ! Et pourtant c’est BIO !

          1. l’amiante est effectivement naturelle.

            ce qui est bien la preuve que la nature peut provoquer bien des morts …

    1. Pas tout à fait ! Moi, ces deux là, Laurel et Hardy, avaient de l’esprit, du talent de l’humour et de la fantaisie et me faisaient rire! Pas les deux branques ignares, incultes et hargneux qui se répandent ici avec le seul objectif de se donner l’air d’exister un petit peu…..

      1. D’ailleurs on peut se demander si les deux branques ne sont pas qu’un seul et m^me pitre qui met en scène des répliques écrites d’avance..

        1. Du Grignan-les-Adhémar j’en bois (et non pas « vois ») chaque jour au dîner. Tout le monde n’a pas cette chance.

          Zygomar est un des intervenants de ce site qui dit le moins de bêtises, pour ainsi dire aucune.

          1. Merci Berthod! Votre courtoisie est appréciée et je vous retourne bien volontiers et bien sincèrement le compliment!

        2. La vieillesse est un naufrage ……………….

          Je ne savais pas certaine maison de retraite avait un accès web.

            1. Non , on est encore aux pigeons (par temps de brouillard ) et aux messages lumineux .

              1. ça c’est malin !

                Et c’est des pigeons nourris avec du Mon810 ?
                Pour les messages lumineux , on brûle des pneus comme certain devant les laiteries !

      2. @zyzy et @Lolo

        Quand on se répand en insultes , c’est que la faiblesse des arguments est patente ainsi l’étroitesse d’esprit .
        Marie-Monique Robin a le même comportement que vous quand on met à jour ses contradictions.
        C’est genre de personnes qui adorent discuter avec des gens du même avis qu’eux-même mais qui redoute la dialectique , par infantilisme ou par inculture .
        C’est confortable intellectuellement mais ça rend idiot avec les années.

        1. Pour qui il se prend L.Berthod ?

          Quel compétence il a pour juger les autres ?
          Quel légitimité ?

          Mossieur , connait tout , à tout vu , à tout compris (comme free) , on dirait BHL .

          Berthod H Laurent ………… Bernard sort de se corps , vade retro satanas !!

          1. roger

            Pour qui il se prend L.Berthod ?

            Et roro le beauf, pour qui se prend – il?

  7. Les expé de Ames sont très intéressantes, et même extrêmement pertinentes, mais je en connait personne qui les a reproduites …. –

    ====>>>> Jamais entendu parler du « test d’Ames »? Décidément toute une éducation à refaire et quelques recherches bibliographiques à entreprendre d’urgence!

  8. Pour revenir sur l’ergot, il convient de lire aussi le dernier rapport du commissariat au développement durable.

    Une accroche dure et un peu axiogène ( les crédits du ministère baissant comme à la NASA aux US, on fait dans le sensationnel ) mais pour un rapport « propret  » . Jugez plutôt!

    http://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/fileadmin/documents/Produits_editoriaux/Publications/Chiffres_et_statistiques/2013/chiffres-stats436-contamination-cours-eau-2011-juin2013.pdf

    Je cite :

    « Les 15 substances pesticides les plus quantifiées dans les cours d’eau de France métropolitaine en 2011 sont en majorité des herbicides ou leurs dérivés. Deux sont des métabolites et trois sont des substances interdites d’utilisation : atrazine et métolachlore depuis 2003, le diuron depuis fin 2008. Le métolachlore a toutefois été remplacé par un produit très proche, le S-métolachlore, que les laboratoires d’analyse ne différencient pas systématiquement.
    L’AMPA, métabolite entre autres de l’herbicide glyphosate, est décelé dans plus de 60 % des analyses où il est recherché et occupe la première place de ce classement, juste devant sa molécule mère, présente sur le tiers de ses analyses. L’atrazine, à la septième place, prouve sa forte persistance dans le milieu et sa lente dégradation. La déséthyl atrazine, son principal métabolite, est autant quantifiée que le glyphosate. Le diuron, malgré son interdiction d’usage entrée en vigueur fin 2008, est toujours très quantifié dans les cours d’eau.
    Parmi les 10 pesticides autorisés de ce classement, on trouve des herbicides dont l’usage agricole est proche : le chlortoluron et l’isoproturon sont en effet principalement associés aux grandes cultures (blé tendre, orge d’hiver). Le métazachlore est quant à lui principalement utilisé sur le colza. D’autres ont des usages plus diversifiés comme le glyphosate, le propyzamide, la bentazone ou le 2,4D. L’usage du triclopyr est plus spécifique : plutôt utilisé pour le désherbage en forêt ou pour dévitaliser les souches et broussailles.
    Ce classement des pesticides les plus quantifiés est très stable ces dernières années. »

    « En métropole, seulement 4 % des points suivis dans les cours d’eau en 2011 font état d’un dépassement avéré de norme. La majorité de ces points n’excède les normes que pour un seul pesticide à la fois : 6 points seulement dépassent les seuils sur deux à trois pesticides. »

    « Les dépassements les plus importants en nombre sont relevés sur les herbicides 2,4 MCPA et l’isoproturon, plutôt dans la moitié nord du pays. Ces deux herbicides sont encore autorisés et employés notamment sur céréales (blé, orge) »

    Quel lien avec l’ergot?

    Le journal Perspectives Agricoles, mais pas seulement ,nous apprend que l’isoproturon fait partie des pilliers pour éviter les plantes qui servent de relais à l’ergot du seigle, l’utiliser semble réduire la contamination du blé, du seigle et de l’épautre comme ici, par l’ergot du seigle.

    A la réunion en 2004, le ministère de l’écologie de l’époque a voulu faire sans insecticide.

    Cela s’est terminé avec un mot imprononçable: Chikungunya, quelques 200 000 maladies et quelques centaines de morts …officiels.

    Ce n’est donc pas les termes du rapport du commissariat que l’on peut qualifier de « propret » ou correct, moins de l’approche com reprise par la presse trop anxiogène, car on peut aussi parler du benzène dans l’air de Paris si l’on veut semer la pagaille, la vraie, avec un épilogue à destination des parisiens:  » fuyez la capitale bande de bobos fous à lier, chaque bouffée d’air pas très pur de la capitale creuse votre tombe. »

    Il est en effet bien plus dangereux de respirer l’air de Paris que de boire l’eau à peine filtrée des pires sites en province, sauf en cas d’orage et de contamination bactérienne, mais bien naturelle cette pollution là, donc une bonne pollution même si elle tue bien plus que les pesticides en France.

  9. En termes de qualité, très peu d’épis cariés (on parle de 0,1%) peuvent suffire à dégager une odeur de poisson pourri (odeur due à la présence de triméthylamine) qui rend le grain impropre à la commercialisation. Les spores ne sont a priori pas toxiques, mais l’odeur se transmettant à la farine, il est clair que la meunerie refuse les lots. Côté alimentation animale, les lots malodorants sont refusés, outre des raisons sanitaires évidentes, par peur de baisse de l’appétence. Attention, l’absence d’odeur ne signifie pas l’absence de spores ; si la présence de carie est avérée, les lots sont refusés pour raisons sanitaires et pour limiter la propagation de la maladie.

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