Antenne : danger réel ou virtuel ?

Partager sur : TwitterFacebook

« Maux de tête, saignement de nez, fièvre » : les symptômes décrits en raison de l’implantation d’une antenne sont alarmants. La vidéo (ici) prend une saveur particulière quand on sait que l’antenne en question ne fonctionne pas…

9 commentaires sur “Antenne : danger réel ou virtuel ?

  1. Savoureux! Si la Justice prouve que ces antennes n’étaient pas en service, ça vaudra une expérience réelle avec effet placébo.

  2. Bonjour.

    Malheureusement Mr Cultilandes, la justice n’a plus besoin de preuves. Avec l’inversement de la preuve de la charge c’est à l’accusé (les antennes) de prouver leur innocence…
    Le principe de présomption d’innocence a été transformé en présomption de culpabilité par les récents jugements rendu à lyon …

    Les juges n’ayant aucune connaissance scientifique se sont appuyé sur des idées et des rumeurs bien présentées par les ong, avocats et plaignants. Mais sans la moindre preuve de malaises réels.
    Un vrai délire collectif issu des peurs distillées par les anti-.

    Il est sur que le justice (et les juges dans ces affaires) n’en sortiront pas grandis.
    Bien cordialement.

  3. Orange pourra peut-être prouver, témoignages de personnel ou de sous-traitant ou expertise judiciaire à l’appui, que ces antennes n’étaient pas en service…

  4. Si on s’intéresse aux ondes des antennes relais dont le risque est très hypothétique, que fait-on pour les arbres dont le pollen est allergène?

    Il serait intéressant de poser la même question par rapport à la plantation des arbres en ville ou à proximité des lieux habités: rappelons que les platanes, cyprès, boulot, chêne, pour les plus significatifs, ont des pollens qui sont sources d’allergies violentes chez les personnes sensibles, nombreuses, et dans ce cas c’est reconnu par l’académie de médecine avec au final des crises d’asthme qui outre le handicap peuvent abréger la vie des personnes.

    Faut-il faire une enquête de voisinage avant de les implanter dans un jardin, sachant que là le risque est patent avec évidemment toujours des incertitudes sur les complications de l’allergie et de l’asthme en matière de maladies respiratoire et d’interaction avec la pollution, la présence de fumeurs dans l’environnement des allergiques, bref plein de risques non totalement hypothétiques mais qui mériteraient une investigation approfondie pour en définir le contour. Donc plein d’incertitudes supplémentaire, dans ce cas pas gratuites.

    A quand un collectif contre la plantation d’émetteurs d’allergènes? sujets bien plus sérieux que les antennes relais.

    Ce post n’est pas un appel à la tronçonneuse folle, mais simplement une façon de montrer le ridicule des robins des toits. Enfin si le ridicule ne tue pas, les pollens allergènes, très naturels, comme le tabac est très naturel, enfin, presque une fois cigarette, ou les gaz d’échappement des voitures plus naturels du tout, eux tuent, lentement ou plus rapidement mais assurément.

    Je pense que nos robins des toits ne seront pour la plupart d’accord que pour s’attaquer qu’à l’un d’entre eux, dont le tronc est blanc bien sûr. Vous l’avez reconnus, il reste à le nommer.

  5. Alzine et Laurent 2: Bien vu!
    Des mâts d’antennes sont maladroitement camouflés en des sortes de sapins bizarres. Les FAI croyaient bien faire…

  6. Allez faire un petit tout sur le site de Libé, où un chat a été organisé avec un pseudo-scientifique pseudo-spécialiste des ondes…

    http://www.liberation.fr/terre/1201134-faut-il-avoir-peur-des-antennes-relais

    Vous remarquerez que les questions ont été soigneusement choisies par la rédaction pour permettre à ce pseudo-machin de délivrer son message alarmiste.
    Ainsi, pas une seule question au sujet des ces antennes virtuelles qui rendent malade même quand elles ne sont pas activées.

    Mais ce qui est rassurant, c’est de voir le déluge de comentaires derrière : apparemment, les lecteurs de Libé ne sont pas dupes !

  7. « Mais ce qui est rassurant, c’est de voir le déluge de comentaires derrière : apparemment, les lecteurs de Libé ne sont pas dupes  »

    On peut tromper une partie du peuple tout le temps et tout le peuple une partie du temps, mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps.

    Abraham Lincoln

  8. En l’occurrence c’est un effet « nocebo » et non pas « placebo ».

    L’inversion de la charge de la preuve c’est ainsi que les militants et quelques magistrats dont les jugements ne font pas jurisprudence ont interprété le principe de précaution. En tout cas si cette interprétation finit par faire loi, la société s’arrête là où elle est, plus de progrès, plus d’innovation, il est impossible de prouver que quelque chose – donc un danger – n’existe pas (principe épistémologique bien connu sauf des militants ignares et des juges incompétents).

Les commentaires sont fermés.