La violence écologiste

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Crachats sur les journalistes, cagoules, interviews de dos…Samedi dernier, sur France 2, nous avions de beaux spécimens d’écolos.
Non violents, pacifiques, lanceurs d’alerte ? La sémantique écolo a volé en éclat devant la réalité…
Il faut le dire : ces écolos là terrorisent aussi les agriculteurs lorsqu’ils détruisent des champs !

http://www.france2.fr/jt/20h/
Voir JT de 20h samedi

21 commentaires sur “La violence écologiste

  1. Je pense que des groupuscules islamistes ont noyauté les ZADISTES .
    Regardez le nombre de ceux qui ont le visage sous un voile ( même les hommes !!! ce doit être des Salafistes féministes !)

    Zadiste … Zadiste .. ça sonne comme Djiadiste………. c’est une guerre sainte pour eux aussi.

    D’ailleurs il y avait le Pape : BOVE II

  2. Comment faire pour inculquer un minimum de déontologie aux « journalistes » ? On n’intevierwe pas, par principe, un gugusse encagoulé. Cela devrait pourtant être évident.

    1. @Wackes Seppi

      « Comment faire pour inculquer un minimum de déontologie aux « journalistes » ? On n’intevierwe pas, par principe, un gugusse encagoulé »

      === Il y a eu un précédent célèbre en Corse il y a quelques années. Le mot « déontologie » n’existe pas dans le vocabulaire de la majorité de nos journaleux! Sauf quand il s’agit de l’opposer aux autres….

  3. le petit journal du 20/11/2012 a « montré » la violence de certains groupuscules « écologiste ».
    les journalistes sont considérés comme des personnes à combattre, ils ont même l’obligation de porter un signe distinctif (foulard jaune).

    cela ne vous rappele rien?

    1. Des fascistes (au sens historique du terme, c’est des dire gens qui utilisent la violence réelle et symboliques dans l’espace publique pour imposer leurs idées).

      1. Une remarque – pour simplifier :

        Intelligentsia de gauche antifasciste/antinazie 🙂 mais pas antitotalitaire. 🙁

  4. Le 24 juillet 2010, 2 parcelles de tournesols appartenant à Michel Beauchesne, à Sorigny et Fabien Labrunie, à Saint Branch (37) étaient ravagées par des faucheurs volontaires.
    Un acte de vandalisme violent et incompréhensible.

    Après 2 ans d’attente 3 faucheurs sur une centaine vont comparaitre devant le TGI, place J Jaures à Tours.
    Ce sont des spécialistes des manifestations et des pétitions. Ils ont prévu de parader Place Jean Jaurès devant les médias.
    Ils cherchent à faire pression sur les juges pour ne pas être condamnés et à apparaître dans la société comme des victimes « lanceurs d’alerte ».

    N’inversons pas les rôles. Les victimes, ce sont les agriculteurs.
    Voir son travail détruit, son champ ravagé, sa récolte perdue, c’est un vrai traumatisme. Que dirait-on si des parents d’élèves venaient dans une école pour renverser les tables de classe de nos enfants et terroriser le professeur ? Ce serait inadmissible !

    Voilà à quoi ressemble ce que font les faucheurs volontaires. Ils détruisent et font la morale. Alors que ce sont eux les vandales.
    C’est pour cela que nous avons besoin de votre soutien pour le rappeler haut et fort.

    Fabien et Michel demandent un remboursement des préjudices qu’ils ont subi mais surtout une condamnation claire par la société. L’absence de condamnation donnerait le feu vert à ces activistes pour intervenir selon leur bon vouloir dans nos exploitations et continuer à jeter la suspicion sur notre métier et notre professionnalisme.

    Les Faucheurs volontaires voient des OGM partout. Quitte à dire qu’ils sont cachés.
    Il faut le rappeler : il n’y a aucun OGM en France. La loi est claire. Nous autres agriculteurs respectons parfaitement la réglementation.

    Nous avons besoin de votre présence le 26 novembre prochain au tribunal pour dire non à ces activistes et rappeler à la société que nous, nous respectons la loi.
    Nous vous donnons RDV à 12h devant le tribunal de TOURS.

    Faîtes passer le message !

    Agriculteurs victimes de fauchages en 2010
    http://marre-des-faucheurs.fr

    1. Tiens le tract complet de l’UDSEA37 ….

      Un peu plus d’éléments de fonds???
      La directive européenne 2001/18 relative à la dissémination volontaire
      d’organismes génétiquement modifiés dans l’environnement considère les plantes
      mutées comme des OGM mais l’exclut de son champ d’application. Or l’important est
      le résultat, non le processus. Peu importe, pour des raisons environnementales,
      sanitaires et éthiques, qu’une plante soit obtenue par transgenèse ou par des moyens
      « naturels ». La seule chose importante est qu’il s’agit d’un Clone. Pesticide. Breveté.
      Les Faucheurs, ainsi que certains scientifiques, entre autres Jean-Pierre Berlan,
      estiment que le terme d’OGM – forgé par Monsanto pour les premiers dépôts de
      brevets liés à la technique de la transgenèse – est obsolète et ne recouvre pas la
      réalité actuelle. Il est plus approprié et pertinent de parler de clones pesticides
      brevetés.
      Un clone parce que les lois et règlements exigent que les plantes semées
      soient « homogènes » (identiques ou presque) et « stables » (la même plante doit être
      vendue année après année). Un semencier fait donc des copies exactes d’un modèle
      de plante. C’est à dire d’une plante qui dénie de par son existence même toute la
      notion de variété donc de vie, de biodiversité de laquelle elle provient. Et qui est le
      résultat de deux siècles de standardisation et de normalisation du monde agricole
      selon les principes de l’industrie.

      Pesticide parce que soit ces plantes produisent une toxine insecticide, soit elles
      absorbent un herbicide sans mourir, parfois même les deux simultanément. Dans le
      premier cas, la toxine insecticide est produite par toutes les cellules de la plante. Dans
      le second cas, l’herbicide pour agir doit pénétrer dans la plante, et il y reste. Dans ces
      deux cas, le pesticide s’insère dans la chaîne alimentaire pour devenir un constituant
      de notre alimentation. La réponse à ce risque, résultant de cette technologie, est que
      « dans l’état actuel des connaissances scientifiques », on ne peut pas « scientifiquement »
      démontrer une toxicité éventuelle. Soyons cobayes.
      Enfin, breveté parce que l’enjeu est celui de la privatisation et de la
      marchandisation du vivant au profit de quelques multinationales et au détriment du
      bien commun et des peuples dans leur ensemble.
      La signification politique, économique et sociale, comme le type de projet de
      société qui se profile derrière ces plantes sont totalement indépendants de leur mise
      en oeuvre (transgenèse, cisgenèse, fusion cellulaire, mutagenèse etc.): peu importe le
      moyen de les obtenir, c’est le résultat qui est refusé. Lescitoyens ne veulent ni
      des unes, ni des autres ; ni dans les champs, ni dans les auges, ni dans les assiettes.
      Les risques identifiés liés aux plantes clones pesticides brevetées sont :
      • Question essentielle du brevetage et de la confiscation du vivant.
      • Irréversibilité de la pollution génétique induite par ces plantes pesticides
      brevetées.
      • Préjudices majeurs à la biodiversité tant animale que végétale.
      • Risques de dissémination.
      • Augmentation de la résistance des plantes sauvages aux herbicides utilisés

      • Hausse des ventes et de la consommation de pesticides agricoles liés aux
      OGM.
      • Problèmes de santé non évalués.
      • Manque d’expertises objectives sur le sujet et conflits d’intérêts majeurs, la
      plupart des études étant directement produites par les sociétés qui
      commercialisent ces produits.
      • Pillage des ressources génétiques mondiales et de l’environnement par
      quelques entreprises.
      • Incompatibilité avec le droit à la souveraineté alimentaire.
      • Incompatibilité avec le respect des droits sociaux et environnementaux des
      paysans et des peuples autochtones, notamment au Sud, qui sont extrêmement
      menacés par ce type de cultures.
      • Incompatibilité avec la préservation, la production, l’échange de semences
      paysannes.

      À tort, on appelle communément «OGM » uniquement les organismes
      génétiquement modifiés obtenus uniquement par transgénèse.
      La trangenèse
      Cette technique est celle qui a été utilisée pour la première génération de
      plantes génétiquement modifiées. Il s’agit d’introduire (ajout, suppression,
      remplacement, ou modification) un ou plusieurs gènes provenant de n’importe quel
      organisme donneur (voire d’un gène artificiel) dans un organisme vivant, ce qui
      modifie son patrimoine génétique et autorise le franchissement des barrières d’
      espèces.
      La mutagenèse
      Les mutations naturelles ont évidemment toujours existé mais la probabilité
      d’obtenir de manière naturelle un mutant pour une fonction ou un caractère biologique
      particulier est très faible. Pour augmenter cette probabilité, les organismes sont
      traités par un agent mutagène.
      Cela consiste à modifier le patrimoine génétique d’une plante par :
      • utilisation d’agents physiques ou chimiques (mutagenèse aléatoire)
      • exposition à des agents sélectifs (herbicide) (mutagenèse par sélection aux
      champs)
      • utilisation de petits segments d’ADN (mutagenèse dirigée).
      Les trois techniques de mutagenèse accélèrent significativement le temps au
      cours duquel les mutations sont sélectionnées par rapport à celles qui apparaissent
      spontanément dans la nature. En laboratoire, on s’affranchit des phénomènes de
      régulations des mutations « naturelles » par l’environnement dans lequel elles se
      déroulent.
      Ce qui constitue une différence fondamentale avec le phénomène d’apparition
      spontanée de plantes mutées que des paysans peuvent sélectionner.
      Les deux semences en cause dans ce procès, précisions techniques.
      Toutes deux sont obtenues par mutagenèse pour être tolérantes à un herbicide
      total post-levée (les agriculteurs traitent quand le tournesol a quelques feuilles).
      • Express Sun® de Pioneer
      obtenu par mutagenèse chimique et développé pour résister au tribénuronméthyl,
      matière active de l’herbicide Express SX développé par la société
      Dupont (dont Pioneer est une filiale).
      • Imeria CS Clearfield® de BASF, ici distribué par Caussade Semences
      Vanté pour sa bonne teneur en huile … et développé pour résister au Pulsar®40
      de BASF dont la molécule est l’imazamox (famille de l’imidazolinone), il aurait
      été obtenu par croisement avec des tournesols sauvages américains tolérant
      cette molécule après avoir été traités pendant 7 ans avec cet herbicide.

      Point sur la législation européenne et française:
      En Europe, la Directive 2001-18 réglemente les OGM (elle est ensuite transcrite
      dans la loi de chaque pays – en France dans la loi n°2008-595 du 25 juin 2008).
      Extraits de la directive 2001/18
      Article 2 – définitions : Un organisme génétiquement modifié (OGM) est « un
      organisme, à l’exception des êtres humains, dont le matériel génétique a été modifié
      d’une manière qui ne s’effectue pas naturellement par multiplication et/ou par
      recombinaison naturelle. »
      Annexe 1B : « Les techniques/méthodes de modification génétique produisant
      des organismes à exclure du champ d’application de la présente directive (…) sont :
      1. la mutagenèse ;
      2. la fusion cellulaire… »
      L’annexe 1 B est formelle : La mutagenèse est bien une technique de
      modification génétique qui donne des OGM. Mais, elle est exclue du champ
      d’application de la loi européenne. Les obligations d’évaluation, tracabilité,
      étiquetage, surveillance des OGM ne s’appliquent donc pas aux plantes
      mutées. Celles-ci suivent donc le circuit classique de réglementation (inscription au
      catalogue officiel).
      source :http://www.flickr.com/photos/silvyn/857903926/sizes/z/in/photostream/ cba par silvyn
      En France, la loi qui s ‘applique est la loi n° 2008-595 du 25 juin 2008 relative
      aux organismes génétiquement modifiés.
      L’article L531-2-1 précise qu’un « organisme génétiquement modifié :
      organisme dont le matériel génétique a été modifié autrement que par multiplication
      ou recombinaison naturelles »
      Il spécifie que « la liberté de consommer et de produire avec ou sans
      organismes génétiquement modifiés, sans que cela nuise à l’intégrité de
      l’environnement et à la spécificité des cultures traditionnelles et de qualité, est
      garantie dans le respect des principes de précaution, de prévention, d’information, de
      participation et de responsabilité inscrits dans la Charte de l’environnement de
      2004 ».

      1. Quand bien même ce que vous dites soit vrai, ça ne justifie pas de réduire à néant le labeur des autres! Adressez vos doléances aux semenciers et auprès de nos décideurs!
        Depuis quand on décide de faire justice soi-même dans ce pays!?!!!!

    2. Face aux lacrymos et avec les « RG » et le fichage généralisé (pas simplement des militants), heureusement qu’ils mettent des foulards. Ce qui est loin d’être la majorité des militants.

      1. Ah oui, fichage des militants; Quand cette canaille de Bove n’ est toujours pas en prison, quand Serralini n’ est toujours pas inculpe pour escroquerie scientifique et desinformation, ils ont moins a craindre que celui qui conduit sans permis

    1. Jancovici est la seule source argumenté et riche en calcul qui montre toute l’escroquerie des ENR remplaçant les énergies fossiles et nucléaires. Le traité de bouffon est crétin. Même si le changement climatique était bidon les ressources fossiles seront épuisés à moyen terme. Chercher des vrais solutions pour s’en passer est nécessaire.

  5. Coup de théatre au tribunal de Tours hier pour le jugement des 3 zonards faucheurs.
    Avec la même mise en scène, kermesse solidaire depuis 2 jours devant le tribunal et demande de juger 80 faucheurs présents au moment des faits, pour foutre le souk évidement à l’audience. Seulement cette fois le juge ne s’est pas laissé intimider en leur rappelant qu’au moment des faits et de leur arrestation aucun n’avait voulu décliner son identité et que ce n’était pas 2 ans après de le faire!
    Scandale, les prévenus ont quitté la salle, leur avocat démit et le procès a continué sans eux!
    A 3:50
    http://www.pluzz.fr/jt-19-20-centre-2012-11-26-18h59.html
    Même si les victimes n’auront sans doute pas réparation des dommages, ils peuvent féliciter ce juge d’avoir traiter leur affaire comme il se doit.

    1. Ils risquent 3 mois avec sursis: ce n’est pas ça qui les refroidira. En général, de la prison ferme, ça calme les ardeurs.

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