OGM : NKM diffuse ses “éléments de langage”

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Une note envoyée par Nathalie Kosciusko-Morizet aux Parlementaires leur donne la ligne de conduite à tenir sur la clause de sauvegarde contre le MON 810. On y apprend que la suspension de l’OGM de Monsanto s’appuierait sur “ les dernières études scientifiques et notamment l’avis de l’AESA (Agence européenne de sécurité alimentaire) de décembre 2011. Ces études montrent que la culture de ce maïs présente des risques importants pour l’environnement (impact sur des espèces, développement de résistances,…).” Plus loin : “Compte-tenu de l’urgence et du fait que le MON810 est susceptible de présenter un risque grave pour l’environnement, les autorités françaises demandent donc à la Commission européenne de suspendre sans délai l’autorisation de mise en culture des semences de maïs MON810 dans l’Union européenne dans l’attente d’une réévaluation complète. »

Si NKM rappelle que d’autres pays “ont également pris une clause de sauvegarde”, ses “éléments de langage” montrent davantage une gestion à court terme du dossier OGM qu’une vraie vision politique. La vraie préoccupation du gouvernement est clairement exprimée, c’est la proximité des semis :  « En cas d’inaction de la Commission, le Gouvernement adoptera, en raison de la proximité des semis, une mesure conservatoire visant à interdire la culture du maïs MON810 sur le territoire national.”

22 commentaires sur “OGM : NKM diffuse ses “éléments de langage”

  1. Cette nouvelle demande de moratoire pour la culture du maïs MON 810 a une valeur symbolique qui marquera les ministères de NKM et de M Lemaire: un acte fondateur d’un renoncement aux biotechnologies végétales, une des grandes révolutions technologiques du XXI ème siècle.
    On parle d’investir dans la recherche pour redresser notre pays et le gouvernement « assassine » nos chercheurs qui n’ont plus qu’à continuer à fuir le pays pour aller là où on les accueillera à bras ouverts. C’est effondrant alors que la recherche française était parmi les meilleures au monde…

  2. Une des grandes révolutions technologiques du XXe siècle, pas du XXIe. Déjà quinze années d’expérience et de recul, sur des millions d’hectares.

    Nous avons même eu notre petite expérience en France. Quelqu’un se souvient-il de graves dangers pour la santé et l’environnement ?

    1. Nous nous souvenons des graves dangers craints, mais nous ne souvenons pas du moindre dommage avéré. Sans doute la maladie d’Alzheimer dont nous sommes tous atteints à cause des OGM, de Monsanto & Co.?

  3. Le troupeau des parlementaires et journalistes se contentera de cette ligne de conduite, sans lire l’avis de l’AESA auquel elle se réfère…

    Quand une politicienne prétend que « toute la viande… est halal », c’est du même acabit, mais dans ce cas on ne gobe pas tout cru cette énormité!

    1. Merci
      Ce gouvernement est en train de nous offrir un dernier feux d’artifice affligeant. Elle ment, et plus grave, lance des affirmations en s’appuyant sur des études qui ne conclue absolument pas à ce qu’elle raconte. C’est de la diffamation.

      1. Ben, quand la norvégienne sera sous-secrétaire d’État au compostage de la merde dans le cabinet de François, ce sera guère mieux ! Tous démago ! Tous populo !

        1. Vu son score au premier tour la présence d’un ministre de l’environnement vert serai inacceptable, si Hollande assume sa position matérialiste « chaque génération doit avoir plus que la précédente » il doit refuser l’entrée des escrolo-réactionnaires au gouvernement.

          1. Ah, oui ? Ben, faudra nous expliquer pourquoi le PS a donné gratos trente circonscriptions éligibles à ELLV aux prochaines législative, alors qu’il avait l’occasion de nous débarrasser de la peste rouge-verte. Chacun peu rêver.

          2. J’ai pas d’explication rationnelle à cette solde de député, sauf à tenter de faire tomber Delanoe…

  4. « Ces études montrent que la culture de ce* maïs présente des risques importants pour l’environnement (impact sur des espèces, développement de résistances,…). »
    *Sauf que c’est faux, les études citées concernent un autre ogm, le Bt11!
    « on argumente que nombre de problèmes soulevés par le Bt11 sont transposables au Monsanto 810 », a souligné la ministre.
    Pas gênée de proférer des mensonges Mme la Ministre!?!

    @ Cultilande
    L’essentiel est de balancer auprès de l’opinion son souci de précaution, je pense que c’est une opération de com qui va très bien fonctionner même dans le milieu agricole, beaucoup adoptent l’avis de la population, aussi à force d’être en première ligne dans les campagnes de dénigrement et des crises sanitaires même si elles ont plus faire peur que mal…;

    1. La masse de la population n’a aucune notion des enjeux scientifiques, industriels et commerciaux en général, ni des OGM en particulier. La masse des agriculteurs ne déroge pas à la règle.
      S’ils ont conscience d’un enjeu, c’est, au même titre que les commerçants et les politiciens, celui de la loi du marché qui consiste à satisfaire le consommateur solvable (l’électeur votant pour le politicien) en le flattant, en satisfaisant son besoin immédiat.
      Ça ne va pas plus loin…
      Ils oublient que le besoin exprimé n’est pas toujours le besoin réel. le consommateur – ou électeur – n’exprime que les besoins ou désirs de choses qu’il sait, ressent ou imagine. Ford l’avait compris.

  5. Voici ce qu’on peut lire dans la presse – éléments de langage de cette dame X et GREF – qui se prostitue en politique :

    « La demande française “s’appuie sur les dernières études scientifiques”, et notamment sur un avis de l’Agence européenne de sécurité alimentaire (AESA), publié le 8 décembre 2011, qui “montrent que la culture de ce maïs présente des risques importants pour l’environnement”. »

    Et voici ce que l’EFSA a écrit dans son communiqué de presse du 8 décembre 2001 :

    The EFSA GMO Panel concludes that, subject to appropriate management measures, maize Bt11 cultivation is unlikely to raise additional safety concerns for the environment compared to conventional maize. The EFSA GMO Panel considers that the conclusions on the risk to non-target Lepidoptera from maize Bt11 apply equally to maize MON 810.

    Et voici ce qu’en pense notre HCB national :

    Au terme de l’analyse de l’ensemble des données fournies par le pétitionnaire et de données supplémentaires disponibles dans la littérature scientifique, le CS du HCB considère que la mise en culture du maïs Bt11 est acceptable, si elle est accompagnée de mesures propres à :
    – vérifier l’absence d’utilisation de la tolérance aux herbicides conférée par le gène pat,
    – vérifier la mise en place de zones refuges selon les recommandations du présent avis,
    – améliorer le PSPC selon les recommandations du présent avis tant pour le plan de surveillance spécifique que pour le plan de surveillance générale.

    1. Le Maire est pas mal non plus dans le genre ! Le retour de la Droite la + bête du monde!?!…
      « On verra si la Commission est convaincue par les éléments qu’on lui a apportés »
      ou
      « Notre responsabilité est de ne pas exposer les Français à des risques environnementaux excessifs »

      http://www.lafranceagricole.fr/actualite-agricole/ogm-mon810-nous-etudions-toutes-les-possibilites-juridiques-et-techniques-pour-qu-il-n-y-ait-pas-de-culture-en-france-b-le-maire-54070.html?utm_source=FAA&utm_medium=infoquotidienne&utm_campaign=mailnumero755&actu4

      1. « Nous étudions toutes les possibilités juridiques et techniques pour qu’il n’y ait pas de culture du Mon 810 en France. Il faut aller le plus vite possible pour donner un cadre juridique clair. »
        N’y a t’il pas contradiction entre ces deux phrases? N’y a t’il pas contradiction avec l’établissement précédent des règles de coexistence ?

        Ce ne sont que de médiocres procédés dilatoires destinées à entraver l’établissement de la Vérité.
        En matière judiciaire ces procédés sont normalement condamnables, mais hélas notre imbroglio juridique et notre jungle politique favorisent ces basses manœuvres.
        La France est régulièrement condamnée pour la lenteur de sa Justice. La politique est pire.

        1. « Nous étudions toutes les possibilités juridiques et techniques pour qu’il n’y ait pas de culture du Mon 810 en France. Il faut aller le plus vite possible pour donner un cadre juridique clair. »

          Précédemment, NKM avait clamé qu’il fallait au contraire attendre la fin février pour empêcher la Commission de rejeter la demande française avant les semis.

    2. Je me permets de copier/coller l’édito de Gil Wekstein-Rivière (je pense qu’il ne m’en voudra pas) paru dans le dernier numéro (n°100 de février 2012) de Agriculture et Environnement . C’est assez édifiant !!!

      Édito _ Démissions groupées !

      Après quatre années de loyaux services, la FNSEA, les Jeunes Agriculteurs,
      l’Association nationale des industries alimentaires (ANIA), le Gnis et la CFDT ont
      claqué la porte du Comité économique, éthique et social (CEES) du Haut conseil
      des biotechnologies. « La teneur des discussions sur les dossiers soumis au CEES
      ne conduisait plus à s’interroger sur les avantages et les inconvénients de la
      mise en culture de telle ou telle PGM, mais à argumenter qu’on pouvait s’en
      passer », commente Jeanne Grosclaude, la représentante de la CFDT. « Très vite,
      la présidente a limité le contenu des recommandations à la simple juxtaposition
      des positions exprimées par les uns et les autres, sans animer un travail de
      convergence et de recherche de consensus », poursuit-elle.
      Dans un courrier adressé au Premier ministre, les présidents de la FNSEA et de
      l’ANIA, Xavier Beulin et Jean-René Buisson, ont exprimé leur « amer constat de
      l’impossibilité du CEES de remplir sa mission ». « Nos organisations se retirent
      de cette instance, car elles refusent d’y investir autant d’énergie pour un si
      piètre résultat : nos représentants y sont, au mieux, des spectateurs impuissants,
      au pire, des alibis aux atermoiements de l’État sur les choix à opérer en matière
      de biotechnologies végétales », expliquent-ils.
      En réalité, ce « très beau bébé de ce très beau Grenelle », pour reprendre les
      propos de l’ex-ministre de l’Environnement Jean-Louis Borloo, n’a jamais eu pour
      vocation de faire dialoguer des parties ayant des points de vue différents sur
      les biotechnologies. Et ceci pour une raison simple : sur le dossier des OGM,
      le gouvernement de François Fillon a choisi de sacrifier l’innovation et
      l’agriculture. Ce même gouvernement qui prétend défendre la croissance et le
      progrès n’entend pas les avis des experts, très majoritairement favorables aux
      biotechnologies, ni ceux des acteurs économiques, qui en connaissent les avantages.
      Il préfère se dissimuler derrière les craintes – réelles mais infondées –
      d’une majorité de la population, dont l’opinion s’est forgée essentiellement à
      partir du bruit médiatique d’une poignée d’extrémistes, pour la plupart adeptes
      de l’écologie punitive. Ce sont ces mêmes extrémistes qui ont été invités à siéger
      au CEES. Refusant l’idée même d’une coexistence entre cultures OGM et non
      OGM, ils ont bien entendu rendu tout débat impossible.
      « Derrière le refus de la coexistence entre cultures OGM et non OGM s’expriment
      aussi un refus des méthodes scientifiques qui contribuent à l’amélioration des
      plantes, et une méfiance vis-à-vis des chercheurs, publics ou privés, qui s’y
      consacrent. En attestent les incidents de séance, les déclarations des tenants
      de la radicalité anti-PGM dans les écrits annexés en divergence aux recommandations
      », poursuit Jeanne Grosclaude. Là aussi, le gouvernement de François
      Fillon a sa part de responsabilité…
      Suite à l’avis du Conseil d’État concernant la double illégalité du moratoire
      sur le MON 810 – illégalité juridique et décision sans fondement scientifique –,
      le gouvernement a aujourd’hui le choix entre persévérer dans cette malheureuse
      farce, dont NKM est à l’origine, ou bien revenir au principe de réalité. Celui-ci
      est simple : quoi qu’en pensent les adeptes de la décroissance, les biotechnologies
      végétales progressent partout dans le monde. La France, grand pays
      agricole, ne peut se permettre de rester à l’écart.

      Gil Rivière-Wekstein

  6. en voiture ce matin à l’écoute d’Europe1 qui diffusait un bon magazine sur le sujet des OGM avec des intervenants de qualité :

    1 aucune étude sérieuse n’a jamais prouvé un danger quelconsue des OGM
    2 exemples à méditer:
    – les maïs français pour le bétail refusés au Maroc car contrairement au mais OGM ils contiennnet des molécules cancérigènes (bio ou pas ..)
    – retour des coccinelles dans les maÎs OGM …
    3 la démarche française des capitaines de pédalos KNM /BLM est totalement hypocrite : on met en avant des soi-disant études anciennes pour cacher que la demande de sauvegarde est de nature politique : ce faisant on trompe les français qui sont certes majoritairement opposés aux OGM en faussant le débat
    Au Moyen Age ces personnages auraient refusé l’invention de l’imprimerie qui a permis à la civilisation européenne de rattraper et dépasser la civilisation arabe qui était alors en avance (mais a refusé l’imprimerie)
    La France (et une partie de l’Europe sont en train de s’enfoncer dans obscurantisme et le déclin:
    – refus des OGM
    – politiques climato-énergétiques insensées
    – défiance générale à l’égard du progrès scientifique

  7. En vrac quelques commentaire sur la bouze que NKM envoie à la Commission européenne:

    http://agriculture.gouv.fr/IMG/pdf/NAF20-02-2012.pdf

    des études conduites aux Etats-Unis montrent que le maïs MON810 favorise la survie d’un
    nouveau ravageur du maïs, le ver gris occidental des haricots (Dorhout et Rice, 2010)

    Un nouveau parasite reconnu comme ravageur de maïs depuis la fin du 18ième siècle et originaire des USA, brillant. Et puis elle oublie de préciser que c’est entre autre la réduction des traitements insecticides classique et du labour qui explique sa progression, ainsi que le changement climatique qui lui semble plutôt favorable.
    http://scienceblog.com/51463/scientists-counter-greenpeace-claims-about-gm-corn/

    Une étude réalisée par Kramarz et al. (2009) sur l’escargot Cantareus aspersus montre également un effet négatif à long terme du maïs MON810 sur la croissance de cette espèce.
    La encore il faut lire l’étude pour comprendre que l’anglais n’est manifestement pas une langue maîtrisé par notre polytechnicienne:
    Differences in body mass were not significant at the end of exposure (88 weeks). For snails not previously exposed to Bt material, hatchability of eggs was similar in the soils tested. The outcome of the experiments indicates that, in growing snails, long-term exposure is needed to reveal an effect of Bt-maize.
    Pour les anglophobes, au bout de 88 semaines de gavage forcé au maïs OGM les escargots (nos petits gris) ont le même poids que leur camarade au maïs conventionnel. Les escargots s’adaptent le long de l’expérience.
    http://www.mendeley.com/research/effects-btmaize-material-life-cycle-land-snail-cantareus-aspersus/

    Par ailleurs, l’étude de Bohn et al. (2010) montre des effets adverse du maïs Bt exprimant la toxine Cry1Ab sur l’arthropode Daphnia magna, couramment utilisé comme organisme modèle dans les études écotoxicologiques. La survie, la fécondité et le taux de croissance des populations de D. magna nourries avec le maïs génétiquement modifié sont affectés.
    Là encore nous pouvons admirer la probité scientifique des auteurs:
    http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2811247/
    The neighboring farmers delivering the GM and UM-maize have stated that there were no external pesticides used in the fields
    On va comparer du maïs sans traitement avec un isogénétique OGM, ce qui est absurde vu que les OGM permettent d’éviter des traitements, à quand la même étude après 3 traitements contre la pyrales, sachant les daphnies sont extrêmement sensible au insecticide.
    Ensuite l’étude porte sur du nourrissage forcé in vitro de dauphnie, dans la nature les daphnies consomment deux aliments principaux:
    – de la matière organique mort en suspension (riche en protéine bactérienne)
    – du phytoplancton (riche en protéine animale)
    Ces deux sources alimentaires n’ont rien à voir avec de la farine de maïs. De fait certains chiffres laisse rêveur:
    The total number of eggs produced by GM-fed D. magna was lower than that of those fed UM-maize, 109 versus 141 eggs
    D’une part ce chiffre est très faible dans l’absolu et l’écart n’est pas évident, ce qui comme moi on manipulé du zooplancton savent très bien que les performances de croissance varie du simple au décuple sans forcément de causes apparentes. Ensuite sur une période de 12 jours de ponte pour 80 daphnies c’est carrément incompréhensible d’arriver à 3 oeufs par individus en 12 jour soit 2,6 par semaine, c’est en dessous des performances normales de cet animal: entre 3 et 50 oeufs par semaine. Les aquariophiles qui en produisent obtiennent des pontes dès J6 (J18 dans le papier) et au minimum six oeufs par semaine et par daphnies L’aliment ou les conditions d’élevage étaient manifestement inadaptés, mesurer des différences entre deux populations soumises à des conditions extrêmes ne permet pas de conclure quoique ce soit.

    a. Aura un impact sur les hyménoptères parasitoïdes spécialistes d’O. nubilalis
    L’essentiel des trichogrammes sont posés par les agriculteurs, l’impact sur leur population naturelle sera nul. Par rapport aux insecticides classiques il sera positif, d’autant plus que les agriculteurs seront tentés de déposer des plaquettes dans les zones refuges, sortir le pulvé pour faire les bordures…

    De nombreux lépidoptères sont en effet sensibles à la toxine Cry1Ab et peuvent donc être potentiellement intoxiqués par l’ingestion de pollens de maïs MON810 D’abord ça était démentie par des essais in situ, ensuite les bordures en maïs non BT prévu par le HCB supprime ce risque. Quid des insecticides classiques, on suppose qu’ils sont sans effet sur l’environnement.

    c. Aurait un impact sur les lépidoptères non-cibles, notamment les deux espèces Vanessa
    atalanta (vulcain) et Inachis io (paon du jour) avec des mortalités en l’absence de
    mesures de gestion, pouvant atteindre 100%.

    Assertion totalement ridicule, d’abord parce que les mesures de gestion sont prévus, simple et tout à fait compatible avec les contraintes économiques, ensuite parce les chenilles de ces espèces consomment surtout des orties qui ne sont pas présente dans les champs de maïs mais plutôt en bordure de pâturage riche en azote.

    d. Pourrait favoriser l’apparition de ravageurs secondaires, potentiellement dommageables
    pour d’autres cultures.
    Je propose 5 passages de 5 molécules insecticides de synthèses différentes sur les cultures AB pour éviter la propagation à d’autres cultures.

    e. Des certitudes concernant les impacts sur d’autres invertébrés non-cibles persistent
    pour les raisons suivantes :

    * aucune étude n’a mis en évidence des effets in situ
    * aucun étude sur le BT autorisé en AB n’a mis en évidence des effets inacceptables, y comprit pour les pulvérisations à grand échelle pour la lutte contre les moustiques ou les chenilles processionnaires.

    Remarque générale: de nombreuse étude citée dans le document ne donne pas de résultat en défaveur du BT11, pourquoi les citer, elle ne serve qu’a entretenir le bruit de fond. Pourquoi ne pas s’en servir pour demander l’interdiction en urgence du BT utilisé en AB mais aussi en épandage sur de grandes surfaces pour la lutte contre certains nuisibles? Comment peut elle oser mettre en doute l’avis de l’EFSA en s’appuyant sur des papiers qui montre l’inverse de ce que NKM raconte? Pourquoi elle ne parle pas du dernier avis de l’EFSA qui est sans appel?

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