La dialectique de Nicolas

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On parle beaucoup de Nicolas ces derniers temps et de sa décision de se présenter (ou non) à l’élection présidentielle. Interrogée la semaine dernière par Marc-Olivier Fogiel sur Europe 1, l’animateur vedette n’a pas souhaité répondre à la question. C’est son droit.  Alors nous nous sommes amusés à décortiquer son interview pour confirmer notre sentiment qu’il parle beaucoup, n’apporte pas d’éléments nouveaux et utilise une dialectique intéressante.


Leçon N°1 : parler pour ne rien dire :

« On est dans un carrefour de complexité, selon qu’on raisonne dans des échelles de temps courte ou dans des échelles de temps longue, les priorités ne sont pas les mêmes. Quand il y a une tragédie sociale comme le chômage, ça empêche la lecture probablement d’horizons plus loins. Mais le propre d’une fondation c’est d’avoir un temps d’avance sur la réflexion et de ne pas faire de concession à la réalité. (…) On a une permanence de réflexion et d’exigence parce que la situation l’exige, je veux dire, parce qu’on a un peu de recul sur le rythme de la société qui est un rythme réactif. C’est vrai que ces sujets là qui sont des enjeux cruciaux qui conditionnent tous les enjeux de solidarité aujourd’hui et demain, c’est pas des sujets qui peuvent être soumis à des phénomènes de caprices ou de mode. Et c’est en tout cas que c’est bien le rôle d’une ONG de contraindre la société à mettre à l’agenda en permanence ces sujets là parce que de toutes façons ils vont nous rattraper. »

 

Leçon N°2 : s’appuyer sur les fondamentaux :

« L’économie s’est constituée historiquement sur l’exploitation des ressources naturelles. On n’a pas forcément une claire conscience que si on continue avec un modèle identique au modèle actuel c’est à dire une croissance exponentielle de production et de consommation, tous les scénarios prospectifs montrent qu’en cours de siècle, on touche le fond des stocks, on puise dans un stock fini. Donc, en clair, si on ne trouve pas une manière de préserver les ressources naturelles, on est en tension sur tout, l’énergie, les ressources agricoles, l’eau, etc… Aucun système bancaire, aucune banque centrale ne pourra maîtriser la situation. »

 

Leçon N°3 : se fâcher avec personne :

« Ca a pesé dans un premier temps avec le grenelle de l’environnement qui est loin d’être insignifiant je le rappelle quand même. Encore une fois, on peut voir le verre à moitié vide ou le verre à moitié plein, m’enfin ce qui s’est passé avec le Grenelle, plus de 260 mesures avec des engagement financiers qui sont quand même très lourds, c’est une somme inédite d’engagements dans un pays européen. Il faut le reconnaître. Maintenant moi ce qui m’intéresse c’est ce qu’on va faire demain et dans les deux ans qui viennent, dans les 18 mois qui viennent on ne perde pas notre temps. Il y a un G8, il y a un G20, il y a la révision de la politique agricole commune, et il y a l’année prochaine Durban qui est la suite de Cancùn. »

 

Leçon N°4 : Parler de soi :

« On m’a reproché d’être catastrophiste et toujours pessimiste et il paraît qu’un pessimiste c’est un imbécile triste et un optimiste un imbécile heureux, donc moi pour l’instant j’agis avec les moyens qu’on a. (…) En tout cas, je ne sais pas si moi je vais la réinventer (NDLR : la fiscalité écologique) parce que je n’ai pas tous les pouvoirs ; ce que je sais c’est qu’avec d’autres on va mettre, remettre à l’ordre du jour les basculements des régulations, pas simplement la taxe carbone parce que vous et moi on peut comprendre que c’est totalement aberrant que 80% des prélèvements obligatoires portent directement ou indirectement sur le travail, alors que c’est pas le travail qu’il faut contraindre, et qu’on ferait mieux de porter la fiscalité sur les prélèvements des ressources naturelles et les impacts environnementaux.

(A propos des sondages qui montrent sa popularité) Je sais pas si je dois m’en réjouir ou m’en effrayer, et puis j’observe que les 2 personnes qui sont en tête des ces sondages sont des gens qui sont à l’extérieur du pouvoir en France. C’est plus facile d’être en tête d’un sondage quand on est à l’extérieur que quand on est à l’intérieur

(A propos de sa candidature en 2012) Ecoutez, d’abord les gens se posent la réflexion à ma place. Pour l’instant je n’ai rien dit. J’écoute. Je vois qu’il y a des gens qui me pose la question. Très sincèrement j’y réfléchi, mais jusqu’à présent c’est pas ma priorité, c’est pas mon ambition. Je suis pas convaincu que je sois armé pour ça. On a un débat public excessivement violent. Il faut avoir une carapace. Et il ne faut pas confondre popularité et compétence. »

 

Leçon N°5 : Faire plaisir aux copains écolos radicaux :

« J’essaie de faire en sorte, avec d’autres, d’infléchir la société et de l’emmener à répondre à des questions cruciales et de ne pas se contenter simplement de petits aménagements à la marge, parce que c’est un modèle de société qu’il va falloir revisiter de fond en comble. »

 

Leçon N°6 : La petite phrase pour conclure :

« Et il y a quand même un symbole très fort, on a mis en N°2 du gouvernement la défense nationale et on a fait passer en N°4 ou en N°5 la défense de la planète. »

 


Hulot : "2012, j’y réfléchis"
envoyé par Europe1fr. – L’info internationale vidéo.

10 commentaires sur “La dialectique de Nicolas

  1. je m’attendais à une réelle analyse de son discours, ici on a le droit qu’à un copier coller de ce qu’il à dit oralement.
    Ou est-ce que l’analyse fine se situe dans les sous-titres de chaque copier coller? ouaw. completely useless.

  2. J’aime beaucoup la leçon N°1 : effectivement, Nicolas Hulot parle pour ne rien dire et son discours n’est construit que sur des tournures de phrases et des expressions destinées à perdre l’auditeur.
    « On est dans un carrefour de complexité, selon qu’on raisonne dans des échelles de temps courte ou dans des échelles de temps longue, les priorités ne sont pas les mêmes. Quand il y a une tragédie sociale comme le chômage, ça empêche la lecture probablement d’horizons plus loins. » ==> Il faut reconnaître que c’est une belle langue de bois. Avec un tel discours, Nicolas Hulot ne va tenir longtemps la distance dans une campagne électorale. Il le sait bien et ne sera pas candidat. Il a trop à perdre.

  3. « ouaw. completely useless. »

    Et en plus il parle comme un chien anglais dis donc….

  4. Bon, ben, si la retranscription est fidèle et si c’est l’idole et le modèle des jeunes, et des moins jeunes, on comprend pourquoi le français est de moins en moins bien parlé. Un galimatias fait de borborygmes (galimatias boborygmesque ?), de barbarismes, de solécismes et d’autres fautes de syntaxe jamais répertoriées par les grammairiens.

    La retranscription en dit long sur le personnage : blub, blub, blub, quand il parlait dans son masque à oxygène dans Ushuaia, on ne percevait pas sa profonde inculture linguistique. Même un gamin de CP « des quartiers » articule mieux les propositions et parle mieux, je ne dis même pas le français, mais la langue en général.

  5. bonjour à tous.

    « c’est bien le rôle d’une ONG de contraindre »

    Contraindre??? N. Hulot montre sa vraie nature, celle d’un futur dictateur!!!
    Les ONG n’ont rien à contraindre et encore moins à la société. Elles n’ont aucune légitimité démocratique et politique. Qu’elles proposent des solutions réalistes à des problèmes réels, ainsi elles auront fait un grand pas en avant.

    « L’économie s’est constituée historiquement sur l’exploitation des ressources naturelles. »
    C’est vraiment le fruit des cogitations intellectuelles du cercle de penseurs de sa fondations??? Parce que si oui, ils sont en retard de plusieurs milliers d’années!!!!

    « c’est à dire une croissance exponentielle »
    Si la croissance était exponentielle, on ne parlerait pas de quelques % par an.
    La réalité c’est que l’économie mondiale suit une courbe linéaire presque plate (stagflation) depuis près de 20 ans.

    « tous les scénarios prospectifs montrent qu’en cours de siècle, on touche le fond des stocks, on puise dans un stock fini »
    Le stock est fini??? mon oeil!!! Nous avons les ressources minières encore non exploitées en profondeur dans la croute terrestre, au fond des mers. Elles ne sont pas rentables actuellement, ou difficile à exploiter. Mais les participants principaux de ce blog savent comme moi que les techniques s’améliorent (et très vite depuis 1 siècle). Et donc que ces ressources seront exploitables dans un avenir très proches (20 ou 30 ans).
    Un exemple simple est le Gaz de roche. Inexploitable techniquement il y a 10 ans encore, il est devenu la première source de gaz naturel au USA en moins de 5 ans.

    « Donc, en clair, si on ne trouve pas une manière de préserver les ressources naturelles, on est en tension sur tout, l’énergie, les ressources agricoles, l’eau, etc… Aucun système bancaire, aucune banque centrale ne pourra maîtriser la situation. ».
    Les tensions ont été envisagées par Malthus pour la surpopulation en 1798. près de 200 ans plus tard, les catastrophes prédites n’ont pas eu lieu (bien au contraire). Le Club de Rome nous annonçait la fin du pétrole pour l’an 2000. Nous sommes en 2010 et il y a encore pour 40 ans de réserves exploitables (plus toutes celles qui le deviendront avec l’avancée des techniques). Le MET office anglais (officine pro-GIEC) annonçait en 1997 que la neige n’existerait plus en hiver sur l’angleterre dans les années 2010. On voit le résultat… Toutes ces prédictions (et non prévisions, je vous laisse le soin de regarder la différence dans un dictionnaire MDR) sont toujours tombées à plat. Car leurs auteurs voyaient le futur avec les savoirs de leurs temps…
    Voir ci-après des cartes postales de 1900 portant sur la vision du futurs. C’est dans le même ordre d’idées. Les avions sont ceux de 1900 (un blériot 11). Le dictaphone est très loin des appareils MP3 ou des ordinateurs. Le sous-marin ne m’inspire pas confiance. La vision du cinéma avec l’actrice dans et l’orchestre une pièce et le tout projeté directement chez le spectateur est vraiment amusant!!!
    Mais je crois que le Mieux c’est les Vacances d’été au Pôle Nord, cela rappel furieusement un certain RCA. Alors que de nos jours les gens en ont peurs, eux trouvaient cela bien!!!
    http://www.touati-immo.com/article-en-1900-les-cartes-postales-imaginent-l-an-2000-55080796.html
    http://www.lemadblog.com/visions-du-futur/paleofutur-2-la-vision-francaise-de-lan-2000-en-1900/

  6.  » Ca a pesé dans un premier temps avec le grenelle de l’environnement […]c’est une somme inédite d’engagements dans un pays européen. Il faut le reconnaître. »
    Le Grenelle de l’environnement c’est une escroquerie d’état organisé au profit des industriels et au détriments des citoyens. Lire l’article ci-après
    http://www.objectifliberte.fr/2007/12/ne-pas-confondr.html
    Il est clair que d’imposer des dépenses énormes d’aménagements du bâtiment aux citoyens est une atteinte à leur liberté de choix. Si en outre, les dépenses d’aménagements sont très supérieures aux gains de chauffage, alors c’est une véritable escroquerie. ET C’EST LE CAS!!!

    « Maintenant moi ce qui m’intéresse c’est ce qu’on va faire demain et dans les deux ans qui viennent, dans les 18 mois qui viennent on ne perde pas notre temps. Il y a un G8, il y a un G20, il y a la révision de la politique agricole commune, et il y a l’année prochaine Durban qui est la suite de Cancùn. »
    N. Hulot et sa fondation n’ont rien à faire!!! Ils n’ont pas l’accord (hors médiatique) ni mandat des citoyens français pour les représenter dans des discussions internationales. Et ils n’ont pas le droit non plus d’influencer les politiques dans leurs choix. Ces derniers doivent ce reposer sur des faits réels et sur les sciences.

    « En tout cas, je ne sais pas si moi je vais la réinventer (NDLR : la fiscalité écologique) parce que je n’ai pas tous les pouvoirs ; […] et qu’on ferait mieux de porter la fiscalité sur les prélèvements des ressources naturelles et les impacts environnementaux. »
    C’est clair qu’avec juste un bac en poche (et je suis même pas sur) il va surement pas réinventer l’économie mondiale et la fiscalité. Par contre que les prélèvements portent sur le travail, c’est normal. Puisque c’est le travail qui crée les richesses. Et donc cette fiscalité porte aussi sur l’utilisation des ressources puisqu’elles sont modifiées par le travail. Sans compter la TIPP…
    Juste une parenthèse: Le régime de retraite par répartition est financé par les travailleurs. On prend au actifs pour donner aux inactifs. C’est la base de la solidarité par répartition. si on change cela, on met un place un système par taxation (sur les sociétés) ou par capitalisation (sur le capital). Ce n’est plus de la répartition!!!

    « On a un débat public excessivement violent »
    C’est bien la preuve que le consensus n’existe pas , et que les citoyens commencent vraiment à comprendre qu’ils sont manipulés par un système politico-médiatico-industriels.

     » infléchir la société et de l’emmener à répondre à des questions cruciales »
    Question cruciales pour les écolo, bien pensants mais totalement ignares des réalités scientifiques et des énormes avancées faites dans ce domaine par la société et les industries depuis 40 ans.

    « et de ne pas se contenter simplement de petits aménagements à la marge, parce que c’est un modèle de société qu’il va falloir revisiter de fond en comble. »

    Je ne veux pas, et nombre de citoyens non plus, changer de modèle de société. J’ai travaillé dans les champs quand j’étais gosse en montagne. Mes parents étaient artisans, mes cousins agriculteurs!!! Je ne veux retourner vivre dans une société du labeurs contraignants : 70 h/ semaine, pas de retraite (une misère), levé à 4h couché à 23h. pas de vacances. une espérance de vie de 55 – 60 ans. des problèmes de santé, de dos, d’articulations etc etc etc.

    3Et il y a quand même un symbole très fort, on a mis en N°2 du gouvernement la défense nationale et on a fait passer en N°4 ou en N°5 la défense de la planète. »
    C’est une bonne nouvelle selon moi!!!

    Et je suis chercheur en écologie!!!

  7. Daniel,
    excellent ce retour en arrière en images, j’aime bien aussi le chauffage au radium!… Ils avaient beaucoup d’imagination sans penser à l’évolution des tenues vestimentaires, c’est cocasse!

  8. Allons, allons, Nicolas Hulot n’est qu’un boufon telehygienique, que ses inventeurs peuvent jeter à tout instant , dés qu’ils le veulent, si Hulot a la tête qui enfle ou qu’il n’intérèsse plus les foules, soit l’inverse, hop, un coup de chasse d’eau et il ne reste plus rien.

    Il suffit sans forcer que ses inventeurs laissent transparaitre au grand jour une petite fraction des contradictions du bonhomme, sa façon de vivre au mépris de ses bien mièvres recommandations, ses comptes en banque et l’origine de l’argent et il disparait du devant de la scène. Il suffirait de deux ou trois émissions prime time et un ou deux papiers dans les journeaux. C’est un boufon destiné à occuper l’espace médiatique …et il le sait parfaitement.

    Il est intéressant de voir ce qui agite actuellement les politiques et les médias, la pollution des villes, la pollution due à l’automobile, on fixe sur les diesels mais les véhicules à essence « benzènée  » et HAP ne valent guère mieux.

    Des données précises existent, assez inquiétantes, mais parmi les solutions les plus efficaces, le basculement de la biomasse fossile à la biomasse renouvelable fait encore trop peur au pétrolier, trop tot, le monde agricole n’est pas assez afaibli. La question : le sera t-il un jour avec des prix du grain et du sucre qui flambent et lui donne les moyens de se défendre.
    Pour les pots catalytiques avec la flambée des métaux précieux cela devient difficile pour Euro 6.

    Parmi les évènements que ne controlent pas les grands de l’or noir, dont le français Total, il y a le climat et la sècheresse en Russie qui est arrivée au plus mauvais moment pour le pétrolier, d’autant que les céréaliers français sont ceux qui en ont le plus profité. Un drole de concours de circonstances qui ne réjouit pas grand monde dans la grande tour de la défense.

    Total qui a en son temps largement financé Hulot et Jean Louis Etienne: pour faire du cirque et ces écologistes: des clowns pour amuser la galerie des citoyens et éviter de poser les vrais problèmes. Dont celui de la pollution par les automobiles dont une des solutions passe par des carburants d’origine végétale, dans un premier temps éthanol et diester, qui résuleront pour partie et pour longtemps de la production agricole.

    Très bons dossiers au Canada et aux USA sur ce sujet, dont cet article, rien via les médias français ou plutot l’inverse, de la désinformation contre une belle campagne de presse orchestrée par le pétrolier.
    http://www.springerlink.com/content/n470601p202nm73q/fulltext.pdf

    Scandaleux cette manipulation? certainement pas, ce sont des armes qu’utilisent tous les détenteurs de monopole, à partir d’un certain niveau de puissance.

    Comme le mutisme des médias sur la marée noire dans le golfe du mexique, on peut supposer BP très très généreux, à commencer avec Google pour organiser la hierarchie des sites et éviter que trop de demandes n’aboutissent sur ceux qui sont « mal » renseignés. D’ailleurs c’était la plus grosse marée noire du siècle après la seconde guerre mondiale bien sûr, c’était juste les espaces les plus remarquables des cotes américaines, pour leur remarquable biodiversité notamment, mais désormais tout va bien, la pollution a disparue… des journeaux et de la télé, donc elle n’existe plus: merci BP.

    La question: pourquoi l’information sur le sujet des biocarburant est elle plus riche et bien plus pertinente outre atlantique, réalisme des pétroliers américains ou maitrise plus avancée de la production ou de la transformation qui les place en situation de force sur le dossier?

    50% de la production agricoles aux USA par 2% des opérateurs? une partie de la réponse est peut-être là, mais grattons pour voir.

    Risque de se voir condamner devant les tribunaux par des associations d’usagers??

    Vos avis sont les bienvenus

  9. @Alzine

    Très bonne analyse de la situation et de l’avenir des biocarburants en France.
    Pour ce qui est des agrocarburants dits de deuxième génération(biomasse,plante entière),il faudrait déjà que les actuels,de première génération soient rentables.
    Une partie du blé de nos coopératives régionales(environ 10%) est transformé en Ethanol(Cristanol 2 sur le site agro industriel de Bazancourt-Pomacle) depuis un peu plus d’un an.
    Malgré une très bonne mise en route et de très bons résultats techniques le premier résultat économique laisse apparaitre une perte de 10 millions d’€.
    Cohésis,une grosse coopérative associé à ce projet vient de se retirer,elle n’a pas envi d’y laisser sa peau.

    Affaire à suivre…

  10. Alzine a écrit :

    « La question: pourquoi l’information sur le sujet des biocarburant est elle plus riche et bien plus pertinente outre atlantique, réalisme des pétroliers américains ou maitrise plus avancée de la production ou de la transformation qui les place en situation de force sur le dossier? »

    Peut-être est-ce que la FNSEA n’est pas aussi influente que ce que prétendent régulièrement les zincultes zécolos et que le Farm Bureau a plus de savoir faire en la matière ?

    Il faut dire aussi qu’aux States ils ne se payent pas les inénarables Messieurs Blub Blub Blub Hulot et Vrrrr Zélicoyab.

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