Nucléaire : le débat selon les écolos

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Samedi, Delphine Batho, a choisi les cinq personnalités qui animeront le débat sur la transition énergétique avec elle :  Anne Lauvergeon, l’ancienne patronne d’Areva, Bruno Rebelle, l’ex-porte-voix de Greenpeace, le climatologue Jean Jouzel, Laurence Tubiana, directrice de l’Institut du développement durable et des relations internationales et Pascal Colombani, président du  conseil d’administration de Valeo, ancien administrateur général du commissariat à l’énergie atomique (CEA). Pour les écolos, la nomination d’Anne Lauvergeon  ainsi que celle de Colonbani, sont « inacceptables ».

C’est certain que la démocratie avec des personnes qui ont le même avis sur la question,  c’est toujours plus simple !

15 commentaires sur “Nucléaire : le débat selon les écolos

  1. Les écologistes refusent le débat sur cette question pour une raison simple: tout les écologistes honnêtes qui prennent la peine d’étudier la réalité des chiffres deviennent pro nucléaire: Lovelock, Monbiot, Jancovici. C’est la grande crainte des écologistes, et évidement de leurs financiers, l’industrie du pétrole, du gaz et du charbon.

    1. Pour Jancovici, disons plutôt que ce sont ses convictions pronucléaires qui l’ont conduit à défendre les thèses du réchauffement climatique anthropique.

  2. Pour les écolos, la nomination d’Anne Lauvergeon ainsi que celle de Colonbani, sont « inacceptables ».

    === C’est vrai çà! Que connaissent-ils de l’industrie nucléaire ces deux-là? Batho, oui! C’est une vraie spécialiste de la question grâce à des études très poussées et une grosse expérience dans ce domaine!!

    WIKIPEDIA

    Delphine Batho est une femme politique française, née le 23 mars 1973 à Paris 12e.

    Leader syndicale étudiante, puis de SOS Racisme, spécialiste de la sécurité au Parti socialiste, elle succède à Ségolène Royal comme députée de la deuxième circonscription des Deux-Sèvres en 2007. Porte-parole de François Hollande, lors de la campagne présidentielle de 20122, elle est tout d’abord nommée ministre déléguée à la Justice dans le gouvernement Jean-Marc Ayrault, avant de devenir ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie le 21 juin 2012 dans le 2e gouvernement Ayrault composé après les élections législatives, où elle a été réélue députée dès le premier tour dans sa circonscription des Deux-Sèvres.

    Jeunesse militante à la FIDL et SOS Racisme

    Fille des photographes John Batho, ancien ouvrier relieur CGT [réf. souhaitée] dans une imprimerie des Deux-Sèvres, puis aux Archives nationales, et Claude Batho, qu’elle perd à 8 ans, Delphine Batho commence à militer au collège dans des opérations humanitaires et lors des manifestations lycéennes de 19864, politiquement influencée par des artistes comme Daniel Balavoine, Coluche et Pierre Desproges.

    En formation littéraire au lycée Henri-IV à Paris, sur les mêmes bancs que Mazarine Pingeot, elle adhère en 1988 à SOS Racisme et à la Fédération indépendante et démocratique lycéenne (FIDL), dont elle prend la présidence deux ans plus tard4. Elle se fait connaître lors du mouvement de 1990 pour les « droits lycéens » et des « moyens pour étudier ».[réf. nécessaire] Après près de deux mois de grève, le mouvement obtient de Lionel Jospin, ministre de l’Éducation nationale, 4,5 millions de francs 5 pour rénover les lycées et des avancées en matière de droits lycéens (création des conseils académiques de la vie lycéenne, droit de réunion et d’affichage…). Elle est alors repérée par Julien Dray.

    Le baccalauréat en poche en 1992, elle entame des études d’histoire à Jussieu qu’elle abandonne. Alors qu’elle vient de quitter la FIDL, elle devient vice-présidente de SOS Racisme en septembre 1992, représentante de la « deuxième génération de SOS », selon l’expression du Monde6, au côté du nouveau président Fodé Sylla, après le départ de Harlem Désir.

    Premiers pas au Parti socialiste

    Elle adhère au Parti socialiste en 1994 et devient membre du courant la Gauche socialiste avec Julien Dray, aux côtés de qui elle commence à travailler les thèmes de la sécurité4. Lors du congrès de Grenoble de 2000, elle entre au Bureau national. En 2003, lors de l’éclatement de la Gauche socialiste, elle reste fidèle à Julien Dray dont elle est alors l’employée au conseil régional d’Île-de-France, chargée des questions de sécurité…………………………….

      1. Laurent Berthod

        Bon, il est prudent de na pas se référer à Wikipedia, mais pour une fois on vous pardonnera…

        === Vous êtes trop bon!! Wikipedia vaut ce que çà vaut! Dans le cas présen, je pense que compte tenu de la personnalité concernée, si des erreurs ou des mensonges avaient existé dans la biographie, ils auraient été corrigés rapidement! Je pense donc raisonnable de considérer cette biographie de Batho comme représentant la réalité!
        Par ailleurs je partage votre avis sur ce qui paraît sur le Net … Il est toujours nécessaire de garder de grandes pincettes à portée de la main!.

  3. Les écolos viennent d’annoncer (Greenpeace) qu’ils ne siègeront pas à cette commission… Aucun Débat ne sera possible…
    Chouette nouvelle, on va enfin pouvoir avancer sur le question du nucléaire.
    Alors réacteur à Thorium ou super générateur ?

  4. Faut pas oublier que Jouzel, comme toute la clique des climatologues français est un sbire du CEA (il est même estampillé « ingénieur CEA »). On peut donc être sûr que la nucléocratie franchouillarde va faire un enterrement de première classe au gaz de schiste.
    Tu parles d’un débat !

    1. Un excellent article dans le dernier N° de la revue » Commentaire » sur la politique nucléaire du précédent gouvernement japonais après Fukushima ou « Comment annoncer qu’on ferme sans donner d’échéance ni de calendrier, de façon à préserver le savoir-faire nucléaire jusqu’à ce que les choses se tassent et que le Japon se rende compte qu’il peut difficilement se passer de cette source d’énergie ». Le précédent gouvernement était du bord politique opposé à l’actuel !

      1. « Le précédent gouvernement était du bord politique opposé à l’actuel ! »

        … qui, lui, issu des dernières élections, a tout récemment fait savoir qu’il poursuivrait l’usage du nucléaire.

        « Le nouveau ministre japonais de l’Industrie, Toshimitsu Motegi, a déclaré jeudi [27.12.2012] que le gouvernement allait relancer les réacteurs atomiques jugés sûrs et s’est prononcé pour une révision de l’objectif « zéro nucléaire » prévu par les précédents dirigeants nippons. »

      1. Vous aurez constaté que c’est, une fois de plus : « Le Monde.fr avec AFP ».

        J’ai aussi cherché « nucléaire » et « Belleville » dans la rubrique « actualités » de la toile : seul l’Immonde en a parlé…

        Un commentaire que je plagie avec plaisir :

        « Je signale que j’ai pissé dans mon jardin dans la nuit de samedi à dimanche, qu’un élément liquide a pénétré la terre et qu’un dégagement de vapeur légèrement odorante s’est élevé vers les cieux. Quel est le niveau de gravité sur une échelle de 1 à 7. »

      2. Et que dire quand les syndicats organisent une merguez party aux abords de la centrale !

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