Les anti OGM maintiennent la pression

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Les mouvements anti-OGM font pression sur le gouvernement pour obtenir un moratoire anti MON 810. Le site militant Inf’OGM estime que le texte du gouvernement tarde trop… Selon les activistes, cette attente laisserait le temps à quelques agriculteurs téméraires de faire des semis de maïs MON 810 acheté en Espagne…

Source : http://www.infogm.org/spip.php?article5063

22 commentaires sur “Les anti OGM maintiennent la pression

  1. « cette attente laisserait le temps à quelques agriculteurs téméraires de faire des semis de maïs MON 810 acheté en Espagne… »

    Tant mieux ! C’est pas Hollande qui se serait montré aussi négligent.

  2. QUIZZ!

    Plus anti OGM que les français, il y avait les……

    1- Finlandais?
    2- Danois?
    3- Hollandais?
    4- Espagnols?
    5- Portuguais?
    6- Grecs?

    Choisissez le bon pays, choisissez votre avenir!

    1. Vous avez oublié l’Argentine avant la crise de 2002… Très anti-OGM…
      Et qui a très vite changé son fusil d’épaule !!!

  3. @ bob,

    Au Canada ?

    Vous ne risquez rien , le gouvernement communique cela, avec les références scientifiques correspondantes!
    Que peut José Bové face à cela.
    En outre vous savez affronter les vrais problèmes, celui de la dette publique par exemple, résolu chez vous.

    http://www.ogm.gouv.qc.ca/sante_benefices.html

    AVANTAGES POTENTIELS DES OGM POUR LA SANTÉ

    Moins de produits chimiques
    Certains OGM présentement commercialisés sont utilisés dans le secteur des grandes cultures. Par leurs caractéristiques (tolérance à certains herbicides, résistance aux insectes et aux maladies), ils permettraient de réduire l’usage de certains herbicides et insecticides. Il pourrait donc y voir un avantage – quoique indirect – sur la santé humaine, puisque plusieurs de ces composés chimiques sont connus pour avoir des propriétés toxiques. Les risques d’intoxication seraient diminués car il y aurait moins de résidus de ces produits autant dans l’air que sur les aliments que l’on consomme.

    L’exemple des cultures de coton Bt
    Des expériences menées au champ, notamment en Inde et en Chine, ont montré que la production accrue des cultures de coton Bt par rapport aux cultures de coton conventionnel s’était reflétée dans la baisse de la quantité de pesticides utilisés dans les champs (52, 53, 54, 55).

    Moins de moisissures sur le maïs
    Certaines moisissures ou champignons microscopiques proliférant sur des céréales telles le maïs produisent des « mycotoxines ». Ces substances peuvent causer des intoxications plus ou moins graves autant chez les humains que chez les animaux qui ingèrent la céréale ou qui y sont exposés de quelque façon que ce soit. Les mycotoxines peuvent causer des lésions au foie, aux reins et même au système nerveux.

    Le genre Fusarium est l’un des principaux groupes de champignons microscopiques en cause dans la contamination du maïs, autant dans les cultures en champ que dans les entrepôts, et ce, dans tous les pays du monde (58, 59). Les toxines qu’ils produisent, les fumonisines, ont été beaucoup étudiées, car elles sont connues pour causer des épidémies de mycotoxicoses chez les animaux de ferme et des cancers chez les rats.

    Or, il semble que les variétés de maïs-grain Bt soient moins souvent contaminées par les champignons microscopiques que le maïs traditionnel (64, 65, 66, 67, 72). En dévorant les épis de maïs, la pyrale fournit des points d’entrée aux champignons qui produisent des mycotoxines. Ainsi, en réduisant les dommages causés par la pyrale, la culture du maïs-grain Bt contribuerait à diminuer les niveaux de contamination par les champignons (68, 69). Les aliments dérivés de ces cultures contiendraient donc moins de mycotoxines, réduisant du coup les probabilités d’intoxication chez les humains et les animaux qui en consommeraient (47).

    Plus de «bon gras» dans les plantes
    Il est connu que certains acides gras sont bénéfiques pour notre santé. Les acides gras insaturés notamment nous protègent contre les maladies du cœur. Des plantes oléagineuses GM, comme le canola et le soja, ont été developpées pour produire des huiles à teneur élevée en acides gras insaturés. Ces plantes GM à teneur modifiée en acides gras ne sont pas encore commercialisées. Il importe par contre de noter qu’il n’y a pas encore eu d’études pour déterminer l’impact qu’aurait la consommation de ces huiles sur la fréquence des maladies du cœur (60).

    Des aliments plus nutritifs
    Par la transgénèse, il serait possible de modifier la valeur nutritive d’un aliment pour résoudre un problème de nutrition. Ces aliments GM sont principalement destinés aux populations des pays en voie de développement qui souffrent de carences, notamment en vitamine A ou en fer.

    Du riz enrichi en vitamine A
    Le riz étant pauvre en vitamine A, de nombreux habitants des pays en voie de développement dont la diète se compose principalement de riz souffrent de cécité en raison de carences en vitamine A. Des chercheurs ont mis au point une variété de riz capable de fabriquer de la bêta-carotène, une substance que notre organisme peut convertir en vitamine A (17, 62). Toutefois, des études complémentaires seront nécessaires pour déterminer si l’organisme humain est capable d’assimiler la bêta-carotène présente dans ce riz transgénique et si cela se traduit par une baisse de la cécité associée à la carence de vitamine A dans ces pays.

    Des plantes enrichies en fer
    Beaucoup d’habitants des pays en voie de développement souffrent d’anémie, dont l’une des causes fréquente est la carence en fer (17). Des chercheurs travaillent à l’insertion, dans certaines plantes déterminées, d’un gène capable de faire diminuer leur teneur en phytates. La présence de ces composés rend le fer difficile à assimiler par l’organisme humain. Une autre avenue de recherche porte sur l’insertion d’un gène qui conférerait aux plantes la capacité d’extraire le fer du sol avec plus d’efficacité.

    Des aliments moins allergènes
    Réduire le pouvoir allergène des protéines présentes dans certains aliments est l’une des avenues de recherche explorées par le génie génétique. Des chercheurs tentent d’empêcher le gène de produire la protéine allergène alors que d’autres travaillent à modifier la structure de la protéine pour la rendre non allergène. Les plantes ciblées sont actuellement le soja, le riz, la pomme de terre et l’arachide (1, 5, 70, 71).

    Plantes usines qui produisent des médicaments
    L’agriculture moléculaire ou moléculture végétale et animale consiste à utiliser des plantes ou des animaux transgéniques, pour produire des composés pharmaceutiques ou industriels. Les utilisations potentielles vont de la conception de médicaments et de vaccins à la fabrication de plastiques biodégradables et de produits chimiques industriels.

    Des médicaments issus de la moléculture
    La moléculture pourrait permettre de produire des molécules d’intérêt médical ou industriel dans des conditions sanitaires plus sécuritaires que les techniques de production employées auparavant.

    Une possibilité en voie d’expérimentation est la production du «facteur IX», une protéine qui sert à la coagulation chez les hémophiles, cette protéine étant habituellement extraite de cellules sanguines. La production de cette molécule par moléculture pourrait permettre de réduire le risque de transmission de maladies comme l’hépatite B et le SIDA. En plus d’être plus sécuritaire pour la santé, la moléculture serait moins coûteuse.

    Des vaccins bon marché … comestibles
    Cette nouvelle technique de production de vaccins serait aussi moins coûteuse. Moins coûteuse, car il s’agit de produire des plants transgéniques comestibles dotés d’un gène résistant à un microorganisme spécifique (ex. virus, parasite). Rappelons que la vaccination consiste à immuniser un individu avec une substance préparée à partir des microorganismes pathogènes. C’est un gène de ces microorganismes qui serait inséré dans le génome de certaines plantes comestibles. Notre organisme réagirait de la même façon qu’en recevant un vaccin par injection : en produisant les anticorps nécessaires pour combattre certaines maladies comme l’hépatite B.

    1. Je sais bien Alzine. Je doute que les anti-OGM arrivent à faire plier les agriculteurs cultivant déjà des OGM (y compris de 2de génération). J’ai suivi des discussions sur des groupes Facebook et les agriculteurs défendaient bien leurs pratiques. Toutefois, c’est avec ce genre de pression/lobbyisme que les ONG écolos arrivent à faire douter le consommateur.

  4. c’est pas nous qu il faut convaincre c’est les fachos d’EELV qu’il faut convaincre…et qui ne lisent pas ce blog!!!

    1. Une source d’information, c’est une base pour débattre. Les premiers gogos qui fait une recherche google sur les OGM va tomber sur 500 sites écolo-fascistes, s’il n’a pas de connaissances scientifiques ou une capacité de critique et de recherche développé il ne pourra jamais accéder à des vrais information sur le sujet. Les sites comme AE, A&E ou le blog Imposteur sont très important mais trop rare pour une contre propagande efficace.

        1. Les publications de l’AFIS sont généralement de qualité. Cependant, dans « Idées reçues et rumeurs autour des OGM » (http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article1850) on peut lire:

          « Le glyphosate ne s’accumule pas dans l’environnement car il est biodégradable. Les traces restantes sont sans effet sur la santé animale et humaine. »

          La première partie de cette affirmation va à l’opposé des données soumises, évaluées et acceptées au niveau européen. Le glyphosate est considéré comme non facilement biodégradable. Monsanto avait d’ailleurs été condamné pour l’utilisation de tels propos dans des supports publicitaires.

          Il ne s’accumule certes pas dans l’environnement, cependant les données de monitoring du glyphosate et de l’AMPA montrent des concentrations supérieures à 0.1 µg/l (voir document SDAGE Loire-Bretagne), qui est la valeur seuil réglementaire pour la concentration dans les eaux souterraines.

          En ce qui concerne la deuxième partie de cette affirmation, d’après les données disponibles ce serait effectivement le cas. Cependant, une utilisation crop ou non-crop avec un for run-off/drainage à proximité d’eaux de surface, avec une CEb50 sur S. costatum de 0.64 mg/l, bonjour les dégats…

          Enfin on aura déjà une meilleure idée du profil des différents sels de glyphosate une fois AIR 2 terminé pour cette substance.

          La manière dont est rédigé le passage sur la toxicité du glypho, limitée à la seule DL50 sur souris…c’est plus que réducteur et je dirais même contraire aux principes de l’AFIS…

          Sinon le reste de l’article de Louis-Marie Houdebine est relativement objectif.

          1. Monsanto a été condamné parce qu’il disait que le roundup était 100 % biodégradable alors qu’il l’était un peu moins. Un jugement n’est pas une étude scientifique, surtout si les juges ont appelé à la barre des types comme Séralini. Par ailleurs il faut aussi réfléchir aux mesures mises (ou pas) en place pour lutter contre le lessivage dudit glyphosate,

          2. 0.1µg/L, super, on trouve facilement 3µg/L d’uranium dans l’eau de mer et 0.56µg/L dans le Rhone…

          3. La limite de 0,1 µg par litre est une limite de détection analytique. Elle a été instituée comme norme en vertu du principe d’hyper-précaution, sans aucun rapport avec une quelconque valeur toxicologique.

            En effet, le glyphosate n’a pas d’effets toxiques chroniques sur l’homme en dessous de 0,9 milligramme par litre d’eau, soit 9000 fois plus que la norme de 0,1 microgramme par litre de la directive européenne !

            Voir mon article Pesticides, le chiffre du jour : 9000 ! en cliquant sur http://laurent.berthod.over-blog.fr/article-pesticides-le-chiffre-du-jour-9000-50609222.html

          4. Laurent, Karg:

            Lorsque l’on constitue un dossier d’homologation, dans la section 5 « devenir et comportement dans l’environnement » on calcule ce que l’on nomme des PEC (Predicted Environmental Concentrations) pour la substance active et les métabolites pertinents (le cas échéant).

            Ces PEC sont calculées dans le sol, l’air, les eaux de surfaces et les eaux souterraines à l’aide de différents modèles et scénarios et à différents « Step » suivant les résultats obtenus.

            La limite de 0.1 µg/l n’est pas une limite analytique (0,06 µg/l de dieldrine mesurée dans les Sables et argiles éocènes de la Brenne, Masse d’eau souterraine No. 4083, 2009) mais une limite règlementaire européenne: la concentration d’un pesticide et de ses métabolites pertinents ne doit pas dépasser 0.1 µg/l. Que ce soit pertinent ou non n’est pas la question.

            Lorsque les PEC calculées sont supérieures à cette valeur, on passe en « Step 2 », « Step 3 », « Step 4 » si nécessaire avec des mesures de gestion du risque (diminution de dose, zone tampon, fractionnement de la dose, intervalle de traitement etc), jusqu’à ce que les PEC repassent sous la barre de 0.1.

            Si et seulement si ces conditions sont remplies, le produit peut être autorisé à être mis sur le marché.

            De plus les PEC déterminées sont utilisées pour le Risk Assessment dans la Section 6 « Ecotoxicologie » en ce qui concerne: les organismes aquatiques, la macro et micro faune du sol ainsi que les plantes non-cibles…

            Il n’y a pas que l’Homme qui est concerné mais aussi les écosystèmes. C’est d’ailleurs l’écotoxicologie qui a pris les devant en terme de coûts pour l’homologation des phyto depuis plus de dix ans…

          5. Que ce soit pertinent ou non n’est pas la question.

            Si, bien sûr, c’est la question, c’est même la seule question pertinente.

  5. Certes, certes mais ce blog est un lieu de mise en commun d’informations fiables permettant d’élargir le débat dans un second temps et d’aller ferrailler sur d’autres blogs.
    Académies françaises, sites des agences d’évaluation des risques de différents pays, aussi bien pour éteindre des feux de paille mais qui embrasent les médias que pour soulever de vrais problèmes, bien lourds, bien sales, ignorés à dessein par les mêmes médias. Pour des histoires de fric et de financement des publicités.
    Il est vraisemblable que de nombreux journalistes viennent y puiser de l’inspiration ou vérifier que leurs assertions « olé olé » sur l’écologie ne sont pas trop facilement démontables.
    Il est des liens qui se grillent facilement lorsque les articles ont été raillés sur le blog, qui se grillent comme les cigarettes de MMR.
    Pour EELV , on vérifiera son audience en fonction du score dans quelques semaines.
    On les trouve bien discrets ce printemps, devraient pourtant manifester leur contentement de voir le prix de l’essence augmenter, sans même avoir adopté la taxe carbone, c’est une des principales sources de pollution de l’air des villes, il me semble : benzène, microparticules, HAP…
    Bronchites chroniques pour tous et cancers des voies respiratoires pour certains, cancers du sang également en lien avec le benzène de l’essence, la principale source depuis 20 ans.
    Génial cette flambée du prix, non ?

  6. http://www.ineris.fr/substances/fr/substance/getDocument/2984

    Allemagne : critère de qualité pour l’eau douce =
    28 μg/L,
    Canada : critère de qualité pour l’eau douce = 65 μg/L
    Canada : objectif de qualité pour les eaux prélevées
    destinées à la consommation = 280 μg/L

    Noter que le glyphosate retrouvé dans l’eau superficielle est essentiellement adsorbé sur des particules de sol.
    Les bloquer dans le champ en évitant l’érosion des sols c’est aussi bloquer la quasi totalité des pesticides, mais aussi d’une partie des nitrates, avec des bandes enherbées, idéalement du miscanthus qui bloque mieux que la seule herbe, mais aussi la réduction du labour dans le champ qui impose l’utilisation du glyphosate

    Dans les eaux souterraines, on ne trouve quasiment que des triazines et produits de dégradation, epsilon d’urées substituées et de chloroacétamide et deux epsilon de bentazone.

    Donc la pollution des nappes est essentiellement le fait d’une pratique ancienne qui date de l’époque d’utilisation des triazines ( avant 2003), pollution fossile, pour laquelle on construit cependant des usines de traitement des eaux assez coûteuses qui permettent de justifier de facturer très cher l’eau aux utilisateurs, c’est du racket vert organisé qui associe les sociétés fermières de distribution d’eau et les organisation écolo, normal qu’elles soient financées par Véolia, Saur, …

    Elles justifient l’augmentation des tarifs au consommateur la faute aux agriculteurs ( faute ancienne) lorsque l’atrazine était utilisée mais atrazine qui ne sera interdite en Suisse qu’en 2012, j’ai bien écrit en Suisse, le pays le plus précautionneux vis à vis de l’environnement.
    Lorsque l’on va sur les sites suisse on trouve des choses passionnantes

    On lira dans un pays où la communication est plus sérieuse et moins déséquilibrée
    http://www.vd.ch/fr/themes/environnement/developpement-durable/indicateurs/indicateurs-pour-le-canton-de-vaud/18-eau/186-indicateur/

    « les nappes situées dans des zones intensivement habitées ou comprenant des activités industrielles importantes sont marquées par des traces d’hydrocarbures ou d’additifs correspondants. »

    « Méthyltertiobutyl éther
    Parmi les polluants générés par le trafic et l’industrie, le MTBE est la substance le plus souvent détectée dans les eaux souterraines. Cela n’a rien de surprenant, si l’on considère ses multiples utilisations et ses caractéristiques. Sa fréquence de détection et sa concentration demeurent cependant relativement faibles comparés à celles des produits phytosanitaires et des hydrocarbures chlorés. Un facteur-clé de la présence de MTBE dans les eaux souterraines est le degré d’urbanisation d’une région. En effet, la probabilité d’en trouver est d’autant plus grande que la région est très urbanisée, qu’elle compte un grand nombre de stations-service ou des routes très fréquentées, voire qu’un entrepôt d’hydrocarbures ou une raffinerie sont situés à proximité immédiate d’une station de mesure. En Suisse, des traces de MTBE ont été décelées dans 24% des stations du réseau NAQUA situées en dessous de 600 m d’altitude, mais dans 7.5% seulement de celles situées au-dessus de 800 m. Par ailleurs, les concentrations mesurées et leur répartition régionale permettent de déterminer sa provenance: la majeure partie de cette charge provient de pertes diffuses dans l’atmosphère (évaporation lors des opérations de remplissage et lors de la marche des véhicules à moteur, puis entraînement vers les eaux, notamment souterraines, lors des précipitations).(Source: OFEV) »

    Quelle est la phase suivante pour les sociétés fermières de distribution d’eau ?

    C’est une interrogation mais qui n’est pas anodine :
    Tenter de faire exproprier les agriculteurs dans les zones de captage, récupérer ces terres avec des chartes de pratiques vertes et vertueuses, optimiser puis soit produire dessus, soit revendre à des investisseurs français et internationaux ?

    Un abominable business qui associerait aussi l’ensemble des médias, journalistes complices passifs et ignorants, quelques politiques pourris et la plupart des assoc écolo?

    D’où la référence à Dominic Greene et à ses propos dans le film « quantum of solace » qui ne sont pas sans rappeler ce que l’on a pu entendre au cours des dernières années mais pas dans le monde du cinéma, celui bien réel.

    Il existe des investisseurs à peu près propres et maintenant un minimum d’éthique dans leur travail en France et des dirigeants ou cadres supérieurs de ces sociétés qui ne veulent pas de cela, mais il suffit d’un requin qui pousse dans ce sens et le processus est engagé, tout le monde doit suivre et se positionner, comme pour le bio industriel.

    Voir aussi pour la Suise jusqu’à ce jour : http://www.staehler.ch/pdf/tmb/atrazinfl_f.pdf

    On rigole parfois avec
    http://www.businesswire.com/news/home/20111128006090/fr/

    Il faut envisager les procès que l’on va faire à ses collègues de bureau pour nous avoir enfumé pendant 10 ans, responsable de notre futur cancer de fumeur passif ou du bouchage des artères, ou des responsables des services ou chefs d’entreprise qui n’ont pas interdit le tabac dans les lieux de travail nous exposant à des produits cancérigènes parfaitement caractérisés ( liste 1 du CIRC)

    Et je n’irai pas sur les conséquence de l’utilisation de l’essence pollution du sol par le plomb, saturnisme généralisé chronique asymptomatique dans une partie de la population urbaine et depuis l’interdiction du pb la quasi totalié des myélomes.

    Dans la logique proposée par les médias, Total ou autres pétroliers vont devoir supporter des procès en série pour indemniser toutes les conséquences sanitaires de l’utilisation de l’essence, avec avant l’ensemble des fabricants de cigarettes et dans ce cas des preuves tangibles et faciles à exposer, et les buralistes qui ont vendu les produits mortels au grand public. Il suffit de produire les rapports de différentes académies pour apporter des preuves formelles.

  7. miscanthus: je comprend l’intérêt mais je suis pas trop fan, d’après ce que j’ai entendu à droite et à gauche ça forme une croûte de racine très difficilement dégradable, et rien ne pousse dedans une fois en place.

  8. @ karg

    Justement c’est parfait contre les mauvaises herbes dont la détestable ambroisie et le miscanthus s’avère être un refuge pour de nombreuses espèces animales, bon pour la biodiversité pas celle qui envahira ensuite le champ.

    La barrière vis à vis du ruissellement et de l’entrainement des particules de sol au cours d’eau( run off) est en outre plus efficace que celle qu’offre une pelouse rase.

    Quelques points à régler pour certains insectes du sol.

    1. Ambroisie c’est über allergène, réservoir ou pas, c’est une merde absolu.

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